Bee Simulator

ps4
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Infos complémentaires

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Date de sortie : 14/11/2019
Genre(s) : Simulation
Territoire(s) : FRANCE

1256 joueurs possèdent ce jeu
51 trophées au total
0 trophée online
19 trophées cachés

Platiné par : 416 joueurs (33 %)

100% par : 416 joueurs (33 %)


Note des joueurs :
3.5/5 - 16 notes

Note des platineurs :
3.2/5 - 13 notes

Test rédigé par Jo-La-Mouche le 28-11-2019 - Modifié le 28-11-2019


Introduction

C'est l'histoire d'une mouche qui se prend pour une abeille qui prend la mouche

Bee Simulator, Simulateur d'Abeille pour les anglophobes, est un jeu vidéo de simulation de vie d'abeilles (étonnant, n'est-ce pas ?), développé par les équipes polonaises de Varsav Game Studio et édité (sans grande surprise pour ceux qui me connaissent) par Bigben Interactive. Un jeu de plus qui vient s'ajouter à la longue série des "quelque chose" Simulator, ce qui pourra en faire frémir plus d'un à l'idée de poser ses pattes sur la manette. Heureusement, votre serviteur est là pour répondre à la question : est-ce un bon Simulator ou les abeilles vont-elles rejoindre le musée des jeux qui font rire (jaune, comme les abeilles), mais pas pour les bonnes raisons ?

Je dois bien vous avouer que le simple nom du jeu m'a tout de suite donné envie d'y jouer, ou tout du moins de pouvoir l'essayer pour étancher cette soif soudaine de curiosité. Si j'ai connu l'existence du jeu, c'est par le plus grand des hasards, alors que je rédigeais le test d'un autre jeu du même éditeur, je suis tombé sur la galerie des jeux récents et des prochaines sorties. Dans le lot, Bee Simulator. Une sacrée surprise ! Non content d'avoir fait cette découverte, telle la butineuse zélée, je me retrouvais à annoncer l'existence de cette production à d'autres. Double surprise, je n'étais pas le seul pour qui la simple évocation d'une simulation de vie d'abeilles piquait l'intérêt.

Contrairement à ses cousins du genre, Bee Simulator ne fait pas référence à une profession ou à un corps de métier, mais bien à ce petit insecte travailleur, discret distributeur de vie. Oui, vous allez bien incarner une abeille et non un apiculteur.
Que fait une abeille de ses journées ? Comment rendre ce choix de protagoniste, aussi rare soit-il, intéressant ? Qu'allons nous devoir faire manette en main ?
Entrez vous poser dans la ruche, pas de rush, je vais tout vous expliquer.
Image

Contenu du jeu

La grande histoire

Bee Simulator propose un mode scénario dont je vais dévoiler quelques éléments. Si vous ne souhaitez pas en savoir trop et découvrir la grande histoire du jeu par vous-même, je vous invite à faire défiler le texte jusqu'à tomber sur le paragraphe des petites histoires.

"Approche toi petit, écoute-moi gamin
Je vais te raconter l'histoire de l'être humain
Au début y'avait rien, au début c'était bien
La nature avançait y'avait pas de chemins"


Avant de vous lancer dans votre nouvelle vie d'abeille rebelle, je vous invite à regarder en entier la vidéo d'introduction du jeu tout en animation qui plante immédiatement le décors, en résumant parfaitement l'enjeu des abeilles dans notre monde. Sans elles, nous sommes sacrément mal barrés. Les abeilles sont précieuses et malgré leur statut sacré de pollinisateurs en chef, elles sont menacées et pas toujours très bien traitées. C'est donc dans la peau d'une abeille citadine, résidente d'un grand parc au coeur des buildings que vous allez affronter le monde moderne et ses dangers.

