Burnout Paradise Remastered

ps4

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Infos complémentaires

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Date de sortie : 16/03/2018
Genre(s) : Course
Territoire(s) : FRANCE

3122 joueurs possèdent ce jeu
95 trophées au total
24 trophées online
0 trophée caché
8 DLC's

Platiné par : 1122 joueurs (36 %)

100% par : 378 joueurs (12 %)


Note des joueurs :
4.6/5 - 40 notes

Note des platineurs :
4.6/5 - 27 notes

Test rédigé par Cheerotonine le 19-07-2022 - Modifié le 19-07-2022


Introduction

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Après le démarrage en trombe sur PS3 de Burnout Paradise en 2008, Criterion Games ressort le jeu du garage 10 ans plus tard avec un remaster sur PS4. L'arrivée de celui-ci donne alors l'occasion aux joueurs ayant délaissé leur ancienne console de reprendre la route de Paradise City.
Gros plus pour ce remaster, le joueur n'a pas à casser sa tirelire pour s'offrir les 8 DLC de Burnout Paradise, ces derniers sont inclus directement dans cette nouvelle version, les pilotes ayant résisté à la tentation de ces DLC sur la version originale vont avoir le droit à du nouveau.


Avec cet opus, Criterion Games reste dans l'esprit Burnout et propose deux types de conduite aux joueurs : aller à pleine balle avec son boost jusqu'au burnout ou tout défoncer sur son passage tout en proposant une grosse nouveauté : l'accès à un monde ouvert.
Contenu du jeu
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Burnout Paradise Remastered vous met aux commandes de 142 bolides, soit 138 voitures et 4 motos, pour peu que vous ayez décidé de tous les débloquer. Ce nombre était bien moins conséquent dans le jeu de base de Burnout Paradise de par l'absence des DLC pré-ajoutés. L'un d'entre eux nous fait bénéficier, en plus d'une voiture, d'une nouvelle île au nord-est. Nous allons donc maintenant pouvoir traverser Paradise Keys Bridge pour atteindre Big Surf Island et commencer notre nouveau permis.



Attention aux tête-à-queues

Trophee

Comme expliqué précédemment, vous pourrez avoir au total jusqu'à 138 voitures à votre disposition. Si la partie commence avec déjà 50 voitures, le reste sera bien sûr à débloquer au fur et à mesure de votre avancée dans l'histoire.
Comme le jeu n'aime pas la facilité, le simple fait de réussir les épreuves et de progresser dans l'obtention de son permis ne suffit pas à débloquer les voitures, non non, vous devrez littéralement aller les chercher, c'est-à-dire vous promener dans la ville jusqu'à les apercevoir et les démolir, les envoyant à la casse, ce qui vous permettra de les récupérer plus tard. Parce que tout dans Burnout Paradise tourne autour de la démolition, vous devrez très logiquement aller chercher votre voiture à la casse.
L'inclusion des DLC vous permet dès le début de prendre le volant de bolides très puissants et maniables, là où la version originale ne vous donnait accès qu'à une pauvre Hunter Cavalry.



Sur ces 138 voitures, vous retrouverez 3 types de véhicules : cascade, vitesse et agression. Chaque type de voiture sera plus adapté à un style d'épreuve particulier, même si l'appréciation et la bonne prise en main ou non d'une voiture dépendra de chaque joueur, préférant parfois utiliser une voiture inadaptée à l'épreuve pour réussir. Cependant, si une voiture cascade ou agression peut faire l'affaire pour une course de vitesse, une voiture de vitesse risque de beaucoup trop souffrir en séquence cascade ou en road rage. En contrepartie, elles restent beaucoup plus adaptées à un nombre plus important d'épreuves, incluant les courses de vitesse et les défis route chronos.



