Star Ocean : The Divine Force

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Infos complémentaires

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Date de sortie : 27/10/2022
Genre(s) : RPG
Territoire(s) : FRANCE

489 joueurs possèdent ce jeu
54 trophées au total
0 trophée online
40 trophées cachés

Platiné par : 36 joueurs (7 %)

100% par : 36 joueurs (7 %)


Note des joueurs :
3.1/5 - 7 notes

Note des platineurs :
2.6/5 - 5 notes

Test rédigé par Chibimoko77 le 30-11-2022 - Modifié le 30-11-2022

Introduction

Image

Pour ceux qui s'intéressent à l'univers des JRPG (jeux de rôles japonais), Star Ocean fait partie de ces licences qui parlent aux joueurs même si elle ne possède pas l'aura que peut avoir Final Fantasy, Dragon Quest ou encore Tales of. Pour les non-initiés à ce genre, Star Ocean se démarque des autres noms cités précédemment avec sa spécialisation dans le genre du space opera.

Star Ocean : The Divine Force sorti le 27 octobre 2022 est développé par Tri-Ace et édité par Square Enix. Il s'agit du sixième opus de la licence mais n'a pas de liens directs avec ses prédécesseurs. Nul besoin donc de se lancer dans les jeux précédents pour profiter de l'histoire racontée par le dernier venu dans la famille des Star Ocean. Les connaisseurs de la licence remarqueront les petits clins d'œil disséminés tout au long du jeu.

Après Star Ocean: The Last Hope (quatrième épisode) qui a divisé les joueurs et Star Ocean 5: Integrity and Faithlessness qui les a clairement déçus, ce sixième opus sonne un peu comme le jeu de la dernière chance pour la série. Six ans après la sortie du cinquième épisode, le studio arrivera-t-il à renouer avec les fans ? S'agit-il d'un renouveau pour la licence ? Montez à bord du vaisseau et embarquez pour le test.
Contenu du jeu
Une trame principale décousue...


Star Ocean : The Divine Force se démarque de ses prédécesseurs car il vous laisse choisir entre deux protagonistes au travers desquels vous allez vivre cette nouvelle épopée. Le premier choix est Raymond Lawrence, un capitaine d'un navire marchand travaillant pour la compagnie familiale. Votre seconde option est Laeticia Aucerius, la princesse et héritière du royaume d'Aucerius de la planète Aster IV.

Sachez que peu importe le personnage sélectionné, vous verrez 90% du scénario du jeu. Vous aurez quelques scènes inédites ou passages propres à chaque personnage lorsque le scénario scindera votre équipe en deux groupes (je reviendrai sur cette notion de deux histoires en une dans la section Plaisir à jouer et à rejouer).

Si vous avez choisi Raymond, l’histoire commence par l'attaque de son vaisseau pendant qu'il est en train d'effectuer une livraison pour le compte de la compagnie familiale. Ne pouvant résister à l'assaut, Raymond fait évacuer son équipage et parvient également à échapper de justesse à l'explosion de son navire. Il s'écrase sur la planète Aster IV située à proximité de l'attaque. Il fait alors la rencontre de Laeticia qui va l'aider à retrouver son équipage en échange de son aide pour accomplir une mission tenue pour l'instant secrète. Si vous avez choisi Laeticia, votre épopée débute lorsque vous remarquerez des débris qui tombent du ciel. Elle se rend sur le lieu d'impact et découvre la capsule de Raymond. Intriguée par cette apparition et la technologie utilisée par ce dernier, elle lui propose son aide pour qu'il retrouve son équipage en échange d'un coup de main pour remplir la mission qu'elle s'est fixée.

Le décor étant maintenant planté, passons plutôt à la construction de la trame principale (sans spoilers bien évidemment). On peut la découper en trois actes. Le premier sera centré sur le sauvetage de l'équipage de Raymond qui servira de gros prologue, le second sur la mission secrète de Laeticia qui vous entraînera sur le sauvetage de la planète Aster IV et le dernier acte qui sera dédié au sauvetage de l'univers tout entier.

