[Avis] - Streets of Rage 4

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Streets of Rage 4

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[BJJ-Daron]

Un pur régal. Si vous êtes trop jeunes pour avoir connu SOR, foncez, malheureux !

Des références délicieuses aux 3 anciens opus, des décors sublimes, une patte graphique et un gameplay qui colle parfaitement à la franchise, tout est réussi dans ce reboot

[siedrich]

Il y a les madeleines de Proust pour certains et il y a les jeux SEGA pour les autres, les individus de bon goût diront nous. Bercé par les musiques de la Megadrive étant plus jeune, bien plus jeune, mais vraiment plus jeune, j’ai d’abord appris à me servir d’une manette trois boutons avant un décapsuleur. La série Street of Rage a toujours été pour moi une valeur sûre. J’ai joué au premier et au second opus un nombre incalculable de fois sur un téléviseur cathodique et j’écoute encore de temps en temps la BO sur Youtube. J’ai découvert le troisième jeu sur une compilation Megadrive sur la PS3. Je reconnais que ce dernier ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Lorsque j’ai lu que la franchise allait accueillir un nouveau venu, j’étais sceptique, puis, lorsque j’ai lu le test, j’ai acheté le jeu directement le jour de sa sortie en version dématérialisée (Covid 19 oblige…). Cela faisait une éternité que je n’avais plus acheté un jeu à sa sortie.

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est bon de préciser deux choses dans le contexte. Premièrement, avant Street of Rage 4, j’ai joué à Return of the Obra Dinn (qui est exceptionnel, un jeu qui me marquera longtemps), Gris (un excellent jeu) et Subnautica (aussi un excellent jeu) pour ne citer qu’eux. C’est important de le préciser car ce sont des jeux très, très bons. Deuxièmement, j’ai commencé Street of Rage 4 avec une bière dans le nez et en coopération avec ma femme.

Les deux premières heures du jeu furent euphoriques. Les graphismes sont très bons, les décors détaillés, c’est bourrés de clin d’œil. La musique est aussi de grande qualité (et il est possible de jouer avec les musiques rétro en cochant une case dans les options). On retrouve des personnages connus et des petits nouveaux (une petite et un grand pour être précis). Les coups spéciaux sont là. Il y a même eu un ajout de gameplay qui permet de récupérer la vie perdue après utilisation des coups spéciaux en frappant les ennemis avant de se faire toucher. Certains boss sont mémorables (petit clin d’œil au commissaire qui fracasse sont bureau à votre arrivée, on a tous rêver de faire ça un jour au travail). On peut aussi débloquer les personnages des précédents opus et jouer avec.

Et bien voilà, cet avis est terminé. Le jeu est bon et pour un peu plus de 20 € je vous conseille de l’acheter.

Attendez, vous sentez qu’il y a un truc qui cloche n’est-il pas ? Malheureusement oui. Le jeu aurait pu être exceptionnel mais il sera seulement bon, la faute à quelques détails, qui sont au début agaçants, puis énervants, puis insupportables. Si certains ennemis ont des paternes qui vous permettent d’anticiper leurs coups, logique dans ce genre de jeu, les concepteurs ont fait délibérément le choix de rendre les boss invulnérables lorsqu’ils se relèvent. Les boss clignotent en blanc et vos coups ne les arrêtent pas. En clair, ils vont vous enchainer la gueule même si vous frappez le premier. Ce n’est pas dramatique, il faut attendre quelques instants et s’éloigner d’eux mais cela casse un peu l’ambiance.

