En Faélie, les jeunes Royaumes d'Amalur sont en guerre contre les Tuathas, des êtres "immortels", revenant à la vie à chaque mort. Face à ce cruel désavantage, certains chercheurs tentent d'accomplir l'impossible : vaincre la mort. Après des années de recherche infructueuses, vous vous réveillez au milieu de cadavres, preuve que le fruit des recherches, le Puit des Âmes, fonctionne. Et il fonctionne mieux que prévu puisque vous semblez être doté d'un pouvoir extraordinaire, celui de contrôler votre destinée. Mais ce genre de pouvoir ne plait pas aux Tuathas qui vont entamer une chasse à l'homme à votre encontre.
Sorti en 2012 notamment sur PlayStation 3, Les Royaumes d'Amalur : Reckoning était un RPG développé par 38 Studios et devait à l'origine être la première pierre menant à un MMORPG qui se passerait dans l'univers du jeu. Malheureusement, les ambitions du monde d'Amalur furent stoppées net suite à la faillite du studio. Il y a deux ans, en 2018, THQ Nordic, (r)acheteur compulsif devant l'éternel, se paya la licence (auprès d'Electronic Arts). Un rachat sans suite ? Et bien deux ans plus tard nous voilà avec entre les mains un remaster du jeu dont le but est sans doute de relancer la licence avant d'envisager une suite, mais aussi un nouveau DLC prévu l'année prochaine. Retour gagnant pour la licence ? C'est ce que nous allons voir.
Kingdoms of Amalur : Re-Reckoning
ps4
1
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61
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Infos complémentaires
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Date de sortie : 08/09/2020
Genre(s) : RPG
Territoire(s) : FRANCE
2064 joueurs possèdent ce jeu
Genre(s) : RPG
Territoire(s) : FRANCE
2064 joueurs possèdent ce jeu
69 trophées au total
0 trophée online
1 DLC
Platiné par : 281 joueurs (14 %)
100% par : 39 joueurs (2 %)
Note des joueurs :
4.4/5 - 17 notes
Note des platineurs :
4.4/5 - 13 notes
Test rédigé par DarkCid le 18-09-2020 - Modifié le 12-10-2020
Contenu du jeu
Choisis ton destin
Avant même que le jeu commence vraiment, il faudra passer par la traditionnelle case de création de personnage. Traditionnelle ? Et bien oui, dans un MMORPG, c'est la tradition. Amalur n'est certes pas un jeu online, mais il en emprunte tous les codes au point de pouvoir facilement pouvoir se décrire comme un "MMO offline solo". Ce point posé, vous devrez créer votre personnage donc. Vous avez le choix de la race et du sexe, ce qui n'aura pour ainsi dire aucun impact sur le jeu (même si chaque race offre quelques points de compétence dans certaines compétences particulière, ce qui peut vous permettre de faire votre premier choix). Les possibilités ne sont pas très avancées et se limitent globalement à votre tête, mais il y a quand même de quoi faire.
Vient ensuite votre première mission, faisant office de tuto et vous présentant d'emblée toutes vos possibilités en terme d'attaque afin de vite vous faire une idée du style de jeu qui vous plaît le plus. Car c'est bien l'un des points forts du jeu, vous permettre de personnaliser votre expérience à la volée. Vous pourrez ainsi aisément choisir la voie du guerrier et basculer vers le mage ou le voleur. Rien n'est gravé dans le marbre et toutes vos compétences peuvent être modifiées très facilement en vous rendant chez un Tisseur du Destin. En parlant de compétences, un petit mot sur le sujet. Vous disposez de neuf compétences vous permettant de vous spécialiser dans le crochetage, la fabrication d'armures, etc. Ensuite, vos capacités quant à elle se divisent en trois branches : Guerrier, Magicien et Voleur. À chaque niveau gagné, à vous d'attribuer vos points de compétences et de capacités comme bon vous semble.
À l'aventure, compagnon !
