Heidelberg 1693

ps5

1
5
5
30
13
-

Infos complémentaires

+ -
Date de sortie : 18/11/2022
Genre(s) : Action , Aventure, Indépendant
Territoire(s) : FRANCE

7 joueurs possèdent ce jeu
41 trophées au total
0 trophée online
24 trophées cachés

Platiné par : 1 joueur (14 %)

100% par : 1 joueur (14 %)


Pas de note
des joueurs

Pas de note
des platineurs

Test rédigé par JohnBuckheart le 16-11-2022 - Modifié le 21-11-2022

Introduction

Image

Vous devez accomplir votre devoir de mousquetaire. Louis XIV vous donne un ordre direct, vous n'avez donc pas d'autre choix que de vous y plier, même si cela implique d'anéantir une armée de zombies allemands avec la pointe de votre épée ainsi qu'avec la poudre à canon de votre mousquet. Une idée digne d'un film de série Z qui se trouve être le concept de base d'Heidelberg 1693.

Avec votre trame de fond sur la fin du XVIIème siècle, des morts-vivants à tout va et un décor à feu à sang, les développeurs de chez Andrade Games et Red Art Games vous proposent un titre façon arcade à l'ancienne, s'inspirant grandement de Castlevania IV et de Ghosts 'n'Goblins. Autant vous prévenir que les maîtres-mots de Heidelberg 1693 seront die and retry.

Sorti initialement sur Steam le 21 mai 2021, Heidelberg 1693 débarque sur nos Playstation 4 et 5 ce 18 novembre 2022 à 24,99 euros grâce à Red Art Games qui s'occupe de l'édition (éditeur français s'il vous plaît). À cette occasion, j'ai pu recevoir le jeu quelques jours en avance afin d'y faire mes armes. Maintenant que j'ai le platine en poche, il est temps de rentrer à Versailles et de faire le point sur cette invasion provenant de la ville d'Heidelberg.

Chasseuses et Chasseurs de trophées, nettoyez vos mousquets et ajustez vos couvre-chefs à plume, nous allons parler de Heidelberg 1693.
Contenu du jeu
Un scénario nanardesque :

À dos de cheval, vous êtes de retour à Versailles après une énième mission très certainement couronnée de réussite. Quelle surprise d'être accueilli par diverses créatures mortes-vivantes ne cherchant qu'une chose, vous dévorer. Ni une, ni deux, c'est sans aucune once de peur que vous sortez votre épée pour défourailler les zombies se trouvant entre vous et Louis XIV. Un premier niveau sanglant qui vous servira de tutoriel. Vous y apprendrez les contrôles de votre mousquetaire ainsi que l'utilisation de votre mousquet, une arme à feu très puissante qui a comme malus d'être particulièrement lente à recharger.

Il s'en suivra alors une petite scène cinématique avec des images dessinées à la main. Une belle ambiance que vous retrouverez de temps en temps après avoir terminé un niveau. L'histoire vous y sera contée à l'écrit, accompagnée par ces cinématiques crayonnées. Un scénario qui ne saura pas forcément accrocher tout le monde vu la tournure engagée, mais qui a le mérite d'être original et de surtout de complètement lâcher prise. Les développeurs ont cousu des éléments improbables entre eux : des personnages historiques, le XVIIème siècle, les mousquetaires et les morts-vivants. Tout un thème improbable qui ne sert que de fond très lointain au gameplay du jeu.


L'arcade dans les années 80-90 :

Si vous posez les mains sur Heidelberg 1693 et que vous avez la trentaine/quarantaine, sachez que la nostalgie viendra soupirer son air ancien dans votre cœur. Le titre vous propose une succession de niveaux en 2D avec un air de fausse 3D dans le décor et les personnages. Les morts-vivants sont très nombreux à travers les tableaux où il faudra tenter de se frayer un chemin de gauche à droite.