Toutefois, ce n’est pas le cas de votre personnage. Lorsque vous vous relevez, vous n’avez pas de frame d’invulnérabilité et vous pouvez vous faire pourrir la moitié de votre barre de vie par deux clodos de base qui attendent que vous vous releviez pour vous en coller une en toute impunité. Cela n’arrive pas souvent, mais quand cela arrive, ça fait chier, on va le dire clairement. Les petites merdes avec leurs couteaux qui se déplacent en diagonale me font hurler. D’ailleurs, ma femme s’est faite taser deux fois sans pouvoir répliquer. L’ennemi la tase par derrière, il reste sur place, et sans bouger il la retase lorsque le personnage de ma femme n’est plus électrocuté. Aucun moyen de s’enfuir, du pur bonheur. C’est le même principe avec les grenades, flammes ou électricité au sol. Par exemple, vous vous prenez une grenade dans la tronche qui vous envoi à l’autre bout du décor, vous êtes au sol mais il y a aussi une autre grenade à cet endroit, vous vous relevez, vous vous la prenez.

Il en va de même pour une pléthore de mouvement. Vous réalisez une prise de catch sur un ennemi, votre personnage se redresse, même en appuyant frénétiquement sur le bouton pour frapper l’ennemi qui s’est placé devant vous pendant votre prise, vous allez en prendre une dans la gueule. Allez, encore un exemple aberrant pour la route : le dash d’Axel qui fait qu’il brule le sol avec son poing pour terminer avec un uppercut. Votre coup peut être contré par les ennemis qui sautent. Le principe d’un uppercut est d’avoir la priorité sur les coups en l’air et bien là non !

On va être honnête, 80% du temps on se marre bien avec ma femme et 20% du temps j’hurle à mort sur ce type d’évènements. Soyons précis, je ne parle pas de se faire frapper car c’est le principe du jeu, je parle du fait qu’après s’être retrouvé à terre, alors que votre personnage se relève, vous en reprenez dans la gueule sans aucun moyen de fuir ou de frapper plus vite que l’adversaire. J’ai même entendu ma femme s’offusquer un peu alors qu’elle est d’un naturel calme.

Il s’en dégage donc un sentiment d’injustice sur certains enchaînements, un sentiment d’impuissance alors que vous appuyez sur le stick haut pour vous échapper une fois relevé mais rien n’y fait… Ce n’est jamais bon pour un jeu d’insuffler un sentiment d’injustice au joueur. C’est différents des bugs qui sont involontaires, ici, dans Street of Rage 4, c’est voulu par les concepteurs.

D’aucuns me diront d’aller jouer en facile… malheureusement, c’est le cas. J’ai commencé le jeu en normal, puis en facile et c’est la même chose. Ma femme a réussi à faire un niveau dans le mode de difficulté le plus haut (mania), ce n’est donc pas un manque de compétence mais bien une aberration du jeu.

Continuons sur les aspects un peu foirés d’un bon titre, ou comment louper la case de l’excellence sur des détails. J’ai dit au début de mon avis que l’on pouvait jouer avec des personnages des anciens jeux. C’est vrai. Cependant, il va falloir gagner des points en faisait plusieurs fois le jeu pour débloquer les personnages. C’est moins bien déjà. Pis encore, dans la galerie des personnages, vous pouvez voir Max et Shiva (que vous affrontez dans le jeu), vous vous dîtes donc en toute logique : chouette, je vais jouer avec Shiva en mode Street of Rage 4. Restez calme, mais non. Vous pourrez jouer avec Shiva en mode SOR 3 (Street of Rage 3) mais pas en SOR4 alors que le personnage a été créé, qu’il a les coups, mais non. Ah putain, mais pourquoi ? Pourquoi ?

Vous reprendrez bien encore un peu de critiques ? Parlons trophées puisque PSTHC en est le cœur. Il n’y a AUCUN trophée lié au multijoueur (sauf vous faire frapper par votre coéquipier) pour un jeu dont le succès a été basé en partie sur la camaraderie, ça fait mal eu cul. Attendez, ne partez pas. Il y a pire. Un trophée demande d’accumuler 5 000 000 de points, ce sont les fameux points pour débloquer les personnages. A ma connaissance, arrivée à 1 200 000 points, il n’y a plus rien à débloquer. J’ai toujours détesté ce type de trophée qui ne sert à rien, mais vraiment à rien. Autant terminé le jeu dans le mode de difficulté le plus haut relève du challenge, autant accumuler des points relève de l’ennui.