Assez parlé de vous, parlons à présent du monde que vous allez parcourir : la Faelie. Divisée en sept régions (elle-mêmes divisées en petites zones), votre environnement est très vaste et même en le parcourant en ligne droite (sans vous soucier des quêtes), il vous faudra pas mal d'heures pour tout explorer. Surtout que ce monde est très mal fréquenté, pullulant d'ennemis en tout genre. Si croiser le fer sera votre activité principale, vous aurez aussi un lot de quêtes plus que conséquent, à savoir deux bonnes centaines. Avec une telle quantité, on n'échappe pas à quelques quêtes sans intérêt du genre va là-bas et reviens. Mais quand on prend le temps d'apprécier l'histoire du jeu, la plupart de ces quêtes sont plutôt intéressantes et relativement bien écrites, et souvent liées entre elles au sein d'une même zone.
Concernant l'histoire principale, on ne va pas se mentir, on a vu mieux niveau intérêt qui se limite à savoir comment votre personnage est mort et tuer le chef ennemi. Si on y prend plaisir vers la fin, 95% du jeu sera porté par les activités annexes, en particulier les quêtes de factions, des séries de missions scénarisées explorant l'un des groupes d'Amalur. Accomplir ces missions sera beaucoup plus intéressant et il est presque dommage qu'elles ne soient pas plus nombreuses. Mais vous en aurez pour votre argent avec entre 80 et 100 heures de jeu selon votre façon de jouer (on y reviendra plus tard mais spoiler alerte, ne jouez surtout pas en facile). Sachant que le jeu inclus de base les deux DLCs qui étaient sortis à l'époque (encore heureux vous me direz) : La légende de Kel le mort et Les Dents de Narros, chacun ajoutant une petite dizaine d'heures de jeu, des DLCs que je classe encore aujourd'hui dans le top des contenus additionnels de très bonne qualité.
Avant même que le jeu commence vraiment, il faudra passer par la traditionnelle case de création de personnage. Traditionnelle ? Et bien oui, dans un MMORPG, c'est la tradition. Amalur n'est certes pas un jeu online, mais il en emprunte tous les codes au point de pouvoir facilement pouvoir se décrire comme un "MMO offline solo". Ce point posé, vous devrez créer votre personnage donc. Vous avez le choix de la race et du sexe, ce qui n'aura pour ainsi dire aucun impact sur le jeu (même si chaque race offre quelques points de compétence dans certaines compétences particulière, ce qui peut vous permettre de faire votre premier choix). Les possibilités ne sont pas très avancées et se limitent globalement à votre tête, mais il y a quand même de quoi faire.
Vient ensuite votre première mission, faisant office de tuto et vous présentant d'emblée toutes vos possibilités en terme d'attaque afin de vite vous faire une idée du style de jeu qui vous plaît le plus. Car c'est bien l'un des points forts du jeu, vous permettre de personnaliser votre expérience à la volée. Vous pourrez ainsi aisément choisir la voie du guerrier et basculer vers le mage ou le voleur. Rien n'est gravé dans le marbre et toutes vos compétences peuvent être modifiées très facilement en vous rendant chez un Tisseur du Destin. En parlant de compétences, un petit mot sur le sujet. Vous disposez de neuf compétences vous permettant de vous spécialiser dans le crochetage, la fabrication d'armures, etc. Ensuite, vos capacités quant à elle se divisent en trois branches : Guerrier, Magicien et Voleur. À chaque niveau gagné, à vous d'attribuer vos points de compétences et de capacités comme bon vous semble.
À l'aventure, compagnon !
Assez parlé de vous, parlons à présent du monde que vous allez parcourir : la Faelie. Divisée en sept régions (elle-mêmes divisées en petites zones), votre environnement est très vaste et même en le parcourant en ligne droite (sans vous soucier des quêtes), il vous faudra pas mal d'heures pour tout explorer. Surtout que ce monde est très mal fréquenté, pullulant d'ennemis en tout genre. Si croiser le fer sera votre activité principale, vous aurez aussi un lot de quêtes plus que conséquent, à savoir deux bonnes centaines. Avec une telle quantité, on n'échappe pas à quelques quêtes sans intérêt du genre va là-bas et reviens. Mais quand on prend le temps d'apprécier l'histoire du jeu, la plupart de ces quêtes sont plutôt intéressantes et relativement bien écrites, et souvent liées entre elles au sein d'une même zone.
