The Callisto Protocol

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Infos complémentaires

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Date de sortie : 03/12/2022
Genre(s) : Survival-Horror
Territoire(s) : FRANCE

694 joueurs possèdent ce jeu
47 trophées au total
0 trophée online
24 trophées cachés
5 DLC's

Platiné par : 218 joueurs (31 %)

100% par : 12 joueurs (2 %)


Note des joueurs :
3.3/5 - 7 notes

Note des platineurs :
3.8/5 - 5 notes

Test rédigé par SolisTrad le 14-12-2022 - Modifié le 09-01-2023

Introduction

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The Callisto Protocol est l'un des jeux les plus attendus de cette fin d'année 2022 et à juste titre. Aux manettes, un studio répondant au nom de Striking Distance Studios qui est connu pour avoir créé et co-produit le très célèbre Dead Space.
Même si l'expérience et le savoir faire sont présents, n'oublions pas qu'il s'agit du premier titre de ce studio qui s'était jusque là contenté d'apporter son aide sur PUBG.

Nouveau Dead Space ? Pâle copie du titre original ? On aime parfois un peu trop se lancer dans les comparaisons dans ce genre de situations et cela est pratiquement inévitable dans le cas présent. Surtout qu'un remake du précédemment cité verra le jour fin janvier 2023 sur Playstation 5.
Contenu du jeu
Dans The Callisto Protocol, vous incarnerez Jacob Lee qui emprunte les traits de l'acteur Josh Duhamel connu entre autre pour ses apparitions dans la saga Transformers ou les séries La force du destin et Las Vegas. On peut aussi y voir un clin d’œil envers le protagoniste de Dead Space, Isaac Clarke. Car dans la bible, Jacob est le fils d'Isaac.

En lançant votre partie vous aurez le choix entre trois modes de difficulté : Sécurité minimale, moyenne ou maximale. Aucune information supplémentaire n'est fournie. Moins de dégâts subis ? Moins d'ennemis ? Plus de ressources ? Très probablement, mais de toute manière le jeu reste très abordable dans tous les modes de jeu pour en venir à bout sans trop transpirer.

L'action, elle, se déroule en 2320 alors que Jacob et son partenaire Max, deux agents de transports, sont en pleine livraison en direction d'Europa qui a été victime d'une attaque terroriste selon les médias. Une fois dans l'espace, ils découvrent que des membres armés de la cellule terroriste dont ils ont entendu parler ont abordé leur vaisseau. Les évènements qui s'ensuivent font se crasher le vaisseau directement sur Callisto qu'ils venaient de quitter, causant la mort de Max. Alors que Jacob s'attend à recevoir de l'aide, ce dernier finit en cellule sans aucune forme de procès en compagnie de celle qui semble être la chef du groupe de pirates qui les a abordés plus tôt.

En plus de son emprisonnement forcé, Jacob se fait installer un CORE, un implant cybernétique qui surveille ses constantes, permet de communiquer avec d'autres personnes et stocke tous ses souvenirs. Le lendemain, à son réveil, la porte de sa cellule est ouverte et il découvre une prison ravagée avec débris en feu, des traînées de sang au sol, des murs et barricades explosés. Votre objectif devient alors évident : survivre pour pouvoir vous échapper d'ici. Pour se faire il joindra ses forces à celles d'Elias, le seul prisonnier encore vivant et sain d'esprit dans ce chaos.

C'est ainsi que débutera votre périple lors de cette aventure purement solo.

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Les développeurs avaient annoncé une durée de vie située entre 12 et 14h pour aller au bout de l'aventure alors qu'il n'en est rien. Comptez plutôt quelque chose comme 8-9h en allant en ligne droite tout en prenant votre temps. A titre personnel il m'aura fallu 10 heures pour parcourir l'histoire principale en avançant tranquillement et en fouillant un maximum d'endroits. Sans oublier les morts qui peuvent être nombreuses dans certains passages si on ne fait pas attention ou si on n'est pas encore bien habitué aux mécaniques du jeu. Si il est nécessaire de mentionner les morts dans le temps de jeu c'est dans un premier temps parce qu'il est impossible de les "passer". Et ensuite parce que les temps de chargement peuvent paraître longs quand on arrive face à un boss qui peut vous tuer en une seule attaque, ou lors des phases de vagues qui seront à recommencer depuis le début si vous venez à périr en gérant mal votre affaire.