Cet agencement reflète un problème de construction et donne cette impression de trame décousue. Le jeu est particulièrement lent dans sa première moitié et n'apporte pratiquement rien que ce soit en terme narratif pour l'intrigue principale ou sur le lore pour expliquer le contexte de l'univers dans lequel on est plongé. Puis le rythme accélère enfin un peu avec une avancée dans la narration pour justifier le passage au second acte. Mais c'est bien le passage vers le troisième et dernier acte où on sent que le jeu essaie de rattraper le temps perdu. On "subit" plusieurs scènes pouvant aller jusqu'à dix voire quinze minutes d'explications pour mettre en place tous les éléments nécessaires au développement de l'intrigue.


...avec un univers limité et peu rempli à explorer...


Comme mentionné précédemment dans la construction de la trame principale, le jeu ne nous offre pas ou peu d'éléments narratifs dans sa première moitié. De ce fait, les zones explorées sont vides et sans intérêt car le scénario ne nous offre rien à y faire à part les traverser. Même constat pour les villages et les villes visitées. Hormis les capitales du royaume d'Aucerius et de l'empire Vey'l qui sont plus grandes et recèlent un peu de vie, les interactions restent très limitées et vous vous contenterez de l'auberge et des différentes boutiques.

Qui dit space opera dit voyage spatial. On pourrait donc s'attendre à une exploration plus poussée en dehors de la planète Aster IV et bah non. Vous passerez 80% du scénario sur cette planète. Vous aurez le droit à l'exploration d'un vaisseau situé dans l'espace et de deux autres planètes qui se résumeront à une ville et un donjon.


...et quelques quêtes et activités annexes anecdotiques


Ne cherchez pas de réconfort du côté annexe à l'histoire. Vous aurez bien évidemment le droit aux fameuses quêtes annexes qui est un élément incontournable aux JRPG mais elles sont encore moins développées que le scénario du premier acte. Il s'agit de quêtes vous demandant de tuer des monstres ou de récupérer certains objets. Pour ce qui est des activités annexes, vous pourrez vous amuser avec un petit jeu de plateau nommé Es'owa ou perfectionner vos talents dans la création d'objets.

Es'owa repose sur le principe de différents pions qui ont des caractéristiques et des capacités différentes. Vous devrez poser vos pions sur un plateau et le but sera de réduire les points de vie de votre adversaire à zéro. Le fait d'encercler intégralement des pièces adverses les feront sortir du jeu (la réciproque est vraie si votre adversaire fait la même choses avec vos pièces). Il faut reconnaître que Es'owa est sympathique mais rien ne vous pousse à y jouer à part une ou deux quêtes et deux trophées.

La création d'objets est un élément récurrent à la licence ainsi que le personnage de Welch qui vous introduit à ce système. Vous débloquerez de nouvelles catégories à fabriquer au fur et à mesure de l'accomplissement des quêtes annexes données par Welch. Encore une fois le jeu ne vous poussera à l'utiliser et si vous ne jouez pas dans les plus hautes difficultés, les objets et équipements disponibles dans les boutiques suffiront pour venir à bout de tous vos ennemis. Seuls les trophées vous demandant de finir le jeu dans la difficulté la plus haute et de créer 90% des objets vous pousseront à investir du temps dans cette activité. De plus, aucun suivi de vos réalisations n'est disponible. Le jeu vous indiquera uniquement le nombre d'éléments nécessaires à la création ainsi que le coût lié à sa fabrication. Bien évidemment, chaque personnage de votre équipe pourra créer des objets et suivant le personnage vous n'obtiendrez pas le même résultat. Rien de tel pour vous motiver à vous y mettre.