Concernant l'histoire principale, on ne va pas se mentir, on a vu mieux niveau intérêt qui se limite à savoir comment votre personnage est mort et tuer le chef ennemi. Si on y prend plaisir vers la fin, 95% du jeu sera porté par les activités annexes, en particulier les quêtes de factions, des séries de missions scénarisées explorant l'un des groupes d'Amalur. Accomplir ces missions sera beaucoup plus intéressant et il est presque dommage qu'elles ne soient pas plus nombreuses. Mais vous en aurez pour votre argent avec entre 80 et 100 heures de jeu selon votre façon de jouer (on y reviendra plus tard mais spoiler alerte, ne jouez surtout pas en facile). Sachant que le jeu inclus de base les deux DLCs qui étaient sortis à l'époque (encore heureux vous me direz) : La légende de Kel le mort et Les Dents de Narros, chacun ajoutant une petite dizaine d'heures de jeu, des DLCs que je classe encore aujourd'hui dans le top des contenus additionnels de très bonne qualité.
Note : 5/5
Aspect technique du jeu
Un jeu qui tient encore la route, mais...
Huit ans après sa sortie, Amalur est-il encore un bon jeu ? Pour faire court, oui. Les combats sont toujours aussi efficaces. La palette de compétences et de capacités permet d'avoir des combats assez nerveux et pouvant évoluer selon vos envies. J'ai personnellement opté pour un combo guerrier-mage me permettant de passer de l'un à l'autre selon les événements. Vous avez aussi comme outil de personnalisation vos destinées. Celles-ci sont présentées sous forme de cartes qui se débloquent selon les points que vous attribuez aux arbres du guerrier, du mage et du voleur. Chacune vous offre des bonus intéressants et pouvant radicalement changer l'issue d'un combat.
La bande-son est toujours assez agréable. Certes pas très variée, elle est suffisamment discrète pour qu'on ne s'en lasse pas. Le jeu est intégralement traduit en français jusque dans les doublages de relativement bonne facture. On notera tout de même certaines voix qui reviennent plusieurs fois, mais vu le nombre de PNJ avec lesquels vous interagissez, il n'y pas vraiment de quoi crier au scandale (bien moins en tout cas que lorsque vous entendez trois personnages avec la même voix dans un animé de 12 épisodes).
Remaster ? Vraiment ?
Ce n'est pas mon premier rodéo, pourtant l'exercice est toujours aussi compliqué : comment noter l'aspect technique de ce genre de titre ? Il a quand même huit ans le bougre, cela serait peut-être trop injuste de le juger au même titre que des jeux récents... ou pas. On ne va pas se mentir, ce n'est pas non plus du retro-gaming, il s'agit d'une nouvelle sortie malgré tout et de part son titre, le jeu se vente d'être remasterisé, alors il devra supporter d'être noté en tant que tel et non en tant que simple portage. Et c'est pourtant bien ce qu'il est car graphiquement, rien n'a changé. Le jeu est loin d'être vilain, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas écris, mais il ne faut pas passer beaucoup de temps pour se rendre compte que ce remaster sur le plan technique est d'une fainéantise exemplaire. Non seulement les graphismes n'ont pas bougé d'un poil, mais le jeu comporte toujours pas mal de bugs qui auraient pu être corrigés ou manque d'améliorations qui auraient été appréciables.
