Actualités Tech THC

[Test] - guitare Riffmaster de PDP

Par Redac chef
Le 17-03-25 à 23:37

Au rayon des accessoires que je ne pensais pas revoir de sitôt dans les étales des magasins, les périphériques dédiés aux jeux de rythme sont parmi les premiers du classement, avec peut-être les cartes mémoires qui surpassent tout le reste. Et pourtant, c'est la nouvelle Riffmaster, du constructeur PDP, maintenant associé à Turtle Beach que j'ai eu la chance de pouvoir tester grâce à notre partenaire. Disponible en version PS4 / PS5 version testée) ou XBOX / PC, vous la trouverez en boutique pour un peu moins de 150 €. Déballage & style Bien protégée dans son carton de voyage et d'emballage, la Riffmaster est une élégante guitare en plastique noir laqué avec un pickguard gris foncé, la forme du corps et de la tête vous feront très probablement penser à une guitare à tendance métalleuse. Sans être rattachée à une marque, les formes de la tête me font penser à un mélange de LTD et Fender, tandis que la découpe du corps m'évoque des formes d'Ibanez, et encore une fois de Fender. Les connaisseurs y verront surement d'autres influences, toujours est-il que la direction prise par le design est tout à fait en ligne avec les jeux annoncés comme compatibles avec l'instrument : Fortnite Festival et Rock Band 4. Malheureusement pas de Guitar Hero dans la liste, mais le dernier opus utilisait une configuration de touches totalement différente de ce qui avait été alors fait depuis le genèse des jeux de rythme à savoir 6 boutons placés sur 2 rangs au lieu de 5 boutons. La Riffmaster adopte donc la configuration classique des 5 touches : verte, rouge, jaune, bleue et orange, placées à la fois en haut du manche (vers la tête) pour les parties rythmiques et mélodiques, et en bas du manche, (vers le corps), pour ceux qui veulent avoir un placement de main réaliste pendant les solos. Sont également présents : une barre de gratte et un vibrato (logique !), un bouton PS, des boutons Option et Share, un bouton P1 configurable ainsi qu'un bouton PDP qui permet d'accéder à des réglages comme celui du son, une croix directionnelle ainsi qu'un sélecteur PS4 / PS5. Sans oublier, une prise jack 3.5 pour brancher un casque à la guitare plutôt qu'à une manette qu'il faudrait conserver à proximité, empêchant de jouer debout et sans déranger les membres du foyer qui dorment ou les voisins et un joystick, situé non pas sur le corps de la guitare mais au dos du manche, juste avant la tête. Quelques accessoires sont livrés avec la belle : une sangle, un dongle pour la connexion à la console et un câble USB A - USB C. Car contrairement aux "guitares de l'époque" qui étaient fournies avec des piles, la Riffmaster est moderne, et à l'instar de nos manettes, dispose d'une batterie rechargeable. La durée de jeu d'une charge est annoncée par le constructeur à plus d'une trentaine d'heures de jeu, et personnellement, après une seule charge et plus d'une vingtaine d'heures passées à replonger dans une douce nostalgie musicale, aucun signe de faiblesse de la part de la guitare. Autres fonctionnalités proposées par PDP, le pickguard amovible qui permet de stocker le dongle USB et la tête de la guitare qui peut être démontée (ce qui est le cas lors de l'ouverture du carton) et inversée en mode gaucher. Mais au niveau du montage, la principale différence avec les accessoires que j'ai pu connaître, c'est le manche pliable ! Au déballage, il m'a suffit de déplier le manche, pousser la languette pour bloquer la charnière et le tour est joué. Le démontage est tout aussi simple, les 2 étapes sont inversées. L'encombrement est alors minimal, parfait pour ceux qui ne veulent pas stocker la guitare dans sa forme complète. Connectivité Rien de plus simple : branchez le dongle USB (USB A) dans le port sur la façade de la console (port recommandé), positionnez le bouton en fonction de votre console, il ne vous reste plus qu'à allumer le périphérique qui est immédiatement détecté et identifié par la console, ici une PS5. La navigation peut se faire alors aussi bien avec la croix directionnelle qu'avec le joystick, qui tombe parfaitement sous le pouce. Prise en main Pour ceux qui ont déjà joué à Rock Band ou à Guitar Hero (ceux avant le dernier opus GH Live) ne seront pas dépaysés et devraient rapidement retrouver leur marques, les touches tombent naturellement sous les doigts, pareil pour la barre de gratte. Les dimensions avec la Fender Stratocaster de Rock Band sont presques identiques, ça aide. Pour les novices qui veulent profiter du mode pro de Fortnite Festival, Avec la Riffmaster vous allez simuler l'utilisation d'une guitare, avec une main qui devra s'occuper de 5 touches pour simuler l'appui sur les cordes, et l'autre main qui s'occupe de simuler le grattage des cordes avec une barre de gratte. Rien de plus simple si vous avez simplement déjà vu quelqu'un jouer de la guitare. PDP anonce une compatibilité de sa Riffmaster avec Fortnite Festival et Rock Band 4, c'est donc sur ces 2 jeux que j'ai testé la guitare. Fortnite Festival Pour le coup, c'est l'accessoire qui m'a fait découvrir le jeu. Et je ne trouve rien de plus horrible que de naviguer dans les menus de Fortnite, mais ça, ce n'est pas la faute de la guitare, le joystick et la croix directionnelle font ce que je leur demande de faire, et c'est bien là le principal. Une rapide calibration de l'instrument et c'est parti, je suis lancé sur la scène du Festival. Erreur de débutant, je n'ai pas compris immédiatement l'existance du mode pro et j'ai donc fait une partie en mode normal, où au lieu d'appuyer sur une ou plusieurs touche et de gratter en même temps en rythme pour valider la note, il suffit simplement d'appuyer sur le bon bouton au bon moment, avec seulement 4 touches utilisées, je peux vous dire que la Riffmaster fonctionne très bien dans ce mode. Comme elle fonctionne aussi très bien dans le mode pro, qui reprend l'utilisation classique de l'instrument. Toutes les touches sont détectées, je n'ai jamais ressenti de problème de latence ou de décalage soudain entre mes actions et leur répercussion en jeu, tout est toujours resté conforme à ce que j'avais paramétré lors de la calibration. Le seul soucis que j'ai pu avoir avec l'accessoire et le jeu, c'est la non détection de mes mouvements pour activer l'Overdrive (Star Power, ça vous parle ?) sur certaines chansons. Impossible de le déclencher, même en m'agitant nerveusement dans tous les sens. Et sans rien changer, ça fonctionnait sur la chanson suivante. Je mets ce défaut sur le compte du jeu, parce que dans... Rock Band 4 Pas le moindre soucis avec la Riffmaster et le jeu. Le déclenchement de l'Overdrive a toujours été détecté, souvent même plus efficacement que dans le jeu d'Epic Games. Comme précédement, toutes les touches pour jouer sont bien détectées, aucun décalage soudain ou perte de connexion entre la guitare, la console et le jeu, tout s'est super bien passé. Et ça m'a permis de me prendre une vague de nostalgie musicale dans la tête, qu'est-ce que ça fait du bien. Vous saviez que vous pouviez toujours acheter des morceaux pour le jeu ? Non ? Bah moi j'ai failli craquer, juste pour profiter encore plus de la Riffmaster et du plaisir de jouer. Un reproche que j'aurai pu faire à la guitare, c'est la première impression de mollesse de la barre de gratte. La sensation disparait vite, et pour avoir faire une comparaison rapide avec la Fender de Madcatz, c'est le même niveau de retour et de sensation, et ça n'empêche en rien de profiter de la Riffmaster ni d'enchaîner les notes à toute vitesse. Autre point à noter, en fonction de la taille de vos mains et votre positionnement sur le manche, le joystick peut déranger la position du pouce au dos de ce dernier. Aucun problème pour ceux qui préfèrent jouer avec le poignet un peu tourner et le pouce qui repose plutôt sur le côté du manche. Rien de bloquant. En fait, le seul vrai reproche que je peux faire, c'est l'utilisation de plastique laqué noir. Oui c'est beau, mais on sait tous que ça attire la poussière comme jamais et que c'est très sensible aux rayures. Mais c'est beau. Et ça va très très bien avec le look de la guitare. Rappel La Riffmaster dispose d'arguments solides pour se faire une place dans le foyer des amateurs de jeux de rythmes, ou ceux qui n'ont pas connus cette période bénie des jeux vidéos et qui veulent se lancer dans ce style avec Fortnite Festival, par exemple. Une batterie intégrée avec plus de trente heures de jeu sur une charge, une connectique USB C pour la charge et une prise casque pour ne réveiller personne, un look très sympa orienté métal qui est loin de me déplaire, une fabrication solide, cette guitare a tout pour plaire. Si vous avez le budget, que vous souhaitez vous (re)lancer dans les jeux de rythmes, allez-y, faites vôtre la Riffmaster.   Test réalisé par Jo-La-Mouche Merci à Turtle Beach / PDP pour l'envoie de la Guitar

PowerA : Deux câbles USB-C conçus pour optimiser votre expérience PlayStation 5

Par Redac chef
Le 16-03-25 à 22:14

Que ce soit pour recharger votre manette DualSense ou pour assurer une connexion stable avec vos accessoires, le choix du bon câble est essentiel. PowerA, marque reconnue pour ses accessoires gaming de qualité, propose deux câbles USB-C spécialement conçus pour la PlayStation 5 : 1. Câble USB-C vers USB-A PowerA pour PlayStation 5 Prix : 16€08 sur amazon  Longueur : 3 mètres  Connexion : USB-C vers USB-A Utilisation principale : Recharge et synchronisation de la manette DualSense Ce câble USB-C vers USB-A est idéal pour recharger votre manette DualSense tout en continuant à jouer. Avec sa longueur de 3 mètres, il vous offre une grande liberté de mouvement, évitant ainsi de rester collé à la console. Conçu pour offrir une charge stable et rapide, il garantit une connexion fiable entre votre manette et votre PlayStation 5. 2. Câble USB-C vers USB-C PowerA pour PlayStation 5  Prix : 18€85 sur amazon Longueur : 3 mètres Connexion : USB-C vers USB-C Utilisation principale : Connexion directe pour accessoires compatibles Ce câble USB-C vers USB-C est parfait pour les joueurs souhaitant connecter leur manette DualSense ou d'autres périphériques directement via un port USB-C. Il offre une transmission rapide des données et une charge efficace, garantissant ainsi une expérience de jeu sans interruption. Sa longueur généreuse permet un confort optimal, même lors de sessions prolongées. Quel câble choisir ? Pour une connexion universelle et une compatibilité plus large, le modèle USB-C vers USB-A est idéal. Il fonctionne avec tous les ports USB-A de la PlayStation 5 et d'autres appareils. Pour une connexion plus rapide et moderne, le modèle USB-C vers USB-C est recommandé. Il convient aux joueurs qui utilisent des accessoires récents nécessitant ce type de connectique. Quelle que soit votre préférence, PowerA propose des câbles fiables et adaptés aux besoins des joueurs PS5. Faites votre choix et profitez pleinement de vos sessions gaming !

[Test] Vidéoprojecteur Gamepix900 de Philips

Par Redac chef
Le 15-03-25 à 13:23

Pour ses débuts dans un domaine très concurrentiel, Philips a sorti son projecteur de jeu GamePix900. Compatible 4K 60Hz / 1400p 120Hz / 1080p 240Hz. Certifié HDR10 il offre donc des spécifications de premier ordre pour un prix de 699 € actuellement en précommande ce qui le rend particulièrement attractif mais il sera ensuite au prix de 1199€ , ce qui le mettra en concurrence directe avec des produits bien plus agressifs en termes de specs. La sortie est prévue en avril et les unités précommandées peuvent être suivies sur le compteur du site Philips. Présentation du GamePix900 - Résolution 4K (à 60 Hz), 1440p à 120 Hz et 1080p compatible 240 Hz - Latence ultra-faible de seulement 6 ms à 240 Hz - Luminosité de 1 000 lumens ANSI avec source lumineuse LED avancée - Taille d'affichage maximale de 120 pouces (305cm) - Prise en charge du HDR10 et couverture de 95 % de l'espace colorimétrique Rec. 709 - Trois préréglages de jeu spécialisés : Action, Aventure et Sport - Design compact de 2 kg pour des sessions de jeu nomade Le GamePix900 est livré dans une boite assez simple mais il est bien protégé. Vous trouverez le vidéoprojecteur, un double cable d’alimentation, une télécommande et 2 piles. Philips évalue la luminosité de l’appareil à environ 1 000 lumens (ANSI) ce qui est bien (pour 699€) mais pas exceptionnel (pour son prix final). Heureusement, une luminosité plus faible permet une ampoule beaucoup plus durable, et le GamePix900 est prévu pour une durée de vie d'environ 30 000 heures (environ 3,4 ans si vous l'utilisez 24 heures sur 24, tous les jours pendant cette durée). Lors de mes propres tests, je n'ai jamais trouvé la luminosité trop faible, surtout la nuit dans mon bureau, et je l'ai même testée contre un mur gris foncé, sans grand changement. Options Hormis ces caractéristiques de base, la GamePix est incroyablement minimaliste par rapport à certains autres appareils. Il n'y a pas de connectivité sans fil, pas de Bluetooth, pas de Google Casting, d'AirPlay, d'Android TV, ni rien de ce genre. Les entrées/sorties sont également incroyablement limitées, avec seulement un port HDMI, une sortie d'alimentation USB Type-A, une prise casque, et …c'est à peu près tout.   Il n'y a pas non plus de fonction automatisée. Pas de trapèze automatique, pas de mise au point automatique : tout doit être réglé manuellement. Ce n'est pas la fin du monde, et en réalité, si vous envisagez une utilisation fixe : vous le ferez probablement une fois et ne le déplacerez plus jamais, mais cela aurait quand même été un ajout appréciable et à nouveau, ce sont des fonctionnalités basiques si on le considère à son prix final. La qualité de fabrication est globalement assez moyenne, malheureusement. Le boîtier est un simple plastique noir bon marché qui absorbe les traces de doigts, avec une légère touche rouge autour de l'objectif, et c'est tout. La ventilation latérale est bonne, les ventilateurs sont élégants et silencieux, et il est livré avec un pied avant réglable et une télécommande plus que simpliste. Mais le design est plutôt sobre. Pas de clinquant ni de glamour ici ; cela pourrait néanmoins être un avantage. Après tout, c'est l'image qui compte, pas l'appareil. Si vous connaissez le marché actuel des projecteurs, vous constaterez que les unités 4K comme celle-ci et leurs spécifications équivalentes sont désormais monnaie courante. Certains concurrents à moindre prix s’accompagnent cependant d’une certaine latence, ce que n’est pas le cas ici , en tout cas, cela ne m’a pas gêné, d’autant que le mode gaming est disponible justement pour réduire la latence. Qualité d’image Philips semble donc avoir mis tout son savoir faire dans la qualité d’image du GamePix 900 : et quelle qualité d'image ! Quel plaisir d'utiliser cette machine ! Elle est peut-être minimaliste, voire simple, mais la clarté et les couleurs sont exceptionnelles. La 4K répond parfaitement à ce principe, avec une définition cristalline et des couleurs éclatantes, avec des tons sombres impressionnants, quel que soit le contenu visionné. En mode jeu, j’ai joué à la PS4 et à la PS5 dessus et je dois avouer que les couleurs étaient superbes. J’ai mesuré la diagonale affichée à 125cm (50 pouces) pour un recul de 150cm. On peut tenter de reculer l’appareil pour atteindre une image de 300cm (120 pouces) mais bien évidemment, on perdra en qualité d’image et le bon compromis semble se situe entre les 2. Les réglages sont encore une fois assez basiques. Il n'y a pas grand-chose à signaler. Il existe une multitude de profils colorimétriques, certains un peu étranges ; « Le plus lumineux », par exemple, semble rendre l'image entièrement verte ; le mode standard est un peu sombre, et le mode cinéma le fait passer à un mode plus chaud. Cependant, de nombreux réglages permettent d'ajuster le contraste et les tonalités exactement comme vous le souhaitez. J’ai essayé de connecter mon disque dur externe Samsung de 2To pour visionner des films mais il n’a pas été reconnu, je suis donc passé par la console elle-même, idem en ce qui concerne Netflix. Autant la colorimétrie sur les jeux PS5 m'a parue très propre, autant le logo Netflix qui est apparu en orange, m'a fait comprendre que la colorimétrie devait être ajustée selon les cas Qualité sonore. Le projecteur intègre également un système audio de 2 x 5W. Le son est à peu près correct mais n’est biuen évidemment pas à la hauteur de l’image. Pouvait-il en être autrement avec un si petit gabarit. Pas d'aigus ni de haut-parleurs, des basses excessives, un volume très élevé, mais ils feront l'affaire en cas de besoin. S’il est utilisé de façon nomade ou en extérieur, ça fera l’affaire. Mais pour jouer, on privilégiera ne utilisation avec casque (à brancher sur la console car les dongle USB ne sont pas reconnus par le port USB-A à l’arrière du Gamepix). Il n’y a qu’une prise Jack à l’arrière … un peu d’un autre temps. Conclusion Le GamePix 900 est un appareil assez minimaliste. Il offre l'essence même d'un projecteur : une qualité d'image exceptionnelle et une précision des couleurs impressionnante, le tout sur un écran de très grande taille (120 pouces à sa focale maximale). Il offre une latence adaptée au gaming et une expérience gréable une fois mis en place et avec une sortie son annexe. Cependant, il lui manque le raffinement, les fonctionnalités et la qualité de fabrication que d'autres projecteurs proposent à son prix de vente, ce qui le pénalise peu à 699€ mais considérablement pour 500€ de plus. Si vous pouvez l'obtenir grâce à la réduction de précommande, vous avez devant vous l'un des meilleurs achats de projecteur 4K de l'année. Mais surtout, s'il est en vente au détail, s'il est disponible après avril ou si Philips n'a pas maintenu cette réduction après coup, mieux vaut chercher ailleurs.

[Test] Clavier Red Blade de Designed By GG

Par Redac chef
Le 15-03-25 à 07:25

Alors que les constructeurs stars en termes de ventes sont désormais soit asiatiques, soit américains, il peut aujourd’hui paraitre surprenant et original de trouver des sociétés françaises de hardware. C’est pourtant le cas de DesignedbyGG, fruit du travail de Christophe Lin qui après s’être lancé avec des souris gaming, s’est désormais orienté sur le marché des claviers. Il va sans dire que je commence à en avoir eu sous les doigts des claviers. Tous ont eu leurs lots d’avantages et de défauts et rares sont ceux qui m’ont totalement conquis tant au niveau de la qualité que du prix. Pour preuve, le clavier que j’utilise au quotidien pour la bureautique a un prix totalement abusé, ce qui n’est pas le cas ici. Le Red Blade est l’une des quatre références actuelles du constructeur et le dernier né de Designedby. Il s’agit d’un clavier mécanique filaire qui vise à offrir des performances de haut niveau à un prix abordable puisqu’il est proposé à 89.99€ (ou 109.99 avec son repose poignets), soit le prix le plus doux de la gamme. Avec ses switches htswap (dont remplaçables) linéaires pré-lubrifiés (ce qui limite les frottements et rend la frappe plus agréable), sa compatibilité avec les firmwares open-source et son design pensé pour les amateurs de frappe précise, ce clavier promet une excellente expérience utilisateur. Voyons en détail ce qu'il vaut réellement. Design et construction D’un point de vue esthétique, Le Red Blade adopte une conception minimaliste et élégante. Disponible en noir et en blanc, il arbore un châssis sobre et épuré, tel un monobloc, qui s'intègre facilement dans n'importe quel setup. Son format full-size garantit un accès rapide aux touches numériques et aux fonctions additionnelles, ce qui le rend polyvalent pour le gaming et la bureautique, ce qui me convient tout particulièrement je dois l’avouer. Les claviers que j’ai pu tester récemment comme le G915 TKL de Logitech sont certes très bons mais totalement inadaptés pour mon usage mixte et je retourne sans arrêt sur mon clavier Cherry en général.   Le clavier est construit sur une base solide, pesant environ 900 grammes, ce qui assure une excellente stabilité sur le bureau. Les matériaux utilisés sont de bonne facture, avec des keycaps en PBT (donc le meilleur matériaux)  double injection (donc plus résistant car moulé en 2 couches) qui favorisent une résistance totale. On notera une construction avec une structure Gasket mount, ce qui permet d'amortir les frappes ce qui participe à son acoustique si feutrée. Un kit d’entretien comprenant une pince d’extraction pour les interrupteurs, deux interrupteurs de remplacement, une chiffonnette et une clé six pans sont fournis. Expérience de frappe Le Red Blade est équipé de switches linéaires Red Blood Lite, spécialement conçus par Designed by GG. Ces switches sont pré-lubrifiés en usine, ce qui réduit la friction et améliore la fluidité de la frappe. Leur activation est rapide et précise, avec une force d’actionnement modérée qui conviendra aussi bien aux joueurs qu’aux dactylographes. Le clavier adopte une structure de montage en mousse qui permet d’obtenir une expérience de frappe très souple et un son feutré, réduisant les nuisances sonores sans sacrifier la réactivité. Donc pour celles et ceux qui aiment un clavier « brut » et qui claque au niveau des touches, cela ne fera peut être pas votre bonheur. De plus, les stabilisateurs sont vissés et lubrifiés, éliminant les bruits parasites souvent présents sur des modèles moins soignés. Pour un clavier avec des profils hauts de frappe, je pense qu’il s’agit d’un des meilleurs compromis à la vue du prix. De plus le son de frappe est si agréablement que mon épouse m’a dit que je m’étais mis à l’ASMR clavier. L’autre chose qui ne ment pas c’est le nombre de miss click qu’on peut faire avec un nouveau clavier. Et bien là, je n’en fais quasiment aucun, que cela soit en jeu ou en bureautique. C’est un paramètre qui dépendra de chaque utilisateur, mais en ce qui me concerne, l’espacement lié à la surface assez réduite de chaque touche est tout simplement idéale. En revanche, le clavier est assez haut et impose de relever les poignets pour frapper. Sans repose poignets, il est indispensable de relever la frappe avec les patins d’orientations (à 2 niveaux) sous le clavier. Fonctionnalités et personnalisation Un des points forts du Red Blade est sa compatibilité avec QMK et VIA, deux firmwares open-source qui permettent de programmer chaque touche selon les préférences de l’utilisateur. Le firmware est disponible sur le site de la marque et pour les paramétrages et personnalisation, cela se passe directement sur une page web (sur chrome je n’ai eu aucun souci, mais sur firefox, c’était impossible). Cela nécessite d’avoir le tuto .pdf sous les yeux car ce n’est pas franchement intuitif, mais on y arrive sans trop de mal en suivant les étapes. Que ce soit pour définir des macros, remapper des touches ou ajuster le rétroéclairage RGB, les possibilités sont nombreuses. On ressent quand même le côté « fait-maison », loin des logiciels des constructeurs plus aguerris mais qui imposent de mettre des drivers sur le PC et des installations qui consomment des ressources. Le clavier est également hot-swappable, c'est-à-dire que les switches peuvent être remplacés sans nécessiter de soudure. Cela permet aux utilisateurs de personnaliser entièrement leur expérience de frappe en testant différents types de switches selon leurs préférences.   On trouvera sur le clavier des accès directs bienvenus pour qui en a l’utilité, comme la touche calculatrice, les variations de son. Le clavier possède aussi une touche « Fn » mais aucun lien de raccourci n’est visuellement présent de manière native sur les touches F. Rétroéclairage et connectivité. Le Red Blade propose un rétroéclairage RGB personnalisable touche par touche. Grâce à VIA, il est possible d’ajuster les couleurs et les effets lumineux selon ses envies. La luminosité est correcte et homogène, même si elle est légèrement atténuée par l’opacité des keycaps en PBT. Côté connectivité, le clavier fonctionne en mode filaire avec un câble USB-C détachable, assurant une connexion stable et une latence minimale. C’est une option de puriste mais il reste quand même préférable d’avoir le choix entre du sans fil ou non et cela peut constituer un frein à l’achat de ce clavier selon moi. De fait pendant ma semaine de test , j’ai continué d’utiliser mon sans fil et j’ai alterné entre les 2 claviers, mais sans aucun problème de transition. Conclusion Le Red Blade de Designed by GG est un clavier mécanique impressionnant pour son prix. Entre sa construction soignée, ses switches linéaires performants, sa compatibilité avec QMK/VIA et son design ergonomique, il offre une expérience de frappe de qualité incroyable mais qui peut s’avérer fatigante pour les poignets si vous n’avez pas de quoi les surélever du haut de la hauteur du châssis. Que vous soyez joueur ou adepte de la saisie bureautique, ce clavier saura répondre à vos besoins. Peut etre pas le clavier avec le plus d’option mais clairement un des meilleurs rapports qualité/prix qu’il m’ait été donné de voir jusqu’à présent. Et pour les adeptes de game only, il existe des versions TKL comme le Berserker qui coute en revanche plus cher. Avec un tarif compétitif autour de 89,99 €, le Red Blade s’impose comme une excellente alternative aux claviers plus onéreux tout en conservant une qualité premium. Il existe une version plus premium du Red Blade : l’IronClad V3 qui selon la fiche produit offre encore de meilleures sensations mais pour un poids et un prix nettement plus élevés. J'espère que la marque va continuer de nous offrir des produits d'aussi grande qualité et peut être diversifier ses produits.   Merci à Designed by GG pour l'envoi du Red Blade.  