Et pas n'importe quelle abeille. Ne rêvez pas trop non plus, vous n'allez pas jouer la reine mère. Vous commencerez tout en bas de l'échelle, mais avec la farouche volonté de vous émanciper et de faire bien plus que le rôle qui vous a été confié. Récolter du pollen pour la ruche est une mission tout de même importante et nécessaire à la survie de votre ruche en hiver, sinon faute de ressources suffisantes, la colonie peut se retrouver rapidement en péril. Mais une fois les pattes dehors et bien dégourdies, vous n'aurez de cesse de n'en faire à votre tête, à vouloir explorer le monde et aider tous les êtres qui croiseront votre chemin.
Attention tout de même, cette générosité pourra se retourner contre vous. Les autres insectes du coin ne goûteront pas vos ambitions. Ni votre simple présence en fait, les guêpes sont particulièrement sensibles lorsqu'on parle de territoire. Sans compter sur votre propre reine, qui ne verra pas toujours d'un bon oeil (et pourtant elle en a 5 !) votre énergie débordante et votre incapacité chronique à effectuer les tâches les plus basiques sans que cela tourne au drame absolu.

L'hiver approchant, récolter le plus de ressources possible est primordial pour votre colonie. Et comme si le monde du très petit n'était pas déjà assez dangereux, ce sont les hommes qui viendront secouer un peu plus votre quotidien. L'arbre dans lequel la ruche s'est développée est mort, et les humains vont l'abattre... Ce sont des centaines de vos congénères que vous allez devoir reloger, et le plus vite possible ! Tout ce grand parc à explorer pour trouver l'emplacement idéal ! Et croyez-moi, ça ne sera pas de tout repos. Vous ne pourrez compter que sur vous-même pour réussir la mission la plus importante de votre vie.

Tout le monde compte sur vous !

Lors de l'histoire, vous apprendrez toutes les mécaniques du jeu : la course, la recherche, la danse et le combat. Nul besoin de vous apprendre que pour la course, vous allez devoir passer à travers des points de passage, sans en rater trop au risque de devoir recommencer depuis le début. Je dois bien reconnaître ici une faiblesse de ma part dans la gestion de ces évènements, moi qui adore pourtant les jeux de sports mécaniques. La recherche de type de plantes se fera à l'aide de votre sens de l'abeille, seul autre point commun entre une abeille et Ezio. Le premier étant la lame secrète, plus connue sous le nom de dard. La danse prend la forme d'un jeu de Simon : vous devrez mémoriser de plus en plus d'éléments et les réciter pour réussir.
Enfin les combats, dont le choix de la difficulté du jeu (facile ou difficile) aura un impact sur la façon de jouer. En mode facile, les combats se jouent à la façon d'un jeu de rythme, avec seulement deux touches sur lesquelles il faudra appuyer lorsque le curseur vous l'indiquera. En difficile, c'est un combat en temps réel où vous devrez gérer vos parades, vos attaques en fonction des réactions de votre opposant. J'ai essayé, je m'y suis cassé les dents.

En un battement d'aile : le mode histoire/scénario est un passage obligatoire avant d'être propulsé dans le grand bain. Vous y apprendrez les rudiments nécessaire à vos déplacements, à vos activités, à votre façon de vivre votre vie d'abeille. Il vous racontera la jolie histoire de cette abeille plus têtue que les autres mais qui ne voulait que le bien des siens. Avalé rapidement en 5 à 6 heures, ce mode de jeu qui s'imbrique parfaitement dans l'évolution de la façon de jouer et est un passage à la fois utile et agréable qui aurait mérité d'être un peu plus étoffé ou un peu plus long.


Les petites histoires

Une fois le mode histoire terminé, vous débloquerez le mode libre. Non pas que vous ne fussiez pas libre dès le début du jeu, mais la façon dont les missions s'enchaînent vous incitent clairement à finir l'histoire principale avant de vous lancer dans une exploration plus approfondie de votre monde. Je vous conseille de vous laisser porter par cette proposition, de profiter du scénario entièrement avant de voler à vos occupations.

Vous aurez alors l'occasion de vivre plusieurs petites histoires, autant de missions secondaires à trouver et à picorer. Que ce soit pour aider un écureuil, des fourmis, d'autres abeilles, c'est votre gentillesse qui va reprendre du service. Les mécaniques du jeu restent les mêmes, vous aurez donc pleinement le loisir de mettre à profit tout ce que vous avez pu apprendre précédemment. Ces missions secondaires sont dans l'ensemble assez courtes, mais plaisantes et vous permettent d'aller arpenter d'autres espaces de votre terrain de jeu.

