On appelle le témoin à la barre
C'est en mars 2006 et sur Nintendo DS, qu'a débarqué le premier épisode de la série Phoenix Wright dans nos contrées. Après plusieurs épisodes de la série ayant vus le jour en exclusivité sur les consoles Nintendo, 13 ans plus tard, et pour la toute première fois sur la console de salon Sony, c’est pour le plus grand bonheur des fans que nous pouvons désormais découvrir ou redécouvrir les trois épisodes de la trilogie initiale, à savoir : Ace Attorney, Justice for All et Trials and Tribulations.
Capcom nous livre ici une réédition complète en HD de ces trois épisodes, avec toutes les affaires relatives à chacun. Que valent donc ces nouvelles moutures ? Est-ce que tout ce qui fait l’essence même de la série a été conservé ? Menons l’enquête sans plus tarder pour analyser tous les indices dans leurs moindres détails !
Phoenix Wright : Ace Attorney Trilogy
ps4
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2
Infos complémentaires
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Date de sortie : 09/04/2019
Genre(s) : Visual novel
Territoire(s) : FRANCE
1147 joueurs possèdent ce jeu
Genre(s) : Visual novel
Territoire(s) : FRANCE
1147 joueurs possèdent ce jeu
31 trophées au total
0 trophée online
Platiné par : 338 joueurs (29 %)
100% par : 338 joueurs (29 %)
Note des joueurs :
4.7/5 - 17 notes
Note des platineurs :
4.6/5 - 16 notes
Test rédigé par dayvyde le 02-05-2019 - Modifié le 02-05-2019
Contenu du jeu
Votre témoignage s’il vous plaît
Comme dit en introduction, nous avons ici les trois jeux d’origine, et donc 14 affaires à résoudre au total. Chaque épisode nous place aux commandes d’un jeune avocat tout droit sorti de l’école de droit, à savoir Phoenix Wright. Pour sa première expérience professionnelle, il officie dans un cabinet d’avocats en collaboration avec Mia Fey, une avocate de renom. Mais très vite, de par la tournure des événements, il sera alors livré à lui-même pour obtenir l’acquittement de ses clients.
Chaque affaire représente une enquête à part entière et la première affaire des trois épisodes sert de didacticiel. Il s’avère également que le déroulement sera identique à chaque fois : découvrir le client à défendre, se rendre sur les lieux du crime pour récupérer des indices, puis enfin, parvenir à obtenir un verdict “non coupable” lors du procès au tribunal.
Pour atteindre votre objectif, il faudra obtenir des preuves tangibles et irréfutables prouvant l’innocence de votre client. Pour cela, lors des moments sur les lieux des crimes, vous aurez la possibilité de discuter avec des personnages hauts en couleurs pour découvrir plus en détails la tournure des événements passés. Vous pourrez également analyser l’environnement pour récolter des indices physiques et d’autres informations. Chaque dialogue vous apportera son lot d’informations pour vous aider, en plus des indices, à prêcher le vrai du faux sur toutes les affaires.
Toutes ces pièces à conviction récoltées, vous serez alors en mesure de vous confronter aux procureurs. Pour cela, la mécanique sera toujours la même. Vous écouterez dans un premier temps le témoignage des témoins, pour ensuite faire votre contre interrogatoire. Et c’est dans cette phase là que vous devrez alors déceler les contradictions et présenter les preuves pour appuyer votre OBJECTION ! Interjection la plus symbolique de la licence.
Les différences notables entre les trois épisodes, au-delà des cas auxquels vous serez confrontés, vont porter sur les personnages, les méthodes d’investigations et les confrontations/dialogues. Toutes les affaires vont créer une opposition entre la défense (vous) et la partie adverse, à savoir le procureur d'état. Et chaque épisode aura son procureur attitré. Il s’agira respectivement de Miles Edgeworth (Benjamin Hunter en français), Franziska von Karma et Godot. Ces trois différents procureurs seront vos rivaux les plus tenaces et ils mettront chacun les nerfs de notre avocat à rude épreuve, chacun à leur manière.
L’autre point de différence entre le premier épisode et les autres porte sur les dialogues. Dans Ace Attorney, vous pouvez discuter tout naturellement de tous les sujets avec tout le monde. Mais à partir de Justice for All, des verrous psychés font leur apparition. Cela indique un certain blocage du personnage concerné à discuter d’un certain sujet. Il est alors nécessaire de présenter des preuves lors de la discussion pour casser les verrous. Procédé similaire aux phases de tribunal dans l’idée.