[Test] - Nouveaux SSD M.2 de Lexar : NM790 et NM1090

Par Redac chef
Le 20-02-25 à 12:42

Lexar est bien connu pour ses composants de mémoire, notamment ses cartes mémoire, ses clés USB, ses lecteurs portables, ses lecteurs de cartes, sa RAM et ses SSD. Aujourd’hui je vous propose une présentation de deux de leurs derniers produits : le SSD M.2 NM790 compatible PS5, le SSD M.2 NM1090 ainsi qu’une solution RAM pour votre PC SSD M.2  NM790 SSD Lexar NM790 au format M.2 PCIe Gen4 NVMe offre des performances de lecture de 7 400 Mo/s et d'écriture de 6 500 Mo/s et utilise la mémoire tampon hôte (HMB) 3.0 au lieu d'un cache DRAM dédié, ce qui permet de réduire les coûts et la consommation d'énergie. Il dispose également d'une mise en cache SLC dynamique. Lexar propose le SSD NM790 en deux variantes, l’une sans dissipateur thermique, plus pour une utilisation PC et l’autre avec un dissipateur thermique intégré préinstallé qui pourra être également utilisé sur PS5. Chaque modèle existe en 3 capacités (liens amazon) - Sans dissipateurs : 1To à 85€, 2To à 144€, 4To à 266€ et même 8To à 780€ (on oublie à ce prix) - Avec dissipateurs : 1To à 95€, 2To à 170€, 4To à 290€ L'avantage de ces trois capacités est qu'elles offrent toutes les mêmes performances en lecture et en écriture : lecture séquentielle jusqu'à 7 400 Mo/s et écriture séquentielle jusqu'à 6 500 Mo/s. Ainsi, quelle que soit la capacité que vous achetez, vous obtenez les mêmes performances. Le TBW (total de téraoctets écrits) est plutôt correct : 1 000 TBW pour la version 1To, 1 500 et 3000TBW pour les capacités supérieures. Les disques sont donnés pour 1 500 000 heures de fonctionnement (ça en fera des trophées) et Lexar offre une garantie limitée de cinq ans. Une fois installé, le SSD Lexar NM790 offre une belle esthétique industrielle noire qui s'intégrera parfaitement à n'importe quel système PC. Les débits sont extrêmement élevés. En conditions réelles de test, les valeurs avancées par le constructeur sont légèrement moins flatteuses mais somme toute très acceptables avec 6500Mo/s en écriture et 5600Mo/s en lecture séquentielle, ce qui renvoie quand même à l’âge de pierre nos vieux disques durs. Notons que comme tous les SSD, le débit baisse en fonction du remplissage. Il s’agit donc d’un disque très performant, au tarif moins élevé que la concurrence.   SSD M.2  NM1090 Le second disque de Lexar est assez surprenant à bien des égards. Il s’agit du Lexar professional NM1090, fleuron de la marque puisque compatible PCIe Gen 5 x4 / NVMe 2.0 2280. Nous partons sur le terrain des très hauts débits (ils l’étaient déjà). Pour rendre les choses encore plus intéressantes, ce disque semble également être l'une des options PCIe 5.0 les plus abordables du marché, même si cela s’adresse pour l’instant à un public de niche : 188€ le 1To, 336€ le 2To. Lexar inclut une solution de refroidissement intégrée pour aider à maintenir les températures du disque sous contrôle ainsi qu’un rétroéclairage qui explique de fait la présence d’un câble bien disgracieux sur le SSD , et qui hélas n’est pas amovible et qui impose un peu de cable managment dans votre tour. D’ailleurs, on frôle légèrement le malaise quand on ouvre la boite sur laquelle il n’est nullement question de ce cable aRGB Le NM1090 utilise le facteur de forme standard M.2 2280 , ce qui signifie qu'il est compatible avec pratiquement toutes les cartes mères modernes, même s'il n'a pas d'emplacement PCI Express 5 M.2. Le Lexar NM1090 atteint des vitesses remarquables via PCIe Gen 5. Grâce à quatre voies PCIe et à des technologies modernes telles qu'un cache DRAM et un cache SLC dynamique, le SSD atteint une vitesse de lecture allant jusqu'à 12 000 Mo/s et une vitesse d'écriture allant jusqu'à 11 000 Mo/s pour les versions 4 To et 2 To. La version plus petite de 1 To atteint 11 500 Mo/s et 9 000 Mo/s. Cela le rend idéal pour les applications haut de gamme, les jeux et les charges de travail professionnelles. Microsoft Direct Storage est également pris en charge, ce qui augmente encore les performances des systèmes compatibles. Avec ses dimensions de 80 x 22 x 2,45 mm au format M.2 2280, le NM1090 est compact et s'intègre dans la plupart des PC et ordinateurs portables modernes. Le dissipateur thermique intégré, qui refroidit activement avec un ventilateur, est particulièrement remarquable puisque la température est contenue entre 55 et 65 degrés, mais il faudra être attentif à son efficacité sur la durée. Il est compatible avec les intel de génération 13 et 14 ainsi que les série 7000 et supérieures chez AMD. En ce qui concerne le TBW, il est seulement de 700To pour la version 1To puis de 1400 To et 3000To pour les version 2 et 4To. C’est un peu décevant de ce côté-là si vous avez de très lourdes tâches et tranfers à effectuer, mais il est quand même garanti 5ans Bien sûr ici, il n’est pas question de le mettre dans une PS5 qui ne prend pas en charge le PCIe 5.0   Kit 32G RAM DDR5 ARES La RAM présentée ici, dont je vous avais déjà parlé lors du black Friday est le kit 32GB en DDR5 5. En plus d'être cadencée plus haut que la RAM DDR5 classique de Lexar puisqu’atteignant les 6400Mhz, la gamme ARES est également dotée de dissipateurs thermiques en aluminium éclairés par RVB pour un look agressif. Lexar accompagne la mémoire d'une garantie à vie. Cette mémoire ARES prend en charge les paramètres de mémoire Intel XMP 3.0 et AMD EXPO à activer directement dans le Bios de la carte mère . Les timings à 6400 Mhz sont 32-38-38-76, et la tension passera de la valeur nominale de 1,4V. On retrouve donc à la fois les avantages de la DDR5 par rapport à la DDR4 : des fréquences élevées mais des latences un peu à la traine Le kit existe également en blanc et peut être overclocké grâce à ses puces des puces mémoire Hynix A-die Le kit est actuellement disponible chez Amazon pour 131€ et s'avère être l'un des plus performant du marché.      

[Test] - Manette PC Wolverine 3 Pro de Razer

Par Redac chef
Le 14-02-25 à 15:37

Les manettes « pro » sont des produits de plus en plus prisés par les joueurs bien qu’elles s’affichent à des prix nettement plus élevés que les manettes standards qui sont de plus en plus qualitatives. L’offre n’est finalement pas pléthorique et bon nombre de joueurs sont encore perplexes quant à l’idée d’y mettre le prix. Marque très connue pour ses équipements hauts de gamme et qualitatifs, Razer vient de sortir la Wolverine V3 pro qui pour l’instant est destinée aux mondes PC/Xbox mais qui aura peut-être droit à une itération PlayStation (car la V2 était compatible Playstation … étrange choix). Fidèle à son nom, il s'agit d'une manette « pro » avec de nombreuses fonctionnalités qui expliquent son prix affiché à 219.99 € (soit 80€ de moins que la V2pro Edition PlayStation) et qui existe en version noire ou blanche.   Le prix est toutefois comparable à celui des autres manettes professionnelles que j'ai testées, comme la Vitrix Pro BFG . Bien que cette dernière ait ses propres avantages et une originalité folle, je dois dire que la Razer apporte un côté classe et moins « jouet » que la manette de PDP. Et si cela ne vous dérange pas de perdre la fonction sans fil et quelques autres fonctionnalités mineures, il existe une Wolverine V3 Tournament Edition filaire qui vous offre presque toutes les fonctionnalités de la V3 Pro à moitié prix. En passant à la version Pro, vous bénéficiez d'une connexion sans fil à haut débit de 2,4 GHz, d'un étui de transport, d'une finition légèrement caoutchoutée, de deux capuchons de joystick interchangeables (un dôme plus court et un concave plus haut), d'une meilleure haptique et du rétroéclairage Chroma de Razer.   Il y a bien sûr aussi une batterie intégrée pour l'alimenter lorsqu'elle est utilisée sans fil. Le reste des fonctionnalités est le même entre les deux versions. • Manettes à effet Hall • Déclencheurs réglables • Pare-chocs à griffes • Quatre pagaies arrière • Boutons d'action tactiles et D-pad flottant à huit directions • Mode tournoi avec un taux de sondage de 1 000 Hz sur PC À ce prix, il devrait être évident d'avoir des joysticks à effet Hall sur une manette haut de gamme, mais ce n'est pas toujours le cas. Ils constituent l'une des principales caractéristiques de la Wolverine V3, car ils mettent fin aux "strick drift" et augmentent la durabilité. Ils ont juste assez de résistance pour un contrôle plus précis, et les anneaux antifriction qui les entourent permettent aux joysticks de glisser en douceur. En principe cette manette est donc faite pour durer. Concernant les gachettes, il y a des butées , ce qui vous permet d'avoir un actionnement court et rapide ou une traction plus longue. Ce n'est pas inhabituel, mais la sensation est nettement meilleure ici, vous offrant une réponse de gâchette au clic de la souris pour les jeux de tir à la première personne lorsqu'elle est verrouillée ou un mouvement de gâchette fluide avec une quantité parfaite de résistance pour un contrôle précis pour les jeux de course (un régal sur Forza). Notons que la manette tient bien en main grâce à sa texture mais que les poignées sont un peu courtes si vous avez des grandes mains. L'application Xbox de Razer pour les personnalisations est claire et simple. Vous pouvez remapper ou désactiver complètement chacune des quatre palettes arrière et les pare-chocs de la poignée à griffes, régler la sensibilité du stick analogique, modifier la force haptique et changer la couleur RVB du logo Razer, entre autres choses. Les paramètres peuvent ensuite être enregistrés dans des profils individuels pour différents jeux, genres, utilisateurs ou tout ce que vous voulez. Vous ne pouvez pas remapper les gâchettes, les pare-chocs ordinaires ou les boutons d'action. La V3 Pro bénéficie de la prise en charge d'un taux de sondage de 1000 Hz, une fonctionnalité empruntée à la technologie de souris de Razer. C'est quatre fois plus élevé que la moyenne des contrôleurs et est probablement imperceptible pour la plupart des joueurs, mais pourrait offrir un avantage à quelques privilégiés. Ce mode Tournoi n'est cependant disponible que sur PC. J'ai utilisé de nombreuses manettes avec des palettes, et elles semblent toujours gêner ou être difficiles à utiliser. Razer a réussi à obtenir les tailles et les positions des palettes parfaites, nettement meilleures que celles de la Edge. La sensation des boutons est également bonne mais attention, ils émettent un "clic" plutôt bruyant qui pourrait géner les personnes autour de vous. En fait, tous les boutons et le D-pad ont un clic réactif proche de la perfection et jouer sur PC est un vrai délice. Les stick ont également une course plus efficace que sur la dualsense avec un retour en position neutre très rapide. Bien sur vous pourrez jouer aux titres PlayStation sur PC avec cette manette, ce qui pourra plaire aux afficionados des stick asymétriques qui sont rarissimes sur Play (Nacon en propose de très bonnes par exemple ou alors Razer avec sa V2 pro mais c’est 300€ la bête) La manette se connecte sans fil au PC à l'aide du dongle USB-A 2,4 GHz inclus (il n'y a pas de Bluetooth). Il y a également un câble USB-A vers USB-C de 3 mètres, ce qui permet également de l'utiliser en mode filaire. L'autonomie de la batterie est solide, avec environ 20 heures par charge, ce qui est largement suffisant pour les tournois ou les longues sessions de jeu. Même si elle tombe en rade en cours de partie, la V3 Pro fonctionne parfaitement lorsqu'elle est connectée au câble. Lors de mes propres tests, la manette m'a tenu environ une semaine et demie entre deux charges, donc je ne peux pas me plaindre. Encore une fois, 219.99€ est sans aucun doute une dépense importante pour une manette, mais Razer n'a pas lésiné sur les fonctionnalités de la Wolverine V3 Pro. Si vous recherchez une manette Xbox ou PC complète, c'est l'une des meilleures que vous puissiez obtenir en ce moment. Il ne reste plus qu'à espérer une version Playstation / PC Merci à Razer pour l'envoi de la manette.

[Test] - Fauteuil gaming ISKUR V2 X de Razer

Par Redac chef
Le 09-01-25 à 18:37

Objet tendance et à la mode des joueurs PC , les chaise ou fauteuils Gaming sont des concentrés de technologie mais qui coutent généralement un bras. Ayant bien compris ce problème et souhaitant se positionner sur un marché loin des références proches des 1000€ (qu’il propose aussi), Razer vient de présenter au CES 2025 , le fauteuil ISKUR V2 X au tarif de 299.99€ (en préco). Faisant fatalement des concessions par rapport au modèle ISKUR V2 X vendu à 699.99€, voyons ce si le petit frère est aussi agréable pour le dos que pour le portefeuille pour quand même 400€ de moins ! Montage Livrée dans un carton de grand gabarit, vous trouverez la chaise est peu de morceau, ce qui facilitera donc son montage. Vous trouverez essentiellement l’assise, le dossier et le pied à assembler et le tout sera opérationnel en même pas 5/10 minutes si vous êtes 2 ou seul : un vrai régal. Si besoin, une notice est fournie tout comme les outils de vissage. A noter que tout est extrêmement bien conditionné et protégé avec soin grâce à des mousses. Étapes du montage Conception Le Iskur V2 X est fabriqué à partir d'un matériau rembourré avec des fibres multicouches, offrant un matériau respirant et frais pour les longues sessions de jeu. On a donc une chaise qui abandonne le cuir / similicuir, ce qui est certainement à l’origine du régime du prix, pour le tissu. A voir sur la durée si cela se traduit par une perte de qualité en assise ou une plus forte dégradabilité (mon siège Maxnomic n’ayant lui pas bougé depuis 7 ans). Ce que je peux en revanche vous dire de suite, c’est que le revêtement a fortement plu à mon chat (et le tissu accroche bien ses poils ...) Vous n'aurez qu'une seule option de couleur : le noir avec des coutures vertes, fidèles à la marque et surtout le serpent à trois têtes qui est fièrement en haut du dossier Le cadre et le pied sont faits d’acier. Le pied comporte toujours cinq roues de 50mm qui bougent bien. Et l’axe mobile qui supporte le siège en lui-même. Confort et utilisation Élément quasi indispensable pour toute chaise gaming qui se respecte, le support lombaire est toujours présent et intégré directement dans le dossier et non modifiable (position, intensité). Le rembourrage en mousse offre une bonne répartition de la pression et Razer a conservé la conception du siège large dans une base large de 545 mm, ce qui offre vraiment une large assise et permet de vraiment se poser dans le siège sans être trop étriqué si vous avez un large gabarit. A ce propos il est recommandé pour des tailles de 160 à 190cm et une masse maximale de 136kilos, il y a de la marge normalement. L’assise est vraiment confortable et la mousse dense permet de bien reposer son popotin. Les accoudoirs sont réglables en hauteur et offre un positionnement adapté tout comme un rangement facile sous un bureau. Là où je serai plus critique concerne quelques points - Les accoudoirs sont bien trop mobile sur leur partie terminale (au niveau des mains),et bougent un peu pour un oui ou pour un non dès qu’on les touche - Le système de bascule en arrière à 152 degrés et de réglage du dossier est carrément violent et se déplace par à-coups secs. J’ai l’impression qu’une fois réglé on n’y touchera plus. A coté du Titan Evo ou du Maxnomic, c’est quand même très en dessous. - Le position fixe laisse toujours un peu de jeu en ce qui concerne la bascule, peut être 5 degrés qui sont quand même un peu regrettables si on souhaite ne pas trop bouger. - Les roues sont très mobiles sur un parquet et seront plus adaptées sur un revêtement de type lino ou moquette Bilan Il a fallu faire quelques concession pour enlever 400€ à la chaise haut de gamme de Razer. Le passage du cuir au tissus a du largement aider et au final il n’y a pas beaucoup de concessions de faites en ce qui concerne le confort. En revanche si vous souhaitez un fauteuil pour alterner souvent le dossier et passer en position assise / allongée à la volée, vous risquez d’être frustrés. Malgré quelques défauts, toujours est -il qu’on ne peut qu’applaudir Razer pour proposer un tel produit à moins de 300€ car rapport à la concurrence. Allez je vous la remets car je sais que c'est votre photo préf Merci à Razer pour l'envoi de ce produit !

[Test] - Bras double écran MAGNUS de Secretlab

Par Redac chef
Le 09-01-25 à 15:33

Si comme moi, vous êtes de plus en plus amené à jouer loin de la télé et davantage sur votre écran d’ordi, peut-être vous êtes-vous perdu dans la jungle des accessoires pour rendre votre setup aussi fonctionnel que visuel (démarche très tendance depuis plusieurs mois). Cela fait un moment que je cherche un bon double bras pour mes 2 écrans de 27 pouces et entre les systèmes qui imposent un recul important par rapport au mur ou les matériaux bas de gamme qui ne tiennent pas dans la durée, difficile de trouver quelque chose qui répondait à mes attentes pour améliorer mon setup Pc actuel. Secretlab, spécialiste de matériel bureau gaming haut de gamme a lancé toute une gamme d’accessoire compatibles avec ses produits stars : le bureau Magnus et le fauteuil Titan Evo testé par Bas. L'un d'entre eux est le double bras de moniteur Secretlab MAGNUS qui a été conçu pour le bureau MAGNUS, mais qui s’adapte tout à fait aux bureaux plus standards pour peu que l’épaisseur soit comprise entre 10 et 50mm (ce qui est le cas de mon bureau / plan de travail Ikea de 38mm). Au prix de 259€, existant dans un coloris noir ou blanc le double bras articulé supportera deux écrans jusqu’à 8k et 34 pouces par écran. 1 - Présentation du matériel Marque premium obligé, les produits Secretlab sont toujours dans un état impeccable et parfaitement bien rangés dans un emballage propre et net. Ici on ne déroge pas à la règle puisque toutes le pièces sont protégés par une mousse qui protège parfaitement chaque pièce. À l'intérieur, vous avez le kit d'outils Secretlab MAGNUS qui comprend également des vis VESA étendues dont certains moniteurs auront besoin (sinon ils ne pourront tout simplement pas être montés). Vous avez donc : - le support de bureau renforcé qui ne déformera pas votre bureau même avec un serrage important - deux parties pour chaque bras au-dessous desquelles se trouvent une partie magnétique pour le cable management. A l’extrémité on trouve une zone de « libération rapide des écrans » rendant le montage/ démontage plus qu’aisé. - deux plaques VESA compatibles 75 et 100 mm à monter à l’arrière des écrans 2 - Spécifications • Construction en aluminium • Montage par pince en C • Compatible VESA MIS-D (trous : 75 mm x 75 mm ou 100 mm x 100 mm) • Taille maximale de l'écran : moniteur 34 pouces sur chaque bras • Poids minimum : 2.5 kg • Poids maximal : 8 kg • Encastrement maximal de l'interface : 10 mm (entretoises fournies) • Plage d'inclinaison : +90°/-90° • Plage de pivotement de l'écran : +90°/-90° • Plage de rotation de l'écran : +90°/-90° • Plage de réglage de la hauteur : 295 mm • Portée du bras étendu : 515.7 mm 3 - Montage Avant de monter définitivement les écrans, j’ai voulu voir s’il était possible d’avoir mes 2 écrans côte à côte sans recul. J’ai donc installé le tout sur une zone du plan de travail très accessible. Sans même serrer/desserrer les vis des bras, on constate que tout tient très bien en place. De base, les vis sont déjà bien serrées et on pourra ajuster les positions avec le kit d’outil et la clé très pratique. En même pas 10 minutes, les 2 bras étaient positionnés. Je constate donc qu’il ne sera pas possible d’avoir mes 2 écrans totalement côte à côte et qu’il faudra soit un espace entre le bureau et mon mur, soit avoir un angle sur un écran, ce qui tombe bien puisque c’est comme ça que je les utilise (2 écrans de 27 pouces à plat imposant un champ visuel non naturel).     Je place donc le bras et les écrans dans leur position définitive. Il suffit juste ensuite de bien visser les différentes zones. On garde uniquement de la mobilité sur la rotation des écrans, qui est à la fois très souple et robuste. Si vous souhaitez un écran qui oscille entre les positions horizontale et verticale, c’est très pratique. 4 – Gestion des câbles Une fois les écrans positionnés, le cable management, est permis grâce à des parties magnétiques sous les pièces articulées. Les alim et les DisplayPort passent nickel et attestent du côté premium de SecretLab. J’ai refait un trou dans mon plan de travail pour l’optimiser encore plus. Dernière étape, le retrait des protections pour faire apparaitre la réelle esthétique du produit… que vous ne verrez pas puisque derrière vos écrans ^^ La construction en aluminium avec revêtement poudré est top en vrai, les photos ne lui rendent pas justice. Elle est également agréable au toucher, si cela compte pour vous. 5- Bilan Bien conscient que ce matériel tire toute sa force s’il est associé à un bureau Magnus de la marque, je ne suis pourtant clairement pas déçu tant il apporte ce que je cherchais : mon bureau a un meilleur look, mes écrans tiennent parfaitement en place et même en cas de choc sur le bureau , ils ne bougent pas d’un poil. Je n’ai plus l’énorme pied de mon écran AlienWare qui prenait trop de place sur mon étagère de bureau et qui débordait de manière disgracieuse. Après plusieurs jours de mise en place, rien n'a bougé et je suis extrêmement satisfait. Si vous cherchez un double écran, vous pouvez foncer bien que le prix soit quand même salé. Retrouvez tous les produits SecretLab ici et contribuez à aider PSTHC