Petit tour à bicyclette

Trophee

Après l'exploration sauvage en voiture, passons en moto. Avec tout ce qu'on peut faire en voiture et notamment en mode cascade, on peut se dire qu'il n'y aurait rien de mieux dans ce genre de jeux pour exploiter les motos que le stunt... Eh bah non. Si vous vous imaginiez déjà taper vos meilleurs stoppies à la Sarah Lezito, c'est râpé, votre moto semble être limitée à la course. Même si on peut caler une petite roue arrière, le pilote n'est même pas capable de faire frotter la bavette et impossible de faire des burns sur place alors que c'est possible en voiture. On constate donc malheureusement qu'il n'y a vraiment pas eu une volonté de faire briller les deux-roues dans ce jeu.
Quelques petits points positifs tout de même, notre pilote réalise de beaux transferts de poids en virage et la moto est assez solide pour pouvoir prendre les rampes sans finir en miettes à l'atterrissage.


Trêve de présentation, allons maintenant explorer Paradise City.


Une ville-circuit
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Paradise City est un monde ouvert, décrit comme une véritable ville avec son centre, ses banlieues, ses montagnes et sa zone industrielle. Les épreuves sont particulièrement bien intégrées dans la ville, le joueur n'a qu'à taper son meilleur burn au feu tricolore pour les déclencher. Et loin de mettre des feux n'importe où pour y caler toutes leurs épreuves, les développeurs ont pris soin de toujours les placer à une intersection.


Côté voiture, vous trouverez dans la ville 6 catégories d'épreuves disponibles :

La première que vous rencontrerez sera la Road Rage, qui porte bien son nom vu que le but est ni plus ni moins d'envoyer dans le décor vos adversaires avant la fin du temps imparti. Ces agressions infligées à vos ennemis, aussi appelées Takedown, s'appliquent dans les deux sens, foncez dans plus fort que vous et vous en paierez les frais.
Autre épreuve à relever, la Course, dont le but est de partir d'un point A et d'arriver au point B avant vos adversaires. Une course ce qu'il y a de plus basique en somme.
Vous trouverez ensuite des épreuves de Traque, dont le but est aussi d'aller d'un point A à un point B. Pas de rapidité ni d'adversaire à battre ici, juste des voitures complètement folles qui vous poursuivront telles des cognards dans la seule optique de mettre hors course votre auto.
Épreuves plus acrobatiques cette fois-ci, les Cascades vous demanderont d'enchainer figures, burns, marches arrière et autres bonus vous rapportant des points et vous permettant d'exploser votre combo pour atteindre le score demandé.
Enfin, à chaque fois que vous récupérez une voiture, vous aurez la possibilité de réaliser son parcours burning qui vous octroiera sa version alternative.
Réussissez les 120 épreuves pour finir l'histoire et récupérer l'ultime graal, le permis Élite.


Pour atteindre le 100%, obtenir ce sésame ne suffira pas, le jeu vous propose en plus de réussir des défis route chronos et showtime. Le premier défi consiste uniquement à battre le record de temps pour aller d'un bout à l'autre de la route et le deuxième enverra votre véhicule en freestyle afin de vous permettre de culbuter un maximum de véhicule.
Plus laborieux, vous aurez aussi à dénicher 35 drive-ins, 50 sauts, 120 panneaux et 400 portails jaunes. Ces derniers ne sont pas affichés sur la carte, le joueur ne pourra que connaître sa progression par quartier.


Côté moto, il n'y a que 2 types d'épreuves : les courses de jour et les courses de nuit. Les premières disponibles de 8h à 20h et inversement pour les secondes.


La ville est d'une taille qu'on pourrait juger de bien proportionnée, pas trop grande pour ne pas mettre 10 minutes à rejoindre l'autre bout de la carte mais pas trop petite non plus pour ne pas réussir à la traverser en 3 minutes top chrono.
Gros gros point faible cependant, aucun GPS n'est intégré, ce qui fait que le joueur doit mémoriser le trajet ou aller regarder sur la carte et ce, même en pleine course. D'un autre côté, cela nous force à sortir des sentiers battus et récompense celui qui prendra le temps de connaître la ville.
Si on remarque que la ville est particulièrement fournie en trafic, on constate cependant l'absence de poids lourds, deux roues, vélos, piétons... ce qui aurait été un joli petit plus côté réalisme et immersion. Puis qui n'aime pas juste renverser des piétons après tout ?
Même topo pour les trains, il y a des kilomètres de rails dans la ville mais on ne croisera jamais aucune locomotive, les seuls wagons se trouvant sur notre route sont abandonnés. L'arrivée d'un train en pleine course aurait pourtant pu donner un peu plus de challenge et de difficulté au jeu.