Niveau bug, je tiens à dire que ce test a commencé avant les premiers patchs, mais ceux-ci n'ont fait que baisser la fréquence des bugs, pas les supprimer. Je parle notamment de crash de jeu à répétition ou de clignotements désagréables (soit des cadavres qui clignotent, soit carrément des moitiés d’écran clignotant en blanc). Pour ce qui est des améliorations, l'interface des menus aurait pu être revue certes, mais alors que des consoles nouvelle génération commencent à se montrer en promettant la fin des temps de chargement, quelle déception d'avoir un jeu comme celui-ci qui lance des chargements pouvant aller jusqu'à la minute alors que vous entrez ou sortez d'une maison !
Huit ans après sa sortie, Amalur est-il encore un bon jeu ? Pour faire court, oui. Les combats sont toujours aussi efficaces. La palette de compétences et de capacités permet d'avoir des combats assez nerveux et pouvant évoluer selon vos envies. J'ai personnellement opté pour un combo guerrier-mage me permettant de passer de l'un à l'autre selon les événements. Vous avez aussi comme outil de personnalisation vos destinées. Celles-ci sont présentées sous forme de cartes qui se débloquent selon les points que vous attribuez aux arbres du guerrier, du mage et du voleur. Chacune vous offre des bonus intéressants et pouvant radicalement changer l'issue d'un combat.
La bande-son est toujours assez agréable. Certes pas très variée, elle est suffisamment discrète pour qu'on ne s'en lasse pas. Le jeu est intégralement traduit en français jusque dans les doublages de relativement bonne facture. On notera tout de même certaines voix qui reviennent plusieurs fois, mais vu le nombre de PNJ avec lesquels vous interagissez, il n'y pas vraiment de quoi crier au scandale (bien moins en tout cas que lorsque vous entendez trois personnages avec la même voix dans un animé de 12 épisodes).
Remaster ? Vraiment ?
Ce n'est pas mon premier rodéo, pourtant l'exercice est toujours aussi compliqué : comment noter l'aspect technique de ce genre de titre ? Il a quand même huit ans le bougre, cela serait peut-être trop injuste de le juger au même titre que des jeux récents... ou pas. On ne va pas se mentir, ce n'est pas non plus du retro-gaming, il s'agit d'une nouvelle sortie malgré tout et de part son titre, le jeu se vente d'être remasterisé, alors il devra supporter d'être noté en tant que tel et non en tant que simple portage. Et c'est pourtant bien ce qu'il est car graphiquement, rien n'a changé. Le jeu est loin d'être vilain, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas écris, mais il ne faut pas passer beaucoup de temps pour se rendre compte que ce remaster sur le plan technique est d'une fainéantise exemplaire. Non seulement les graphismes n'ont pas bougé d'un poil, mais le jeu comporte toujours pas mal de bugs qui auraient pu être corrigés ou manque d'améliorations qui auraient été appréciables.
Niveau bug, je tiens à dire que ce test a commencé avant les premiers patchs, mais ceux-ci n'ont fait que baisser la fréquence des bugs, pas les supprimer. Je parle notamment de crash de jeu à répétition ou de clignotements désagréables (soit des cadavres qui clignotent, soit carrément des moitiés d’écran clignotant en blanc). Pour ce qui est des améliorations, l'interface des menus aurait pu être revue certes, mais alors que des consoles nouvelle génération commencent à se montrer en promettant la fin des temps de chargement, quelle déception d'avoir un jeu comme celui-ci qui lance des chargements pouvant aller jusqu'à la minute alors que vous entrez ou sortez d'une maison !
Note : 2/5
Plaisir à jouer et à rejouer
Une odyssée mémorable
Je sais que je ne vous ai pas envoyé du rêve avec ce bilan technique, mais ne partez pas tout de suite, le jeu a malgré tout beaucoup à offrir. Tout d'abord, je reviens sur la personnalisation de votre aventure qui est le gros atout du jeu. Au-delà du style de jeu, vous aurez la possibilité de personnaliser l'ensemble de votre équipement en investissant dans les compétences d'armurier et de sage afin de créer des armes, des armures et des gemmes. Chaque composant se fabrique via cinq éléments, chacun pouvant avoir un effet spécial. Pourquoi ne pas créer une arme de feu qui vous régénère de la vie et qui empoisonne l'ennemi par exemple ? Concernant les armes, vous avez une dizaine de types (épée longue, espadon, dagues, etc) et vous pouvez en avoir deux en même temps afin d'en changer à la volée en plein combat. Certaines armes sont particulièrement grisantes, mon affection allant aux chakrams, deux disques "boomerang" pouvant faire le ménage dans un groupe d'ennemis et disposant de combos particulièrement efficaces.