[Test] - Casque Logitech Astro A50 Lightspeed + Base station

Par Redac chef
Le 22-12-24 à 00:58

La qualité du son, la personnalisation et le confort seront toujours les trois grands critères lorsqu'il s'agit de mesurer la qualité et la valeur globales d'un casque de jeu. Des casques, j’en teste… beaucoup et je dois dire qu’il devient difficile de faire les différences tant la qualité est désormais de mise pour un très grand nombre de constructeurs. Parmi eux, Logitech, ultra connu pour ses périphériques PC, qui a racheté la marque Astro il y a quelques années (2017). Fort de son expérience, la marque suisse nous a confié son fleuron de 399€ (mais actuellement en promo à 349€99) : Le wireless Logitech G ASTRO A50 X LIGHTSPEED + station de base, livré dans son énorme boite En général, lorsqu'un casque de jeu sans fil est livré avec une station de base, celle-ci sert principalement de station d'accueil et de chargeur pratique pour que vous puissiez le poser entre deux sessions de jeu et ne pas avoir à vous soucier de la durée de vie de la batterie, car elle sera toujours rechargée. La station de base, telle qu'elle est incluse ici, possède toutes ces caractéristiques ; c'est une petite unité robuste et élégante qui vous donne envie que tous les casques soient livrés avec un moyen pratique de ranger et de charger l'appareil tout en étant capable de mettre en valeur son design. . Une station de base ajoute un coût considérable au développement, à la fabrication, à l'emballage et, en fin de compte, au prix d'un casque de jeu. Et lorsque vous êtes sur l'un des marchés les plus compétitifs, ajouter un coût supplémentaire pour quelque chose qui ne change pas fondamentalement la qualité audio ou le son peut être risqué. Sauf qu’ici, nous avons une station de base des plus avancées, les plus riches en fonctionnalités et les plus impressionnants que j’ai pu tester jusqu’à maintenant. Elle permet aux utilisateurs, grâce à son système PLAYSINC, de basculer instantanément et en toute transparence entre les sources PC, PlayStation et Xbox pour la vidéo et l'audio. La Station comprend plusieurs entrées HDMI et un passthrough HDMI 2.1 4K 120 complet - une première ! Il s’agit donc d’un véritable Hub dont le Lightspeed Wireless garantit une transmission audio sans latence. Il convient toutefois de noter que le casque ne peut pas être utilisé en mode filaire, il s'agit d'un casque résolument sans fil. Alors, comment se situe-t-il au niveau de la qualité sonore, de la personnalisation et du confort ? Très bien, la qualité sonore ici est excellente, chaleureuse, accueillante et tonitruante quand il le faut. La vraie surprise est le microphone et l'un des meilleurs que vous trouverez sur un casque de jeu. Creusons un peu plus. Conception Avant d'examiner de plus près la station de base, qui fait partie intégrante du fonctionnement du nouveau casque de jeu sans fil ASTRO A50 X LIGHTSPEED, examinons la conception du casque. Dans la continuité du casque sans fil ASTRO A50, l'aspect général et la conception physique n'ont pas beaucoup changé, même si Logitech G a repris la marque ASTRO et a doté le nouvel ASTRO A50 X de son propre matériel et de ses propres technologies, comme le LIGHTSPEED Wireless et les pilotes PRO-G GRAPHENE personnalisés de 40 mm. Bien que son poids de 363 grammes puisse être un peu lourd pour un casque de jeu sans fil, le casque reste confortable. Vous pouvez jouer avec pendant des heures sans avoir à vous soucier de la fatigue. Cela vient en partie des coussinets en tissu, matériaux qui se fait de plus en plus rare car certes agréable mais souvent fragile. Mais comme ils sont magnétiques et amovibles, leur changement ne posera pas soucis. Cependant, Logitech n'inclut pas d'alternative - un coussin de style cuir plus traditionnel qui est moins sujet aux fuites audio par exemple. Le même coussin en tissu se retrouve sur le bandeau et, dans l'ensemble, il offre beaucoup de flexibilité avec une rotation à 90 degrés pour les bonnets, une hauteur réglable via les tiges métalliques de chaque côté et des plastiques et du métal flexibles de haute qualité. Le microphone inclinable n'est pas détachable mais est très flexible pour un positionnement correct. Les commandes sur l'oreille sont nombreuses, facilement accessibles et bien pensées. Le bouton de volume est robuste et comporte des étapes claires pour des réglages progressifs ; il y a un bouton Bluetooth, un bouton pour changer d'entrée (qui est lié à la fonctionnalité principale de la station de base), un bouton d'alimentation et un équilibre audio jeu/chat (appelé ici voix et jeu) intégré dans l'écouteur droit. Avec leur conception robuste et confortable, les haut-parleurs PRO-G GRAPHENE de 40 mm offrent un son chaud, détaillé et neutre dès la sortie de la boîte, avec une certaine emphase sur les basses pour un effet WOW immédiat : littéralement : les basses tabassent ! Sur PC, il prend en charge l'audio jusqu'à 24 bits 48 kHz pour une écoute haute-fidélité. La différence est assez notable et on retrouve un peu moins d’effets sur PS5, mais il reste parmi les meilleurs casques que j’ai pu tester. Bien que la qualité de fabrication et de son de l'ASTRO A50 X LIGHTSPEED Wireless le place dans le haut de gamme, la station de base représente surement une bonne partie du prix. Elle se connecte à un PC via USB mais dispose également d'entrées USB et HDMI pour les consoles Xbox et PlayStation, avec une sortie HDMI vers un écran de jeu ou une télévision connectée. Avec une prise en charge complète du HDMI 2.1, la station de base est un commutateur HDMI, ce qui vous permet de basculer instantanément entre l'audio et la vidéo à partir de différents matériels de jeu. Le côté PC est strictement audio via USB. Malheureusement, la station de base n'est pas conçue pour ceux qui ont un PC dans une pièce et une console dans une autre, ce qui serait courant pour ceux qui jouent sur plusieurs appareils. Il aurait été agréable de voir Logitech inclure un dongle spécifique au PC pour que l'ASTRO A50 X puisse se déplacer d'une pièce à l'autre. Outre cela et le fait que vous devez fournir vos propres câbles HDMI, la conception de la station de base est unique et avant-gardiste à bien des égards. Si vous n'utilisez pas le casque, le son est transmis à votre barre de son ou aux haut-parleurs de votre téléviseur, ce qui est une bonne idée. C'est transparent et pratique pour une configuration appropriée. L'A50 X permet également des connexions Bluetooth simultanées avec votre téléphone ou votre ordinateur portable pour que vous puissiez jouer et discuter. Cependant, comme le Bluetooth est géré par la station de base et non par le casque, vous ne pouvez pas utiliser l'A50 X en dehors de la maison. Même à la maison, la portée est limitée et le son est coupé lorsque vous quittez la ligne de mire ou entrez dans une autre pièce. Logiciels et support La configuration de l’ASTRO A50 prend une minute, mais heureusement, le logiciel Logitech G HUB et l'application mobile incluent de nombreuses informations sur les fonctionnalités et les capacités de l'ASTRO A50 X. Le Logitech G HUB sur PC présente un design minimaliste, avec des modules créés pour des équipements spécifiques. Celui conçu pour l'ASTRO A50 X LIGHTSPEED Wireless est impressionnant par sa simplicité d'utilisation, avec l'un des meilleurs tutoriels pour apprendre les capacités d'un casque et ce que font toutes les commandes physiques. Une fois la configuration terminée, il n'y a pas grand-chose à faire, car il vous reste des égaliseurs pour l'audio et le chat vocal et d'autres options reléguées à la page des paramètres. Des éléments tels que le volume de la tonalité latérale, l'équilibre des conversations, le micrologiciel et la gestion de l'alimentation sont étrangement relégués à la page Paramètres de l'appareil. C'est étrange car cette icône est cachée dans un coin et ressemble plus à une icône pour les paramètres de l'application qu'à celle du casque. L'égaliseur, par défaut, dispose de deux modes : Gaming et Media. Vous pouvez créer le vôtre à l'aide de l'éditeur à 10 bandes, ce qui est bien, ou parcourir les innombrables profils d'égaliseur créés par la communauté pour des jeux ou des médias spécifiques. C'est formidable à voir, mais Logitech doit organiser et proposer certaines des meilleures options (vérifiées et testées) pour divers jeux et audio spatial. De même, l'égaliseur du microphone n'a que deux options - diffusion et Compétition - la première ajoutant des basses et plus de profondeur à votre voix et la seconde se concentrant uniquement sur les médiums et les aigus où se trouve la majeure partie de la fréquence vocale. Avoir deux options ici, avec la possibilité de créer des préréglages personnalisés, est acceptable car elles couvrent la plupart des situations dans lesquelles vous utiliseriez le microphone.   L'application Logitech G HUB pour smartphones présente une interface identique et simple à utiliser. C'est un excellent ajout car c'est le seul véritable moyen de faire des réglages en utilisation console. Performances J’ai testé le A50 dans 2 configurations : avec la station sur mon bureau pour une utilisation PC et sur mon meuble de salon pour une utilisation PS5 et Switch. Cette prise en charge multiple est intéressante, mais l'absence d'une solution multiroom est décevante. Supposons que tous vos appareils de jeu se trouvent au même endroit. Dans ce cas, le casque de jeu sans fil et la station de base ASTRO A50 X LIGHTSPEED sont à prendre en compte, car la commutation HDMI fonctionne parfaitement. Pourtant, c'est le confort général et la qualité audio qui brillent le plus. En jouant le son chaud et riche de l'ASTRO A50 X LIGHTSPEED Wireless est vraiment impressionnant, et encore une fois , je le trouve tellement fou sur les basses (peut être trop) mais il est à noter qu’elles n’écrasent jamais les autres fréquences. A noter qu’il y a une fuite sonore notable dans la mesure où les autres peuvent entendre ce que vous écoutez. La connectivité Bluetooth se fait via la station de base, et non via le casque, et sans option filaire, le casque ne fait pas grand-chose. Ce n'est pas quelque chose que vous pouvez emporter avec vous ou connecter à un appareil portable, ce qui est un choix de conception intéressant. Lorsque vous êtes connecté à un PC, vous obtenez en prime un signal audio de plus haute fidélité, qui se transmet lorsqu'il est associé à de la musique sans perte et à des enregistrements ou à un son de haute qualité, avec une amélioration notable des détails, de la clarté et de la profondeur de l'arrière-plan.Logitech ne propose pas sa propre solution audio spatiale. Néanmoins, le A50 est livré avec une licence Dolby Atmos pour casque lors de l'installation de l'application sur un PC Windows (ou une Xbox). Le son Dolby Atmos est excellent sur l'A50 X, et si vous êtes un fan de l'audio spatial, il vaut la peine d'activer certains jeux et films. Microphone La seule critique honnête que vous pouvez faire au sujet du microphone est qu'il n'est pas détachable. Mais même ici, le bras flexible et la conception flip-to-mute ne gênent pas le jeu en solo, le visionnage ou l'écoute de musique. Le micro est vraiment d’excellente qualité, l’un des meilleurs que j’ai pu tester jusqu’alors . Autonomie L'autonomie de la batterie est correcte (24 heures), même si je n'ai jamais eu l'impression que le casque était à court de batterie, car il se remet toujours dans sa station d'accueil et se recharge. Cela dit, c'est largement suffisant pour les joueurs les plus assidus qui s'adonnent à des marathons toute la nuit. La charge se fait par des petits contacteurs : il suffit de poser le casque dessus Conclusions Le nouveau casque de jeu sans fil ASTRO A50 X LIGHTSPEED + station de base de Logitech présente un design unique qui transformera l'expérience audio de nombreux joueurs. Ce n’est pas du tout un casque nomade / lifestyle mais bel est bien un prériphérique qui n’est pas trop amené à bouger une fois les branchements bien établis. La bonne nouvelle est que même si vous le limitez à un seul appareil, vous serez toujours impressionné par le son puissant, chaleureux et accueillant, des coussinets d'oreille extrêmement confortables, la construction robuste et flexible et ce qui est l'un des meilleurs microphones de casque de jeu que vous trouverez probablement. Il y a des défauts : le Bluetooth étant limité à la station de base est un choix étrange, et l'absence de dongle USB filaire ou intégré limite la facilité d'utilisation en dehors des limites de la station de base. Cependant, si votre PC de jeu et votre PlayStation, Xbox ou Nintendo Switch sont tous situés dans la même pièce, cela pourrait être la solution ultime pour tous vos besoins audio. Page produit et récap technique Type de produit : Casque de jeu sans fil Nom du produit : Casque de jeu sans fil ASTRO A50 X LIGHTSPEED + station de base Interface HDMI de la station de base : 3 ports HDMI 2.1, bande passante de 40 Gbit/s, mode de faible latence automatique (ALLM), taux de rafraîchissement variable (VRR), audio jusqu'à 24 bits Interface USB de la station de base : 1 x jusqu'à 24 bits/48 kHz (PC), 2 x jusqu'à 16 bits/48 kHz (console) Interface audio sans fil : LIGHTSPEED sans fil 24 bits/48 kHz Compatibilité : Xbox, PlayStation, Windows, Mac, Mobile (Bluetooth) Facteur de forme : supra-auriculaire semi-ouvert Pilotes : 40 mm PRO-G GRAPHENE Réponse en fréquence des écouteurs : 20 - 20 000 Hz Son surround : Sonic Spatial Audio (Xbox, PC) Tempest 3D Audio (PS5), Dolby Atmos (Xbox, PC) Câble : câble USB-A vers USB-C, câble combiné USB-C/alimentation Poids : ~ 363 grammes Autonomie de la batterie : 24 heures Contenu de la boîte : casque sans fil A50 X, station de base HDMI A50 X, câble USB-A vers USB-C, câble combiné USB-C/alimentation, adaptateur secteur + têtes de prise, carte d'activation Dolby Atmos

[Test] - Étui de transport PowerA pour PS Portal

Par Redac chef
Le 14-12-24 à 14:22

Périphérique désormais à sérieusement considérer, la PS Portal n’est pas forcément très aidée du côté des accessoires. Certes il y a les périphériques audio PS link comme le Pulse Elite testé sur psthc ou les écouteurs Pulse Explore mais pour le reste c’est maigre. Les stations de charge qui pourtant semblent très nécessaires sont pour l'instant de qualité médiocre et fragiles et niveau transport / protection c’est vache maigre. Les choses changent quand même avec l’arrivée sur le marché de PowerA qui proposera 3 articles sous licence officielle PlayStation - La protection d’écran à 14€99 sur Amazon Au même titre que les protections de téléphone portable, la protection d’écran se pose sans difficulté si on respecte les conditions préalable pour ne pas avoir de bulles ou de poussière. Je ne trouve pas que cela soit forcément indispensable mais si vous avez peur de faire tomber votre machine. Pourquoi pas ? Mais je pense que les pads casseront avant si vraiment il y a un choc. - L’étui de protection/transport de la PS Portal à 32€99 sur Amazon L’intérêt est tout autre pour l’étui de taille 34*17*8 cm Doté d’une coque extérieure robuste, l'intérieur moulé et les doubles tirettes de fermeture éclaire assurent la protection de la Portal. De plus, le rabat de protection d'écran rembourré avec poche en filet pour accessoires cale bien la console en place , on a même des rabats en velcro pour complètement fixer la Portal dans son étui. La poignée située sur le dessus de l’étui est solide en permet une bonne prise. Mais ce que j’ai particulièrement apprécié c’est le passe-câble de chargement qui permet de brancher un câble de chargement sur le PS Portal tout en le rangeant à l'intérieur du boîtier. Franchement si vous utilisez votre portal de manière nomade, je ne peux que vous encourager à vous en équiper la note de 4.9/5 sur Amazon atteste de sa qualité. - Une station de charge dont j’espère pouvoir vous parler prochainement non disponible encore   Merci à PowerA pour l'envoi de ces accessoires Les liens amazon sont affiliés et aident PSTHC

[Test] - Manette PS5 - Victrix Pro BFG de PDP

Par NicoFantasy
Le 06-12-24 à 22:48

Alors que pas mal de manettes alternatives ont inondé les précédentes Gen de consoles PlayStation, force est de constater que la Dualsense a mis quasiment tout le monde d’accord sur PS5. Les choix alternatifs sont finalement assez rares et Sony semble avoir freiné la distribution de licence officielle aux constructeurs tiers qui ne seraient peut etre pas assez quali. La Victrix Pro BFG est la première manette PS5 de la marque PDP, marque dont le nom ne vous dit peut etre rien , mais qui a été rachetée par Turtle Beach en 2024. Comme d'autres manettes sous licence officielle, elle ne dispose pas des gâchettes adaptatives et du retour haptique de la DualSense . Cependant, la Victrix apporte son lot d’originalité avec un châssis entièrement modulaire et léger, idéal pour les jeux compétitifs. Vous pouvez actuellement mettre la main sur le Victrix BFG Pro pour 199€99 car cette manette PS5 est désormais largement disponible dans la plupart des grandes surfaces. Comme pour de nombreuses manettes PS5 tierces, celle-ci est également nettement plus chère que ce que vous paierez pour la DualSense standard mais quand même moins chère que la DualSense Edge , la Scuf Reflex Pro et la Razer Wolverine V2 Pro . Il s’agit donc de voir si elle vaut le coup par rapport à ces concurrentes, puisque la dualsense est, je pense, totalement hors catégorie. Livrée dans une housse en tissus dur (obligatoire pour le prix), La Victrix Pro BFG reste simple sur le plan esthétique avec sa finition blanche ou noire, avec un X violet qui traverse le pavé tactile une fois connecté. Vous remarquerez immédiatement les modules qui sont vissés sur les côtés gauche et droit du contrôleur et qui sortent de la boîte dans une disposition asymétrique. Le plus grand atout de cette manette PS5 tierce est que vous pouvez prendre le tournevis hexagonal inclus et apporter des modifications quant à la position des touches et pad, en fonction de ce à quoi vous voulez jouer. Il peut s'agir de n'importe quoi, de la préférence personnelle, de l'inversion de l'ordre des joysticks à la position en ligne des touches ou du remplacement des quatre boutons frontaux et du deuxième joystick analogique par une manette de combat dédiée activée par micro-interrupteur. La personnalisation fonctionnelle est le maître mot de cette manette. La boîte comprend deux D-pads supplémentaires, des longueurs de stick différentes et des portes octogonales pour ces sticks analogiques. Le mécanisme de déclenchement à embrayage est également en faveur de la Victrix BFG Pro. Il s'agit de deux curseurs situés à l'arrière de la télécommande qui peuvent être finement ajustés pour différents niveaux de contrôle, allant du clic de souris instantané à une réaction instantanée, en passant par la traction complète ou quelque chose entre les deux. Vous avez le choix entre cinq niveaux, que vous pouvez facilement modifier entre différents genres avec un minimum d'effort. Le Victrix BFG Pro est également doté de palettes remappables à l'arrière. C’est une fonctionnalité déjà vue pour des manettes sur la même gamme tarifaire. Le compromis est que vous renoncez au retour haptique et aux gâchettes adaptatives de la DualSense pour ce niveau de modularité. Là où le Victrix Pro BFG gagne des points par rapport à des manettes comme la Razer Wolverine V2, une autre manette axée sur l'e-sport qui a abandonné les fonctionnalités de la DualSense, c'est qu'il les a remplacées par quelque chose de significatif. Vous pouvez vous connecter à votre PS5, PS4 ou PC de jeu via le câble USB-C tressé de 3 m de long ou le dongle sans fil 2,4 GHz inclus. La société mère de Victrix, PDP, affirme que son contrôleur dure jusqu'à 20 heures sur une seule charge, ce qui correspond plus ou moins à ce que j'ai constaté d'après mon expérience et c’est donc quasiment le triple de la Dualsense. La Victrix Pro BFG est l'un des contrôleurs les plus agréables que j'ai eu entre les mains depuis longtemps. Les joysticks, les boutons, les bumpers et les gâchettes sont particulièrement réactifs. Il est biensur amusant de tester les différentes configurations et je dois dire qu’il est assez surprenant de jouer avec des D-pad drastiquement différents de l’habitude. Grâce aux boutons situés à l’arrière, on peut aussi régler la course des gachettes L2 et R2 sans avoir à rentrer dans un énième logiciel de paramétrage, ce que je trouve très appréciable. Cerise sur le gateau si vous jouez sur PC à des jeux Xbox, vous pouvez passer non seulement en configuration manette Xbox mais la Victrix BFG Pro est reconnue comme un contrôleur officiel, ce qui signifie que vous n'avez pas à franchir les mêmes obstacles que lorsque vous essayez de vous connecter à une DualSense. Il ajoute une valeur supplémentaire en tant que contrôleur que vous pouvez utiliser sur plusieurs systèmes sans souci. La Victrix BFG Pro est également l'un des meilleurs fightpads que j'ai jamais utilisés. Au début, je n'ai pas vraiment apprécié le module que vous pouviez échanger, mais après quelques parties de SF6, j'ai immédiatement compris à quel point il était polyvalent. Étant donné qu'il ne faut que quelques secondes pour dévisser et échanger les pièces, et que tout est stocké dans l‘ étui de transport il y a de fortes chances que ce contrôleur puisse remplacer efficacement votre fightpad dédié si vous en avez un. J'ai eu entre les mains de nombreuses manettes PS5 récemment, et j'ai soutenu qu'il ne fallait pas s'en soucier car la DualSense est suffisamment bonne. Je pense que la tendance est en train de changer avec la Victrix Pro BFG car elle ajoute bien plus qu'elle n'enlève à l'expérience fondamentale. Si vous êtes quelqu'un qui ne peut pas vivre sans retour haptique et gâchettes adaptatives, alors la DualSense Edge pourraient être de meilleurs achats, mais pour le joueur eSport dédié et le fan de jeux de combat, je n'ai pas encore trouvé mieux sur la plateforme. Compte tenu de tout ce qui est proposé sur le marché, à des prix parfois avoisinant le prix de la console, la Victrix Pro BFG est facilement l'un des meilleurs contrôleurs PS5 du marché en ce qui concerne le rapport qualité/prix, même s'il offre une expérience très différente de la DualSense standard . Si vous recherchez quelque chose de différent et surtout de complémentaire pour votre configuration de jeu PS5 , cette offre tierce pourrait être ce que vous attendiez. Si vous voulez tenter l'expérience , ça se passe sur le site de Turtle Beach