Ne vous attendez pas à évoluer dans un monde semi-ouvert ou permissif d'ailleurs. Tout est très carré et dirigiste au niveau de la progression dans l'histoire et il ne sera pas possible de revenir sur vos pas en dehors de très rares occasions. Ce qui n'est pas plus mal car vous devrez prendre des décisions sur la gestion de votre équipement et l'utilisation de vos crédits quand vous atteindrez une forge.

Les seuls défauts qui pourraient être pointés du doigt seraient le scénario un peu trop expédié et téléphoné, ainsi que la relation entre Jacob et Dani qui passe d'un extrême à l'autre bien trop rapidement. Alors, oui, il y a le côté situation de vie ou de mort et l'heure n'est clairement pas aux discussions inutiles quand on se retrouve piégés dans une prison pleine de mutants et de robots meurtriers. Mais ils auraient pu inclure quelques phases de dialogues dans la seconde moitié de l'aventure car il y avait largement la place.

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Tout jeu qui se veut horrifique se doit d'être doté d'un bestiaire digne de ce nom. Et dans le cas présent... on en a pour notre argent avec des créatures répugnantes à souhait qui se feront un plaisir de vous offrir des morts plus grotesques et dégoûtantes les unes que les autres. En dehors de quelques exceptions, vous aurez à affronter toutes les monstruosités du jeu au corps à corps. Jacob n'est de toute manière pas très mobile et sera cantonné à enchaîner les esquives et les coups de matraque la majorité du temps.

Les mutants qui se mettent à pulluler dans Callisto se ressemblent malheureusement un peu trop et ne feront que vous foncer dessus sans réfléchir en attaquant comme des animaux sauvages. Bien sûr il y aura celui qui a la carrure d'un demogorgon qui vous enverra ses crachats dessus si vous restez à distance ou les rampants qui explosent si vous parvenez à leur tirer dessus avant qu'ils vous attrapent. Autrement c'est la mort assurée.

A partir d'un certain stade du jeu vous tomberez nez à nez avec ce qu'on pourrait qualifier de mini-boss. Cette hideuse créature à deux têtes est impossible à vaincre à mains nues et vous devrez donc bien gérer votre inventaire pour toujours avoir assez de munitions pour l'éliminer. Engager un affrontement au corps à corps face à cette bête ne fera que provoquer votre mort car une seule de ses attaques vous sera mortelle et le GRP n'aura aucun effet sur lui.

C'est malheureux mais le gameplay du jeu ne permet pas vraiment d'avoir de combat contre un boss. Ou alors de manière très spécifique comme vous le découvrirez lors du dernier affrontement quand vous arriverez au bout de l'histoire. Je n'en dis pas plus, à vous de le découvrir le moment venu.

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Armé d'un simple pied de biche pour se défendre face aux mutants au début de son périple, Jacob va enrichir son arsenal petit à petit au fil du temps. Très rapidement vous échangerez votre barre en métal pour une matraque électrique qui sera votre principal outil de défense avec le gantelet plus affectueusement surnommé le GRP. Celui-ci vous permettra de soulever les mutants pour les projeter au loin (souvent dans le décor) et s'avèrera indispensable quand vous tomberez contre des groupes d'ennemis.

Le canon de poing, votre arme à distance de base, utilise et partage une même base pour ses deux déclinaisons que sont le Skunk gun et le Pistolet tactique si vous trouvez leurs plans qui ne sont, de toute manière, pas vraiment cachés pour pouvoir ensuite les fabriquer depuis la forge contre des crédits. Insistons bien sur le terme déclinaisons car Jacob devra prendre quelques secondes pour modifier le canon à chaque fois que vous voudrez basculer d'un modèle à l'autre. Et ce même en plein combat !

