Journey To The Savage Planet

Journey To The Savage Planet est un jeu à la première personne possédant une forte prédominance à l'exploration, ce qui le distingue de ses concurrents. Développé par Typhoon Studios et sorti dans nos contrées le 28 janvier 2020 sur PS4, l'humour omniprésent et incisif envers certains traits de notre société, le tout enrobé par une version française québécoise, confère à ce voyage une saveur particulière que vous ne risquez pas d'oublier. Vous incarnez un explorateur extrêmement banal, doté d'une intelligence tout à fait commune, mais dont la tâche demeure essentielle : trouver une planète suffisamment hospitalière pour devenir une nouvelle Terre, jusqu'à ce qu'elle subisse à son tour les ravages d'une civilisation peu encline à se développer sans préserver la biodiversité.

Ce second DLC, dont le nom est très agréable à nos oreilles, vous permettra d'explorer une nouvelle planète, DL-C1, moins naturelle que la première. Que voulez-vous, l'Homme l'a déjà marquée de son empreinte...

• Étant donné l'oubli de traduction des trophées pour la version PS5, j'ai repris celle de la version PS4.
  
  
• Aucun trophée ne peut être manqué !
  
  
• Le DLC ne sera disponible qu'à partir du moment où vous aurez atteint Le royaume éthéré, troisième et dernier biome de Journey To The Savage Planet. Vous y accèderez via n'importe quel téléporteur.
  
  
• Cette fois-ci, il sera indispensable de remplir l'intégralité du Kindex de DL-C1. À votre scanner !
  
  
• Seul le trophée Walking On Air pourra s'avérer un tantinet pénible et requerra de la dextérité.

Comme précisé ci-dessus, Jewel of the Bargain Bin nécessite de scanner absolument tout ce que propose DL-C1 et Coastal Postal vous demandera de trouver toutes les Cartes postales éparpillées sur votre nouveau terrain de jeu. Exploration, recherche et curiosité seront les mots d'ordre pour être efficace ! De belles vacances en perspective à Boomerdale, vous en avez de la chance ! À moins que tout ne se passe pas comme prévu.




Étant donné la faible quantité de trophées à récolter, la ligne de conduite sera limitée. Dès votre arrivée sous les cocotiers de Boomerdale, faites une nouvelle fois connaissance avec la faune locale par l'intermédiaire d'une énorme baffe pour gagner Part of a Complete Breakfast. La maltraitance des animaux, ça commence à devenir une habitude chez vous. En pénétrant dans les profondeurs de cette nouvelle planète, vous apercevrez des Vapeurs de carburant, vous permettant de léviter quelques secondes grâce aux Propulseurs autonomes. Ce sera l'occasion d’entraîner votre dextérité car il vous faudra en traverser douze sans toucher le sol pour Walking On Air.

Si vous avez mis du cœur à arpenter DL-C1, vous devriez avoir acquis l'ensemble des nouvelles améliorations disponibles avant le boss et ainsi obtenu Power Underwhelming. L'endurance infinie, ça n'a rien de décevant ! Il est temps de montrer à Kronus que c'est Kindred qui possède les droits d'exploiter cette planète et d'en faire un club de vacances huppé pour la haute bourgeoisie terrienne : chasse aux Oiseaux-globes (Tropical), excursion à bord du manoir mobile de Chichi & GoldMussel, etc. Pour le moment, affrontez-le et vainquez-le afin de terminer le DLC et décrocher Kronus: Unplugged. Il vous restera peut-être quelques collectibles à dénicher, et si c'est le cas, je vous invite à vous référer aux trophées correspondants.


Les vacances sont déjà terminées ! Boomerdale est désormais sous le contrôle total de Kindred, et pour vous remercier d'avoir évincé la concurrence, Martin Tweed tient personnellement à vous remettre un petit lopin de terre sur DL-C1, à l'endroit qu'il jugera le plus intéressant (et le moins rentable pour sa société). Ne vous ai-je pas déjà dit qu'il avait le cœur sur la main ?

Je tiens à remercier Typhoon Studios (désormais connu sous Raccoon Logic) pour avoir créé un univers si particulier et coloré, régit par l'humour sarcastique d'E.K.O. et des publicités inoubliables.

Une dernière fois, je ne peux qu'être admiratif devant le sens du sacrifice dont fait preuve Martin Tweed pour rendre le monde meilleur (enfin, surtout le sien).