[Test] - Clavier G915 X Lightspeed de Logitech

Par Redac chef
Le 29-11-24 à 15:57

Il y a quelques semaines, quelques claviers ont été présentés au LOGI Play et aujourd'hui, nous allons jeter un œil au Logitech G915 X Lightspeed TKL. Ce clavier sans pavé numérique fait suite au célèbre clavier G915 sorti il y a environ quatre ans. Le G915 X est disponible en plusieurs versions, notamment celles qui nécessitent un pavé numérique. Clavier discret, le G915 X Lightspeed TKL est un clavier sans fil ultra fin et dotée d'un très joli revêtement en aluminium brossé sur le dessus qui lui donne un aspect vraiment haut de gamme. Le clavier est livré dans une boite en carton dur et emballé comme un produit de luxe. D'une hauteur de 22,5 mm, le clavier fin est renforcé par une plaque supérieure en aluminium de 1,5 mm qui donne un aspect robuste au G915. Il n'y a absolument aucun bruit de flexion, de jeu ou de craquement lorsque j'essaie de le plier. Bien que le dessous soit en plastique, le conception globale est très solide et haut de gamme. La conception TKL permet au clavier d'occuper une surface de bureau relativement petite : 36 cm de longueur et de 15 cm du bas du clavier au bord supérieur. Le faible encombrement est un bon choix si vous aimez garder votre bureau bien rangé ou si vous n'avez pas beaucoup de place au départ. À 860 grammes, le poids est suffisant pour apporter mobilité et stabilité. Vous pouvez poser le clavier à plat, mais les pieds ont également deux angles différents sur lesquels vous pouvez le soutenir. Personnellement, j'aime utiliser l'angle le plus élevé des deux, donc j'ai étendu les deux pieds pendant que je tapais. Un léger angle peut être obtenu en repliant le pied extérieur à plat et en gardant le pied intérieur étendu. Chaque pied est doté d'une petite bande de caoutchouc pour empêcher le clavier de bouger si vous utilisez cette option. Logitech a apporté plusieurs améliorations aux touches elles-mêmes pour atténuer certains des problèmes signalés par les propriétaires de la version précédente. Les nouveaux commutateurs GL intègrent désormais une tige en forme de croix, remplaçant le système de crochet du passé. Cela permet de remplacer plus facilement les touches par celles que vous souhaitez, ce qui est très facile à faire. Le vacillement des touches est censé être réduit avec le changement de style de tige mais comparé aux autres claviers que j’ai pu tester, il y a toujours un léger vacillement lorsque je place mon doigt légèrement dessus et que je me déplace, mais pas suffisamment pour gêner lors de la frappe ou en jeu. En fait, je suis en train de rédiger cette critique en ce moment sur le G915 X et je ne remarque aucune difficulté ou gêne dans ma capacité à taper rapidement et avec précision. Chaque touche a une légère sensation texturée, ce qui est agréable lors de la frappe. Le RVB de chaque touche semble très uniforme et suffisamment lumineux. Appuyer sur les touches tactiles produit une sensation agréable et un son atténué. J'ai trouvé que la pression sur les touches était facile et douce (pas de soucis non plus pour un utilisateur qui appuie comme un bourrin sur les touches de son clavier… comme ma femme) . Dans tous les cas, j'ai vraiment aimé la sensation des interrupteurs tactiles À droite du logo Logitech G RGB, se trouvent quelques touches fonctionnelles permettant de commuter le fonctionnement sans fil, d'activer le mode jeu et de modifier la luminosité des LED. Le G915 X Lightspeed se connecte à votre appareil soit à l'aide du dongle fourni, soit via Bluetooth. Si vous le connectez à plusieurs appareils, il est assez facile de basculer entre les deux en appuyant sur un bouton. Ces touches rondes présentent une agréable sensation de caoutchouc souple et sont chanfreinées sur les bords. C’est très intuitif. Les commandes multimédias sont situées en haut à droite, ainsi qu'un cadran de volume à rotation fluide. Tout comme les boutons sans fil et de mode jeu, les touches multimédias sont également de style chanfreiné rond en caoutchouc vous permettant de sauter, de mettre en pause, de rembobiner et de couper le son. Toutes les touches ont une très belle légende sur le dessus qui brille également de mille feux grâce à la LED RVB située en dessous. J'aime beaucoup la douceur du cadran de volume et sa taille allongée. Il s'agit d'un défilement continu et il est réactif lors de la rotation.     Il existe une connexion USB-C que vous pouvez utiliser pour charger ou brancher sur votre ordinateur pour une utilisation filaire. Heureusement, nous sommes maintenant à l'ère de l'USB-C et le G915 X Lightspeed inclut le connecteur universel. Le paquet comprend un câble USB-C vers USB-A suffisamment long pour être utilisable, peu importe la distance du PC. L'autonomie de la batterie de la version TKL a été évaluée à 46 heures d'utilisation continue et je dirais que c'est à peu près exact. J'ai commencé à utiliser ce clavier un samedi et vers jeudi, Logitech G-HUB signalait qu'il restait environ 15 % d'énergie au clavier. C'est moi qui utilise le clavier pendant plus de 10 heures par jour et je ne l'ai pas éteint la nuit, le laissant s'endormir. Le G915 X Lightspeed n'a eu aucun problème à se réveiller chaque matin lorsque j'ai tapé dessus et il a également sorti mon ordinateur de son sommeil. Logitech a déclaré que réduire la luminosité RVB à 50 % doublera plus que la durée de vie de la batterie et l'éteindre complètement donnera environ 1 000 heures d'utilisation continue. J'ai utilisé le Logitech G915 X Lightspeed TKL pendant une semaine pour jouer et pour la productivité. J'ai trouvé qu'il était agréable de taper avec même s’il m’a fallu pas mal d’adaptation en passant de mon Cheer KWL UP qui a des touches un poil plus espacées, générant bon nombre de missclick. Coté bureautique, l’absence du clavier alpha numérique est totalement rédhibitoire en ce qui me concerne et le manque de quelques touches programmables dédiées comme sur mon ancien clavier et la version pleine taille du G915 X Lightspeed est un frein aussi sur ma productivité. Donc clairement, si vous cherchez un clavier mixte, opte pour la version complète du clavier. Vous pouvez atténuer ce problème avec le logiciel Keycontrol disponible pour le G915 X Lightspeed et attribuer plusieurs fonctions aux touches, mais c’est un peu la solution du pauvre. En jouant, j'ai joué à divers jeux à la première et à la troisième personne en utilisant le clavie. Les touches étaient réactives dans chaque jeu et je n'ai remarqué aucun décalage dans l'utilisation sans fil. J'ai testé uniquement en mode Lightspeed pour les jeux et la connexion était solide tout au long de mon utilisation. Le G915 X LIGHTSPEED TKL coûte 199,99 €, ce qui en fait l'un des claviers les plus chers de Logitech. La version pleine taille coûte 209,99€ actuellement avec le Black Friday et c’est franchement la meilleure option selon moi. Sinon, le G915 X LIGHTSPEED TKL offre des performances solides pour un clavier mécanique qui offre une bonne prise en main et une longue durée de vie de la batterie.   Cet article contient des liens affiliés pour aider psthc.fr Merci à Logitech pour l'envoi du clavier.

[Black Friday - Test] - Lexar (Ram ARES RGB 6400 MT/s CL32)

Par Redac chef
Le 21-11-24 à 17:51

Amis PCistes, c'est l'heure du Black Friday. Et même si les promos console se font rares pour l'instant, le monde du hardware PC dégaine déjà de belles promos sur du matériel à peine sorti C'est le cas des barettes de Ram Lexar ARES RGB 6400 MT/s CL32; Les performances sont parfaitement conformes à ce que l'on attend d'un kit CL32 DDR5 à 6400 MT/s. Il embarque des puces mémoire Hynix A-die, les meilleures du marché aujourd'hui si vous souhaitez overclocker votre kit, et surtout le moins cher du marché en 32 Go 6400 MT/s CL32. Alors pourquoi hésiter si vous avez un budget serré, puisqu'il est disponible aux alentours de 118 euros au lieu de 140€ soit 15% de réduction L’emballage de la RAM est minimaliste, contenant uniquement les deux barrettes, sans documentation ni accessoires supplémentaires. Les modules présentent un design élégant avec le logo Aries en haut et une diffusion RGB uniforme. Quelques caractéristiques : Capacité : 32 Go (16 Go par module). Vitesse : 6400 MHz. Voltage : 1,4 V. Esthétique : Une barre lumineuse RGB diffuse, adaptée pour un effet visuel harmonieux dans votre configuration   Esthétiquement parlant, le kit est également très agréable à regarder, avec un rétroéclairage RGB de haute qualité. Une version blanche est également disponible pour s'harmoniser avec les autres composants de votre PC. Le module de mémoire Ares RGB est doté d'un dissipateur thermique en aluminium de couleur gris foncé ou blanc. En termes de performances sans vous inonder de valeurs que vous trouverez chez des spécialistes, retenons que les RAM de Lexar se situent dans la gamme moyenne de ce que l'on trouve sur le marché, aux coté des marques telles que Corsair. Par défaut, la RAM était configurée à une vitesse de 5600 MHz. Pour profiter des 6400 MHz annoncés, il a suffi d’activer le profil XMP dans le BIOS. Les timings et le voltage se sont automatiquement ajustés aux valeurs recommandées, garantissant des performances optimales. Leur attrait vient de leur forte capacité à être overclockées si vous êtes adeptes de cela. La RAM Lexar Aries DDR5 RGB impressionne par ses performances élevées, son esthétique soignée et son prix compétitif. Elle conviendra parfaitement aux passionnés de performances et aux amateurs de configurations RGB. Points forts : Vitesse parmi les meilleures du marché. RGB élégant et bien diffusé. Bon rapport qualité/prix. Points faibles : Tension légèrement élevée par rapport à la moyenne. Pas de documentation ou d’accessoires inclus. Si vous cherchez une RAM rapide, fiable et stylée, la Lexar Aries est un choix solide.    

Test - Casque Barracuda X Chroma de Razer

Par NicoFantasy
Le 16-11-24 à 17:59

Marque mondialement connue pour ses collaborations avec le monde de l’esport, Razer fait désormais partie des marques avec qui nous travaillons pour vous permettre de faire vos choix en ce qui concerne le matériel / hardware gaming. Je vous parle aujourd’hui de leur dernier casque audio : Razer Barracuda X Chroma Le Razer Barracuda X Chroma reprend le design de base de la série et est disponible dans une palette de couleurs noire ou blanche plutôt sobre. Adapté à tout type de support, Il est majoritairement conçu en plastique mais il est suffisamment bien conçu pour se hisser dans un secteur milieu de gamme où les références sont pléthoriques. Proposé à un prix de 139.99€sur le site officiel , le Barracuda se situe en dessous du Barracuda Pro qui vous en coutera lui 299€. Le casque est livré dans une housse. Vous trouverez dans le carton, le casque amovible, le dongle USB-A / USB-C Conception Le Barracuda X chroma a une conception simple, avec des commandes qui se trouvent toutes sur le côté gauche, où se branche également le microphone à l'extérieur, qui est connecté via une prise jack 3,5 mm. Razer inclut un dongle USB-C moderne et un adaptateur USB-A correspondant. Vous pouvez donc choisir librement la connexion du récepteur sans fil.   Pesant 285 grammes, le casque est léger et agréable à porter grâce aux coussinets d'oreille généreux et doux qui offrent 60 mm x 40 mm d'espace à l'intérieur et au rembourrage tout aussi doux de l'arceau, le casque reste très confortable à porter même après des heures . en ce qui me concerne la pression est idéale (moins forte que les Turtle Beach et plus forte que le récent Teufel). Le casque serait d’une sobriété totale comme un Hyper X Wireless 3 si l’on exceptait la nouveauté : l'éclairage RVB. Celui-ci s'étend autour d'un anneau lumineux et du logo Razer sur les deux écouteurs et peut bien sûr non seulement être réglé individuellement, mais également synchronisé avec le reste des périphériques Razer si vous en possédez. Au total, six zones d'éclairage RGB peuvent être réglées librement, soit sur PC et ordinateur portable avec le logiciel Synapse, soit via smartphone avec l'application Razer Audio. Les deux fonctionnent parfaitement et offrent de nombreuses options de paramétrage. Le micro est amovible, ce qui rend le casque excellent pour une utilisation nomade sans fil. Mais bon en ville avec le RGB sur les oreilles ... c’est une question de choix. Connectique : Le casque de jeu se connecte non seulement via la radio 2,4 GHz avec Razer Hyperspeed Wireless pour une transmission pratiquement sans latence, mais également via Bluetooth 5.3 avec divers appareils. L’appareil ne dispose pas de prise jack, une utilisation filaire n'est donc pas possible. Cependant, vous pouvez bien sûr continuer à utiliser le Barracuda si vous le chargez via USB-C. Le basculement entre le sans-fil et le Bluetooth s'effectue en appuyant deux fois sur le bouton SmartSwitch et est agréablement rapide. Malheureusement, il n'est pas possible d'utiliser le sans-fil et le Bluetooth en même temps, mais si vous avez connecté le Razer Barracuda X Chroma à votre PC (dongle) et à votre smartphone (Bluetooth), les appels seront transmis même lorsque la connexion sans fil est active. Vous pouvez ensuite accepter ces appels et les passer via le casque, puis revenir au son du jeu en appuyant sur un bouton. Ce qui est toutefois disponible, c'est un son surround virtuel 7.1, que vous pouvez activer en option pour améliorer encore la spatialité du casque. Grâce au bouton SmartSwitch déjà mentionné, vous pouvez basculer entre quatre préréglages d'égalisation différents (jeu, film, musique et personnalisé) en appuyant une fois dessus. Ces modes sont loin d’être de simples gadgets avec des scènes clairement identifiées et les multiples sonorités sont très différentes. Curieusement, le préréglage personnalisé de notre modèle de test ne pouvait être réglé que via l'application pour smartphone ; il n'y avait aucune option pour cela dans Razer Synapse4 . Sinon, il y a un bouton d'alimentation, qui est également responsable du contrôle des médias : appuyer une fois dessus démarre ou met en pause la lecture, appuyer deux fois dessus permet de passer à la piste suivante, appuyer trois fois dessus permet de passer à la piste précédente. Enfin, on retrouve un bouton de réglage du volume, qui pourrait être un peu plus serré, et un bouton de sourdine pour couper rapidement le microphone. J'aime beaucoup le concept d'utilisation simple et précis. Autonomie Les casques Razer sont réputés, comme les HyperX, pour être des bêtes d’autonomie. Ici on peut compter sur 70h d’utilisation entre deux recharges. Cela ne s'applique toutefois que si vous renoncez à l'éclairage RVB. En effet, l'autonomie est sensiblement réduite à seulement 30 heures lorsque l'éclairage est activé, ce qui est du coup un résultat médiocre. Après honnêtement, l’interet du RVB pour un casque … je ne vois pas trop . Donc même s’il est super bien réalisé, vous n’en profiterez pas personnellement, donc c’est à maintenir si vous streamez avec une caméra par exemple.   Logiciel Comme mentionné précédemment, vous pouvez configurer le Razer Barracuda X Chroma soit sur votre PC et votre ordinateur portable via Synapse 4, soit sur votre smartphone via l'application Razer Audio. Lorsque la connexion est active, le casque est trouvé rapidement et de manière fiable dans les deux applications. Les possibilités de personnalisation du casque via Synapse sont plutôt limitées. Dans la section Son, vous ne pouvez régler que le volume. Dans les paramètres du microphone, vous pouvez régler le volume (gain) et ajouter un effet local. Vous pouvez également personnaliser l'éclairage RGB et définir le nombre de minutes d'inactivité après lesquelles le casque doit s'éteindre automatiquement pour économiser de l'énergie. Une application distincte est nécessaire pour le son surround 7.1, ce qui nécessite également l'enregistrement du casque. Pour cela il vous faudra un code (que je n’ai pas, donc impossible de tester). C’est vraiment chouette ce pouvoir améliorer l’expérience utilisateur, mais le fait d’être obligé de s’inscrire, de rentrer des codes à usage unique et de filer ses infos personnelles, juste pour un casque, c’est vraiment un tournant sociétal qui me soule de plus en plus. Dolby Surround étant une société distincte, ils vendent leur licence à usage unique, d’où le code. Razer Audio propose davantage d'options, car vous pouvez créer ici votre propre préréglage d'égaliseur, que vous pouvez régler librement sur 10 bandes. Un mode de jeu peut également être ajouté pour réduire la latence de la connexion Bluetooth. Le logiciel Synapse semble véritablement conçu pour gérer l’écosystème Razer en synchronisant et gérant tous les appareils de la marque. Associé au logiciel synapse, on vous propsera de télécharger le logiciel chroma avec le quel on peut gérer toutes les options de colorimétrie des effets RVB. C'est plutôt sympa mais encore une fois, cela semble trop superflus pour juste le casque. On peut aussi gérer les périphériques Phillips Hue. Donc avec plusieurs produits sous la main (clavier, souris, son et autres périphériques, je pense qu’on peut faire quelque chose de top et de très facile à gérer) Qualité sonore En termes de son, le Razer Barracuda X Chroma m'a surpris de manière absolument positive, non seulement lors des jeux, mais aussi lors de l'écoute de musique ou du visionnage de films. Il est particulièrement précis sur les basses et envoie du bon son. Sur PS5 , ça envoie bien comme il faut et on ne rate aucun détail du jeu Dans le préréglage du film, ce son est également très présent et joue trop au premier plan, de sorte que les aigus en particulier perdent des détails. Le mixage est bien meilleur dans les autres réglages. Cela est également dû aux haut-parleurs TriForce 40 mm intégrés, qui permettent un réglage individuel des aigus, des médiums et des graves à partir de trois composants distincts. En termes de son, le casque est un véritable multitalent. J'ai également été agréablement surpris lors de l'écoute de musique. Le casque a parfaitement maîtrisé ma playlist de test au casque, qui se compose d'une grande variété de genres musicaux, et a su reproduire des détails fins même dans des arrangements complexes. Micro Vous le savez désormais, le micro est en général le point faible de nombreux casques mais c’est un aspect qui a été très considéré par de nombreux constructeurs depuis l’essor du télétravail. Le Razer Barracuda X Chroma se situe dans la moyenne acceptable grâce à son micro amovible et modulable. La qualité sonore est au top, les voix sont intelligibles et le son de volume suffisant et La mousse autour permet de filtrer une partie des bruits ambiants mais on garde toutefois un effet souffle / bruit de fondquand on parle. Le microphone couvre une gamme de fréquences de 100 Hz à 10 000 Hz et a une sensibilité de -42 +/- 3 dBV/Pa à 1 kHz. Et le résultat est un microphone au son très clair, naturel et détaillé, avec une excellente intelligibilité de la parole et un volume élevé et agréable. Seul un le bruit de fond est un peu gênant. Bilan Avec le Razer Barracuda X Chroma, Razer a créé un excellent casque de jeu milieu de gamme, dansun budget qui ne crève pas le plafond comme on voit de plus en plus. Il convient de souligner en particulier son faible poids et son excellent confort de port, qui vous permettent de porter le casque pendant des heures sans ressentir d'inconfort. La connectivité polyvalente doit également être soulignée, car le casque peut être utilisé via sans fil et Bluetooth non seulement sur les PC et les consoles, mais également sur les smartphones, les tablettes et bien plus encore. Le nouvel éclairage RGB est sympa mais plus marketing qu'autre chose si on n'entre pas dans l'écosystème Razer, mais j'avoue que sur d'autres produits , ça doit faire sacrément classe. De plus, l'autonomie de la batterie avec éclairage actif chute sensiblement, passant d'un excellent 70 heures à un maigre 30 heures. Je l'ai donc éteint assez rapidement pendant le test – mais c'est toujours un plus si cela vous intéresse. La très bonne qualité sonore du Razer Barracuda X Chroma en fait un casque de jeu absolument recommandable qui offre un excellent rapport qualité-prix. Toutes les specs techniques sont dispo sur la page officielle du produit On le trouvera aussi sur Amazon au même prix

[Test] - Casque gaming Cage Pro de Teufel

Par Redac chef
Le 26-10-24 à 18:21

Teufel n'est pas la première marque à laquelle on pense quand on parle de casques de jeu. Pourtant, il y a sept ans que Teufel a sorti le casque Cage original auquel des nouveautés ont été ajoutées : le microphone est amovible magnétiquement, la sangle de réglage est en partie en métal brossé et il existe un support pour le surround DTS 7.1. Un éclairage RVB élégant a également été ajouté. Le Teufel Cage Pro est disponible via le site Web de Teufel pour 199 euros. Présentation Sans son carton assez basique, le Cage Pro est solidement emballé dans la boîte avec les accessoires en dessous : un récepteur/dongle USB-A pour une connectivité sans fil 2,4 Ghz, un câble AUX 3,5 mm de deux mètres de long, un (très court) câble de chargement USB-C vers USB-A et le microphone connectable magnétiquement. Malheureusement, avec le Cage Pro, vous ne disposez pas de coussinets d'oreille supplémentaires ni d'adaptateur vers ou depuis USB-C pour le récepteur, ce qui est désormais un standard chez pas mal de concurrents. Le casque est bien fini et semble robuste. Les coussinets d'oreille en tissu mélangé et en simili cuir sont jolis et les sangles de réglage ont une finition en métal brossé. Les nombreux boutons, curseurs et roues en plastique sont en revanche un peu flashy mais sont de qualité et faciles à trouver/utiliser. En plus d'un bouton marche/arrêt, le Cage Pro dispose d'un bouton muet, d'une molette de volume, d'un bouton multimédia (programmable) et d'un curseur séparé pour basculer entre Bluetooth et 2,4 Ghz. C'est certes pratique, mais pas très élégant. Le Cage Pro présente des effets RVB paramétrables logiciellement mais honnêtement, l'effet n'est pas incroyable et clairement dispensable. Le Cage Pro n’a pas de suppression active du bruit, mais comme il s’agit d’une conception fermée, vous disposez d’une suppression passive du bruit. Veuillez noter que vous ne pouvez pas plier Cage Pro.   Connection Le Teufel Cage Pro est un casque sans fil tri-mode. En plus de l'option filaire standard avec une prise 3,5 mm, vous pouvez également connecter le Cage Pro à 2,4 GHz via Bluetooth ou avec le dongle inclus. A noter que si vous souhaitez connecter le Cage Pro sans fil, vous le faites via 2,4 Ghz ou Bluetooth ; vous ne pouvez pas les utiliser en même temps hélas donc pas de switch possible entre une utilisation gaming et smartphone par exemple si vous recevez un appel (une option que je n’utilise jamais). J’ai donc pu utiliser sans le moindre problème le casque sur PC et PS5 via le dongle ou directement en BlueTooth sur la télé et le téléphone. Parce que le microphone est détachable magnétiquement et que la qualité sonore est vraiment bonne , le Cage Pro peut servir de casque Bluetooth pour votre téléphone, par exemple. Par exemple, le bouton multifonction fonctionne bien comme bouton pause et multimédia, et le contrôle du volume est également utile lors de vos déplacements. Confort et facilité d'utilisation Avec un poids de 345 grammes (avec microphone), le Teufel Cage Pro n'est certainement pas le plus léger, mais je félicite quand même Teufel pour le confort car on ne le sent pas lourd sur la tête et il ne sert pas non plus (comme les récents TurtleBeach) Le Cage Pro est très flexible et ne grince pas du tout lors de l'étirement ou du réglage du casque. La sangle de réglage en métal est très robuste et ne s'affaisse jamais sans votre propre intervention. L'arceau en simili cuir et le bord des coussinets d'oreille sont de bonne qualité et aux finitions très soignées. La surface de contact avec les oreilles est en tissu et est très confortable et englobe bien l’oreille. Les coussinets n’étant pas amovibles, cela question sur la durabilité d’un casque à 200€. Logiciel Je vous avoue que la première fois que j’ai utilisé le Cage Pro, je me suis dit « mais c’est quoi cette qualité sonore éclatée pour un casque à ce prix ? ». Car effectivement, pour utiliser au maximum le Teufel Cage Pro, vous avez besoin d'un PC fonctionnant sous Windows pour en faire plusieurs mises à jour via le logiciel Teufel Audio Center. C’est une quasi obligation si vous achetez ce casque ! Car après les MAJ, le son n’est plus le même. Le DTS, la spécialisation, les basses se mettent en action. Je le répète, faites la MAJ, sinon le casque vaut 50€ à tout casser ! Vous pouvez régler tout un de paramètres, créer des profils en fonction des types de jeux si besoin. Dans Teufel Audio Center, vous pouvez activer ou désactiver l'éclairage RVB, le surround ou l'égaliseur et mettre à jour le micrologiciel donc. Les MAJ sont capricieuses et j’ai du m’y reprendre plusieurs fois, donc de ce coté là c’est clairement pas au point. À l'arrière de l'oreillette droite se trouve un bouton multifonction que vous pouvez régler dans le Teufel Audio Center. Assez multifonctionnel, j'ai pensé, mais l'essentiel est que vous pouvez basculer entre sept fonctions comme décrit ci-dessous. Ces paramètres ne fonctionnent que lorsque le Cage Pro est connecté à un PC avec le Teufel Audio Center actif, ils ne restent donc pas actifs lorsque vous connectez le Cage Pro à un autre appareil, ce qui est bien dommage. Qualité audio Bien que les haut-parleurs développés en interne par Teufel ne soient pas les plus grands avec 40 mm, leur expérience dans le domaine audio transparaît vraiment dans Cage Pro. Le Teufel Cage Pro prend en charge « DTS Headphone v2 pour un son surround virtuel 7.1 ». Cela signifie que vous obtenez un effet sonore plus immersif lorsque vous jouez (vous pouvez beaucoup mieux entendre d'où viennent les pas ou les tirs de balle) mais aussi en regardant des films prenant en charge le Dolby Surround. Ayant l’habitude d’utiliser mon casque Sony WH-1000XM3 pour regarder des films, je dois dire que le Teufel est plus impressionnant, notamment grâce à davantage de basses. On a là l’un des meilleurs casques en termes de qualité audio. Là où le casque fait fort c’est sur la spatialisation du son. On a vraiment l’impression d’être au sein d’une bulle sonore et on arrive très bien à situer d’où viennent les différents son et différentes voix. Les basses sont percutantes et vraiment impressionnâtes mais peuvent parfois un peu écraser les autres sons. Léger point négatif sur la capacité à distinguer les différents sons qui se mélangent parfois en cas de grande quantité d’infos sonores en même temps. J’ai trouvé qu’en Bluetooth, la qualité est un peu moins bonne qu'en 2,4 Ghz. Cela peut être dû au fait que toutes les normes audios ne sont pas prises en charge via Bluetooth, mais cela dépend aussi beaucoup de la source que vous écoutez. Puisqu'un câble AUX de 3,5 mm est également inclus, je l'ai également testé. Le son semble être le même que sur la connexion 2,4 GHz, ce qui en dit long sur le chemin parcouru en matière de connexions audio sans fil. Pour cette gamme de prix, vous trouverez des équivalents chez les gros constructeurs (Steelseries, TurtleBeach, HyperX) mais pour franchir un cap , il faudra vraiment débourser plus. Micro Beaucoup de temps semble avoir été consacré à la conception et au mécanisme de connexion magnétique du microphone. Malheureusement, je dois conclure que la qualité d'enregistrement est quelque peu décevante en pratique.   Le Teufel Cage Pro est sensible au vent, à la respiration ou à d'autres bruits. La voix est un peu trop étouffée et les sons faibles disparaissent facilement. On trouve donc des défauts de micro que de nombreux constructeurs spécialisés dans le gaming ont réussi à vaincre depuis quelques années. Cela dit, je pense qu’en modifiant un peu les paramètres, ou via une MAJ, cela serait possible de corriger ces petits défauts. Autonomie Selon la propre page produit de Teufel, le Cage Pro aurait une autonomie de "68 heures à volume moyen". Je ne sais pas quels paramètres Teufel utilise, car à la fois via Bluetooth et 2,4 GHz, sans éclairage RVB, je ne peux pas dépasser trente heures. C'est toujours bien pour un casque, mais je me demande comment Teufel est arrivé à ses chiffres. Peut-être que vous pouvez atteindre ces chiffres avec le microphone fermé et via la connexion 3,5 mm. Quoi qu’il en soit, on a une autonomie très suffisante, même si les cadors du genre font nettement mieux (coucou HyperX) La batterie de 1000 mAh se charge rapidement. La batterie est complètement chargée de 0 % à 100 % en une heure et demie environ. Vous pouvez continuer à utiliser le Cage Pro pendant qu'il est en charge. Bilan : Avec le Cage Pro, Teufel a prouvé qu'il savait transférer son expérience dans le domaine audio au casque gaming. Et ça n’est pas tâche aisée au final. Les constructeurs spécialisés dans le gaming, déjà cités dans ce test ne sont pas des cadors en produits audiophiles et l’inverse est aussi vrai. Teufel a vraiment réussi à produire des écouteurs solides, car la qualité sonore et le surround sont vraiment bons et c’est là où on les attend. Cela dit, j’aurai aimé voir Teufel accorder plus d’attention à ses microphones. Le fait qu'il soit amovible magnétiquement est très convivial, mais la qualité sonore émise est moindre à ce que l’on trouve ailleurs. Le Cage Pro manque également d'un certain nombre de fonctionnalités : coussinets amovibles supplémentaires et une connectivité double sans fil/multi-appareils où vous pouvez être connecté à un appareil de 2,4 GHz en même temps que un autre appareil via Bluetooth. Au final, je conseille fortement ce casque, dont le prix reste élevé mais mesuré comparé aux autres marques, surtout si vous n’êtes pas trop un joueur multi en équipe et que vous cherchez un casque polyvalent pour écouter la musique mais aussi des films en plus de jouer surtout à du contenu solo.