Les développeurs l'ont dit eux-mêmes, ils ont voulu s'inspirer des jeux d'arcade des années 80-90, façon Konami. Vous marquerez des points en tuant les zombies, vous aurez des multiplicateurs en enchaînant les morts sans prendre de dégâts et surtout, vous serez un mousquetaire assez fragile avec trois pauvres cœurs à surveiller si vous ne souhaitez pas rejoindre l'armée du Roi Lune.

Heureusement, des checkpoints seront disposés ici et là afin de vous permettre de recommencer autant de fois que nécessaire. Ce ne sera pas de trop pour comprendre le pattern des quelques boss se trouvant sur votre chemin. Notez d'ailleurs qu'en mettant pause au cours de la partie, vous pourrez y observer un compteur de morts-vivants éliminés, ainsi que le décompte du nombre mort de votre personnage.

Si vous avancez bien en ligne droite à travers les niveaux, il faut savoir qu'il y a des chemins alternatifs à découvrir, vous permettant de prendre des routes plus courtes vers le boss final, mais clairement plus difficiles à traverser.
Aspect technique du jeu
Un gameplay à l'ancienne :

Malgré la présence des checkpoints à travers les niveaux, le jeu n'en sera pas moins difficile. Les morts-vivants sont nombreux et variés, avec chacun une façon précise de se battre. Il va falloir mourir en boucle pour comprendre comment se comporte chaque ennemi, ce sera ça la vraie clé de votre survie. Certains zombies pourront vous attaquer à travers le décor, des soldats armés de mousquets chercheront à vous toucher à distance, il y a ceux qui lancent des haches en hauteur pour que cela vous retombe dessus en cloche, etc. Un énorme travail a été réalisé sur ce point.

La pire créature de toute, ce sera la tête volante du Roi Lune. Apparaissant régulièrement dans les niveaux, et parfois même en double, il est très compliqué de comprendre son déplacement. La toucher vous fera forcément des dégâts et si vous l'attaquez, elle se téléportera plus loin en vous envoyant des crânes à tête chercheuse. De plus, le Roi Lune a la capacité unique de faire ressusciter les cadavres que vous pourfendez. De quoi largement vous compliquer la tâche. La seule façon d'éviter cette résurrection, c'est de faire exploser les corps de vos victimes au sol à l'aide de votre mousquet. La tête du Roi lune sera pour beaucoup de joueurs, à mon sens, un élément de trop à cause de ses déplacements randoms qui vous poussera à recommencer encore et encore des sections.

Toujours dans l'idée de vous mettre des bâtons dans les roues, vous croiserez quelques boss. Peu nombreux hélas, il ne seront pas marquants pour un sou. Forcément, vous allez mourir quelques fois contre eux le temps de comprendre comment ils agissent, mais une fois le pattern compris, vous saurez où vous placer exactement et quand attaquer. Le gameplay du jeu est très bien pensé dans son avancée à travers les niveaux mais les boss ne vous marqueront aucunement. Surtout que certains n'ont pas de belles animations, notamment Wallenschwein, l'homme à tête de sanglier.


Un faible mousquetaire :

Votre héros, à la façon de marcher propre aux mousquetaires d'antan semble-t-il, se battra essentiellement à l'épée. Une portée assez courte, courant dans ce genre de jeu, qui vous permettra de frapper devant vous ou en vous accroupissant. Il est possible de faire un petit combo en martelant votre attaque. De plus, vous aurez le droit à un double saut où votre personnage effectuera automatiquement un tour sur lui-même avec son épée. Notez cependant que si vous êtes proche d'une plate-forme, l'animation de votre coup s'arrêtera net pour celle où vous grimpez. Attention donc si il y a un zombie plus haut. Ajoutez à tout cela votre mousquet qui permettra d'attaquer de loin mais avec lequel il faudra viser avec précision. Vos munitions ne sont pas illimitées, le temps de recharge de votre arme est extrêmement long et surtout, une fois l'animation de recharge active, vous ne pouvez plus vous arrêter. Il faut donc être bien en sécurité si vous ne voulez pas prendre un coup ennemi.