Dernière différence, également intégrée à partir du deuxième opus, le fait de pouvoir présenter des profils de personnes, en plus d’objets, en cas de contradictions. Cet ajout apporte plus de difficulté dans les phases de déblocages de verrous et contre interrogatoire, car le panel de choix des preuves se retrouve agrandit considérablement.
Une barre de vie est présente lors des phases au tribunal et de déverrouillage des verrous psychés. Celle-ci descend au fur à mesure que l’on se trompe d’indice présenté. Ceci a pour effet principal d’éviter de montrer des pièces à tout va, sans prendre le temps de réfléchir un instant avant d’agir. Bien évidemment, une fois cette barre vide, le verdict “coupable” sera automatiquement appliqué, et vous devrez recommencer l’affaire soit depuis le début, soit depuis la dernière sauvegarde. Car oui, il est possible de sauvegarder et charger une partie à n’importe quel moment du jeu.
Avec 14 affaires à résoudre, ce ne sont pas moins de 50h de jeu qui vous attendent, chaque affaire prenant entre 3 et 5h, car plus ou moins longues. Les intrigues de chaque cas étant plus folles les unes que les autres et avec tout autant de rebondissements, impossible de s’ennuyer. D’autant plus que le fait d’alterner entre les phases d’enquête et de tribunal permet d’éviter un ennui quelconque. Et les nouveautés intégrées à partir de l’épisode 2 comme évoqué précédemment, apportent des fonctionnalités très bienvenues pour permettre d’autant plus de possibilités et de réflexion.
Comme dit en introduction, nous avons ici les trois jeux d’origine, et donc 14 affaires à résoudre au total. Chaque épisode nous place aux commandes d’un jeune avocat tout droit sorti de l’école de droit, à savoir Phoenix Wright. Pour sa première expérience professionnelle, il officie dans un cabinet d’avocats en collaboration avec Mia Fey, une avocate de renom. Mais très vite, de par la tournure des événements, il sera alors livré à lui-même pour obtenir l’acquittement de ses clients.
Chaque affaire représente une enquête à part entière et la première affaire des trois épisodes sert de didacticiel. Il s’avère également que le déroulement sera identique à chaque fois : découvrir le client à défendre, se rendre sur les lieux du crime pour récupérer des indices, puis enfin, parvenir à obtenir un verdict “non coupable” lors du procès au tribunal.
Pour atteindre votre objectif, il faudra obtenir des preuves tangibles et irréfutables prouvant l’innocence de votre client. Pour cela, lors des moments sur les lieux des crimes, vous aurez la possibilité de discuter avec des personnages hauts en couleurs pour découvrir plus en détails la tournure des événements passés. Vous pourrez également analyser l’environnement pour récolter des indices physiques et d’autres informations. Chaque dialogue vous apportera son lot d’informations pour vous aider, en plus des indices, à prêcher le vrai du faux sur toutes les affaires.
Toutes ces pièces à conviction récoltées, vous serez alors en mesure de vous confronter aux procureurs. Pour cela, la mécanique sera toujours la même. Vous écouterez dans un premier temps le témoignage des témoins, pour ensuite faire votre contre interrogatoire. Et c’est dans cette phase là que vous devrez alors déceler les contradictions et présenter les preuves pour appuyer votre OBJECTION ! Interjection la plus symbolique de la licence.
Les différences notables entre les trois épisodes, au-delà des cas auxquels vous serez confrontés, vont porter sur les personnages, les méthodes d’investigations et les confrontations/dialogues. Toutes les affaires vont créer une opposition entre la défense (vous) et la partie adverse, à savoir le procureur d'état. Et chaque épisode aura son procureur attitré. Il s’agira respectivement de Miles Edgeworth (Benjamin Hunter en français), Franziska von Karma et Godot. Ces trois différents procureurs seront vos rivaux les plus tenaces et ils mettront chacun les nerfs de notre avocat à rude épreuve, chacun à leur manière.
L’autre point de différence entre le premier épisode et les autres porte sur les dialogues. Dans Ace Attorney, vous pouvez discuter tout naturellement de tous les sujets avec tout le monde. Mais à partir de Justice for All, des verrous psychés font leur apparition. Cela indique un certain blocage du personnage concerné à discuter d’un certain sujet. Il est alors nécessaire de présenter des preuves lors de la discussion pour casser les verrous. Procédé similaire aux phases de tribunal dans l’idée.
Dernière différence, également intégrée à partir du deuxième opus, le fait de pouvoir présenter des profils de personnes, en plus d’objets, en cas de contradictions. Cet ajout apporte plus de difficulté dans les phases de déblocages de verrous et contre interrogatoire, car le panel de choix des preuves se retrouve agrandit considérablement.