[Test] - Vidéoprojecteur nomade M1X de Viewsonic

Par Redac chef
Le 23-10-24 à 12:40

Vous voulez un écran de poche de cent pouces qui fonctionne sans prise de courant ? Alors vous êtes au bon endroit. Aujourd'hui, je vous présente le ViewSonic M1X - un projecteur LED portable. Il est agréable à regarder, agréable à tenir, pratique à placer dans n'importe quelle position grâce à un support métallique pivotant spécial. Le projecteur lit le contenu via HDMI, USB-C, Wi-Fi, à partir d'une clé USB ou de 16 Go de mémoire interne, peut dupliquer l'écran des appareils mobiles et est contrôlé par une télécommande Bluetooth. Le son est assuré par des haut-parleurs internes de qualité harman/kardon. Et toute cette splendeur fonctionne grâce à la batterie intégrée pendant trois bonnes heures. Le tout pour un prix de départ de 379€ Alors est-ce un bon plan ? Présentation Le projecteur est livré dans un étui en feutre avec fermeture velcro. En plus de cela, la boîte contient un bloc d'alimentation de 65 W, deux câbles pour celui-ci (pour différents types de prises) et un câble USB-C épais et de bonne qualité d'un mètre de long. Une télécommande et des livrets complètent le contenu. À l'intérieur de l'emballage, le projecteur, comme il se doit pour cet équipement délicat, est protégé par un insert en matériau poreux élastique. Le logo IP Design Award 2023 est présent sur la boîte pour une raison : le design est vraiment bon. La majeure partie de la surface du boîtier est recouverte d'un revêtement en tissu. Les indicateurs tactiles caoutchoutés et le logo Harman/Kardon ressortent en contraste. Des indicateurs LED brillent à travers le tissu : un indicateur coloré (rouge en charge et vert en mode de fonctionnement) et cinq indicateurs blancs indiquant le niveau de charge de la batterie. Sur le côté gauche, une molette de mise au point et placée au-dessus d’un panneau de connexion caché par le socle. À propos, trois cercles argentés sur le couvercle sont des aimants qui le maintiennent fermé. Une telle attention aux détails mérite le respect. Quant aux connecteurs eux-mêmes, il y a USB-C, USB-A, HDMI pleine taille, une mini-prise pour casque ou haut-parleurs externes et une prise pour le câble d'alimentation. Le support peut pivoter vers le bas ou vers le haut, dans ce dernier cas, il peut être utilisé pour suspendre le projecteur à l'angle souhaité. C'est une fonction très utile, car elle vous permet de positionner le projecteur sous différents angles. Lorsque vous faites pivoter le support, le projecteur s'allume automatiquement.   Le panneau inférieur est en plastique et au centre se trouve une prise standard permettant de le fixer à un trépied ou un support ordinaire. Le dos du boîtier est arrondi et également recouvert d'un revêtement en tissu. Interface logicielle Si vous avez déjà rencontré des projecteurs multimédias, vous savez probablement qu'il existe deux pôles d'interfaces : un menu où vous pouvez régler l'image et sélectionner sa source, et une interface Smart TV à part entière, où se trouvent des applications pour tous les services de streaming populaires et autres divertissements. ViewSonic M1X nous offre quelque chose de proche du deuxième pôle, mais avec énormément de limitations. L'écran d'accueil après la mise sous tension affiche un menu horizontal simple avec un ensemble d'éléments de base… on se croirait revenir 20 ans en arrière … Gestionnaire de fichiers , ici vous pouvez voir le contenu du stockage intégré ou connecté. Centre d'applications , où sont les applications installées. Vous avez aussi une sorte de « store » qui vous propose des applications prédéfinies et à peu près toutes inutiles. Ne cherchez pas de Netflix, Disney ou autres appli de ce style, il n’y a rien (où alors je n’ai pas trouvé mais croyez moi j’ai cherché partout). Il faudra donc passer par une Nvidia Shield, PS5 ou autre… autant dore qu’on perd directement le coté mobile. Paramètres. Il y en a vraiment beaucoup (trop ?). Pour commencer, il vous est proposé de régler automatiquement ou manuellement les paramètres de connexion Wi-Fi et l'heure. Ensuite, il y a les paramètres de projection et les ajustements de la géométrie de l'image. ViewSonic a vraiment mis le paquet pour que vous puissiez avoir les meilleurs réglages. La section des paramètres avancés concerne beaucoup la gestion de l'alimentation et les économies d'énergie, comme l'arrêt automatique et les minuteries de mise en veille, ainsi que le mode de luminosité. Vous pouvez sélectionner le mode audio : film ou musique, activer ou désactiver le mode powerbank, et même activer une fonction spéciale d'optimisation à haute altitude si vous emmenez le projecteur à plus de 1 500 mètres d'altitude. À partir de là, vous pouvez également mettre à jour le firmware (via Wi-Fi ou USB) et lire le compteur horaire du projecteur. Réflexion sur l'écran. Cette fonction permet d'afficher l'image de l'écran d'un appareil mobile sur le projecteur est particulièrement bien compatible avec iOS. Sur Android, cela fonctionne bien pour projeter des images, par contre impossible de caster une vidéo YouTube par exemple, c’est donc très limité. Mode Bluetooth. Il offre le choix entre un mode d'appairage, le transfert audio d'une source externe vers le projecteur, ou inversement, du projecteur vers un système audio externe ou un casque. Qualité image et son Une fois allumé, le projecteur émet une sonnerie très forte, mais cette fonction peut être facilement désactivée dans les paramètres. Le volume des haut-parleurs peut être réglé à la fois à partir de la télécommande et à l'aide des boutons tactiles situés sur le boîtier. L'appareil est satisfait d'une connexion Wi-Fi stable, aucun problème lors du travail avec un point d'accès double bande. Lors de la connexion d'un appareil mobile via USB-C, le projecteur peut servir de source d'alimentation.   Le ViewSonic M1X prend en charge plusieurs options de projection d'image, selon la façon dont vous positionnez l'appareil : sur un bureau ou au plafond, devant l'écran ou derrière celui-ci. De plus, le menu propose des options flexibles pour le réglage trapézoïdal : à la fois dans l'axe et séparément pour chacun des coins. Cela vous permet de placer le projecteur où vous le souhaitez, tout en obtenant une image rectangulaire correcte. Il existe également un mode automatique. Cette fonction fonctionne vraiment très bien et se révèle très pratique pour un appareil portable. Le M1X corrige immédiatement la position de l’image projetée dès qu’on le déplace.   Du point de vue technique, il n'y a aucune prétention à l'image : la résolution est WVGA (854x480) et il faudrait très clairement avoir du 720p au minimum car même pour un projecteur portable du 480p n'est pas suffisant et, il faut l'avouer, avant d'allumer le projecteur, j'étais plutôt sceptique. L'image avec le ViewSonic M1X manque cruellement de luminosité et avec un recul de 1.60m, permettant d’obtenir une diagonale de 1.50m, la résolution était tout simplement à la ramasse sur PS5, en revanche sur des résolutions moins élevée (PS3/switch, c'est plutot acceptable). La luminosité déclarée est de 360 ​​lumens, ce qui exclue toute utilisation dans une pièce éclairée. Le rapport de contraste est de 120000:1. Dans une pièce très sombre, si vous éloignez le projecteur de 2.50m, vous atteindrez 100 pouces de diagonale mais avec la résolution de l’appareil, il ne faudra pas s’attendre à grand-chose si vous envoyez une grosse résolution. En ce qui concerne le son, pas de surprise à ce prix, c’est clairement pas incroyable. La collaboration avec Harman/Kardon est minimale et dès qu’on monte un peu le son, on a une bouille de bruits très métalliques. Lle son du projecteur peut être émis vers un système de haut-parleurs externes via une mini-prise standard. De plus, il est possible de transmettre le son via Bluetooth, et dans les deux sens : le projecteur peut jouer le rôle d'un « haut-parleur sans fil », ou inversement, le son du projecteur peut être diffusé via un casque sans fil ou un haut-parleur Bluetooth externe. Autonomie / portabilité Pour un projecteur, le fait qu'il soit autonome est inhabituel et ouvre toute une série de nouveaux scénarios d'utilisation. C'est comme une enceinte sans fil, sauf qu'elle peut non seulement diffuser du son, mais aussi afficher une image. Vous n'êtes pas du tout lié à des fils et à des prises : vous pouvez placer le projecteur n'importe où, puis le ramasser et le déplacer à tout moment. Sur le coté mobile et transportable, l’appareil fait très très fort et en dépannage et utilisation nomade, difficile de faire mieux Le projecteur est équipé d'une batterie de 12 000 mAh. Une charge complète assure un maximum de trois heures en mode éco (ou 2,5 heures en mode standard). Un chargeur est inclus bien évidemment si vous avez prévu une session plus longue. Il est intéressant de noter que les cinq indicateurs de niveau de charge s'éteignent assez uniformément, avec un intervalle de 30 à 40 minutes (pas pour que tous s'allument jusqu'au dernier, puis tous ensemble en cinq minutes s'éteignent). Une charge complète de la batterie déchargée à zéro prend un peu plus de trois heures, pendant lesquelles l'appareil « absorbe » 50 Wh. Conclusion Sur la boîte du projecteur, on peut lire un grand slogan : « Reimagine your space ». Nous sommes habitués à être sceptiques face aux slogans marketing, mais ici, la phrase publicitaire décrit assez précisément le véritable objectif de l'appareil. Il se trouve que dans l'espace environnant, les écrans sont des objets séparés et fixes : des téléviseurs ou des moniteurs d'une taille connue, connectés au réseau électrique. Le projecteur portable change tout à cet égard. La diagonale et l'emplacement changent, aucune prise de courant n'est nécessaire et la source elle-même peut être pliée dans un sac à dos à tout moment. Il n'est pas nécessaire d'apporter un téléviseur à une fête à la campagne. Un cinéma en plein air le soir peut être installé n'importe où. À la maison, vous pouvez rapidement expérimenter la taille et l'emplacement des écrans dans différentes pièces, plutôt que d'acheter un téléviseur de 70 pouces et de vous rendre compte à un moment donné que vous ne pouvez pas l'installer confortablement (ou qu'un 90 pouces serait plus adapté). Le M1X de Viewsonic performe donc sur ce qu’il propose d’original, la transportabilité, mai pèche cruellement sur l’aspect technique (image et son). En tout cas, ce n’est pas une option viable pour le gaming. accéder à la page du produit

[Test] - SSD PLAY 2280 2To pour PS5

Par Redac chef
Le 22-10-24 à 11:59

Avec la sortie de sa PS5 pro , pour un montant défiant toute concurrence (lol), PlayStation proposera enfin une capacité de disque dur descente, à une époque où le moindre jeu AAA occupe plus de 100G sur nos disques durs ( FF7 Rebirth dépassant les 130Go et Call of Duty plus de 200 avec tous ses patchs et extensions). A l’époque des PS3 et PS4, diverses versions des consoles Sony étaient proposées avec des capacités de disque croissante. Pour la PS5, il n’en fut rien , Sony ayant opté sur la possibilité d’accroitre son espace stockage avec soit un disque dur externe, soit un disque dur interne SSD M.2 NVMe Initialement lancés à des prix vraiment élevés puisqu’il fallait compter environ 250€ le téra supplémentaire, les tarifs se sont sensiblement calmés pour les capacités de 1 à 2To en raison d’une saturation du marché (Crucial, Samsung, WD, Seagate ayant tous des produits similaires dans leur catalogue)  mais restent trop élevée pour les très grosses capacités. Aujourd’hui Lexar lance une gamme nommée PLAY 2280  et qui propose 2 volumes de stokage : 2, 4 et même 8 To (aux USA pour 949$... on oublie de suite) en plus du stockage interne de la console. Autant dire qu’avec ça, vous devriez être tranquilles. Le disque 2To est disponible à 170.99€ Le disque 4To est disponible à 341.99€ Ce SSD est conçu pour le jeu sur PC et PS5. Pour rappel, l’ajout d’un SSD sur PS5 est d’une grande simplicité, il suffit d’un tourne vis. On notera tout de même qu’aucune mention n’en est faite sur l’emballage Lexar, le produit n’est donc pas sous licence officielle (contrairement à Seagate) , mais bon un disque dur ça reste basique et il en est de même pour le WD SN850X qui était initialement conseillé par Marc Cerny lui-même. Une fois le montant plastique du coté du lecteur enlevé (ou la partie qui n’a pas le logo PS pour les modèles digitaux) , la trappe SSD se dévoile et l’ajout se fait le plus simplement du monde. Le disque est parfaitement calibré pour la console et il est monté d’un dissipateur thermique efficace puisqu’il permet un fonctionnement entre 0 et 70 degrés. Le lancement de la PS5 permet la détection immédiate du SSD et après un test de vitesse, on constate que le disque permet des transferts de 6488 Mo/s en écriture (6500 annoncés et 7400 Mo/s en lecture)     En termes de performances, le Lexar est aussi bon que le Western Digital Tout est en place, vous disposez de 2To de plus pour une durée d’utilisation annoncée de 1.5Million d’heures (et une garantie de 5 ans) Récap des specs du SSD PLAY 2280 sur le site officiel

[TEST] Casque Stealth 700 (gen3) de Turtle Beach - compatible PS5

Par Redac chef
Le 05-10-24 à 16:02

Un peu comme les marques de smartphone, les constructeurs de matériels sortent désormais une nouvelle itération de leurs produits phares chaque année ou presque. Turtle Beach est de ceux là et nous présente la 3ème génération du Stealth 700, ici adaptée à la PlayStation mais au final compatible avec toutes les plateformes ou presque (PC, switch, mobile etc) au prix de 199.99€ sur le site officiel . Au-delà des coloris traditionnels blanc et noir, il existe une nouvelle option bleu cobalt qui est absolument magnifique. Depuis plusieurs années et donc des dizaines de tests de casques audio, j’ai toujours l’impression qu’on touche un plafond de verre en termes de qualité d’écoute. Pour le franchir, il faut se tourner avec des casque de marque audiophile et le prix explose en général. Turtle Beach annonce que le Stealth 700 a de quoi jouer dans le cours des grands, qu’en est-il vraiment ? Conception Le Stealth 700 est massif, c’est le premier sentiment que l’on a avec lui. Le colosse pèse quand même  grammes . Ensuite,n une fois sur les oreilles, on sent qu’il sert bien la tête et que l’environnement sonore sera bien confiné, assurant une immersion totale en jeu / écoute de musique / cinéma. Le casque est sobre, même en blanc, il n’y a pas de RVB. L’un des aspects les plus cruciaux d’un casque de jeu est le confort. Le Stealth 700 est de conception supra-auriculaire, associée à des coussinets d'oreille en mousse à mémoire de forme souple. Le casque vise à offrir un ajustement confortable même pendant des sessions de jeu prolongées. Le bandeau réglable assure un ajustement sûr et personnalisé, minimisant les points de pression. Cela dit le casque se ressent vraiment et il ne sera peut-être pas si confortable que ça si vous avez une large tête. Le casque étant assez lourd, il finira peut-être par vous procurer un certain inconfort après de longues sessions de jeu ou d’écoute. De plus, actuellement, la météo n’étant pas folichonne, on ne transpire pas trop ces derniers temps mais en plein été je pense que cet aspect doit être pris en compte si vous êtes sujet à de la transpiration Lorsque vous regardez le casque, l'oreillette gauche contrôle le mode, le volume global, le volume du jeu, le port de chargement et le bouton d'alimentation. L'écouteur droit comprend le bouton d'échange du dongle, le volume du chat et l'activation Bluetooth. Les boutons sont nombreux, mais équilibrés et vous donnent beaucoup de contrôle du bout des doigts. Niveau tech, Le Stealth 700 Gen 3 est équipé de nouveaux haut-parleurs Eclipse Dual de 60 mm, qui offrent un paysage sonore robuste et immersif. Des nuances subtiles des sons ambiants à l’impact explosif des coups de feu, l’audio est riche et détaillé. Les basses sont vraiment profondes et percutantes, ajoutant une couche satisfaisante à l'expérience de jeu. C’est clairement la première chose que l’on ressent. C’est simple, en termes de basses, il est au niveau de mon Beyerdynamic DT770 pro. Mais bien que le profil sonore soit lourd en basses, c'est une préférence qui peut être ajustée dans une certaine mesure à l'aide de l'application Turtle Beach Swarm II ( sur mobile et sur ordinateur). Qualité sonore Que ce soit pour une expérience audio cinématographique, dans les jeux dotés de bandes sonores immersives ou juste pour écouter la musique, le Stealth 700 excelle. La scène sonore est large, vous permettant de localiser précisément l'emplacement des sons dans l'environnement virtuel. La simulation du son surround 7.1, même si elle ne constitue pas une véritable expérience de son surround, ajoute de la profondeur et de l'immersion à l'audio. Comparé au Stealth 600 (Gen 3) / Stealth 500 ou même au Stealth Pro, le Stealth 700 (Gen3) se démarque vraiment. On a un gap technique évident, et donc je place ce casque dans la même catégorie que les cadors du secteur pourtant bien plus chers. Le microphone rabattable pour couper le son du Stealth 700 (Gen 3) est une fonctionnalité pratique. La qualité audio est claire et naturelle, ce qui permet aux coéquipiers d'entendre et de comprendre facilement votre voix. La technologie de réduction du bruit AI filtre efficacement le bruit de fond, garantissant que votre voix est entendue haut et fort. Le microphone est flexible et peut être ajusté selon votre position préférée. Le mécanisme flip-to-mute est fiable et facile à utiliser. Le bras de perche du microphone est robuste et ne semble pas fragile. L’accent accru mis sur l’amélioration de la qualité du microphone peut être ressenti et entendu. Connectique Le Stealth 700 (Gen 3) offre une gamme de fonctionnalités qui améliorent l'expérience de jeu. Le système sans fil CrossPlay vous permet de basculer facilement entre les consoles de jeux, les PC et les appareils mobiles grâce à l'utilisation de deux dongles distincts sur les appareils sur lesquels vous souhaitez utiliser le casque. Ayant déjà fait l’expérience de perdre un dongle casque, l’ajout d’un 2ème dongle est plutôt bienvenu. Les deux émetteurs USB offrent une connexion transparente à votre PC et à d’autres appareils, et tout cela peut se produire en appuyant simplement sur un bouton – c’est parfait. Le casque prend également en charge la connectivité Bluetooth, ce qui facilite l'écoute de la musique ou la prise d'appels. Logiciel Il est nécessaire d'utiliser l'application Turtle Beach Swarm II pour mettre à jour et apporter des ajustements au casque. Il est possible d’ ajuster les paramètres d’égalisation, créer des profils audio personnalisés et mettre à jour le micrologiciel du casque. L'application est plutôt intuitive et détecte tous nos appareils Turtle Beach si vous naviguez dans l’écosystème de la marque, ce qui est appréciable. Le logiciel plante pas mal sur ordi hélas mais une fois les réglages opérés, on n’y revient pas trop je pense. Le Stealth 700 (Gen 3) offre une autonomie allant jusqu'à 80 heures avec une seule charge, ce qui est dans les standards actuels (hyper X fait un peu mieux quand même). Cela signifie que vous pouvez profiter de sessions de jeu prolongées sans vous soucier du manque de puissance du casque. La fonction de charge rapide est un ajout bienvenu, vous permettant de recharger rapidement la batterie pour ces sessions de jeu impromptues. Bilan Le Turtle Beach Stealth 700 (Gen 3) est donc un casque polyvalent à la sonorité puissante, surtout en termes de basses, mais il n’y demeure pas moins précis sur l’ensemble du spectre audio. Le design élégant et robustes est moderne mais assez lourd et il sert pas mal la tête. L’expérience audio immersive associée à une longue durée de vie de la batterie, en font un choix à véritablement considérer. Qu'il s'agisse d'un seul système ou d'une utilisation multiplateforme, le Turtle Beach Stealth 700 (Gen 3) vous permet d'aller n'importe où et de tout entendre. Après, il est certainement un peu trop robuste pour un utilisation lifestyle mais à domicile c’est un must have, pour un prix certes conséquent mais qui est largement justifié par les performances audio.