(online) Frimez en ligne (online)

Comme sur le jeu original, les chauffards de Paradise City vont pouvoir se frotter aux autres joueurs à travers un mode de jeu en ligne. Chaque session en ligne dispose d'un hôte qui détient les pleins pouvoirs et qui choisira les défis que vous ferez ou non. Vous aurez l'opportunité, comme dans beaucoup de jeux, de rejoindre une partie publique ou privée.
Dans ce mode, vous pourrez vous promener librement, accomplir des défis freeburn et même jouer au gendarme et au voleur, quand vous êtes avec des amis la seule vraie limite du jeu est votre imagination.

Ça part en local

Le mode Party vous permet de jouer jusqu'à 8 joueurs en local et ce avec une seule manette. Choisissez chacun votre petit nom, sélectionnez le nombre de tours que vous souhaitez disputer et choisissez le type d'épreuve à relever entre la vitesse, les aptitudes et les cascades.
Aspect technique du jeu
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Un rendu visuel discutable

Visuellement, on reste quand même ici sur un jeu qui ne se veut pas spécialement réaliste. Les graphismes sont basiques, sans beaucoup de détails et pas toujours très nets mais rappelons-nous quand même qu'il s'agit de graphismes d'un jeu initialement sorti en 2008. Le jeu est un peu pâle dans l'ensemble, voire même jaunâtre avec une météo qui semble toujours un peu grisonnante.
On ne se promène clairement pas dans Paradise City pour admirer du paysage, ce qui est un peu dommage quand on voit toutes les enseignes lumineuses, ces montagnes, ces palmiers et la mer au loin.
Et pourtant, le jeu est capable de donner un rendu hyper coloré, il suffit d'aller jeter un œil du côté du menu du mode Party pour y voir des couleurs éclatantes.
Si vous aimez les actions au ralenti, vous serez servis. Depuis l'instauration du "slowmotion" dans Burnout 3 qui vous permet de vous voir vous crasher au ralenti, la licence Burnout continue d'intégrer ces ralentissements du mouvement. Ici, chaque takedown infligé, chaque crash que vous subissez et chaque saut réussi vous donne le droit d'admirer vos exploits au ralenti.

Fais péter l'autoradio

Nous sommes accueillis en grandes pompes avec les Guns N' Roses et leur chanson Paradise City. Une fois en cours de route, le jeu accompagnera notre aventure avec une ambiance rock, parfaitement adaptée au rythme endiablé du jeu.
Faites une pause et le jeu déclenchera une petite visite du quartier sous des airs de musique classique, calmant un peu le jeu et posant une ambiance bien plus détendue, contrastant largement avec la frénésie du rock.
Pour vous aider à travers votre épopée, DJ Diabolica vous guidera via la station de radio Crash FM, vous servant de didacticiel, et interviendra dans des flashs radios de temps à autre, histoire de vous sentir moins seul.

Roulez intelligemment

Au fur et à mesure que vous vous approcherez de votre permis Élite, deux choses évolueront dans les épreuves : la difficulté des objectifs et la coriacité de vos concurrents. Pour ce qui est de ce dernier point, vous remarquerez vite que l'IA ne vous fera pas de cadeaux. Si ça ne se remarque pas tant que ça en course de vitesse, bien que vos concurrents soient particulièrement doués pour trouver la route la plus courte (mais pas la plus rapide), la road rage et la traque risquent tout de même d'avoir raison de vous. Les concurrents ne vous laisseront plus leur mettre des takedowns aussi facilement et les traqueurs réussiront à ne faire qu'une bouchée de votre véhicule. Si vous pensiez que faire demi-tour serait un bon moyen de semer vos poursuivants détrompez-vous, leurs bolides vous poursuivront quoi qu'il arrive.
Du côté des usagers de la route, on retrouve des conducteurs qui vont soit continuer à tracer tout droit, soit dévier au moment où vous arrivez à leur niveau. Et cette déviation ne sera bien sûr jamais à votre avantage, c'est bien plus sympa de les faire foncer vers vous.