Ce sont ces petits détails qui font que le jeu reste bon mais n’ira pas, selon moi, dans la catégorie des jeux d’exception comme Return of The Obra Dinn ou d’un Witcher 3. D’un autre côté, était-ce ce qu’on lui demande ? Non. On demande à SOR4 de nous faire marrer à plusieurs, il y réussi. On lui demande de nous en mettre plein les yeux et plein les oreilles, il y réussi. On lui demande de nous divertir, il le fait bien. Voyez ce jeu comme un plat très bien élaboré mais dans lequel le cuisinier a eu la main lourde sur le sel. Les premières bouchées sont très bonnes, puis, arrivé sur la fin du plat, on sent bien que c’est un peu trop salé, dommage.

[Seiyar]

Il y a les madeleines de Proust pour certains et il y a les jeux SEGA pour les autres, les individus de bon goût diront nous. Bercé par les musiques de la Megadrive étant plus jeune, bien plus jeune, mais vraiment plus jeune, j’ai d’abord appris à me servir d’une manette trois boutons avant un décapsuleur. La série Street of Rage a toujours été pour moi une valeur sûre. J’ai joué au premier et au second opus un nombre incalculable de fois sur un téléviseur cathodique et j’écoute encore de temps en temps la BO sur Youtube. J’ai découvert le troisième jeu sur une compilation Megadrive sur la PS3. Je reconnais que ce dernier ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Lorsque j’ai lu que la franchise allait accueillir un nouveau venu, j’étais sceptique, puis, lorsque j’ai lu le test, j’ai acheté le jeu directement le jour de sa sortie en version dématérialisée (Covid 19 oblige…). Cela faisait une éternité que je n’avais plus acheté un jeu à sa sortie.

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est bon de préciser deux choses dans le contexte. Premièrement, avant Street of Rage 4, j’ai joué à Return of the Obra Dinn (qui est exceptionnel, un jeu qui me marquera longtemps), Gris (un excellent jeu) et Subnautica (aussi un excellent jeu) pour ne citer qu’eux. C’est important de le préciser car ce sont des jeux très, très bons. Deuxièmement, j’ai commencé Street of Rage 4 avec une bière dans le nez et en coopération avec ma femme.

Les deux premières heures du jeu furent euphoriques. Les graphismes sont très bons, les décors détaillés, c’est bourrés de clin d’œil. La musique est aussi de grande qualité (et il est possible de jouer avec les musiques rétro en cochant une case dans les options). On retrouve des personnages connus et des petits nouveaux (une petite et un grand pour être précis). Les coups spéciaux sont là. Il y a même eu un ajout de gameplay qui permet de récupérer la vie perdue après utilisation des coups spéciaux en frappant les ennemis avant de se faire toucher. Certains boss sont mémorables (petit clin d’œil au commissaire qui fracasse sont bureau à votre arrivée, on a tous rêver de faire ça un jour au travail). On peut aussi débloquer les personnages des précédents opus et jouer avec.

Et bien voilà, cet avis est terminé. Le jeu est bon et pour un peu plus de 20 € je vous conseille de l’acheter.

Attendez, vous sentez qu’il y a un truc qui cloche n’est-il pas ? Malheureusement oui. Le jeu aurait pu être exceptionnel mais il sera seulement bon, la faute à quelques détails, qui sont au début agaçants, puis énervants, puis insupportables. Si certains ennemis ont des paternes qui vous permettent d’anticiper leurs coups, logique dans ce genre de jeu, les concepteurs ont fait délibérément le choix de rendre les boss invulnérables lorsqu’ils se relèvent. Les boss clignotent en blanc et vos coups ne les arrêtent pas. En clair, ils vont vous enchainer la gueule même si vous frappez le premier. Ce n’est pas dramatique, il faut attendre quelques instants et s’éloigner d’eux mais cela casse un peu l’ambiance.