Un gros plus dans le gameplay de votre personnage, c'est que vous pourrez mettre votre épée vers le bas lorsque vous sautez. Idéal pour pourfendre les ennemis en dessous de vous, surtout que vous croiserez énormément de crânes à tête chercheuse pouvant passer à travers le décor, et donc aussi le sol. Par contre, impossible de donner un coup d'épée vers le haut ou en diagonale. Un angle mort parfois terrible pour la survie de votre personnage, l'attaque tournoyante ne s'effectuant que lors du double saut, soit beaucoup trop tard si on vous fonce dessus par les airs. Et ce n'est pas vos trois petits cœurs qui diront le contraire.

Si vous voulez résister un peu plus contre toute cette armée de morts, vous devrez sauver les demoiselles en détresse perdues dans les niveaux. En les embrassant, vous gagnerez un cœur supplémentaire... qui ne vous sera pas utile bien longtemps. Si vous mourez, vous reviendrez au checkpoint avec un seul cœur actif sur trois, sans le bonus du quatrième. Le jeu deviendra en vérité plus "facile" si vous arrivez à ne pas mourir : sans perdre de vie, vous pouvez sauver les demoiselles en détresse et cumuler plusieurs cœurs supplémentaires. Un fait indéniable mais dans la pratique, vous allez devoir vous entraîner beaucoup avant d'en arriver là. Vous aurez tôt fait de finir le jeu avec vos cœurs de base et en actionnant les checkpoints plutôt que de survivre sans eux mais avec plus de cœurs.


Une bande-son horrible et des graphismes d'une autre époque :

Il y a un gros point noir au tableau de Heidelberg 1693. La musique, les effets et les bruitages sont une horreur. Si vous êtes en plus sur Playstation 5, il y aura même des bruits de zombies dans votre manette. Cela peut être drôle dans le premier niveau, pourtant vous aurez tôt fait de couper le son de votre haut-parleur entre les mains. D'ailleurs, vous ferez pareil avec votre téléviseur. Musicalement parlant, il y a vraiment quelque chose qui a été loupé. Vous me direz, ce sont les goûts et les couleurs, et j'ai essayé de passer outre pour ce test, cependant mon entourage à la maison m'a fortement recommandé de mettre un casque ou de mettre le son à 0. Il y a des signes qui ne trompent pas.

Graphiquement parlant, il est clair que l'axe de travail était de retranscrire le rendu des jeux de la génération 80-90. Difficile donc de juger, sauf si on compare avec des titres de l'époque justement, comme Castlevania IV par exemple. Clairement, il est bien plus agréable de jouer à Heidelberg 1693 aujourd'hui, surtout lorsque l'on voit le détail apporté dans les décors. De plus, si vous jouez sur la version Playstation 5, faites un tour dans les options : il est possible de passer le jeu de 60 à 120 FPS.
Plaisir à jouer et à rejouer
Le Plaisir dans la mort :

Heidelberg 1693 ne sera pas à mettre entre toutes les mains. Le jeu n'a qu'un maître-mot : la mort. Dans son scénario comme dans son gameplay. Heidelberg 1693 est le genre de jeu qui va vous obliger à recommencer encore et encore, jusqu'à vous laisser passer un niveau afin de vous tuer à nouveau dans le tableau suivant. Heureusement pour vous, il n'y a pas de compteur de vies qui, dans les années 80-90 justement, vous aurait obligé à reprendre le jeu au niveau 1 à force de trop perdre.

Si des checkpoints sont disséminés ici et là, il faudra quand même réussir à passer les zombies pour avancer. Notez d'ailleurs qu'il y a une carte du monde, ce qui vous permet de rejouer à volonté des niveaux déjà terminés ou de revoir les scènes cinématiques.

Sachez qu'en dehors de son gameplay die and retry, Heidelberg 1693 n'aura rien d'autre à offrir. Les phases de gameplay seront toujours les mêmes et il n'y aura pas d'autre but que d'avancer au travers de l'armée des zombies. Si on peut noter un petit passage dans une machine volante ou un sous-marin (via un niveau alternatif), ce n'est que très temporaire et sans difficulté. Ces deux éléments ne sont là que pour marquer une pause dans l'aventure. Le jeu aurait gagné à se renouveler un peu en proposant des phases de gameplay différentes.