Vous aurez aussi pendant l'aventure l'occasion de vous offrir des résidences personnelles que vous pourrez améliorer, notamment avec les différents ateliers de création (forge, atelier de sage pour les gemmes et atelier d'alchimie pour les potions). Cela fait toujours plaisir. Mais malgré tout, au bout d'un certain temps, on regrette l'absence d'autres éléments, comme les montures par exemple. On ne va pas se le cacher, le jeu a du mal à garder notre intérêt tout au long de cette centaine d'heure et l'ennui fini tôt ou tard par pointer le bout de son nez. Et la difficulté va jouer son rôle dans tout cela. S'il faut jouer en difficile pour le platine, cela est plus que conseillé pour les non chasseurs également. Une fois un haut niveau atteint et muni d'un équipement de bonne qualité, même en difficile on finit par rouler sur tout le jeu. Cela prend pas mal de temps certes, mais à la fin je n'utilisais plus de soin car mon équipement me fournissait tellement de défense et de régénération que les ennemis n'arrivaient plus à me blesser durablement. Alors en facile ou normal, je ne vous raconte même pas, vous ne tiendrez jamais jusqu'au bout sans vous ennuyer ferme. À fuir comme la peste !
Je sais que je ne vous ai pas envoyé du rêve avec ce bilan technique, mais ne partez pas tout de suite, le jeu a malgré tout beaucoup à offrir. Tout d'abord, je reviens sur la personnalisation de votre aventure qui est le gros atout du jeu. Au-delà du style de jeu, vous aurez la possibilité de personnaliser l'ensemble de votre équipement en investissant dans les compétences d'armurier et de sage afin de créer des armes, des armures et des gemmes. Chaque composant se fabrique via cinq éléments, chacun pouvant avoir un effet spécial. Pourquoi ne pas créer une arme de feu qui vous régénère de la vie et qui empoisonne l'ennemi par exemple ? Concernant les armes, vous avez une dizaine de types (épée longue, espadon, dagues, etc) et vous pouvez en avoir deux en même temps afin d'en changer à la volée en plein combat. Certaines armes sont particulièrement grisantes, mon affection allant aux chakrams, deux disques "boomerang" pouvant faire le ménage dans un groupe d'ennemis et disposant de combos particulièrement efficaces.
Vous aurez aussi pendant l'aventure l'occasion de vous offrir des résidences personnelles que vous pourrez améliorer, notamment avec les différents ateliers de création (forge, atelier de sage pour les gemmes et atelier d'alchimie pour les potions). Cela fait toujours plaisir. Mais malgré tout, au bout d'un certain temps, on regrette l'absence d'autres éléments, comme les montures par exemple. On ne va pas se le cacher, le jeu a du mal à garder notre intérêt tout au long de cette centaine d'heure et l'ennui fini tôt ou tard par pointer le bout de son nez. Et la difficulté va jouer son rôle dans tout cela. S'il faut jouer en difficile pour le platine, cela est plus que conseillé pour les non chasseurs également. Une fois un haut niveau atteint et muni d'un équipement de bonne qualité, même en difficile on finit par rouler sur tout le jeu. Cela prend pas mal de temps certes, mais à la fin je n'utilisais plus de soin car mon équipement me fournissait tellement de défense et de régénération que les ennemis n'arrivaient plus à me blesser durablement. Alors en facile ou normal, je ne vous raconte même pas, vous ne tiendrez jamais jusqu'au bout sans vous ennuyer ferme. À fuir comme la peste !
Note : 4/5
Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%
Et la chasse dans tout ça ?