Toutefois, ce n’est pas le cas de votre personnage. Lorsque vous vous relevez, vous n’avez pas de frame d’invulnérabilité et vous pouvez vous faire pourrir la moitié de votre barre de vie par deux clodos de base qui attendent que vous vous releviez pour vous en coller une en toute impunité. Cela n’arrive pas souvent, mais quand cela arrive, ça fait chier, on va le dire clairement. Les petites merdes avec leurs couteaux qui se déplacent en diagonale me font hurler. D’ailleurs, ma femme s’est faite taser deux fois sans pouvoir répliquer. L’ennemi la tase par derrière, il reste sur place, et sans bouger il la retase lorsque le personnage de ma femme n’est plus électrocuté. Aucun moyen de s’enfuir, du pur bonheur. C’est le même principe avec les grenades, flammes ou électricité au sol. Par exemple, vous vous prenez une grenade dans la tronche qui vous envoi à l’autre bout du décor, vous êtes au sol mais il y a aussi une autre grenade à cet endroit, vous vous relevez, vous vous la prenez.

Il en va de même pour une pléthore de mouvement. Vous réalisez une prise de catch sur un ennemi, votre personnage se redresse, même en appuyant frénétiquement sur le bouton pour frapper l’ennemi qui s’est placé devant vous pendant votre prise, vous allez en prendre une dans la gueule. Allez, encore un exemple aberrant pour la route : le dash d’Axel qui fait qu’il brule le sol avec son poing pour terminer avec un uppercut. Votre coup peut être contré par les ennemis qui sautent. Le principe d’un uppercut est d’avoir la priorité sur les coups en l’air et bien là non !

On va être honnête, 80% du temps on se marre bien avec ma femme et 20% du temps j’hurle à mort sur ce type d’évènements. Soyons précis, je ne parle pas de se faire frapper car c’est le principe du jeu, je parle du fait qu’après s’être retrouvé à terre, alors que votre personnage se relève, vous en reprenez dans la gueule sans aucun moyen de fuir ou de frapper plus vite que l’adversaire. J’ai même entendu ma femme s’offusquer un peu alors qu’elle est d’un naturel calme.

Il s’en dégage donc un sentiment d’injustice sur certains enchaînements, un sentiment d’impuissance alors que vous appuyez sur le stick haut pour vous échapper une fois relevé mais rien n’y fait… Ce n’est jamais bon pour un jeu d’insuffler un sentiment d’injustice au joueur. C’est différents des bugs qui sont involontaires, ici, dans Street of Rage 4, c’est voulu par les concepteurs.

D’aucuns me diront d’aller jouer en facile… malheureusement, c’est le cas. J’ai commencé le jeu en normal, puis en facile et c’est la même chose. Ma femme a réussi à faire un niveau dans le mode de difficulté le plus haut (mania), ce n’est donc pas un manque de compétence mais bien une aberration du jeu.

Continuons sur les aspects un peu foirés d’un bon titre, ou comment louper la case de l’excellence sur des détails. J’ai dit au début de mon avis que l’on pouvait jouer avec des personnages des anciens jeux. C’est vrai. Cependant, il va falloir gagner des points en faisait plusieurs fois le jeu pour débloquer les personnages. C’est moins bien déjà. Pis encore, dans la galerie des personnages, vous pouvez voir Max et Shiva (que vous affrontez dans le jeu), vous vous dîtes donc en toute logique : chouette, je vais jouer avec Shiva en mode Street of Rage 4. Restez calme, mais non. Vous pourrez jouer avec Shiva en mode SOR 3 (Street of Rage 3) mais pas en SOR4 alors que le personnage a été créé, qu’il a les coups, mais non. Ah putain, mais pourquoi ? Pourquoi ?