Le mode difficile en récompense :

Le titre étant déjà très difficile en soit, ce sera une belle récompense de juste terminer l'aventure. Pourtant, si vous souhaitez refaire une partie, Heidelberg 1693 a une surprise pour vous si vous avez battu le Roi Lune : le mode difficile. Activable via les options, cette nouvelle difficulté n'ajoute que deux éléments :


→ Les boss ont plus de vie (mais pas les autres ennemis).
→ Les cadavres se relèvent automatiquement au bout de 3 secondes.

Ce deuxième point simple donne une toute autre saveur au jeu. Là où à la base, il n'y avait que la tête volante du Roi Lune qui faisait relever les cadavres, c'est maintenant un principe obligatoire. Si vous mettez à terre un zombie, il va forcément se relever. La seule façon d'empêcher ça est encore une fois de le faire exploser à l'aide de votre mousquet. Sauf que, forcément, vos munitions sont limitées donc ce sera à vous de juger le bon moment pour quand le faire ou non.

Un aspect intéressant pour un mode difficile. Plutôt que de gonfler artificiellement la barre de vie des ennemis ou de mettre deux fois plus d'adversaires dans les niveaux (qui sont déjà bien chargés), c'est une nouvelle forme de gameplay que l'on vous propose. Cela ne rend pas forcément plus "dur" le jeu mais le mode difficile va vous obliger à penser autrement pour avancer dans l'aventure. Surtout que si vous visez le platine, il faudra finir le titre avec cette difficulté.
Chasse aux trophées
Un platine die and retry :

La très grande majorité des trophées seront liés aux différents niveaux du jeu. Dans Heidelberg 1693, vous serez récompensé à chaque fois que vous entrerez dans un nouveau lieu (et non en le terminant étrangement). Cela vous obligera donc à traverser l'aventure en ligne droite mais aussi à prendre les chemins alternatifs. Vous devrez jouer dans chaque niveau disponible !

À côté de ça, vous serez bien entendu récompensé en finissant le jeu une première fois, ce qui vous permettra de débloquer le mode difficile. Le trophée (Or) Heidelberg Deleta vous réclame de finir à nouveau l'aventure dans cette difficulté, mais surtout de le faire en une "seule session". Cela implique de choisir "difficile" dans les options puis de faire nouvelle partie. Une fois que c'est bon, vous devez vaincre le boss final sans jamais quitter le jeu ou revenir dans la sélection des niveaux. Heureusement, vous avez le droit de mourir et d'user à outrance des checkpoints (ainsi que du mode repos de la Playstation si besoin).

Si le défi semble ardu, sachez qu'il est possible de prendre un chemin alternatif jusqu'au boss final. Déjà, le niveau 1 est totalement passable si vous partez sur la gauche au lieu de la droite. Ensuite, dans le niveau 2, il y a un chemin secret derrière une porte que vous pouvez ouvrir si vous faites un aller-retour complet dans le tableau (ou exploser la porte avec plusieurs coups de mousquet). En suivant cette route-là, vous arriverez au boss final en venant à bout de seulement 4 niveaux (mais dont un est très difficile par rapport à la moyenne) au lieu de plus d'une quinzaine.

En vue du platine, il faudra aussi trouver les trois fins secrètes du jeu, dont une qui n'est disponible qu'en difficile. Elles sont bien cachées mais avec une soluce, il sera facile de les avoir.

Ensuite, notons qu'en hommage à l'arcade, vous devrez viser les 50 000 points de score en vue de (Or) Maître des combos. Le genre de défi qui implique d'enchaîner les zombies rapidement sans prendre de coups ni mourir. Vous marquerez aussi plus rapidement des points en mode difficile qu'en normal.