[TEST] Souris KONE II AIR de Turtle Beach

Par Redac chef
Le 05-10-24 à 11:25

Depuis que Turtle Beach a englouti la marque Roccat, les produits de ce dernier sont régulièrement remis à jour et au nom de la nouvelle entité. Il s’agit donc essentiellement ici d’une mise à jour de la Roccat Kone Air à savoir la nouvelle KONE II AIR (K2A) qui existe en noir ou en blanc. C'est parti pour un retour concernant ce nouveau modèle. Au menu des mises à jour, La K2A bénéficie d’une mise à niveau du capteur à 26 000 DPI qui offre une belle augmentation de la vitesse et du suivi. Le design gagnant qui a rendu le Roccat Kone Air si confortable fait son grand retour, mais il y a désormais deux boutons derrière la molette de la souris qui facilitent les modifications des paramètres à la volée. De plus, le Kone II Air se charge plus facilement que son prédécesseur via un câble USB-c / USB-A. Le prix fait cependant un peu mal : 129.99€ soit plus du double du prix du Kone Air. Conception La K2A se repère de suite par deux choses. Tout d’abord il s’agit d’une (très) grosse souris. Elle est clairement faite pour les (très) grandes mains et pour avoir l’habitude d’utiliser des souris plus petites, j’ai dû m’habituer progressivement car j’avais mal dans la paume au début. La bête pèse 110 grammes, ce qui lui confère une sensation de lourdeur : elle est donc stable et se démarque fortement des souris ultra légères e-sport. Cela dit son système de glisse est plutôt efficace, sensiblement meilleur que la Cherry M50 Là encore je ne peux que conseiller de la tester et de la tenir avant de passer à la caisse. Secundo, la souris envoie du RVB à tout va . C’est le genre de souris qui me font éteindre les lumières pour profiter de l’ambiance de la souris et de son ambiance. Attention toute fois à ne pas se retrouver les yeux éclatés par les écrans. Dotée de deux bandes lumineuses RVB  le dessus et d’une dans sa molette de défilement, La K2A est flashy. Le RVB comprend deux zones programmables, modifiables dans l'application compagnon Swarm II (qui plante un peu ….). Pour ceux qui aiment bidouiller, c'est plutôt pas mal, même si j'imagine qu'une fois le paramétrage initial réalisé, on n'y reviendra moins souvent (et ça fait encore un logiciel de + sur le PC)   C’est une belle souris de grande qualité et qui veut être vue (on aime ou pas), contrairement au look plus sobre des Cherry par exemple. De même que le look, la souris ne fait aucune économie sur les boutons ! Derrière la molette de défilement, on trouve un désormais classique sélecteur DPI mais aussi un bouton pour debrayer le mode de défilement : libre ou pas crans. A ce propos je trouve que le défilement par crans est trop peu souple (je n’ai pas trouvé s’il était possible de le régler) et je suis donc vite passé au défilement sans retenue. Je noterai aussi que le clic sur la molette est assez dur. Ces deux boutons se combinent avec cinq autres, dont 3 accessibles directement au niveau du pouce, pour obtenir un total de sept, tandis qu'une molette de souris à quatre directions ajoute une fonctionnalité gauche/droite au haut/bas habituel que vous voyez dans la plupart des autres souris. Connectivité Turtle Beach Kone II Air La Kone II Air dispose d'un ensemble complet d'options de connectivité, et celles-ci sont très faciles à utiliser. L'option sans fil à la latence la plus faible est le Wi-Fi 2,4 GHz, accessible via un petit dongle USB-A. La connectivité Bluetooth est assez simple à utiliser, nécessitant simplement une simple pression sur une bascule en bas. Lorsque vous avez fini de jouer, vous pouvez ranger le dongle USB de la souris dans un compartiment ouvert en dessous si vous le souhaitez, ce qui peut éviter de le perdre. Vous pouvez également connecter le Kone II Air à votre PC avec le câble flexible USB-A vers USB-C, qui a l'avantage de le charger en même temps. Une fois complètement chargé, vous obtenez environ 130 heures en mode Wi-Fi et 350 heures en mode Bluetooth Performances du Turtle Beach Kone II Air Le Kone II Air est alimenté par un capteur optique Owl-Eye 26K. Parmi ses spécifications techniques figurent une résolution maximale de 26 000 DPI, une vitesse maximale de 650 pouces par seconde (IPS) et une accélération maximale de 50 g. C'est vraiment parfait : à la fois rapide et sensible. La conception ergonomique de la souris lui confère une bonne maniabilité une fois qu’on s’est habitué à sa taille. Pour tous les types de jeux que j'ai pu tester (PC  / PS5) , la souris répond parfaitement et on ne plante pas les manœuvres qu'on avait prévu de faire. Au final c'est aussi en condition bureautique que j'ai trouvé la K2A absolument excellente, permettant de faire beaucoup de manip sans devoir passer par le clavier. On notera quand même qu'une fatigabilité des poignées peu apparaitre en comparaison des souris ultra légères comme la Burst 2 Air du fabriquant (45 grammes vs 110 pour la Kone). Sur le flanc gauche se trouve un repose-pouce avec le bouton Easy-Shift [+] sur sa bordure inférieure. Appuyer sur cette palette m'a permis d'accéder à des commandes programmables (certaines sont préréglées dans le logiciel en fonction des jeux)   Les boutons clic gauche et droit, dotés de commutateurs Titan Optical, sont très doux au toucher. Ils répondent parfaitement et leur course me semble idéale pour le jeu comme la bureautique. Bilan La Turtle Beach Kone II Air incarne un look RVB lumineux et flashy qui la distingue de pas mal de souris. C’est une grosse souris qui ne s’adaptera peut être pas à toutes les mains. Son prix actuel de 130€ implique de l’essayer avant. Concernant les performances, cette souris est un véritable bijou. Elle est à la fois rapide et précise, et avec un total de sept boutons et 21 commandes accessibles via sa palette Easy-Shift [+]. Elle est tout simplement idéale pour les jeux où vous souhaitez accéder rapidement à une liste tournante de capacités mais aussi en bureautique où elle excelle. C'est donc une souris lourde, lumineuse et polyvalente.   Page officielle du produit : https://fr.turtlebeach.com/products/kone-ii-air-mouse    

[TEST] - Manette mobile KISHI Ultra de Razer

Par Redac chef
Le 03-10-24 à 19:13

Jouer à des jeux vidéo sur mobile, au cloud gaming ou streamer des consoles est devenu un enjeu de plus en plus important dans l’industrie gaming. Effectivement depuis l’arrêt de la PS vita, de la 3DS et constatant que la switch sert quand même plus en mode dock qu’en mode portable, les constructeurs sont de plus en plus frileux à sortir des consoles portables. On trouve cependant des machines très chères qui sont de mini PC comme le Steam Deck ou Asus Ally mais partant du principe que les portable sont désormais de vraies machines de guerres, l’effort commercial semble porter sur la capacité des les utiliser comme consoles. Récemment j’ai pu tester le Nacon MG-X qui était plutôt satisfaisant et pratique et qui apporte une solution satisfaisante. Aujourd’hui, changement de monde avec Razer qui m’a gentiment envoyé la KISHI ULTRA, dernier modèle de la Kishi, un modèle qui a déjà fait ses preuves avec de précédents modèles.   Qu’en est il de cet appareil vendu tout de même 169.99€ sur le site Razer ou 161€ sur Amazon ? Il n’y a pas grand-chose dans la boîte, mais presque tout ce dont vous avez besoin est là. Le Razer Kishi Ultra, quelques coussinets en caoutchouc adaptés aux différentes marques de mobiles et qui permettront un ajustement très précis du smartphone mais aussi une surélévation des mobiles ayant un bloc photo proéminent comme mon Google pixel 8 pro. Sur le Kishi Ultra, vous trouverez tous les boutons conventionnels des manettes : stick / crois / boutons et gâchettes et même plus avec des boutons L4 et R4. Il y a quelques boutons d'utilisation supplémentaires à proximité des déclencheurs. Les boutons d'accueil et d'options se trouvent à leur place habituelle, avec des boutons de menu, de capture d'écran et d'application. Tous sont agréables et cliquables, avec un contrôleur bien construit pour le prix que vous payez.  L’outil respire la qualité ! Après avoir testé l MG-X de Nacon, Je ne m'attendais pas à un tel gap de qualité et de robustesse du Kishi Ultra. Il sera facile à transporter et on ne risquera pas de l’abimer, ce qui est essentiel à la vue de son utilisation nomade. De plus en ce qui concerne la prise en main, on monte d’un (plusieurs) cran(s) sans soucis. La prise en main ressemble à celle d’une manette ordinaire, semblable à une manette Xbox divisée en deux. Il ne semble pas rétréci comme le sont beaucoup d’autres contrôleurs. Pour Android, il existe même des fonctions haptiques pour que vous puissiez profiter pleinement de l'expérience. Contrairement au MG-X de Nacon où il falliat apparairer en blutooth le téléphone à la manette, ici il n’y a rien à faire, la connexion usb-c prend tout en charge. Il est possible de  se déplacer dans les app et le téléphone avec le Kishi. La nature télescopique du Kishi Ultra signifie également que vous pourrez l’utiliser avec de nombreux appareils. Nous ne parlons pas seulement de téléphones ; il convient même aux iPad mini et aux contrôleurs Android de taille similaire. Ils doivent disposer d’une connexion USB-C, mais comme c’est la norme désormais, vous trouverez la plupart des appareils compatibles. De plus, le Kishi Ultra est capable de fonctionner avec une connexion filaire USB-C avec un PC. Autres avantages supplémentaires : vous pouvez charger votre téléphone pendant que vous l'utilisez et utiliser un casque 3,5 mm. Le premier est plus important que le second, car nous savons tous à quelle vitesse les batteries des téléphones portables s’épuisent lorsque vous jouez à un jeu. Cela ne tient même pas compte de la puissance nécessaire au fonctionnement du contrôleur. Le port USB-C est situé juste sous la manette droite à gauche et est positionné sur le côté afin de le garder à l'écart. La prise casque 3,5 mm est également située sous la manette gauche, et il est agréable de les voir en place tout en étant discrètes. L'application Nexus explique en partie pourquoi tout fonctionne si bien en harmonie. Ici, vous pouvez découvrir quels jeux sont spécifiquement pris en charge et ajuster votre Kishi Ultra. Vous pouvez ajuster des choses comme le remappage, la modification de la force haptique et l’ajustement de l’éclairage RVB doux pour lequel Razer est connu. Vous pouvez même diffuser le jeu en direct sur YouTube et Facebook. Le logiciel de Razer qui vous permet même de mapper les fonctions de l’écran tactile sur votre téléphone. L’appli Nexus vous propose des applis pour streamer mais aussi des jeux sur votre store (Android ou iphone) . Allez je me laisse tenter par un petit sonic ! En condition gaming, cela dépend pas mal de la puissance du téléphone ou de la tablette mais si cela suit, c'est un réel plaisir de jouer sur Le Xbox Gamepass via l’appli non officielle PlayStation ou directement sur les jeux mobiles.   En tant que substitut du PS Portal, la Kishi Ultra se transforme en une dualsense de très grande  qualité.On retrouve sans le moindre réglage, le bouton option / share / menu / capture … c’est un pure régal et très intuitif alors que l'appareil est pensé Xbox/PC avant tout. Alors oui la Kishi Ultra peut sembler chère comparé à un Ps portal : 169€ contre 219€ mais l’appareil de Razer est infiniment plus complet et multitâche que l’écran dé »porté de Sony : jouer au PC, à la Play en stream, au XBOX gamepass est incontestablement plus intéressant. Le Kishiu Ultra est clairement un must have si vous cherchez un objet de ce type  et que vous avez un téléphone puissant pour faire tourner avec fluidité toutes ces applications.

[TEST] - Vidéoprojecteur 4K Aura2 de XGIMI

Par Redac chef
Le 01-10-24 à 00:48

Jeune marque sur le marché des appareils spécialisés dans la vidéoprojection (2013), XGIMI apprend et étoffe son offre. Il y a 3 ans, alors que j’avais pour projet de changer de télévision (ce qui ne s’est pas fait au final), j’avais pu tester le vidéoprojecteur ultra courte focale AURA, fer de lance de la marque et qu'on a pu me prêter pour un comparatif visuel. Objet aux dimensions XXL, l’AURA offrait une belle image mais des soucis en terme de calibration automatique et surtout un INSUPORTABLE sifflement qui obligeait de jouer avec un son très élevé, ou même carrément de l’utiliser avec un casque. La vidéo projection étant prioritairement destinée au cinéma, loisir partagé, autant dire qu’on était sur un deal breaker. Présenté à l’IFA de Berlin 2024, XGIMI a récemment lancé l'AURA 2  au prix de 2899€ , le petit frère (c’est peu de le dire) de l’AURA (vendu à sa sortie 2499€ mais désormais à 2799€) :  un projecteur triple laser 4K à focale ultra-courte qui a suscité une attention considérable sur le marché pour ses fonctionnalités innovantes et ses spécifications techniques impressionnantes. Conçu pour offrir des visuels de haute qualité dans des espaces restreints, l'Aura 2 offre une expérience visuelle puissante avec une technologie de pointe et des éléments de conception conviviaux. Au cœur des capacités de l’AURA 2 se trouve son nouveau moteur optique, qui permet une projection haute définition à grande échelle, même à des distances extrêmement courtes. Cette fonctionnalité est particulièrement avantageuse pour les utilisateurs disposant d’un espace limité, car le projecteur peut projeter une image de 90 pouces à seulement 5,35 pouces d’un écran ou d’un mur, et jusqu’à un écran de 150 pouces à une distance de 38,85 pouces. De plus, l’AURA 2 est équipé d’un couvercle anti-poussière pour protéger ses principaux composants optiques, garantissant ainsi durabilité et longévité. Ça … c’est sur le papier, qu’en est-il ? Prise en main. Le premier « choc » fut la réception du colis … j’ai cru à une erreur ! Effectivement ce dernier et facilement 2 fois plus petit que celui de l’AURA à savoir 265 x 798 x 582 mm (17 kilos) pour l’Aura 1 contre 220 x 630 x 372 mm (10.5kilos). Et alors que son grand frère était surprotégé de mousse, l’Aura 2 est juste bien calé dans son emballage mais rien d’incroyable. Au final on sort la bête et … effectivement le voilà bien plus petit ! Le régime est saisissant : 9 kilos contre 12 … 33% de moins… de quoi douter ? Deuxième effet surprise, les cellules laser projection sont protégées et ne se dévoileront qu’une fois l’appareil mis en route. Cela permet de le protéger davantage des poussières. A ce niveau on notera déjà que le système de non éblouissement est toujours présent. Si un enfant passe devant, le faisceau se coupe. Coté finitions, on apprécie de suite l’absence des plastiques du 1er qui laissent place à un tissu de haute qualité et traité pour résister à la poussière et à l’huile. Il est beaucoup plus discret, c’est une vraie réussite esthétique contrairement à l’AURA 1 .   le AURA 2 et livré avec la même télécommande Bluetooth que l’AURA 1. Là pour le coup c’est service minimum, on aurait aimé un peu de rétroéclairage et quelques options ou raccourcis vers des services par exemple, ou un changement de source plutôt que de repasser par le menu. Par contre attention si vous avez des chats : tout aussi magnifique soit-il le tissu peut être pris pour un grattoir par ces engeances du démon que son les félins. Configuration et mise en route L'AURA 2 fonctionne sous Android TV 11, plutôt que sur Google TV, plus couramment utilisé. Concrètement, vous vous connectez à votre compte Google et vous retrouvez toutes vos applis (molotov , youtube etc) . Mais bien qu'Android TV 11 offre un accès à une large gamme d'applications, ce choix peut avoir un impact sur l'expérience utilisateur, en particulier pour ceux qui dépendent de certains services de streaming. Notamment, l'AURA 2 n'offre pas de support officiel pour Netflix (contrairement à l’AURA1 qui même s’il indique ne pas être compatible, fait quand même tourner la plateforme). Donc si vous voulez mater Netflix, il faudra passer par la PS5 par exemple. Pour MyCanal, Prime, Disney+ et autres, il n’y a pas de problème. Il suffi(rai)t de Google TV arrive sur la machine (via une MAJ) , pour que le problème soit réglé (allez GOGO XGIMI !). Sinon, connecté à votre boxTV, aucun soucis bien évidemment. Globalement tout se fait bien mais je pense qu’il aurait été bon qu’avec cette nouvelle version, tout le déroulement soit plus fluide. Effectivement la navigation dans les menus manque de peps et peut amener à appuyer plus de fois que nécessaire et donc se retrouver dans des menus qu’on ne souhaitait pas. Autre élément qui manifeste de la faiblesse logicielle du AURA2, lire des fichiers 4K depuis un disque dur branché en USB est une plaie : l’appareil patine avant de lance l’image (ou ne la lance pas) … et c’est reparti si vous faites des avance/retour rapides.  Clairement à coté d’une télé à ce prix, c’est décevant. C’est assez dommage que pour le prix, on n’ait pas un OS avec plus de répondant. Une fois l’appareil installé à environ 30 cm du mur pour avoir une diagonale de 130 pouces (soit 5cm de moins par rapport à L’aura 1), il est tentant d’aller dans le menu calibrage. J’ai dans mon bureau, un mur blanc adapté à un vidéoprojecteur courte focale et peint avec une peinture spéciale vidéoprojection. Alors j’installe, je lance l’autocalibrage et même s’il ya du mieux par rapport au 1, ce n’est pas encore parfait et il faut passer derrière l’autocalibrage pour faire un réglage 4 ou 8 points. On sent clairement que l’appareil est conçu pour bosser sur une toile UST, c’est-à-dire qu’il faudra remettre la main à la poche pour en tirer son plein potentiel (entre 1000 et 2000€ - pour info XGIMI vend une toile de 100 pouces pour 1499€) ce qui fera exploser la facture mais on peut se dire qu'il n'y a rien à ajouter pour le son On a aussi accès à un système de paramétrage avec le smartphone (pas forcément convaincant) et des options pour régler. Au final on arrive à régler les dimensions de l’image sans aucune difficulté en bougeant et positionnant bien l’appareil puis le calibrage manuel. Gros point positif concernant l’autofocus et l’adaptation à la couleur du mur quand même : c’est immédiatement très précis. Applis Hormis le souci concernant les droits de Netflix précédemment cités, on peut à peu près tout faire tourner sur le AURA2. On peut également accéder à la banque d’image XGIMI Wall pour transformer son mur en œuvre d’art en économie d’écran, ce qui vient jouer sur les plates bandes des Samsung The Frame par exemple. Notons l’appli MagiCast embarquée par défaut qui permet de streamer son téléphone sur l’écran. En termes de connectivité, l'Aura 2 est bien équipé. Il comprend le Wi-Fi 6, le Bluetooth 5.2, plusieurs ports HDMI (y compris eARC), des ports USB et une connexion Ethernet, offrant aux utilisateurs une variété d'options pour connecter des appareils multimédias. Qualité sonore Les vidéoprojecteur courte focale embarquent en général une barre de son frontale. Chez XGIMI , c’est le manufacturier Harman Kardon (fidèle associé de Samsung)qui est à nouveau à la manœuvre. Et même si la zone est nettement plus étroite que le AURA1, le son est d’un puissante juste certaine avec 4x15W . Je pense honnêtement qu’on peut envoyer la sauce dans une pièce de 100m² sans problème. Les basses sont (trop) puissantes. Les codecs DTS HD, Dolbu Audio et Dolby Atmos sont gérés. Cela dit les effets de spécialisation sont assez réduits Et alors cet immonde sifflement sur le AURA 1 ? et bien il n’y est plus , en revanche on a un bruit de fond de ventilo de 25 à 40 db qui est vraiment dispensable (comparé à une télé qui fait 0 bruit ...c’est pénible). En gros si c’est pour regarder des scènes de dialogue, la télé et des moments où il n’y a pas de musique ou d’effets sonores prononcés, cela réduit nettement inexpérience.... mais bon ça n'est plus rédhibitoire . Avoir le AURA 2 juste en veille a coté de soi (comme une télé sur laquelle on aurait coupé le son) est vraiment désagréable (j'ai l'impression d'avoir mon voisin qui tond sa pelouse...). Je ne comprends pas que XGIMI sorte des appareils à presque 3000€ avec de tels défauts. Qualité d’image et codec L’une des caractéristiques remarquables de l’AURA 2 est sa technologie à double éclairage. Cette technologie combine des sources lumineuses à large spectre et à spectre étroit pour améliorer la précision des couleurs, le contraste et la qualité globale de l’image. Le projecteur prend en charge une couverture de 99 % de la gamme de couleurs DCI-P3, une déviation de couleur Delta E extrêmement précise, un rapport de contraste dynamique de 1 000 000:1 et une luminosité nominale de 2 300 lumens ISO (contre 1800 sur le 1, ce qui est un bond en avant très important). Ces spécifications sont parmi les plus élevées du secteur, ce qui fait de l'Aura 2 un choix de premier ordre pour les amateurs de cinéma maison à la recherche d'une expérience visuelle supérieure. Le Projecteur est certifié 4k mais à ce prix, vous n’aurez pas de la 4K native (il faut doubler à tripler le prix) , mais une 4K par wobulation qui affiche 2 projections 1080p très proches afin de simuler un effet 4K. Et on ne s’y trompe pas, en mode cinéma, on se régale totalement, les ombres sont bien gérées, le contraste est top et même si on perd un peu en qualité quand on s’éloigne du centre, cela reste de très bonne facture. Pour les codec supportés, XGIMI n’y va pas par 4 chemins : HDR10, HLG,  Dolby vision, IMAXenhanced .. Tout est géré et reconnu instantanément et ça se voir. Les effets de lumières sont excellents : l’images est vraiment le très gros point fort de l’appareil. Il est vrai que sur un mur on risque de perdre en précision et de refaire sortie quelques aspérités, j’imagine que sur un écran professionnel, c’est encore meilleur. Par contre , dans le cas de mon bureau , j’ai une fenêtre en face le mur de projection. Quand la lumière traverse la pièce, il y a un très net impact sur le contraste à contrejour . Le AURA 2 est donc essentiellement conçu pour un milieu sombre, quand bien même il soit très lumineux. (comparatif ci dessous) On se doutera , et c’est le cas, que sur des sources SD comme la télévision, la très grande image se traduit par une détérioration de l’image mais cela reste quand même acceptable. Non testé mais j’étais déjà bluffé sur le AURA1, le sport en 4K doit assurément être incroyable (les JO sont finis hélas) Le AURA 2 est vraiment pensé cinéma avec d’ailleurs une compatibilité 3D qui se perd : il faudra des lunettes actives (non testé) Qualité en gaming. Impossible de résister de jouer sur le AURA2. Une fois les jeux lancés, l’appareil passe immédiatement en mode jeu avec une ultra faible latence qui s'active automatiquement (20ms, un exploit pour ce type de produit même si loin des téléviseurs). Testé sur pas mal de contenus, c’est vraiment ULTRA KIFFANT de jouer dans ces conditions ! On apprécie à la fois les contrastes (qui restent loin d'un OLED entendons nous bien), la lumière puissantes. Et là aussi , kiff optimisé dans une salle obscure. Par contre, il tournera en 60 images par seconde maximum si vous envisagiez de le connecter à une PS5pro ou un PC. Bilan Vendu au prix de 2899€ et bien que son prix soit trop élevé, la technologie avancée de l'AURA2 et ses performances justifient le coût pour les utilisateurs à la recherche d'une solution de cinéma maison haut de gamme sans devoir dépenser 6 ou 7000€ pour un vidéoprojecteur 4K natif. Cependant, l'absence de prise en charge de Netflix et le choix du système d'exploitation peuvent obliger certains utilisateurs à peser ces facteurs avant de prendre une décision d'achat (ou compléter avec une console multimédia, une Nvidia Shield etc). L'ambiance sonore à cause du bruit de fond reste aussi désagréable ... le sifflement ayant laissé place à un bruit de moteur pénible En conclusion, Xgimi a mis le paquet sur le refonte complète de son appareil d’un point de vue esthétique. L’image est le gros atout de l’AURA2 mais on sent que quelques points ont été mis de coté et pour ce prix (et la concurrence des télés) , on est en droit d’être absolument intransigeant. Le projecteur laser 4K à focale ultra-courte XGIMI Aura 2 est donc un produit assez performant et polyvalent, offrant d'excellentes performances en termes de qualité d'image, de précision des couleurs et de facilité d'utilisation. Sa conception innovante le rend idéal pour les petits à moyen espaces, tandis que ses fonctionnalités de connectivité et audio garantissent une expérience de divertissement à domicile complète. Pour les utilisateurs à la recherche d'un projecteur haut de gamme, l'Aura 2 est un concurrent sérieux, bien que son système d'exploitation et la prise en charge des applications puissent être des points à prendre en compte. Le point noir reste le prix de 2899€ (en encore) mais si vous voulez en tirer le meilleur, il faudrait considérer un écran UST à 1000€  minimum, et là on rendre dans le match serré face à une télé OLED 77’…. Question de choix et d’envie.   Vivement le AURA 3? Car autant une télé, c’est très moche , autant cet appareil a clairement la classe. Fiche produit J'espère que vous aimez aussi ce genre de contenus. Merci à XGIMI pour ce prêt