Une barre de vie est présente lors des phases au tribunal et de déverrouillage des verrous psychés. Celle-ci descend au fur à mesure que l’on se trompe d’indice présenté. Ceci a pour effet principal d’éviter de montrer des pièces à tout va, sans prendre le temps de réfléchir un instant avant d’agir. Bien évidemment, une fois cette barre vide, le verdict “coupable” sera automatiquement appliqué, et vous devrez recommencer l’affaire soit depuis le début, soit depuis la dernière sauvegarde. Car oui, il est possible de sauvegarder et charger une partie à n’importe quel moment du jeu.
Avec 14 affaires à résoudre, ce ne sont pas moins de 50h de jeu qui vous attendent, chaque affaire prenant entre 3 et 5h, car plus ou moins longues. Les intrigues de chaque cas étant plus folles les unes que les autres et avec tout autant de rebondissements, impossible de s’ennuyer. D’autant plus que le fait d’alterner entre les phases d’enquête et de tribunal permet d’éviter un ennui quelconque. Et les nouveautés intégrées à partir de l’épisode 2 comme évoqué précédemment, apportent des fonctionnalités très bienvenues pour permettre d’autant plus de possibilités et de réflexion.
Note : 5/5
Aspect technique du jeu
Prends ca !
Tel un visual novel qu’est un jeu Phoenix Wright, la base même de cette trilogie repose sur son ambiance sonore et la richesse de ses textes. Et autant dire qu’avec ces deux aspects, l’immersion est franchement réussie !
La qualité d’écriture est de très bonne facture sur l’ensemble de la trilogie. Chaque personnage est parfaitement représenté, car chacun possède un phrasé particulier et unique, ce qui leur attribue à tous une personnalité différente. Les animations et les différentes gestuelles sont très minimalistes, c’est donc par les mots que nous pouvons facilement reconnaître l’ensemble des protagonistes.
Les sons et les musiques apportent un énorme plus à l’identification des personnages. Et c’est surtout cet aspect technique qui permet de leur attribuer un caractère unique, en passant d’une musique avec un ton festif à un ton grave, tout en passant par des sonorités plus standards et joviales. Le tout fait qu’il est alors possible d’emblée de savoir à quel profil de personne nous allons parler.
Le son à également toute son importance ici pour l’ambiance globale ainsi que pour la lecture. La musique pourra très bien être tout à fait normale et l’ambiance du jeu détendue. Et dès que l’atmosphère devient tendue et plus grave, la musique s'adapte en conséquence et nous le fait ressentir de manière efficace.
Lors des phases de dialogues également, le son apporte une ponctuation très importante. Etant donné que c’est un jeu sans aucun doublage, le bruitage des lettres apparaissant à l’écran donne le tempo pour l’apparition des textes. Un personnage surexcité : un flot de mots trop rapide pour être lisible correctement. A l’inverse, un personnage timide ou stressé : la vitesse d’écriture sera alors ralentie. Cette sonorité correspond parfaitement au style visual novel car il correspond au bruit d'une machine à écrire électronique.
Mais là où le bât blesse, c’est au niveau de la langue du jeu. Pour ceux que la langue de Shakespeare dérange, sachez que l’ensemble de la trilogie est totalement en anglais. Aucune option n’est disponible à l’heure qu’il est pour changer le langage. Courant août 2019, un patch sera déployé pour palier à cela et avoir la possibilité de mettre le jeu en français. Mais ce qui est le plus dommageable dans ce cas précis, c’est qu’initialement, les trois jeux avaient été distribués sur Nintendo DS d’office en français à leur sortie en 2006… L'incompréhension est totale quant à comprendre le choix de Capcom de ne pas avoir intégré la langue française dans cette trilogie !
Niveau graphique, rien de transcendant ici. Tout a été retravaillé pour être mis au niveau pour la PS4, mais globalement, nous avons l’impression d’être dans un manga tant les traits des décors et des personnages y font penser. Comme dit un peu plus haut, très peu d’animations sont présentes. Tous les décors sont totalement figés. Seuls les personnages sont animés de temps à autres avec une certaine gestuelle propre à chacun là aussi.
Tel un visual novel qu’est un jeu Phoenix Wright, la base même de cette trilogie repose sur son ambiance sonore et la richesse de ses textes. Et autant dire qu’avec ces deux aspects, l’immersion est franchement réussie !
La qualité d’écriture est de très bonne facture sur l’ensemble de la trilogie. Chaque personnage est parfaitement représenté, car chacun possède un phrasé particulier et unique, ce qui leur attribue à tous une personnalité différente. Les animations et les différentes gestuelles sont très minimalistes, c’est donc par les mots que nous pouvons facilement reconnaître l’ensemble des protagonistes.