Résultat des combats


Soyons honnête, le scénario de Star Ocean : The Divine Force n'est pas mauvais. L'histoire dans sa globalité reste correcte et cohérente mais est inégale dans sa progression. Le rythme est beaucoup trop lent dans sa première moitié et le jeu essaie de rattraper son retard dans son autre moitié. De plus, pour un space opera, passer les premiers 80% de son scénario sur la même planète est une aberration. Même la description du trophée Traversée des étoiles dit "Quitter enfin Aster". Les zones traversées sont grandes mais vides et les villes se limiteront rapidement aux boutiques et à l'auberge. Malheureusement, le contenu annexe sera également absent avec des quêtes annexes sans aucune plus-value, un petit jeu de plateau intéressant mais absolument pas mis en avant et une création d'objets nécessaire pour renforcer votre équipe si vous jouez dans les plus hautes difficultés mais ô combien repoussante au vu de la non disponibilité du suivi de ce que vous avez déjà fabriqué.
Aspect technique du jeu
Des graphismes et une technique datés...


Commençons par se remettre dans le contexte, Star Ocean n'est pas une licence avec un budget de jeux AAA. Il serait donc injuste de le comparer aux licences les plus connues comme Final Fantasy ou Tales of pour ne citer qu'elles. Cependant, si on prend la série des Atelier qui est plus proche en terme de moyens alloués, le jeu n'est quand même pas à la hauteur. La direction artistique est plus compliquée à juger car Star Ocean a sa marque de fabrique avec par exemple des visages ronds qui donnent une impression de "poupée" aux personnages. Par contre, il faut avouer que le design de Raymond (qui est l'un des deux protagonistes du jeu) est raté.

Du côté des graphismes et de la technique, le compte n'y est pas. Le jeu veut donner aux joueurs des zones plus grandes mais cela joue contre lui. Un flou entoure les personnages qui est généralement visible dans les champs et contrechamps et qui détonne avec le fond du décor. Pour les zones ouvertes, vous aurez droit à du clipping mais comme les zones sont vides, cela sera moins voyant même si présent. Vous aurez également le droit à des chutes de framerate même si elles seront bizarrement plus présentes dans les grandes villes du jeu. Les décors sont lisses, plats et ternes. Certes, la planète Aster IV est présentée comme une planète moins développée qui se situe dans sa période médiévale, ce qui peut expliquer la proposition graphique mais on retrouve cela même pour les vaisseaux et les deux planètes très développées. Un dernier point, qui peut être du pinaillage pour certains, lorsqu'on change les équipements d'un personnage, il n'y a aucun changement visuel qui accompagne cette modification.

Très bon point à retenir, aucun crash ou plantage n'est à citer, ce qui devrait être une norme dans le monde vidéoludique.


...avec une bande son qui fait le travail et avec un gameplay efficace


Passons maintenant à la partie sonore du jeu. Bien qu'aucun morceau ne reste en tête, il est à noter que rien de négatif ne ressort. Les thèmes sont cohérents à la thématique. À la rigueur, on peut souligner un manque de morceaux mais ceux présents font le travail. Le point fort du jeu est son gameplay. Rien de révolutionnaire pour les déplacements dans les zones et villes parcourues mais le jeu se démarque par son système de combats efficace.

Star Ocean : The Divine Force est ce qu'on appelle un Action RPG. Lors des combats, vous pourrez bouger votre personnage dans une zone définie à l'affrontement pour esquiver les attaques de vos adversaires. Vous aurez une jauge qui diminuera au fur et à mesure de vos actions. Il est donc inutile de foncer dans le tas et de cliquer sans interruption sur la touche d'attaque. Cela conduira votre personnage à stopper tous ses mouvements et à se retrouver sans défense face aux coups de vos opposants. Vous aurez également à votre disposition une roulade permettant d'esquiver les coups lorsque vous êtes au corps à corps. Le seul moyen pour que la jauge, mentionnée précédemment, remonte est de rester immobile. Le seul point noir est l'intelligence de vos compagnons. Ces derniers tapent dans le vide lorsque vous affrontez des ennemis aériens, ce qui devient problématique lors d'affrontements contre des boss aériens. Vos alliés n'hésiteront pas à se jeter sous les coups de l'ennemi pour soigner un allié en difficulté, ce qui compliquera plus la tâche qu'autre chose.