Bien entendu vous aurez la possibilité de changer d'arme rapidement en pressant sur une seule touche. Excepté que cela ne concerne que les armes différentes et qu'il n'est donc pas possible de basculer d'une version à l'autre de votre arme de poing par ce procédé. Vous pourrez par exemple passer de la version de votre arme de poing déjà installée à votre fusil d'assaut et ensuite au fusil à pompe. Il sera par contre impossible de passer du Canon de poing au Skunk gun de cette manière. Pour y parvenir il faudra utiliser une autre touche qui affichera un petit menu déroulant qui vous demandera de le parcourir de haut en bas tout en courant ou en évitant les attaques ennemies. Quitte à devoir refaire la manœuvre plusieurs fois par moment car vous serez interrompu si vous souhaitez survivre. Et une fois le changement validé, il faudra que Jacob prenne quelques secondes pour faire la modification du canon.
Alors d'accord, ça offre un peu de réalisme. Mais au prix d'une certaine frustration quand chaque seconde compte.


Un système de craft assez sommaire, mais intéressant, est intégré pour vous permettre d'améliorer vos armes en fonction de vos envies. Les crédits que l'on peut trouver sur les dépouilles des mutants ou dans des coffres suffiront pour financer votre arsenal. Les améliorations sont d'ailleurs les même pour vos armes en permettant d'augmenter la taille des chargeurs, d'améliorer leurs dégâts et leur stabilité ou de consommer plusieurs munitions d'un coup pour tirer des balles plus puissantes.
Des améliorations également disponibles pour votre matraque en augmentant le nombre de coups possibles dans un combo ou les dégâts que vous causez à l'ennemi par exemple.
Trois arbres d'améliorations seront disponibles pour le GRP afin d'augmenter votre barre d'énergie, la vitesse de récupération de l'énergie ou la vélocité de vos propulsions quand vous enverrez un mutant au loin.

En gérant bien votre affaire vous devriez être en mesure de pouvoir monter une ou deux armes au maximum, tout en gardant un petit pécule de côté pour acheter des munitions à certains passages du jeu où vous risquez d'en avoir besoin.

L'idée est bonne mais comporte un défaut qui se fera de plus en plus évident au fil du temps si vous achetez toutes les armes : le manque de place dans l'inventaire. Entre les injecteurs de soins, les batteries du GRP, les objets à revendre et les munitions pour chaque arme, le fait d'en posséder trop deviendra une contrainte plus qu'autre chose. Et aussi en grande partie à cause du changement hasardeux entre les armes mentionné plus haut.
Aspect technique du jeu
On ne va pas se mentir, il est malheureusement très rare de tomber sur des titres qui sont terminés avant d'être commercialisés en 2022. Quel soulagement du coup quand on prend en main The Callisto Protocol qui est techniquement très solide, surtout pour l'aspect graphique. On ne passe pas à côté de certaines textures qui peuvent mettre deux ou trois secondes à se charger lors d'une cinématique qui suit une mort sur Playstation 4 et c'est parfaitement normal. Le reste est de toute beauté et bien travaillé. La prison en flammes, les cavernes humides, les couloirs sombres qui vous donnent l'impression qu'une embuscade est possible en toutes circonstances...


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L'immersion dans le jeu est totale grâce à une bande son de grande qualité qui est amplifiée par le fait de porter un casque. Votre attention sera si souvent portée sur l'environnement que vous visitez vu que le silence qui y règne ne sera jamais un problème. Chaque grognement, chaque bruit de métal sur lequel un mutant rampe pour vous attaquer vous demandera de rester aux aguets. Et cela concernera autant les phases de progression que les affrontements directs face à certaines créatures. Vous aurez par moments à tendre l'oreille pour différencier le gémissement rauque d'un gros mutant des braillements des petites créatures rampantes.
Inutile de vous dire que l'on peut vite se mettre à transpirer comme un phoque quand on a des mutants qui vous attaquent ensemble alors que des rampants arrivent par d'autres endroits pour vous bloquer en produisant des bruits sales.