Les sons et les musiques apportent un énorme plus à l’identification des personnages. Et c’est surtout cet aspect technique qui permet de leur attribuer un caractère unique, en passant d’une musique avec un ton festif à un ton grave, tout en passant par des sonorités plus standards et joviales. Le tout fait qu’il est alors possible d’emblée de savoir à quel profil de personne nous allons parler.
Le son à également toute son importance ici pour l’ambiance globale ainsi que pour la lecture. La musique pourra très bien être tout à fait normale et l’ambiance du jeu détendue. Et dès que l’atmosphère devient tendue et plus grave, la musique s'adapte en conséquence et nous le fait ressentir de manière efficace.
Lors des phases de dialogues également, le son apporte une ponctuation très importante. Etant donné que c’est un jeu sans aucun doublage, le bruitage des lettres apparaissant à l’écran donne le tempo pour l’apparition des textes. Un personnage surexcité : un flot de mots trop rapide pour être lisible correctement. A l’inverse, un personnage timide ou stressé : la vitesse d’écriture sera alors ralentie. Cette sonorité correspond parfaitement au style visual novel car il correspond au bruit d'une machine à écrire électronique.
Mais là où le bât blesse, c’est au niveau de la langue du jeu. Pour ceux que la langue de Shakespeare dérange, sachez que l’ensemble de la trilogie est totalement en anglais. Aucune option n’est disponible à l’heure qu’il est pour changer le langage. Courant août 2019, un patch sera déployé pour palier à cela et avoir la possibilité de mettre le jeu en français. Mais ce qui est le plus dommageable dans ce cas précis, c’est qu’initialement, les trois jeux avaient été distribués sur Nintendo DS d’office en français à leur sortie en 2006… L'incompréhension est totale quant à comprendre le choix de Capcom de ne pas avoir intégré la langue française dans cette trilogie !
Niveau graphique, rien de transcendant ici. Tout a été retravaillé pour être mis au niveau pour la PS4, mais globalement, nous avons l’impression d’être dans un manga tant les traits des décors et des personnages y font penser. Comme dit un peu plus haut, très peu d’animations sont présentes. Tous les décors sont totalement figés. Seuls les personnages sont animés de temps à autres avec une certaine gestuelle propre à chacun là aussi.
Note : 3/5
Plaisir à jouer et à rejouer
Un instant !
Tous les clients que nous défendons dans le jeu, peu importe l’affaire, ont tous le même défaut : ils sont dans une situation d’accusé que personne ne veut représenter car ce sont des cas désespérés avec une impossibilité d’acquittement flagrante, tant tout les incrimine d’office.
Par conséquent, tout le plaisir du jeu de cette trilogie se situe indéniablement dans le fait d’avancer dans les enquêtes pour obtenir l’acquittement de nos clients avec un énorme soulagement. Et même si l’on comprend aisément que nous avons affaire à des cas perdus d’avance, on découvre avec étonnement chaque retournement de situation. Car c’est l’une des dominantes du jeu : l'inattendu. Plus on avance, et plus on découvre les morceaux d’un puzzle final bien souvent hallucinant et très loin des postulats de départ.
Ce qui donne également un plaisir dans le jeu est que chaque histoire est quelque peu liée aux autres. Nous retrouvons souvent les mêmes personnages mais dans d’autres conditions. Et en résolvant les affaires une à une, on perçoit très facilement les liens qui sont fait et ceux qui se créent au fur et à mesure entre chaque personnage. Il est donc assez important de résoudre les affaires les unes après les autres, au risque de ne pas comprendre les différentes allusions qui peuvent être faites.
Néanmoins, et il est bien évident qu’une fois la trilogie terminé, il ne sera pas intéressant de recommencer les jeux. Pour la simple et bonne raison que l’on connaît alors tous les tenants et aboutissants de chaque affaire et qu’il n’y aura plus aucun effet de surprise et/ou découverte.
Tous les clients que nous défendons dans le jeu, peu importe l’affaire, ont tous le même défaut : ils sont dans une situation d’accusé que personne ne veut représenter car ce sont des cas désespérés avec une impossibilité d’acquittement flagrante, tant tout les incrimine d’office.
Par conséquent, tout le plaisir du jeu de cette trilogie se situe indéniablement dans le fait d’avancer dans les enquêtes pour obtenir l’acquittement de nos clients avec un énorme soulagement. Et même si l’on comprend aisément que nous avons affaire à des cas perdus d’avance, on découvre avec étonnement chaque retournement de situation. Car c’est l’une des dominantes du jeu : l'inattendu. Plus on avance, et plus on découvre les morceaux d’un puzzle final bien souvent hallucinant et très loin des postulats de départ.