Dans les trophées plus basiques, vous devez éliminer 10 000 zombies pour (Or) Maître du sang ! Un sacré chiffre que vous pourrez suivre en appuyant sur pause. Vous verrez que le compteur augmente très vite, sachant que même les pendus inoffensifs dans les arbres comptent comme une exécution dans ce trophée. Si besoin, il y a certains lieux qui permettent de farmer très rapidement les 10 000 du trophée.

À la fin, il ne restera plus qu'un seul et véritable défi : (Or) Il a une femme et des enfants ? Ici, il faudra sauver 5 demoiselles en détresse afin d'avoir un total de 8 cœurs. Sauf que cela vous oblige à ne pas mourir tout court et à ne pas retourner à la sélection des niveaux. Une maîtrise parfaite du jeu vous est donc réclamée, en soulignant que certaines demoiselles ne peuvent être sauvées que si vous faites un double saut en prenant un dégât d'un zombie, ce qui aura pour effet de vous propulser en hauteur. Une technique bien étrange pour augmenter sa vie.

Allez, c'est cadeau, je vous dis comment j'ai fait de mon côté avec ce trophée puisque j'ai remarqué une subtilité en jouant : par exemple, au début du niveau 2, il y a une demoiselle en détresse sur votre gauche. Allez la sauver puis dirigez vous vers le checkpoint. Une fois ce dernier validé, mettez le jeu sur pause et appuyez sur "recommencer". Vous reviendrez au checkpoint, les zombies sont de retour, la demoiselle en détresse aussi et vous avez toujours votre cœur supplémentaire ! Les checkpoints ne peuvent s'activer qu'une seule fois (et il faudra toujours ne pas mourir) mais avec cette méthode, le trophée devient un peu plus simple. Si vous ne voulez pas perdre vos cœurs supplémentaires, appuyez sur "recommencer" avant de mourir.

Quoi qu'il en soit, comptez une bonne douzaine d'heures au minimum pour débloquer votre platine, avec une difficulté oscillant entre le 6 et le 7/10 en fonction de votre aisance dans ce genre de challenge.
Conclusion
Heidelberg 1693 ne réinvente pas la formule du jeu d'action/plateforme de l'arcade façon die and retry mais il maîtrise bien son sujet. Nous prenons plaisir à défourailler du zombies au contrôle de notre mousquetaire de la fin du XVIIème siècle. Si l'objectif premier était de rendre hommage à l'arcade des années 80-90, alors le pari est réussi au travers de son gameplay un peu rigide, sa difficulté corsée et ses ennemis en nombre à chaque niveau.

Notons que le jeu ne sera pas à mettre dans toutes les mains puisqu'il ne propose que peu de choses à part son aspect die and retry. Le scénario ne se prend pas au sérieux et il ne vous marquera que par son idée de base. Le véritable plaisir sera donc dans le fait de repousser ses limites jusqu'à vaincre le Roi Lune. Si vous cherchez plus de résistance encore, le platine poussera le vice un peu plus loin en vous faisant fouiller le jeu à 100% tout en proposant du défi supplémentaire avec le mode difficile.

Heidelberg 1693 est un très bon titre si vous recherchez le challenge des vieux jeux de l'époque arcade.

Image
J'ai aimé
  • La variété du bestiaire
  • Du die and retry à l'ancienne mais avec des checkpoints
  • Le scénario digne d'un film Z nanardesque avec peu de budget
  • Plusieurs niveaux bonus et la possibilité d'atteindre le boss final par plusieurs chemins
  • L'inspiration des années 80-90 dans le gameplay
  • Un mode difficile en new game + qui ajoute un simple élément au gameplay
Je n'ai pas aimé
  • Peu de boss et aucun n'est marquant
  • Le sound design et la musique horrible qui vous poussent à couper le son
  • L'impossibilité de frapper vers le haut
  • Ne pas pouvoir interrompre la recharge de notre mousquet
  • Le manque de renouvellement dans le gameplay
13
Je recommande ce jeu : Aux acharnés, Aux spécialistes du genre, Aux chasseurs de trophées/platine difficile

JohnBuckheart (JohnBuckheart)

602
3050
5780
14269