Tout n'est malheureusement pas rose pour la version française du jeu qui souffre déjà d'un doublage inégal. Si la voix de Dani ou du directeur Cole passent sans problème, on peut sentir un manque d'intensité dans celle de Jacob durant certains passages. Et ce n'est pas tout ! La synchronisation de certains dialogues a été mal placée, ce qui fait que l'on peut par moments voir les lèvres d'un personnage bouger sans l'entendre.
Et comme on dit, jamais deux sans trois. Parce que lorsque la caméra change d'angle, il arrive que le son baisse ou devienne caverneux. Voir même qu'il augmente d'un seul coup sans la moindre justification durant un dialogue. Si une vitre sépare deux personnages, on aura un passage où le son sera bon et le second qui donne l'impression d'entendre depuis l'autre côté de la vitre sans changement de plan. Ce qui peut être déroutant car on ne s'y attend jamais.

Deux petits points devraient également être abordés sur l'aspect technique. Pour un jeu qui se veut très porté sur la mort de son protagoniste, les temps de chargement à chaque rechargement peuvent vite devenir infâmes, voire pénibles. Parce que lâcher le bouton de visée une seconde trop tôt et tenter une attaque au corps au corps face aux mutants à deux têtes est synonyme de mort à chaque fois. Ou si jamais la caméra est dans un angle improbable à cause d'un mur et qu'un mutant dans votre dos vous attaque ou qu'un rampant sorti de nulle part vous attrape, même verdict.

Le second point est le système de sauvegarde automatique plutôt bien pensé dans l'absolu. Dans un cas ou deux, il se peut que si vous démarrez un passage en étant mal équipé... vous risquez de vous en mordre les doigts. Alors qu'a contrario, vous allez devoir recommencer certains passages complètement si vous mourez juste avant de les terminer.
Plaisir à jouer et à rejouer
Le plaisir est clairement là lors de la phase de découverte du jeu avant de disparaître petit à petit au fil de l'avancée. En grande partie parce qu'il n'y a aucune interaction entre les personnages tout le long de l'aventure. Cela aurait pu être compréhensible si Jacob s'était retrouvé seul dans un environnement dénué de toute présence humaine. Ce qui n'est pas le cas vu qu'il fait équipe avec un autre prisonnier.
On découvre pourtant très tôt dans le jeu que les deux hommes peuvent communiquer directement grâce à leurs implants. Leurs seuls échanges se cantonneront à des confirmations pour dire que machin est arrivé à tel endroit ou qu'il faut passer par X couloir pour atteindre la zone B. On n'apprendra rien sur leur passé respectif, sur leur personnalité, ou leurs rêves.

Le côté scénarisé du jeu est tellement minimal que ce n'est que durant les deux dernières heures du jeu que l'on découvre enfin de quoi il retourne et pourquoi la prison est sans dessus dessous. Même si on a forcément des soupçons sur l'origine du mal qui sévit sur Callisto.


D'ailleurs, une fois bien équipé le jeu se veut facile et peu dangereux. Les phases de discrétion face aux mutants aveugles qui se déplacent de manière désordonnée sont d'ailleurs plus une plaie qu'autre chose car il faudra uniquement faire preuve de patience et non d'intelligence.
On prend plaisir à découvrir cet univers glauque à l'ambiance sonore juste parfaite les premières heures. Puis on enchaîne les couloirs en éliminant les quelques ennemis qui nous barrent la route pour finir par arriver au boss de fin. Si la monotonie n'a pas le temps de s'installer c'est uniquement parce que le jeu se veut court. Autrement le manque d'idées aurait été assez évident et contraignant.

Malheureusement le titre ne comporte quasiment aucune rejouabilité en l'état. Je pourrais vous vendre une récolte de collectibles ou la recherche de secrets intéressants dans le titre alors qu'il n'en est rien du tout. A part l'envie de partir à la conquête des trophées que vous auriez manqué durant votre première expérience, je ne vois aucune raison de relancer le jeu une fois terminé.