Ce qui donne également un plaisir dans le jeu est que chaque histoire est quelque peu liée aux autres. Nous retrouvons souvent les mêmes personnages mais dans d’autres conditions. Et en résolvant les affaires une à une, on perçoit très facilement les liens qui sont fait et ceux qui se créent au fur et à mesure entre chaque personnage. Il est donc assez important de résoudre les affaires les unes après les autres, au risque de ne pas comprendre les différentes allusions qui peuvent être faites.
Néanmoins, et il est bien évident qu’une fois la trilogie terminé, il ne sera pas intéressant de recommencer les jeux. Pour la simple et bonne raison que l’on connaît alors tous les tenants et aboutissants de chaque affaire et qu’il n’y aura plus aucun effet de surprise et/ou découverte.
Note : 4/5
Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%
Objection !
Pour la trilogie, un seul platine sera à débloquer. L’ensemble des trophées à récupérer sont répartis sur les trois jeux. Et rien d’insurmontable pour le coup. La majeur partie d’entre eux tomberont sans sourciller, car pour chaque affaire terminée, un trophée sera à vous en guise de récompense.
Un très faible nombre d’entre eux peuvent être manqués et pourraient vous obliger à relancer une affaire à zéro. Mais dans ces cas-là, le défilement accéléré des textes (en restant appuyé sur (O)) vous facilitera grandement la tâche pour parvenir à vos fins assez rapidement. Pour le reste, en jouant naturellement à la recherche des indices et en écoutant tout ce que les différents personnages auront à vous à dire, les trophées seront vôtres sans trop forcer. Mais en cas de difficulté, il suffit de regarder le descriptif des trophées. D'un simple coup d’œil, on sait aisément où et comment en débloquer une majeur partie.
Seul un trophée saurait poser problème : Ladders Vs. Step-Ladders. Celui-ci est un fil rouge sur toute la trilogie et nécessite, lors des phases d’investigations, d’analyser les décors et en particulier des échelles (ou escabeaux...). Plusieurs sont disséminés à travers les affaires, vous devrez alors les observer pour déclencher des discussions à leurs propos.
En somme, la liste des trophées est cohérente avec le jeu et son déroulement. Aucun trophée n’a été ajouté pour faire gonfler le temps de jeu, qui est tout de même, il faut l'avouer, déjà très conséquent pour un jeu de cet acabit.
Pour la trilogie, un seul platine sera à débloquer. L’ensemble des trophées à récupérer sont répartis sur les trois jeux. Et rien d’insurmontable pour le coup. La majeur partie d’entre eux tomberont sans sourciller, car pour chaque affaire terminée, un trophée sera à vous en guise de récompense.
Un très faible nombre d’entre eux peuvent être manqués et pourraient vous obliger à relancer une affaire à zéro. Mais dans ces cas-là, le défilement accéléré des textes (en restant appuyé sur (O)) vous facilitera grandement la tâche pour parvenir à vos fins assez rapidement. Pour le reste, en jouant naturellement à la recherche des indices et en écoutant tout ce que les différents personnages auront à vous à dire, les trophées seront vôtres sans trop forcer. Mais en cas de difficulté, il suffit de regarder le descriptif des trophées. D'un simple coup d’œil, on sait aisément où et comment en débloquer une majeur partie.
Seul un trophée saurait poser problème : Ladders Vs. Step-Ladders. Celui-ci est un fil rouge sur toute la trilogie et nécessite, lors des phases d’investigations, d’analyser les décors et en particulier des échelles (ou escabeaux...). Plusieurs sont disséminés à travers les affaires, vous devrez alors les observer pour déclencher des discussions à leurs propos.
En somme, la liste des trophées est cohérente avec le jeu et son déroulement. Aucun trophée n’a été ajouté pour faire gonfler le temps de jeu, qui est tout de même, il faut l'avouer, déjà très conséquent pour un jeu de cet acabit.
Note : 5/5
Conclusion
Capcom nous livre ici une excellente trilogie ayant fait fureur à sa sortie. Retrouver l'ambiance et tous les personnages de la série sur grand écran plaira à coup sûr aux fans et aux non-initiés. Avec un platine des plus abordables, même si un peu long, rien ne pourra vous empêcher de vous jeter dessus. Encore moins, une fois que le patch pour mettre le jeu en français sera sorti au mois d'août.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
17
Je recommande ce jeu : À tous, Aux fans de la série, Aux chasseurs de trophées/platine facile
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