Le véhicule que vous choisissez va influencer votre façon de piloter. Les voitures de vitesse vont être hyper rapides, stables, pas toujours très maniables et surtout très fragiles. Montez à bord d'une grosse agression et vous pourrez vous permettre de foncer dans les petites voiture sans craindre le crash. En contrepartie, ces voitures ont tendance à se trainer un peu et à ne pas être bien maniables. Les cascadeuses sont plus équilibrées, elles sont assez rapides, avec une maniabilité sans égale et ne sont pas trop fragiles mais pas non plus très solides.
En plus de ces critères, le type de boost va varier d'une voiture à l'autre. Les véhicules de vitesse vont avoir un boost que vous pourrez utiliser uniquement lorsqu'il est plein mais qui permet d'accumuler les boosts si vous ne relâchez pas (croix) et si vous roulez dangereusement. Les boost des cascadeuses et des agressives peuvent être utilisés n'importe quand, la seule différence réside dans la possibilité pour le type agression d'augmenter la taille du boost suite à un takedown. Ici aussi, vous rechargerez vos boost en conduisant dangereusement.
Lors de votre passage à la casse, vous pourrez voir les statistiques de chaque voiture notant de 1 à 10 les critères suivants : la vitesse, le boost et la puissance. En dépit de cet effort pour classifier les véhicules entre eux, la meilleure façon de se faire une idée des caractéristiques d'une caisse reste quand même de la tester.
Plaisir à jouer et à rejouer
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S'il y a bien un critère qui contribue au plaisir à jouer, c'est l'immersion du joueur dans le jeu. Et on peut dire que c'est plutôt réussi pour Burnout Paradise avec des épreuves qui sont subtilement distillées un peu partout dans la ville sans qu'on ne les remarque outre mesure. Une fois en course, l'immersion est à son paroxysme, surtout dans les dernières épreuves où les adversaires commencent à fuser de partout, vous demandant une attention de tous moments. S'ajoute à ça le ronronnement du moteur, les pneus qui crissent et le bruit de l'air lorsque vous frôlez les autres usagers, autant vous dire que vous serez à fond dedans.


Le jeu étant extrêmement complet tant dans les épreuves que dans les différents lieux présents dans la ville, chaque conducteur y trouvera largement son compte. Que vous soyez plutôt à la recherche de sensations fortes dans des spots complètement déjantés, que vous préfériez vous amuser à battre des records ou que vous fassiez plutôt partie des adeptes des 100%, vous prendrez largement votre pied et ce, même des heures après avoir fini l'histoire.
Pour ma part, j'ai un petit faible pour les cascades. Réussir à placer des figures à la perfection ou atterrir de justesse sur ses 4 roues après un tremplin difficile à négocier a un petit quelque chose de satisfaisant. Même réaliser le 100% ou se balader dans la ville a été un vrai moment de plaisir et pourtant, je ne suis pas une très grande fan des jeux de voiture. Les cotés rétro, destructeur, hyper rapide et surtout peu réaliste de ce jeu ont vraiment été les critères qui m'ont fait accrocher ma ceinture le temps d'un aller-retour Paris-Helsinki.


La présence d'un mode multijoueur en ligne peut aussi rajouter pas mal d'heures de jeu, autant pour les pilotes cherchant à défier de parfaits inconnus que pour les chauffards voulant faire déguster leurs potes.
En cas de problème technique chez votre fournisseur internet, vous pourrez toujours vous retrancher dans le mode Party avec votre famille ou vos amis voire les deux réunis avec les 8 places disponibles dans ce mode.
Si vous vous acharnez à poncer le jeu tant en voiture qu'en moto, (DLC compris), vous devriez très largement passer 50 à 60 heures sur la route et vous ne les sentirez même pas passer.