Test de la manette pour mobile MG-X de Nacon

Par NicoFantasy
Le 20-09-24 à 19:25

Aujourd’hui je vous parle du Nacon MG-X. Il s’agit d’un pad pour transformer votre téléphone en console portable, chose devenue main courante depuis que les téléphones sont devenus si puissants. Il s'agit d'un petit gadget compact qui se replie jusqu'à une petite taille pour pouvoir se glisser dans votre sac à dos ou votre poche lorsqu'il n'est pas utilisé, et il n'y a pas de poignées comme vous en trouverez sur un contrôleur standard. Il s’agit véritablement d’un objet passe partout.   Alors le MG-X s’adresse en premier lieu aux joueurs Xbox , mais il est tout à fait possible de s’en servir dans d’autres cas de figure puisque certifié Android. Vous vous dites … mais pourquoi il nous parle de Xbox celui-là ? …  lisez jusqu’au bout L’objet est vendu au prix initial de 89.90€ mais se trouve aujourd'hui à nettement moins sur amazon Conçu exclusivement pour les meilleurs téléphones de jeu fonctionnant sous Android, le Nacon MG-X est compatible avec les appareils jusqu'à 6,7 pouces. Je vais le tester sur mon Google Pixel 8 pro qui fait justement cette dimension. Comme beaucoup d’autres contrôleurs mobiles, il dispose également d’une connexion Bluetooth pour faciliter son utilisation. Cela signifie que vous devrez le charger séparément, mais il y a un port USB-C facilement accessible en bas pour tout cela. De plus, il ne videra pas la batterie de votre téléphone en étant physiquement branché sur l'appareil. La possibilité d’augmenter le temps de jeu est toujours une victoire sur ce genre de produit (coucou le PS Portal) Le Nacon MG-X fonctionne vraiment bien et il est immédiatement détecté en Bluetooth : c’est clé en main . Malgré des boutons et des manettes relativement petits, tout semble satisfaisant à l'usage : il est réactif et les boutons sont de qualité. L’aspect général est tout à fait qualitatif, normal pour le prix. En fait, il n'y a qu'un seul problème avec ce contrôleur dans son ensemble : ses déclencheurs. Bien qu'ils fonctionnent parfaitement bien, ils présentent bien trop de résistance. C'est comme si quelque chose était coincé là-dessous, même si je sais que ce n'est pas le cas. On peut ajouter aussi sur un gros bémol sur les gachettes L et R, bien trop enfoncées, ce qui fait qu’on ne les ressent pas suffisament. C'est le seul raté du MG-X à mon avis : il faut vraiment mettre de la volonté pour appuyer sur les touches donc on fatigue vite sur des jeux à actions rapides . À condition de ne pas avoir de grandes mains, car certains joueurs trouveront que cela est plutôt petit, il est vraiment pas mal, mais à tester quand même en magasin si possible ou alors. Si vous souhaitez quelque chose de plus grand sans sacrifier la qualité il existe le MG-X Pro. La section où vous placez votre téléphone est dotée d'une surface nervurée (et que le mécanisme coulissant le maintient parfaitement), vous n'aurez pas non plus à craindre que votre téléphone glisse partout. Pour ceux qui comme moi on un téléphone avec objectif photo proéminent (google pixel 8 pro), pas de soucis, c’est géré au niveau de la zone d’ouverture : le téléphone est plat Pour le tester, j’ai ouvert un compte gamepass ultimate chez Xbox (1€ d’essai pour 14j) et il faut avouer que c’est pas mal du tout : Forza, Gears, Assassin’s Creed tourne pas mal. On a des fois une ligne de rafraichissement de pixel qui arrive mais rien de génant, c’est vraiment plaisant à jouer Alors je me suis dit … allez testons l’appli PlayStation remote play officielle  … échec cuisant comme prévu. En revanche, avec l’appli PX Play… le MG-X est détecté et fonctionne parfaitement. Une fois appairé à la PS5 (ou 4), on a donc des manettes qui fonctionnent pour le remote Play. Et donc un outil plus qu’efficace Si vous recherchez une manette pour jouer en déplacement qui ne sacrifie pas la qualité au profit de la portabilité, la Nacon MG-X est un bon choix : elle est compatible Xbox Gamepass, PS remote play et Android : pas mal quand même ! surtout au prix actuel !

Tests du clavier MX3.1 et de la souris M50 de CHERRY

Par NicoFantasy
Le 14-09-24 à 18:32

Depuis que j’ai pu tester le clavier Cherry KW X ULP dans nos colonnes il y a plus d’un an, je ne quitte plus ce clavier qui est vraiment un bijou en bureautique.  La découverte de la marque m’a aussi poussé à prendre une souris Cherry : la MW 8C advanced Fort d’une croissance remarquable Cherry a sorti une belle quantité de produits dernièrement, et je vous en présente quelques un aujourd’hui. clavier CHERRY XTRFY MX 3.1 Le clavier CHERRY XTRFY MX 3.1, pour commencer, s'impose depuis un certain temps déjà sur la scène des périphériques de jeu et affiche le statut de concurrent qui promet d'offrir à la fois style et performances. CHERRY, une marque bien connue pour ses commutateurs haut de gamme, s'est associée à XTRFY pour créer un clavier destiné à la fois aux joueurs inconditionnels et aux amateurs de frappe. Ce clavier mécanique pleine grandeur regorge de fonctionnalités, de son boîtier en aluminium aux tout nouveaux commutateurs CHERRY MX2A. Et pour mon plus grand plaisir, ça se cumule plutôt bien !   Robuste avec un look élégant Le CHERRY XTRFY MX 3.1 est un clavier filaire (USB-A / USB-C) vendu 138.99€, qui dégage une impression de durabilité et de qualité. Le clavier est construit avec un boîtier en aluminium, ce qui lui confère une sensation de robustesse qui crie à la longévité. Il s’agit d’un clavier conçu pour résister à d’innombrables heures de jeu et de frappe, et cela se voit dès la première touche. Le cadre en aluminium est non seulement élégant, mais aide également à garder le clavier au frais, même pendant les longs marathons de jeu. D’ailleurs il suffit d’ouvrir la boite pour comprendre qu’on change de monde par rapport à mon autre clavier : 1100 grammes contre 640 pour le KW X ULP.   L’une des caractéristiques de conception les plus remarquables est la structure antibruit. Les claviers mécaniques sont souvent critiqués pour être trop bruyants, notamment lors de sessions de jeu intenses ou de gros travaux de frappe. CHERRY en a clairement tenu compte, puisque le MX 3.1 est nettement plus silencieux que la plupart de ses homologues (notamment le Vulcan II TKL pro testé il y a peu). La technologie d’atténuation du bruit est un ajout bienvenu qui ne compromet pas le retour tactile des commutateurs mécaniques. En revanche, le mécanisme de réglage de la hauteur est l’endroit où les choses se gâtent. Contrairement aux pieds rabattables habituels que nous voyons sur la plupart des claviers (d’ailleurs pour info j’en ai cassé un sur le KW X ULP et en ayant juste fait un mail à CHERRY, ils m’en ont renvoyé deux) , le MX 3.1 reste à plat et ne semble pas pouvoir se régler en hauteur. Cela nécessite une adaptation mais c’est quelque chose que je regrette quand même, ayant un bureau assez haut. SWITCH MX2A Les switchs MX2A sont un nouvel ajout à la gamme CHERRY et ils ne déçoivent pas. Ils offrent une frappe fluide et satisfaisante, avec une sensation constante sur chaque touche. La force d'actionnement est parfaite, ni trop légère, ni trop lourde, ce qui la rend idéale pour les jeux et la saisie. L'un des principaux arguments de vente de ces interrupteurs est leur durabilité. CHERRY affirme que les interrupteurs MX2A peuvent supporter jusqu'à 100 millions de frappes. En termes pratiques, cela signifie que vous obtenez un clavier conçu pour durer des années, même avec une utilisation intensive. La structure d'amortissement du bruit joue également un rôle ici, car elle offre une expérience de frappe plus silencieuse sans sacrifier la sensation mécanique caractéristique. Que vous écrasiez les touches dans une bataille FPS intense ou que vous tapiez un long e-mail, les interrupteurs répondent parfaitement. Éclairage RVB Le clavier est muni d’un éclairage RVB réglable via le logiciel CHERRY utilities ce qui ajoute une touche de couleur à votre configuration et permettant la personnalisation via le logiciel CHERRY UTILITY. La personnalisation est essentielle lorsqu’il s’agit de périphériques de jeu, et le MX 3.1 ne déçoit pas dans ce domaine. Le logiciel CHERRY UTILITY est simple et facile à utiliser, vous offrant une variété d’options de personnalisation. En termes d’expérience de frappe, le MX 3.1 offre donc des performances fluides, réactives et confortables. La combinaison des commutateurs MX2A et de la structure d’amortissement du bruit donne une sensation de frappe agréable, idéale pour les tâches de jeu et de productivité. Les touches ont une texture agréable. On notera quand même qu’il faut un petit temps d’adaptation si l’on vient d’un clavier avec des touches un peu plus espacées car celles du MX 3.1 sont malgré tout assez proches. Mais leur forme biseautée réduit quand même efficacement le risque de missclick ou d’appui simultané sur plusieurs touches. Bilan Dans l’ensemble, le clavier de jeu mécanique CHERRY XTRFY MX 3.1 est un choix solide pour les joueurs et les dactylos. Il associe l’expertise de CHERRY en matière de conception de commutateurs à l’accent mis par XTRFY sur les performances de jeu, ce qui donne un clavier qui a fière allure, qui est agréable au toucher et qui fonctionne exceptionnellement bien. La structure antibruit, la construction en aluminium durable et les tout nouveaux commutateurs MX2A en font une option convaincante sur un marché encombré. En blanc, je le trouve vraiment chouette et même si je lui préfère encore le Cherry KW X ULP pour le coté pratique de la bureautique, le MX 3.1 est vraiment un très bon choix pour le gaming et l’utilisation mixte. Souris CHERRY XTRFY M50 La souris sans fil de la série CHERRY XTRFY M50 sans fil a été lancée en mai 2024, avec des effets d'éclairage RVB intégrés, une molette de fonctions personnalisable et des options de connectivité multimode. Disponible à partir d'un prix de départ d'environ 78.99€, la M50 vise des fonctionnalités polyvalentes Avec des dimensions de 122,4 × 63 × 39 mm et un poids de 87 grammes, M50 est conçue de manière ergonomique pour tenir confortablement dans la paume, améliorant ainsi l'expérience utilisateur lors d'une utilisation prolongée. Il se caractérise par une courbure élevée du dossier qui épouse la forme naturelle de la main. Un anneau lumineux RVB s'étend de la queue jusqu'au bas de la souris, offrant des effets d'éclairage personnalisables qui peuvent être ajustés en fonction des préférences de l'utilisateur. Elle est clairement plus grosse que ma MW 8C advanced qui m’avait demandé pas mal de prise en main car elle ne prenait justement pas toute la paume de ma main droite. Je m’y suis fait mais il est vrai que cela m’avait un peu dérangé au debut Cette souris prend en charge trois modes de connexion : une connexion sans fil 2,4 GHz, Bluetooth et une option filaire USB, facilitant une utilisation flexible sur différents appareils et configurations. L'autonomie de la batterie est estimée à environ 100 heures, avec un temps de recharge d'environ 2 heures. De plus, il peut être chargé et utilisé simultanément via USB. La molette de fonctions de la souris de la série Cherry M50 est multifonctionnelle, permettant diverses opérations, notamment le défilement avant et arrière, les inclinaisons gauche et droite et les clics vers le bas. Les clics gauches et droit ont une course parfaitement dosée pour le gaming, plus longue que sur ma souris bureautique. Les utilisateurs ont la possibilité d'attribuer des fonctions de raccourci à ces différentes opérations, améliorant ainsi la productivité et la facilité d'utilisation. Elle est détectée immédiatement par le logiciel CHERRY UTILITY et on peut modifier les effets RVB ou paramétrer plus finement les touches Paramétrage La M50 est immédiatement détectée par le logiciel CHERRY UTILITY comprenant cinq profils personnalisables. Dans ce logiciel, il est possible d’ ajuster l'éclairage RVB, le CPI (la vitesse de déplacement) permettant ainsi d'adapter les performances de l'appareil en fonction des besoins individuels. Pour ma part, ayant 2 écrans de 27’, j’apprécie de pouvoir augmenter les vitesses de défilement et de déplacement des souris si simplement. La souris de la série Cherry M50 est proposée en noir et blanc, donnant aux utilisateurs le choix de sélectionner le style qui correspond le mieux à leur configuration. Là aussi , le modèle blanc est vraiment classe. Seul petit bémol, je trouve que la souris ne glisse pas toujours assez bien sur le tapis de souris, La MW8C, plus légère, ou les souris ultra légères n’ont pas ce problème bien évidemment. Embarquer du RVB et plus de tech a donc un impact sur le poids de la M50 qui la pénalise un peu en glisse sur le tapis de souris. Bilan La souris M50 de CHERRY XTRFY est un produit très qualitatif, sympa de par ses effets RVB. Peut être un poil trop lourde en tête par rapport à la concurrence (comme la Burst II Air de Turtle Beach qui coute cependant 110€) pour opérer des mouvements rapides et lointains. Elle est très bonne pour de la bureautique mais probablement moins pour du fast FPS PC par exemple. Tapis de souris GP5 En parlant de tapis et de glisse, j’ai pu tester ce matériel sur deux tapis de souris CHERRY. Le GP5 Amnis Blue 40*45cm (28.99€) et le GP5 Black XL 40*92cm (34.99€) en remplacement de mon vieux Steelseries qui est tombé fièrement contre bien plus fort et beau que lui. Les tapis sont vraiment lourds, qualitatifs et bordés de coutures résistantes. La glisse est très agréable et fluide. CHERRY propose des skins sympas pour ces tapis de souris qui sont vraiment les bienvenues sur un bureau gaming comme dactylo. Là aussi je pense qu’il vont m’accompagner pendant de nombreuses années. CHERRY est définitivement une marque d’accessoires PC ultra premium. Cherry s'adresse a un public passionné et exigeant et met les petits plats dans les grands pour les satisfaire.  Le SAV est vraiment aux petites soins si vous prenez leur matériel. Vous pouvez y aller les yeux fermés !

Test du micro Casque gaming Rig 200HS de Nacon

Par NicoFantasy
Le 13-09-24 à 12:56

Les écouteurs gaming NACON Rig 200HS Blanc sont un accessoire gaming conçu pour offrir une expérience audio immersive aux joueurs.  Il s’agit donc d’oreillettes intra-auriculaires, format que je n’ai plus utilisé depuis l’officielle de la PS3 (à quelle belle époque). D’ailleurs le produit est sous licence officielle PlayStation vendus environ 25€ actuellement sur internet Contenu On trouve dans la boite un léger carton qui contient les écouteurs filaires avec prise JACK 3.5mm d’environ 1m , à brancher sur la manette dualsense ou dualshock 4, un micro détachable qui se branche sur l’oreillette gauche et des embouts silicone de rechange. Le fil torsadé de bonne facture permet des mouvements facilités malgré le coté filaire. On y trouve deux boutons pour contrôler le volume ou pour mettre le micro sur off. Le look des écouteurs est plutôt soigné, pas vraiment orienté gaming ce qui n’est pas pour me déplaire. Positionnement. Concernant le micro , il est facilement positionable devant la bouche donc c’est plutôt un bon point pour faciliter son utilisation. Là où les choses peuvent se compliquer, c’est en ce qui concerne les oreillettes dont la forme assez imposante ne pourra peut être pas convenir à toutes les formes d’oreilles. En ce qui me concerne, cela ne tient pas très bien et les écouteurs tombent au moindre mouvement. Je ne blame pas le produit mais c’est un point qu’il faudra absolument prendre en considération. On pourra noter également que sans son micro , le produit peut très bien etre utilisé pour la musique mais les téléphones actuels n’ont plus vraiment de prise jack et le sans fil est devenu la règle.   Qualité Commençons par le son. Les hauts parleurs de 12 mm délivrent un son de qualité assez moyenne, ce qui en soit n’est pas si surprenant au regard du tarif. Difficile de bien distinguer les sonorités, la faute à un mixage mal maitrisé. Les basses et aigus ont du mal à se dissocier, ce qui impacte notamment l’audibilité des voix. Ainsi, il faut nécessairement passer par le menu réglage du son de la console et surtout des jeux pour en améliorer la qualité, ce que tout le monde ne prendra pas forcément le temps de faire. En ce qui concerne le micro, c’est plutôt pas mal même si là aussi un réglage de sa sensibilité est plus qu’utile. On se fait correctement entendre mais il a du mal à éliminer les bruits parasites présents dans votre environnement. Pour conclure, les écouteurs RIG 200HS sont loin d’etre un produit premium et je pense qu’il n’en na pas la prétention non plus. On va dire que ça fait l’affaire pour des petites utilisations mais clairement le format filaire ne tient pas la comparaison avec un casque gaming sans Nacon de type RIG 300HS ou 400HS pour rester dans la marque. Alors bon pour le placard notre petit RIG 200HS ? Et bien pas forcément, j’ai trouvé un usage plutôt pas mal si on ne veut pas rentrer dans la douille intergalactique que nous a encore mis Sony en ce qui concerne les connections audio sans fil du PS Portal.      

Test du casque Turtle Beach Atlas Air

Par NicoFantasy
Le 07-07-24 à 23:11

Très gros pourvoyeur de matériel informatique et gaming, Turtle Beach récidive avec un nouveau casque premium : l’ Atlas Air De prime abord, l’Atlas Air ressemble à un casque assez commun, ce qui peut éveiller certains soupçons sur le choix de Turtle Beach de le commercialiser à 179.99 € . Il s'agit d'un casque de jeu sans fil ouvert qui met l'accent sur sa légèreté, ce qui explique son look épuré. Il ne pèse que 300 grammes et, comparé à certains concurrents dans cette gamme de prix, il faut ajouter qu’il fait moins « premium »… alors : est ce que l’habit fera le moine pour l’Atlas Air ? Ce qui marque de prime abord quand on regarde le casque, c’est le système d’ajustement de la taille, pas de glissières métalliques ou plastiques … mais des velcros de part et d’autre de l’arceau. J’avoue ne jamais avoir vu ça auparavant. Une fois réglé, difficile d’y retoucher. La’rceau ne repose pas sur la tête grâce à la présence d’une maille, ce qui fait l’un des atouts de ce casque : il ne décoiffe pas trop (bon en vrai c’est surtout qu’on ne le sent pas sur la tête). A noter que des bandeaux et coussinets mousse sont interchangeables avec des couleurs flashy et sympas pour personnaliser votre casque pour 25€ supplémentaires. Cette approche utilitaire s'étend à son interface. L’oreillette gauche est dotée d'une grande molette de volume, ce qui signifie que vous ne dissocierez jamais accidentellement votre casque ni ne le passerez en mode Bluetooth tout en réglant le volume. Le micro détachable s’accompagne d’une sourdine. Sur le côté, il y a un bouton d'alimentation et deux boutons qui basculent entre les modes Bluetooth et sans fil, ainsi qu'un voyant indiquant l'alimentation ou une batterie presque épuisée. Sa batterie a une autonomie annoncée de 50 heures et cette valeur est bien celle que j’ai pu avoir. L’impression générale est celle d’un casque qui met tout sur le fonctionnement. Il est esthétiquement sobre et la coque en polyuréthane ne semble pas chère à la main. Son bandeau est constitué d'un maillage flexible que certains peuvent considérer comme bon marché, jusqu'à ce que ses avantages transparaissent. Cette bande est réglable avec du velcro et est probablement le principal facteur contribuant à la fois à la légèreté de l'Atlas Air et à son confort superlatif lors de longues sessions de jeu. Il est difficile de transmettre un « confort » objectif lorsqu'il s'agit de casques d'écoute, car beaucoup de choses ont tendance à dépendre de la taille du crâne et des habitudes d'utilisation de chacun, mais en tant qu'homme au grand crâne qui a passé plus de quatre heures d'affilée en session pendant cette revue, je ne pense pas m'être jamais senti aussi libre. Les coussinets rembourrés en mousse à mémoire de forme sont étroitement fixés via un total de 12 bandes élastiques. Bien qu'il reste encore à voir comment l'Atlas Air se comportera à long terme, à mon avis, il semble beaucoup plus sécurisé que les oreillettes qui pivotent à partir du bracelet ou qui sont maintenues par des charnières métalliques généralement fines. J'ai eu des écouteurs valant plus du double de ceux d'Atlas Air en six mois d'utilisation sur la base de ces mécanismes : peut-être qu'une réflexion hors des sentiers battus est la bienvenue.   Que cela soit pour une utilisation gaming, musique ou plus nomade (bien que se balader avec un casque pareil ne soit pas trop dans mes habitudes), on peut dire qu’il se fait physiquement oublier :  le confort poids plume de l'Atlas Air sont très appréciables. Mais ce n’est là qu’un aspect de d’Atlas Air ; l’essentiel est à voir du côté de la qualité audio bienheureusement. Le casque est « ouvert » est facilité donc la perception du bruit / des paroles de l’extérieur. Ceci est bien venu quand vous avez du monde autour de vous mais cela enferme moins dans l’ambiance du jeu ou de la musique : c’est une affaire de choix. Les écouteurs ouverts de l’Atlas Air s'efforcent d'obtenir une reproduction sonore plus précise en supprimant les sons parasites pouvant provenir d'un haut-parleur réverbérant fermé. Franchement le casque délivre un excellent son pour sa gamme de prix. Au casque, s’ajoute une suite logicielle « Turtle Beach Swarn2 » qui reprend l’ADN du logiciel Roccat et qui permet de faire tout plein de réglages plus ou moins nécessaires sur le casque (réglages de base + égaliseur) Bien sur il y a mieux mais il faudra peut être payer le double…   En somme, Turtle Beach nous livre un casque sobre, très léger, performant au niveau sonore et très endurent. Le logiciel est globalement dispensable et le principal reproche tient de sa construction qui fait à la foix son atout et son inconvénient : Il sera très pointu d’un point de vue son …  si vous êtes dans un environnement non bruyant. Fiche produit : Spécifications Atlas Air Conception ouverte avec les premiers écouteurs flottants au monde Pilotes de 40 mm avec qualité audio 24 bits haute fidélité Micro amovible de qualité diffusion avec performances de bande passante élevées, 32 kHz Design léger avec seulement 301 g et coussinets en mousse à mémoire de forme compatibles avec les lunettes Connexion sans fil faible latence + Bluetooth® ou mode filaire Bouton QuickSwitch pour basculer facilement du sans fil au Bluetooth® Jusqu'à 50 heures d'autonomie de la batterie et charge rapide Logiciel de bureau et mobile Swarm™ II avec égaliseur 10 bandes avancé Waves 3D Audio pour PC + égalisation 10 bandes et Superhuman Hearing® Pack de mods personnalisable arceau et coussinets, vendu séparément  