Vous croiserez également sur votre route des défis, qui reprennent les différentes façon de jouer : course, recherche, danse et combat. Vient s'ajouter à ces 4 éléments principaux les défis de Brute. Que fait une abeille quand un "adoraaaaable" bambin s'amuse à piétiner toutes les fleurs autour de lui ? Je vous le donne en mille, elle lui fonce dessus et le pique suffisamment de fois pour le faire partir le plus vite possible. Ou pour espérer qu'il fasse un choc anaphylactique, avec un peu de chance, il sera allergique. Je plaisante, Bee Simulator ne va pas jusque là. Mais vous devrez vraiment le piquer pour le faire déguerpir.

En un battement d'aile : les missions secondaires sont plaisantes, les petites histoires racontées viennent ajouter un peu plus de consistance à cet univers. Même si j'ai des doutes sur le fait qu'une abeille puisse faire copain-copain avec un écureuil, mais pourquoi pas. Les défis vous pousserons à explorer toujours un peu plus ce grand parc pour les trouver et les accomplir. Et quel plaisir de ratatiner une guêpe ou un sale mioche. Malheureusement, les mécaniques du jeu sont toujours les mêmes, sans aucune variation ce qui laisse cette impression pas toujours sympa de répétition. Les missions secondaires ne sont pas assez nombreuses pour occuper le joueur assez longtemps dans ce monde ouvert.
Note : 3/5

Aspect technique du jeu

Pour les mirettes

Les cinématiques
J'adore les cinématiques du jeu. Voilà, c'est dit. Le style d'animation, les dessins, les couleurs, tout fait mouche. La direction artistique est une belle réussite, et j'espère que vous l'apprécierez tout autant que moi. Bien qu'elles ne soient pas réalisées avec le moteur du jeu, les transitions entre les cinématiques et les phases de jeu ne posent aucun problème et s'enchaînent rapidement, les temps de chargement n'étant jamais très longs. Les doublages français sont agréables et les voix choisies pour les différents protagonistes collent bien aux personnages.

Les personnages principaux
Abeilles, guêpes, frelons, tout ce petit monde va devenir si grand. Un peu comme dans "Chéri, j'ai rétréci les gosses" en fait. Ou "Microcosmos", mais c'est clairement pas le même délire. Début de digression cinématographique mise à part, la mise à l'échelle du monde par rapport aux héroïnes du jeu est convaincante. La modélisation de tous ces petits insectes volants est également réussie. Les différentes parties du corps sont distinctes, les pattes, la tête, l'abdomen. Même le petit duvet tout mignon qui donne envie de leur faire des câlins et des caresses sur le dos (aux abeilles, pas aux guêpes, elles sont méchantes !) est visible.

Petit bonus, vous pourrez débloquer des tenues pour votre abeille. Plutôt que des tenues, on va dire des espèces d'abeilles puisque vous ne portez pas de vêtements et que ce sont directement vos couleurs qui sont modifiées. Alors pas de vêtement, c'est pareil, vous pourrez habiller vos petites antennes d'un couvre-chef pour ne pas attraper froid. Chapeau ou cône de trafic, libre à vous d'exprimer votre petit grain de folie. Quand vous verrez les différents éléments mis à votre disposition, vous comprendrez. J'ai personnellement opté pour le cône de trafic. Avec ça on peut circuler partout.

En vue à la troisième personne, Bee Simulator ne vous demandera aucun effort oculaire pour accepter de toujours avoir dans votre champ de vision ce petit être agile et fragile.

L'environnement
L'environnement immédiat comme la végétation, les fleurs, les autres animaux que vous allez pouvoir rencontrer participent pleinement à l'immersion dans votre rôle de butineuse. C'est joli, les couleurs sont bien choisies et ne tombent pas dans une surabondance de verts criards ou trop sombres. Le jeu est juste. C'est au niveau des bâtiments et des humains, présents de jour comme de nuit dans le parc que la modélisation est un peu moins précise. La différence d'échelle entre une abeille, un cupcake et un humain peut expliquer qu'on ne puisse pas avoir le même niveau de détail entre tous ces éléments. Et les humains, bien que présents et avec lesquels vous pouvez interagir (en les piquant, mouah ah ah) ne sont pas le coeur du jeu.