Finissons ce test par nos petits trophées adorés. Au nombre de 62, les trophées d'Amalur ratissent très large en terme d'activité et c'est un très bon point. Il faudra littéralement être un touche-à-tout pour en venir à bout. Vous devrez à la fois être un bon voleur (crochetage de coffres, méfaits, évasion), un bon guerrier (parade, contre-attaque) et un bon mage (dissipation, morts par magie). La plupart de vos neuf compétences feront l'objet d'au moins un trophée, et c'est un très bon point car cela permet justement de vous faire tester certains aspects du jeu vers lesquels vous ne seriez pas forcément allés. Vous aurez aussi quelques trophées plutôt amusants, comme devoir parler à quelqu'un en étant "à poil".
Niveau trophées histoire, il y en a finalement assez peu, seulement cinq. Mais ce n'est pas plus mal, cela permet de varier les choses à faire. Il faut noter que la liste diffère légèrement de la version PS3 puisque incluant les trophées des deux DLCs qui n'en sont donc plus.
Je retire tout de même un point à cette liste à cause de plusieurs trophées pouvant être manqués. Surtout que certains ne sont même pas ponctuels mais sur la durée, et même la très grosse durée comme Pouvoir de persuasion qui si raté, vous demandera une partie d'au moins trente heures pour être refait puisqu'il s'agit là d'utiliser et réussir une option de dialogue se présentant pendant certaines quêtes (donc grossièrement résumé, il faudrait refaire dans les 70 quêtes pour ce trophée). Ces trophées sont heureusement assez simples à obtenir quand on les a en tête, mais tout de même, vu la durée de vie du jeu, en rater un seul transformera votre aventure en cauchemar.
Finissons ce test par nos petits trophées adorés. Au nombre de 62, les trophées d'Amalur ratissent très large en terme d'activité et c'est un très bon point. Il faudra littéralement être un touche-à-tout pour en venir à bout. Vous devrez à la fois être un bon voleur (crochetage de coffres, méfaits, évasion), un bon guerrier (parade, contre-attaque) et un bon mage (dissipation, morts par magie). La plupart de vos neuf compétences feront l'objet d'au moins un trophée, et c'est un très bon point car cela permet justement de vous faire tester certains aspects du jeu vers lesquels vous ne seriez pas forcément allés. Vous aurez aussi quelques trophées plutôt amusants, comme devoir parler à quelqu'un en étant "à poil".
Niveau trophées histoire, il y en a finalement assez peu, seulement cinq. Mais ce n'est pas plus mal, cela permet de varier les choses à faire. Il faut noter que la liste diffère légèrement de la version PS3 puisque incluant les trophées des deux DLCs qui n'en sont donc plus.
Je retire tout de même un point à cette liste à cause de plusieurs trophées pouvant être manqués. Surtout que certains ne sont même pas ponctuels mais sur la durée, et même la très grosse durée comme Pouvoir de persuasion qui si raté, vous demandera une partie d'au moins trente heures pour être refait puisqu'il s'agit là d'utiliser et réussir une option de dialogue se présentant pendant certaines quêtes (donc grossièrement résumé, il faudrait refaire dans les 70 quêtes pour ce trophée). Ces trophées sont heureusement assez simples à obtenir quand on les a en tête, mais tout de même, vu la durée de vie du jeu, en rater un seul transformera votre aventure en cauchemar.
Note : 4/5
Conclusion
Les Royaumes d'Amalur : Re-Reckoning est un remaster ultra paresseux qui aurait mérité un bon coup de polish avant de revenir vers nous. Il n'en reste pas moins qu'il est encore aujourd'hui un jeu digne d'intérêt au contenu immense et à l'aventure prenante. La personnalisation de notre avatar et de facto de notre style de jeu est toujours aussi intéressante. Un jeu qui ravira les joueurs solos ayant toujours eu une attirance pour les univers des MMORPG sans jamais oser sauter le pas.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
15
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DarkCid (Twilight_Angel75)
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