Pourtant... Striking Distance Studios compte sérieusement conserver son titre vivant en annonçant déjà une campagne de contenus additionnels qui sera étirée sur 7 mois. Le premier DLC, qui sera gratuit, comportera un mode New Game + et une difficulté hardcore dont on ignore encore les spécificités.
De toute manière, à en juger par les derniers dialogues lors de la cinématique de fin, on en déduit logiquement que l'histoire sera poursuivie sous forme de contenu supplémentaire. Payant, très probablement.

Rendez-vous donc en février 2023 pour plus de détails sur cet aspect du titre.
Chasse aux trophées
On pourrait penser à première vue en regardant un trophée comme (Or) Le protocole est une question de vie qui demande de finir le jeu en difficulté maximale que la conquête du (Platine) serait laborieuse ou éreintante. Rassurez-vous, ce ne sera pas le cas pour diverses raisons que vous trouverez sur le guide du jeu.

Déjà, neuf des vingt-sept trophées se débloquent directement en progressant dans l'histoire. Ce qui fait un tiers de la liste qui s'obtiendra sans le moindre effort. La chasse aux collectibles pour (Or) La faucheuse pourrait vous prendre une heure ou deux grand maximum.

Si jamais vous décidez de profiter du jeu en jouant sans regarder la liste des trophées, vous devriez finir votre partie avec au moins 60% de celle-ci en poche. Tout simplement parce que vous aurez tué des ennemis en utilisant le GRP ou en exploitant le décor, que vous améliorerez forcément une arme ou deux de votre choix pour vous faciliter la vie face aux mutants. En dehors des trophées (Bronze) Le bien commun, (Argent) Terminator et (Argent) Flotter comme un papillon qui demandent une attention particulière, le reste se débloque tout seul.

Avec l'aide d'un guide, le platine pourra même être obtenu en une seule partie en une quinzaine d'heures de jeu. Les développeurs auraient même pu gonfler un peu l'obtention de certains trophées sans qu'ils ne deviennent contraignants. Avoir un platine accessible sans un ou deux trophées chronophage est un véritable soulagement.
Conclusion
Outre la qualité technique évidente du titre, il s'avère très difficile de passer outre cette sensation de manque lorsqu'on parvient au bout de l'aventure. L'expérience offerte par The Callisto Protocol, bien que très courte, reste agréable et à découvrir au moins une fois si on aime les ambiances glauques et légèrement malaisantes.

On n'a cependant pas cette sensation de dangerosité permanente inhérente à d'autres titres qui vous pousseraient à rester sur le qui-vive en permanence. Le système de sauvegarde automatique fait que vous ne démarrerez jamais bien loin de l'endroit où vous mourrez et les endroits vraiment dangereux pour votre intégrité physique sont rares. Le jeu aurait gagné à vous faire visiter cette base plus en détail au lieu de vous expédier d'un point A à un point B pour passer au suivant.

Le système de combat est bien pensé pour des affrontement en petit comité seulement. Si jamais vous venez à avoir plusieurs ennemis sur le dos, vos chances de survie diminueront de manière drastiques en l'espace de quelques secondes car... impossible d'esquiver de manière automatique l'attaque d'un adversaire qu'on ne peut pas voir. Améliorer la mobilité de Jacob ne serait pas un luxe également.

Pour conclure et répondre à la question concernant ses similitudes à Dead Space, celles-ci sont clairement assumées par son créateur et cela se voit dans la gestion de son univers et de ses décors. Malheureusement pour lui, The Callisto Protocol est incapable de se hisser au même niveau que son aîné. En grande partie à cause d'un level design basique et dirigiste et d'un scénario qui tient sur un post-it.
J'ai aimé
  • Techniquement au point.
  • Immersif à souhait !
  • Des affrontements plaisants.
  • Un système de craft bien géré.
Je n'ai pas aimé
  • Un peu court.
  • Scénario et personnages qui manquent d'impact.
  • Changer d'arme en combat est une plaie.
  • Une VF audio douteuse.
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Je recommande ce jeu : Aux spécialistes du genre, Aux curieux, À un public averti

SolisTrad (Solis_Trad)

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