Le 100% étant tellement long à atteindre, il peut être assez décourageant de se replonger dans une nouvelle partie quand on a enfin atteint la ligne d'arrivée.
Pour ceux qui retentent l'expérience directement, les premières épreuves peuvent sembler ennuyeuses car les dernières demandent une telle maîtrise des véhicules puissants qu'une fois de retour à la ligne de départ, les premières voitures semblent se trainer et les épreuves n'être que de simples formalités sans réel challenge. Réitérer l'expérience quelques mois après avoir fini l'histoire me semble beaucoup plus judicieux et beaucoup plus attrayant.
Chasse aux trophées
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Pour prétendre à l'obtention du Platine, les pilotes vont devoir parcourir la ville en long, en large et en travers. Et pour cause, vous devrez partir chercher la victoire sur 90 épreuves voitures ainsi que des panneaux Burnout et des portails jaunes. La difficulté de cette complétion va se trouver dans les épreuves qui sont parfois coriaces mais surtout dans la patience dont vous devrez faire preuve pour détruire 60 panneaux Burnout, 200 portails jaunes et pour découvrir les 11 parkings. Sans guide, vous risquez de tourner pas mal en rond.
Mais voyons plutôt le réservoir à moitié plein, cette chasse aux trophées nous donne aussi une bonne excuse pour nous éclater toujours un peu plus dans Paradise City, pour relever encore plus de défis et elle nous accordera une petite satisfaction personnelle qui récompensera notre investissement. Elle nous obligera aussi à passer par toutes les catégories d'épreuves voitures disponibles ainsi que par des spots incroyables, nous permettant d'exploiter un maximum la diversité du jeu.

Autre passage obligatoire pour décrocher le platine, vous devrez réaliser des trophées liés au mode multijoueur en ligne. Leur obtention se révèlera quasiment impossible si vous n'avez pas un partenaire pour vous aider. Un trophée nécessite d'ailleurs - en théorie - de vous accorder avec 7 autres joueurs.
La version remasterisée de Burnout Paradise nous épargne un trophée online nécessitant l'utilisation d'une caméra compatible avec la Playstation et on ne s'en plaindra pas.
Si ces trophées permettent de découvrir le mode en ligne, je trouve quand même absurde le fait qu'un jeu dont le solo est déjà hyper complet oblige le joueur à passer par la case multijoueur online, pouvant priver certains joueurs, même les plus assidus, du Platine.
D'ailleurs, les trophées ne poussent même pas le joueur à aller atteindre le 100%, ce qui est bien pour ceux qui n'accrochent pas à fond au jeu mais qui, en contrepartie, ne va pas récompenser les pilotes acharnés.
Grand oublié de la liste des trophées, et ça ne vous étonnera pas, le mode moto passe complètement à la trappe. Idem pour le mode Party et pourtant, a contrario des trophées en ligne ces derniers peuvent être réalisés par tous.

Dans l'ensemble, la chasse aux trophées n'est pas difficile, elle demande un peu de temps et d'investissement dans le jeu mais finalement que très peu (20h) comparé au temps nécessaire pour le 100% (50h).
Je ne saurais quand même que vous conseiller de vous aider d'un guide et notamment de celui-ci pour atteindre le Platine, surtout pour les moins curieux et persévérants d'entre vous et pour les joueurs n'ayant pas à leur disposition 7 collègues pour le multijoueur en ligne.
Conclusion
Unique en son genre, Burnout Paradise Remastered se démarque par la grande diversité d'épreuves proposées avec un bon mélange de destruction, de vitesse et de cascade, le tout dans un monde ouvert dans lequel routes sineuses, raccourcis périlleux, autoroutes bondées et lignes de chemin de fer se chevaucheront pour vous mener droit à la victoire... ou droit dans le mur.
J'ai aimé
  • Un jeu très complet
  • Une grande diversité des épreuves
  • Des trophées faciles
  • Un large choix de voiture
  • Les DLC ajoutés à la version remastered
  • Des spots de malades
  • Une bande son de qualité
Je n'ai pas aimé
  • Un mode moto sous-exploité
  • Des trophées en ligne ne récompensant pas les plus acharnés
  • Des couleurs fades
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Je recommande ce jeu : À tous, Aux enfants, Aux spécialistes du genre, Aux habitués des 100%, Aux fans de la série, Aux curieux

Cheerotonine (Cheerotonine)

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