Vous reprendrez bien encore un peu de critiques ? Parlons trophées puisque PSTHC en est le cœur. Il n’y a AUCUN trophée lié au multijoueur (sauf vous faire frapper par votre coéquipier) pour un jeu dont le succès a été basé en partie sur la camaraderie, ça fait mal eu cul. Attendez, ne partez pas. Il y a pire. Un trophée demande d’accumuler 5 000 000 de points, ce sont les fameux points pour débloquer les personnages. A ma connaissance, arrivée à 1 200 000 points, il n’y a plus rien à débloquer. J’ai toujours détesté ce type de trophée qui ne sert à rien, mais vraiment à rien. Autant terminé le jeu dans le mode de difficulté le plus haut relève du challenge, autant accumuler des points relève de l’ennui.

Ce sont ces petits détails qui font que le jeu reste bon mais n’ira pas, selon moi, dans la catégorie des jeux d’exception comme Return of The Obra Dinn ou d’un Witcher 3. D’un autre côté, était-ce ce qu’on lui demande ? Non. On demande à SOR4 de nous faire marrer à plusieurs, il y réussi. On lui demande de nous en mettre plein les yeux et plein les oreilles, il y réussi. On lui demande de nous divertir, il le fait bien. Voyez ce jeu comme un plat très bien élaboré mais dans lequel le cuisinier a eu la main lourde sur le sel. Les premières bouchées sont très bonnes, puis, arrivé sur la fin du plat, on sent bien que c’est un peu trop salé, dommage.

Humm tu y vas pas un peux fort sur les critiques ?

Pour les 5.000.000 points, tu les obtiens facilement en jouant en mania (dans les 30-40k par niveau, rien que le mode histoire te fournis 500.000 points). Le temps de faire tous les autres trophées et quelques parties en lignes ou coop pour le fun, tu atteins les 4.000.000 !

Pour ce qui est des boss invulnérables, quand il se relève, encore heureux qu'il le soit... C'est un jeux plus technique qu'il n'y parait, marteler le bouton pour cuire le boss n'aurai vraiment rien d’intéressant ! Pour contrer cela il suffit de connaitre ses patterns, de regarder la position qu'il prend (par exemple Max).
Bref des boss bien sympas à affronter, avec un bon challenge pour le Commissaire, Shiva et Max en mode Arcade Mania, pile ce qu'il faut pour corser un peux le jeu une fois complètement fini

Je reviens également sur le fait de se faire toucher lorsque le personnage se relève, le gameplay a été nettement amélioré, offrant au personnage du 4 (et du 3 également de mémoire), de pouvoir faire tout plein de nouvelles actions dites "spécial" (bouton sans flèche directionnelle).
On y trouve donc le coup "spécial défensif" qui permet de lancer une attaque assez puissante de zone (tout autour de soi en gros) rendant invulnérable pendant l’exécution, mais qui consomme un peu de la barre de vie (peut être regagner en frappant quelques ennemies). Du coup lorsque l'on sent que l'on va recevoir une attaque par derrière ou aérienne (ou même en se relevant si besoin), spammer cette attaque 2-3 fois s'avère bien utile.


Un très très bon jeu pour se divertir (se défouler ?!), graphiquement très sympas, une OST fidèle à ces prédécesseurs !
Seul hic, le fait qu'il soit relativement court, 4 ou 5 niveau en plus aurait été vraiment sympas !

[PouletHardstyler]

Moi je suis plutôt d'accord avec Sied. Ce jeu est clairement fait pour jouer à plusieurs et sur une courte période. Jamais je passerai plus de 2h sur une même journée ce SOR4. La défense est inexistante quand tu te relèves quand bien même tu arrives à éviter de rebondir comme une merde au sol.
Le contenu ? J'aurais pas mis 5 moi. On a vite fait le tour. C'est assez redondant.
Clairement ce jeu est excellent mais a plusieurs et sans de préoccuper des trophées.
Une soirée canap avec 3 potes 4 manettes et on avoine. c'est tout.

[notfatboyslim]

Oui chu d accord. Pas plus de 2h dessus sinon ça saoule, même quand on fait les trophées.