Grand bien lui fasse, la faible fréquence de battement des aimes d'une abeille lui confère un bourdonnement plus proche d'un V8 glouton que d'une mobylette débridée. 200 battements par seconde, c'est quand même pas rien, mais au moins l'abeille est agréable à écouter. Et comme vous passerez 98% de votre temps en vol, c'est plutôt mieux.


Pour l'ambiance

Les humains qui s'occupent de passer une bonne journée dans un parc, entre pique-nique, ballade en barque et fête foraine, des animaux à visiter au zoo, toutes ces petites choses rendent le monde vivant et crédible. Il flotte presque comme un air de vacances. La musique en fond sonore est présente mais ne se fait pas remarquer pour autant, elle colle toujours bien à l'ambiance et à ce qu'il se passe à l'écran. C'est un monde plaisant dans lequel se balader tient plus du plaisir que de la pénitence. La paix royale que tout le monde s'accorde à vous donner y joue pour beaucoup, pour trouver des noises, vous devrez vraiment les chercher, et ce n'est qu'au travers des défis et des missions que vous comblerez vos envies les plus primaires.

Grand bien lui fasse, la faible fréquence de battement des aimes d'une abeille lui confère un bourdonnement plus proche d'un V8 glouton que d'une mobylette débridée. 200 battements par seconde, c'est quand même pas rien, mais au moins l'abeille est agréable à écouter. Et comme vous passerez 98% de votre temps en vol, c'est plutôt mieux.


En un battement d'aile : Bee simulator est beau dans l'ensemble, avec une direction artistique réussi, les éléments les plus proches de l'écran et les plus importants sont réussis, les humains et les constructions sont un cran en dessous, sans pour autant ternir le jeu dans son visuel ou son ambiance. Jamais pris en défaut, je n'ai lors des mes différentes sessions de jeu, jamais rencontrer le moindre ralentissement ou plantage du jeu, crainte fondée des jeux "simulator". L'univers est cohérent, vivant, s'y intégrer ne vous demandera que les quelques secondes nécessaires à la prise en main des commandes.
Note : 3/5

Plaisir à jouer et à rejouer

Une bonne surprise

Je savais que Bee Simulator existait, qu'il serait disponible à partir du 14 novembre et que j'allais me balader dans un parc, au-delà de ces informations, je ne m'étais pas plus renseigné sur le jeu, histoire de garder le plaisir de la découverte. La prise en main (la prise en aile plutôt ?) de Maya (oui, j'ai appelé mon abeille Maya, quel manque cruel d'originalité, diantre) est très rapide, que ce soit pour ses déplacements ou pour les phases de jeux spécifiques comme la danse et le combat.

L'histoire se dévore, trop rapidement, avec un plaisir non dissimulé. Les personnages, le scénario sont agréables à suivre, assez pour qu'on en redemande. A la fin de chaque mission, l'envie de lancer la suivante pour savoir ce qu'il se passe ensuite est vraiment présente, et j'ai toujours trouvé plaisant le fait d'avoir un peu de mal à laisser tomber la manette.

L'introduction du jeu, toutes les informations données au cours des chargements, certaines missions apportent une couche éducative bienvenue et intéressante. J'ai appris des choses ! Certes, comme mes cours de chimie, ce savoir restera enfermé dans mes méninges sans jamais, probablement, avoir l'occasion d'être partagé. Tant pis pour le reste du monde, j'en sais un peu plus sur les abeilles maintenant qu'avant d'avoir joué à Bee Simulator. Cette dimension éducative n'est pas omniprésente dans le jeu, et je ne pense pas que ce soit l'idée première. Cet aspect permet de mettre un contexte autour de l'histoire que vous allez vivre, c'est pour moi un bon dosage. Si vous voulez un jeu éducatif, direction Adibou.