Résultat des combats


Star Ocean : The Divine Force souffle le chaud et le froid. Il affiche une direction artistique qui peut plaire ou pas suivant les goûts de chacun mais n'a aucune excuse sur le plan des graphismes et de la technique. Le jeu propose le minimum mais au moins aucun plantage n'est à signaler, ce qui est une chose bien trop rare de nos jours. La bande son sans être extraordinaire fait le travail. Le système de combats est l'une des forces du jeu et sauve le jeu du naufrage.
Plaisir à jouer et à rejouer
Deux histoires en une...


Comme mentionné dans la partie Contenu du jeu, ce nouvel opus de la licence Star Ocean vous propose de choisir entre deux protagonistes. Cela vous permet de suivre la trame principale du point de vue de ce personnage. Cependant, peu importe votre sélection, vous verrez quand même 90% du scénario avec un seul personnage. De plus, lorsque le scénario vous impose une séparation de votre équipe en deux groupes, l'autre groupe vous fera un résumé de ses aventures lors de vos retrouvailles. De ce fait, cette nouvelle possibilité offerte est finalement un gadget qui ne justifie pas de refaire une partie pour connaître tous les rebondissements de l'histoire.

Du côté histoire, on se retrouve face à un scénario haché à cause d'un manque de rythme mais qui reste dans les standards en terme d'écriture. Malheureusement, le choix de faire "deux histoires en une" a une incidence sur la durée du scénario qui ne dépassera les 20 ou 25 heures, ce qui reste peu pour un JRPG. L'absence de new game + ne pousse pas non plus à faire une deuxième partie. Une fois les tenants et aboutissements du scénario connus, seul le gameplay subsiste.


...mais dans un petit océan d'étoiles


L'autre point qui démarque la série de ses concurrents est sa spécialisation dans le space opera. Le scénario se déroulant à 80% sur la planète Aster IV, cette marque de fabrique n'est pas mise en avant. Au final, vous pourrez explorer 3 planètes mais les 2 autres planètes se limiteront à une ville et un donjon et un vaisseau spatial qui fera office de simple donjon. Cette absence d'univers est bien représentée par la carte du monde qui est occupée par la carte de la planète Aster IV avec un carré dans le coin droit pour représenter l'espace.

Pour ce qui est des environnements proposés, le jeu veut se démarquer de ses prédécesseurs en offrant des zones ouvertes au lieu de zones fermées pouvant s'apparenter à des couloirs. La promesse est tenue mais les zones sont vides en termes d'activités et d'intérêt. Le jeu ne vous pousse pas à les explorer que ce soit au travers du scénario ou des quêtes annexes.


Résultat des combats


Le principal attrait de ce jeu est la découverte de la trame principale. Le choix de choisir son protagoniste est finalement un gadget et n'apporte rien à l'histoire et en réduit même la durée à cause de ce choix de "deux histoires en une". L'absence de new game + ne donne aucun intérêt à faire une seconde partie avec l'autre personnage pour assister aux rares scènes inédites liées à ce choix. Le jeu ne met pas non plus en avant sa marque de fabrique à savoir le space opera et les grandes zones proposées ne combleront pas votre envie d'exploration.
Chasse aux trophées
Une liste classique...


Star Ocean : The Divine Force nous gratifie de 54 trophées (platine inclus) et on retrouve bien évidemment les traditionnels trophées liés à l'histoire. Ces derniers se débloquent peu importe que vous ayez choisi Laeticia ou Raymond. Ils sont au nombre de 16 et représentent presque un tiers de la liste des trophées. Viennent ensuite les trophées vous demandant d'effectuer des actions spécifiques. Vous aurez au programme : tuer 3 000 ennemis, réaliser 200 attaques-éclair, tuer les boss des donjons optionnels, accomplir 55 quêtes annexes, fabriquer un objet via la création d'objets et remporter une partie de Es'owa. Pour finir, il existe également deux trophées liés aux collectibles où vous devrez mettre la main sur les 18 lapiminis et ouvrir les 252 coffres au trésor.


...qui augmente artificiellement le temps de jeu


Après ces trophées classiques abordés précédemment, vous ferez face à une pratique malheureusement courante qui est de rallonger artificiellement le temps de jeu et bizarrement le jeu excelle dans cette pratique. Vous serez obligés de faire une partie avec chacun des deux personnages principaux. En effet, chaque protagoniste sera lié à 8 huit fins de personnage. Pour les habitués de la série, vous ne serez pas dépaysés. Pour les autres, vous devrez assister à des scènes nommées Private Actions (ou PA pour les intimes) où vous devrez parfois répondre à des questions. En fonction de vos réponses, vous gagnerez ou perdrez des points (bien évidemment aucune indication n'est visible à l'écran). Si vous avez suffisamment de points à la fin du jeu, vous débloquerez une fin de personnage. En plus de faire deux parties pour les fins de personnages, vous avez aussi comme condition de jouer dans une difficulté particulière. Finir le jeu en difficulté Univers (difficile) débloquera la difficulté Chaos (très difficile).

Suite à ces trophées vous obligeant de faire deux parties, viennent ceux qui mettront le plus à mal votre patience. Vous devrez remplir à 90% le bestiaire, obtenir 90% des armes et fabriquer 90% des objets et battre le meilleur joueur de Es'owa. Ces trophées vous obligeront à traverser à plusieurs reprises toutes les zones du jeu afin de récupérer des ressources, affronter les monstres, faire le tour des boutiques et affronter tous les joueurs de Es'owa. Le plus contraignant est sans aucun doute la fabrication des objets car en plus de prendre de temps, le jeu est avare en informations sur son suivi. Il vous faudra avoir une liste à côté avec quels matériaux à combiner pour obtenir l'objet voulu. Ajoutez à cela le fait que la probabilité de réussir votre création n'est pas de 100% à tous les coups et que chaque personnage de votre groupe peut créer des objets différents. Cerise sur le gâteau, les trophées devront être obtenus sur la même partie car il n'existe pas de new game + donc aucun moyen de cumuler son avancement sur les deux parties obligatoires pour obtenir le Graal.


Résultat des combats


Star Ocean : The Divine Force ne nous propose rien de révolutionnaire et se sert de sa liste de trophées pour allonger sa durée de vie. Les trophées classiques vous demanderont entre 30 et 40 heures et plus du double sera nécessaire pour le platine. En plus d'imposer de faire deux parties avec les deux protagonistes et avec une difficulté différente, le jeu ne nous offre pas de new game +. À l'image du choix de faire deux histoires en une avec 90% de base commune et de ses choix techniques, on reste dans la politique d'en faire le minimum en terme de conception pour un maximum de remplissage.
Conclusion
Star Ocean : The Divine Force n'est pas un mauvais jeu. Il comporte de bons concepts et de bonnes idées mais pêche dans son exécution globale. Le système de combats (à l'exception des combats contre les boss aériens qui sont à revoir) et le gameplay sont plutôt efficaces et la bande son est agréable. D'un point de vue technique, le jeu a pratiquement une génération de retard par rapport à ce qui est proposé par la concurrence.

Un côté space opera trop peu exploité, un scénario très long à se mettre en place puis qui doit accélérer afin de justifier le sauvetage de l'univers et un contenu annexe peu intéressant n'aident pas le jeu à se démarquer des autres productions rivales. Les fans de la série pourront y trouver leur compte mais les autres joueurs passeront sûrement leur chemin sans s'arrêter. Dommage qu'il y n'ait pas eu un effort (ou une non-volonté ?) d'optimisation de ses qualités afin de relancer la licence sur le long terme au lieu de potentiellement assister à son dernier vol.
J'ai aimé
  • Un scénario qui tient la route
  • Un système de combats efficace
  • Une bande son qui fait le boulot
  • Pas de crashs et de bugs
Je n'ai pas aimé
  • mais qui a un gros problème de rythme
  • mais qui n'est pas adapté contre les boss aériens
  • mais avec des graphismes datés
  • mais avec une technique pas à la hauteur
  • Le côté space opéra relativement absent
  • Pas de suivi dans les collectibles et la création d'objets
  • Pas de new game +
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Je recommande ce jeu : Aux fans de la série

Chibimoko77 (chibimoko77)

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