En un battement d'aile : Sans être le jeu du siècle (seulement de l'année !), je suis tombé sous le charme de Bee Simulator, de son esthétique, de son histoire. Je me suis vraiment amusé en jouant, j'y ai pris du plaisir, un plaisir presque enfantin même. Les enfants peuvent y jouer, mais le jeu n'est pas pour autant orienté vers ce public, c'est un jeu pour tous, de 7 à 77 ans, dans lequel même les plus grands s'y retrouveront.
Note : 4/5

Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%

Une liste parfaite ?

Nous festoyons tout ce mois de novembre 2019 pour fêter les 10 ans de PSTHC, tel est le contexte temporel de la rédaction de ce test. J'ai eu la chance de pouvoir répondre à quelques questions, dont celle-ci : "Pour toi, c’est quoi une bonne liste de trophées ?". Je ne vais pas vous réécrire ici ce que j'ai répondu, si vous êtes intéressés, observez ma danse et vous saurez où vous rendre. Sachez juste que si je pouvais changer ma réponse à cette question, je choisirai la liste des trophées de Bee Simulator.

Naturellement, des trophées sont liées à votre progression dans le mode scénario, rien de très exotique. Des trophées viendront récompenser vos efforts dans le genre "Abeille tout risques" à aider la moitié (j'exagère) du parc. Tout le monde sait où vous trouver quand ils ont besoin d'aide. Enfin c'est surtout vous qui avez un radar à âmes en détresses et qui allez filer un coup d'aile à tout ce beau petit monde. Avec des trophées comme récompenses, vous n'êtes pas perdant au change ! Ajoutez quelques trophées liés aux défis, et vous aurez une base solide de récompenses à aller chercher en jouant simplement à Bee Simulator.

Plus originaux, des actions spécifiques vous sont demandées : vous allez devoir piquer le nez d'un ours, trouver un message codé, vous servir d'un ordinateur... C'est original, ça pousse le joueur à explorer encore un peu plus votre environnement. Le nom des trophées est également un plaisir à découvrir, avec des références à Kung Fury par exemple avec le trophée "Hackerman", des jeux de mots (qui passent beaucoup mieux en anglais malheureusement) : "O-Bee-Wan" ou bien encore "Abeille-J", soit "Bee-J" dans la langue d'outre-manche, quand le trophée vous demande de vous occuper de la musique. Je vous laisse faire le rapprochement.

Que serait un jeu en monde ouvert sans ses trophées liés à des collectibles ? Pas grand chose. Rien d'insurmontable je vous rassure, seulement deux trophées vous demanderont un peu de patience et de travail, votre travail d'abeille en plus : récolter le pollen de 1500 et de 300 fleurs. Les 1500 fleurs seront presque atteintes après avoir terminé l'histoire, les missions secondaires et les défis. Un peu de patience et de farming, sachant que vous avez une réserve de pollen qu'il faut aller vider dans votre ruche régulièrement, sinon vous ne ramassez plus rien, et ce qui sera probablement le dernier trophée que vous obtiendrez après le platine tombera enfin.

Comptez entre 15 et 20 heures de jeu pour obtenir la récompense suprême. Estimation à la louche, la durée pour l'obtenir dépendra de votre chance à trouver rapidement, ou pas, les défis qui sont éparpillés dans le parc, à les réussir, tout comme votre capacité à optimiser vos parcours pour être le plus efficace dans la récolte du pollen.

En un battement d'aile : Une liste de trophées qui vous demande de jouer, d'explorer, de faire votre boulot d'abeille sans pour autant rendre la répétition des actions rébarbatives, cette liste des trophées fait mouche. Le platine sera un plaisir à aller chercher. Et moi j'y retourne de ce pas !
Note : 5/5

Conclusion

Bee Simulator est un bon jeu, saupoudré d'une très fine couche éducative sur les menaces qui pèsent sur les abeilles et les dangers que leur disparition entraînerait.

Un peu court et répétitif, il se rattrape par une direction artistique réussie et une histoire prenante. Le temps passé manette en main ne sera jamais du temps perdu.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
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Je recommande ce jeu : À tous, Aux enfants, Aux curieux

Jo-La-Mouche (Jo-La-Mouche)

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