Test du clavier Vulcan II TKL pro et de la souris Burst II Air de Turtle Beach

Par NicoFantasy
Le 14-06-24 à 14:48

Hello la team Turtle Beach vient de sortir de nouveaux périphériques, issus de l’ancienne dénomination ROCCAT et j’ai eu la possibilité d’en tester quelques-uns : un casque (test à venir) et  un clavier + une souris dont je vais vous parler ici. Souris TURTLE BEACH BURST II AIR La souris de jeu sans fil Turtle Beach Burst II Air est une souris de jeu sans fil conçue pour la précision, l'ergonomie et la vitesse. Doté de trois modes de connectivité, d'une batterie de 40 heures et de commutateurs optiques TITAN, la Burst II Air joue la carte de l’ultra légèreté avec une poids de 45 grammes seulement (soit 50 de moins que ma Cherry MW8C) . Disponible en noir et blanc disponibles, la Burst II Air offre une souris de jeu épurée et élégante au prix de 109.99€ Simplicité et élégance La Burst II Air propose un design assez épuré. En choisissant de supprimer les extras comme le RVB, elle opte plutôt pour un design très fonctionnel qui de prime abord ne paye pas de mine. La souris à six boutons offre toutes les fonctionnalités nécessaires pour prendre en charge la plupart des genres sans encombrement supplémentaire. En conséquence, l’aspect général est minimaliste et élégant. Une seule lumière repose en haut au centre de la souris, indiquant le profil de sensibilité DPI (Dot Per Inch) que vous avez actuellement sélectionné. En ce qui concerne le DPI, Turtle Beach a choisi de déplacer le commutateur de profil DPI de l'emplacement traditionnel au-dessus de la molette de défilement vers le côté inférieur gauche de la souris. L’avantage ici est de ne jamais appuyer accidentellement sur le bouton DPI et de changer de mode par erreur. Avec seulement 45 g, mais un gabarit normal (ce n’est pas une petite souris comme ma Cherry) elle est très confortable. La conception laisse à ma paume suffisamment d’espace pour se reposer tout en conservant un bon placement du doigt au bouton. Je n’ai pas eu de mal à repasser sur une souris un peu plus grande. En examinant le dessous du Burst II Air, Turtle Beach a pu réduire davantage le poids total en creusant des sections de la partie avant de la souris. De plus, il existe une troisième découpe conçue pour loger le dongle USB Type-A lorsqu'il n'est pas utilisé, ce qui rend le Burst exceptionnellement facile à emballer et à emporter avec vous en voyage. Vous trouverez également le commutateur de mode de  connexion rapide (BT, sans fil 2.4GHz, filaire) En ce qui concerne les patins pour souris, Turtle Beach a choisi d'inclure deux options différentes parmi lesquelles les joueurs peuvent choisir. Les patins d'origine proposent quatre petits patins communs aux souris de jeu haut de gamme ainsi que deux patins en PTFE plus grands si vous le souhaitez dont l’objectif est d’avoir un mouvement plus fluide et plus réactif. Le design est complété par un câble de chargement USB Type-C vers Type-A tressé de haute qualité et un adaptateur pour le dongle USB Type-A. Précision et performances Même si le Burst II Air se sent bien en main, ce sont ses performances qui se démarquent. Dotée d'un capteur optique Owl-Eye, la souris est d'une précision et d'une réactivité impressionnantes. Évalué jusqu'à 26 000 PPP, la Burst II Air propose une vitesse de suivi IPS de 650. Concrètement,  cela signifie que la souris peut enregistrer et traduire avec précision des mouvements de souris rapides. Et de fait, la Burst II Air est très réactive. Que cela soit en bureautique ou en condition de jeu , elle répond au doigt et à l’œil et apporte une précision bienvenue sur des jeux dynamiques. Une autre fonctionnalité qui fait du bien sur le Burst II Air est l'inclusion de commutateurs optiques TITAN. Les clics de la souris sont assez tactiles et réactifs mais je trouve que le son du clic n’est pas très agréable. La course du clic est assez longue et cela n’est pas forcément idéal pour les double clic. Dernier point , la molette est « dure » est là aussi pas forcément bien adaptée pour une utilisation bureautique. Autonomie En ce qui concerne la batterie, le Burst II Air est livré avec une batterie rechargeable d’une autonomie de 40 heures sur 2,4 GHz et de 120 heures sur Bluetooth. Après avoir testé la souris uniquement en mode 2,4 GHz, j'ai confirmé que la Burst était capable d'atteindre la barre des 40 heures sans aucun problème. La qualité a un prix, et celui-ci pourrait constituer un frein à cette acquisition mais la qualité et la précision de la Burst II Air sont portés à des niveaux très élevés. Il est demeure très agréable d’avoir une souris si légère lorsque l’on passe autant de temps sur l’ordi.   CLAVIER VULCAN II TKL PRO Initialement sorti sous la marque ROCCAT, le Vulcan II TKL Pro est désormais sous la bannière Turtle Beach. Il s’agit de l’un des claviers gaming les plus utilisé, notamment en eSport.Le Vulcan II TKL Pro est affiché au prix de 159.99€ À l’intérieur de la boîte, c’est assez minimaliste : vous trouverez le clavier Vulcan II TKL Pro, un repose-mains, un câble USB-C de presque 2m et les notices. Le câble USB-C est tressé, ce qui lui donne la flexibilité de se déplacer dans votre configuration. Je suis également très satisfait de voir un repose-poignets inclus, et il est plutôt confortable. Il est fait de mousse, donc rien de bien fou, mais c’est un joli bonus quand beaucoup de claviers (plus chers) ne les incluent pas. Le Vulcan II TKL Pro est disponible en blanc et en noir, Il est conçu avec un plastique recouvert d’une plaque d’aluminium brossé et mat assez beau. Je retrouve donc du métal, comme sur le Cherry (nettement plus cher). Le clavier en lui-même est assez réduit en taille avec un peu plus de 36cm, ceci en raison de l’absence d’un pavé numérique. Désormais classique pour bon nombre de clavier gaming, l’éclairage RVB est plutôt sympa , sans être trop tape à l’œil. Les touches étant très haut perchées, l’éclairage est plutôt en avant. Avec le logiciel Swarm II, vous avez la possibilité de maximiser votre éclairage RVB comme bon vous semble, mais aussi de changer divers paramètres, notamment celui de la molette réglable dans le coin supérieur droit et bien sur les raccourcis des touches F. Si les modifications ne sont pas votre truc, il existe 5 profils de préréglage. En utilisant ce clavier entre différentes fonctions – jeu et saisie – on peut avoir des sensations bien calibrées pour l’utilisation que l’on souhaite en faire. Vous pourrez notamment ajuster les points d’actionnement et de relâchement des touches. En ce qui concerne les performances, pour les fans de tech, le vulcan II TKL Pro est muni de commutateurs mécaniques magnétiques à effet Hall qui annule totalement un effet de blocage des touches ou l’absence de réponse à la pression : c’est plutôt efficace. En général les claviers mécaniques offrent une certaine résistance aux touches et cela peut finir par être désagréable pour une utilisation mixte. Ici, je dois dire que même si en condition bureautique, il m’est désormais difficile de me passer du Cherry. Car c’est là qu’on touche, ce qui pour moi a constitué le principal problème de ce clavier : Les touches du Vucan sont trop petites et cela a généré bon nombre de miss click... ça n’est clairement pas un clavier pour les gros doigts . La forme concave des touches offre une bonne prise en main mais j'écrase trop souvent une deuxième touche en même temps. Je pense qu’il sera sage de peut etre le tester en magasin avant de l’acheter sur un coup de tête, cela peut constituer un motif de retour je pense. En conditions gaming, le Vulcan II TKL Pro propose des clics très nets sur vos pressions. Une grande partie de cela réside dans les multiples points d'actionnement, avec quarante hauteurs prédéfinies et jusqu'à trois entrées par touche. Il y a beaucoup de choses à apprécier sur le clavier Turtle Beach Vulcan II TKL Pro, à savoir ses commutateurs magnétiques à effet Hall qui permettent d'affiner le point d'actionnement et de relâchement de chaque touche. Le niveau de personnalisation ravira bon nombre d’utilisateurs et la sensation linéaire et douce de chaque frappe est également satisfaisante. Cependant, le principal défaut réside dans les très petites touches d'origine qui rendent difficile la distinction d'une touche d'une autre et, dans des situations de jeu intenses, cela peut conduire à des hésitations ou à des frappes involontaires. Dommage pour ce clavier qui présente de beaux atouts esthétiques.   Finalement je suis globalement séduit pas la souris , le clavier est top mais ne s'adresse peut-être pas à moi :)

Test du Phone (2a)

Par Redac chef
Le 06-06-24 à 23:29

Née du travail de l’ancien créateur de OnePlus, la marqué Nothing tente de s’implamter sur le marché ultra concurrentiel de la téléphonie mobile, outrageusement dominé par quelques marques. Après le test des écouteurs Nothing Ear, j’ai été très curieux à l’idée de voir ce qu’ils valaient en termes de téléphonie. Jeune, Nothing a commencé sur le marché avec le Phone (1) puis est montée en gamme avec le Phone (2), plutôt « flagship » Le Phone (2a) est une tentative de la société de cibler les acheteurs du segment grand public, et ce avec un minimum de compromis. La conception globale ressemble aux autres téléphones de la marque , loin des standards mais ce qui risque de surprendre est l'interface Glyph signature de Nothing et une interface utilisateur sur le thème du noir et blanc. Voici mon retour après 2 bonnes semaines d’utilisation, après passage depuis plus de 6 ans sur le Huawei P20pro. Le but n'est pas de nous lancer dans plein de tests qui s'éloignent du JV , mais la découverte de cette marque vaut à mon avis le détour. Présentation Le Phone (2a) comporte un dos transparent dans lequel on trouve des LED qui constitue l’interface Glyph : qui est la « touche » de la marquée sensée faire la différence. Cependant, contrairement aux smartphones Nothing plus chers, le (2a) ne dispose que de trois modules LED autour des deux caméras arrière. Il n'y a pas de LED sur la moitié inférieure, ce qui signifie que les indicateurs de charge visibles sur le téléphone (2) ne sont pas non plus là. Au lieu de cela, il existe un motif qui ressemble à un câble ruban géant. Les deux caméras sont positionnées horizontalement au centre du cadre, rappelant une paire d'yeux. Il y a une légère bosse à l'endroit où les caméras sont placées Le phone (2a) est vendu à partir de 349€  (8G ram + 128G) ou 399€ (12G Ram + 256G) . A noter qu’une série limitée blanche est disponible. Le dos transparent est sympa, mais le plastique dont il est constitué est un aimant pour les empreintes digitales et les taches. Il a également subi quelques rayures pendant le peu de temps que j'ai passé avec l'appareil. Les appareils photo peuvent également se tacher facilement avec les doigts, ce qui vous oblige à nettoyer l'objectif pour obtenir des photos claires. Néanmoins, tenir l’appareil est assez confortable pour une utilisation prolongée. Cela pourrait être attribué à la conception légère du Phone (2a) (190 g) et aux bords plats, qui ont une finition texturée et offrent une prise solide. Les boutons de volume et d'alimentation sont positionnés séparément sur les deux bords latéraux du cadre, et ils sont tout à fait à portée de main sans recourir à une gymnastique des doigts. Le combiné arbore un port USB Type-C pour le chargement et le transfert de données sur le bord inférieur, ainsi qu'une grille de haut-parleur. Il y a un haut-parleur secondaire sur le bord supérieur pour la sortie stéréo. Écran En ce qui concerne l’expérience visuelle, le Nothing Phone (2a) dispose d’un écran AMOLED de 6,7 pouces avec une résolution FHD+, Gorilla Glass 5, une luminosité maximale de 1 300 nits et un taux de rafraîchissement adaptatif de 120 Hz. Le taux de rafraîchissement adaptatif du smartphone Nothing offre un ajustement automatique entre 30 Hz et 120 Hz (verrouillable) en fonction du contenu de l'écran et pour prolonger la durée de vie de la batterie. Mis à part le taux de rafraîchissement, la qualité d’affichage est typique de ce que l’on trouve sur le segment de nos jours mais clairement je fais un bon par rapport à mon Huawei (qui était le meilleur téléphone du marché à sa sortie et qui coutait plus du double). L’écran prend en charge de larges gammes de couleurs et est véritablement éclatant même sous un angle. Il offre également des noirs profonds et sombres et les bords ultra-fins, garantissant une expérience immersive. La lisibilité au soleil est bonne mais pas impressionnante. Je n’ai rencontré aucun problème pour lire le contenu de l’écran du smartphone en plein soleil. L'écran abrite également le scanner d'empreintes digitales, qui déverrouille votre appareil en toute sécurité et sans tracas. Cependant, ce n’est pas là que votre pouce reposerait naturellement. Le scanner est placé si loin en bas de l'écran qu'il peut être difficile d'y accéder. Glyph L’interface Glyph est la proposition unique de l’entreprise pour attirer les utilisateurs. L'interface se compose de modules LED sur le panneau arrière qui s'allument pour les notifications, les appels, le compte à rebours visuel et l'indicateur de progression. Le Phone (2a) bénéficie d'une interface légèrement simplifiée par rapport à son aîné, Nothing Phone 2. Il y a moins de modules LED, seulement trois au total cette fois – deux positionnés en arcs sur le côté gauche du module de caméra, tandis que le troisième est placé verticalement sur le côté droit. L'objectif principal de l'interface Glyph est de donner un aspect unique à l'appareil et de vous assurer de ne manquer aucune notification, même lorsque le téléphone est face cachée et en mode silencieux. De plus via une appli, il vous permet de vous amuser en composant vos propres sonneries et en faisant danser les LED sur la musique diffusée sur le téléphone, entre autres. C’est certainement séduisant, mais cela ne peut pas être la seule raison d’acheter ce smartphone.   Photo Le Nothing Phone (2a) possède la même configuration de caméra que le Phone (2), plus cher. Le combiné est doté de deux caméras arrière, comprenant un capteur principal de 50MP et un objectif ultra-large de 50MP. À l’avant, se trouve une caméra frontale de 32 MP pour les selfies et les appels vidéo. Les caméras arrière utilisent la technologie de regroupement de pixels pour produire des images de 12,5 MP par défaut. J'ai été très satisfait des résultats, du moins en plein jour, où les images semblaient plutôt attrayantes. Il y a beaucoup de détails, une bonne plage dynamique, un contraste élevé et une netteté louable. Même si les couleurs ne semblent pas entièrement naturelles, elles ajoutent une qualité percutante et vibrante aux images. De près, pas de module macro et l’autofocus de la caméra galère un peu (beaucoup) L'objectif ultra-large capture également des photos décentes dans des zones bien éclairées. L’appareil propose des préréglages de zoom qui s’accompagnent d’un léger changement de couleurs lors du passage à l’ultra-large 50MP. En basse lumière, les caméras passent automatiquement en mode nuit pour prendre des photos à longue exposition. Les images prises sans le mode nuit peuvent paraître légèrement floues, granuleuses et moins vives. Bien que le téléphone offre également la possibilité d'utiliser l'interface Glyph pour éclairer les zones faiblement éclairées, cela ne convainc pas vraiment. Si vous cherchez un photophone, ce n’est probablement pas le meilleur candidat mais pour de la photo du quotidien, cela fait parfaitement l’affaire. Performances Pour les aficionados de tech, voici la fiche technique. Le Phone (2a) est capable de gérer des jeux graphiquement exigeants comme Call of Duty avec des réglages modérés. Cependant, malgré le système de refroidissement, la température du téléphone augmente sensiblement pendant le jeu, ce qui peut entraîner une diminution des performances et de la durée de vie de la batterie au fil du temps. Ensuite, le smartphone exécute Nothing OS 2.5 basé sur Android 14 prêt à l’emploi. Vous avez la possibilité de sélectionner le pack d'icônes monochromes de Nothing lors de la configuration de l'appareil, qui n'est pas encore optimisé pour toutes les applications. Ensuite, il existe de nouveaux widgets pour l'écran d'accueil, avec des vues et des animations balayables pour plus d'informations, désormais compatibles avec l'appareil photo et le lecteur multimédia. De plus, les animations et les transitions ont été affinées pour améliorer encore l'expérience globale. Plus important encore, le logiciel est dépourvu de toute application tierce, ce qui donne lieu à une interface utilisateur propre et rationalisée. La société s'est engagée à fournir trois ans de mises à niveau logicielles majeures et quatre ans de mises à jour de sécurité pour le smartphone. Niveau son, pour la musique ça n'est pas pas incroyable (maisqui utilise son téléphone seul pour écoute la musique?) . En revanche, en ce qui concerne la qualité des appels et l’écoute téléphonique, le téléphone est très bon . Assez déroutant au départ, l’interface et les sons originaux font vite comprendre qu’on a un produit qui a fortement voulu se démarquer de la concurrence. Autonomie Côté batterie, le Nothing Phone (2a) abrite une cellule standard de 5 000 mAh, qui semble bien optimisée pour fournir plus d’une journée de sauvegarde entre les charges. Avec mon utilisation assez active, il me reste entre 20 et  40 % d'autonomie de batterie en fin de journée. Par contre, le téléphone ne supporte pas la charge sans fil ... dommage En ce qui concerne le chargement, le combiné est livré avec une solution de chargement filaire de 45 W, bien que le chargeur doive être acheté séparément. Lorsque vous utilisez un chargeur tiers de type C de 45 W, le combiné prend environ 70 minutes pour atteindre une charge complète de 0 à 100 %. Par contre, dans la tendance actuelle, il n'y a pas de chargeur inclus, juste un câble USBc.   Verdict Le Nothing Phone (2a) est une bonne alternative pour tous ceux qui ont un budget serré et qui ne peuvent pas se permettre le produit phare Nothing Phone (2), Bien que le téléphone (2a) ne dispose pas de fonctionnalités phares telles que le chargement sans fil et un chipset haut de gamme, il tient bien ses promesses et répond aux utilisations de la grande majorité des utilisateurs : il fonctionne correctement pour les tâches quotidiennes. Les caméras du téléphone (2a) ne sont pas aussi polyvalentes que celles de ses concurrents comme de la même gamme tarifaire (le Samsung A35 par exemple), mais elles fonctionnent toujours bien dans diverses conditions d'éclairage. Dans l’ensemble, la conception du Phone (2a) ne ressemble à rien du segment et son logiciel est propre et convivial. De plus, l'appareil offre une expérience visuelle nouvelle et originale qui mérite qu’on s’y interesse. En somme, Nothing nous refait le coup de OnePlus il y a quelques années. Pour en savoir plus : https://fr.nothing.tech/pages/phone-2a

Test des écouteurs Ear de Nothing

Par NicoFantasy
Le 22-04-24 à 22:57

Véritables objets à la mode depuis quelques années, depuis le lancement des airpods d’Apple, les écouteurs sans fils occupent désormais une place importante dans le marché des systèmes sonores Jeune et nouvelle venue dans cette jungle de constructeurs, Nothing, crée par Carl Pei à l’origine de la marque de smartphones OnePlus, propose du matériel high-tech au look épuré Je vous présente donc les écouteurs sans fil Ear proposés à  149. Il s’agit en réalité d’une nouvelle itération d’écouteurs, avec des pilotes retravaillés, une meilleure autonomie de la batterie et plus de codecs Bluetooth. Au menu des specs : des options de personnalisation audio disponibles dans l’application, la suppression active du bruit (ANC), un étui de chargement plutôt efficace.   Un design séduisant et orignial, un confort et une tenue impeccable (si…) On voit désormais un seul modèle d’oreillettes : blanches et unies : tout le monde copie Apple. Samsung a bien essayé de mettre un peu de couleur mais cela reste quand même rare. Nothing mise ici, Nothing joue sur la transparence et c’est vraiment cool : Les tiges des écouteurs permettent de voir leurs composants internes. Les écouteurs sont livrés avec trois paires d’embouts en silicone, qui offrent un ajustement sûr et confortable. Cela dit, je conseille vraiment de tester ce genre de produit à l’avance. A titre personnel, aucun écouteur sans fil ne tient dans mes oreilles. En revanche ma femme en est une grande utilisatrice et elle utilise des Samsung buds pro depuis plusieurs mois : c’est donc aussi son ressenti qui sera qui sera relaté ici. En ce qui concerne la tenue, de son propre avis, ils tiennent bien mieux que ses Samsung buds pro 2 : plus légers, ils tiennent mieux en condition de footing par exemple. Les Ear sont certifiés IP54 : ils sont résistants à la poussière et peuvent résister aux éclaboussures d'eau de n'importe quelle direction. La pluie légère et la sueur ne constitueront pas une menace, mais vous ne pouvez pas les submerger. L'étui de chargement a un indice IP55, ce qui signifie qu'il offre le même niveau de protection contre la poussière que les écouteurs et peut résister à des jets d'eau modérés sous n'importe quel angle. Son couvercle transparent laisse apparaître une simple base blanche entre les deux socles de chargement. Un logo matriciel Nothing se trouve dans un coin, tandis qu'une petite LED d'état se trouve dans l'autre. Un bouton sur le côté droit met les écouteurs connectés en mode de couplage et un port USB-C à proximité permet de charger via le câble USB-C vers USB-C inclus. Le boîtier prend en charge le chargement sans fil, mais seulement à 2,5 W. Malgré l'indice de résistance aux intempéries, l'extérieur du boîtier semble susceptible d'être rayé. On notera quand même que le boitier est en plastique dur, semble facilement rayable et ne doit pas trop aimer les chocs, contrairement au boitier Samsung en silicone dur.   Qualité Sonore Des pilotes en céramique de 11 mm offrent une plage de fréquences de 20 Hz à 20 kHz. Nothing a placé deux évents pour augmenter le flux d’air et améliorer la réponse des basses. Les écouteurs compatibles Bluetooth 5.3 fonctionnent avec les codecs AAC, LDAC, LHDC 5.0 et SBC, offrent Google Fast Pair et Microsoft Swift Pair et prennent en charge le couplage multipoint jusqu’à deux appareils. LDAC est un ajout bienvenu car il vous permet de diffuser à un débit binaire élevé sur la plupart des appareils Android. LHDC reste un choix de qualité tout aussi élevée pour certains téléphones. Les Ear sont appariables avec la switch (très efficace) mais si vous souhaitez les utiliser avec la PS5 , il faudra un dongle usb compatible et avec la PS Portal , vous savez déjà que SONY a fermé la porte J'ai essayé les différents modes d'égalisation de l'application tout au long des tests. Le préréglage équilibré me semble extrêmement fidèle à ce que je peux obtenir avec un casque Audio de qualité élevée. Les basses sont assez surprenantes pour ce type d’appareil qui ne sature pas à un volume sonore élevé. Je reste vraiment bluffé par la qualité d’un tel appareil malgré la petitesse des composants sonores. Le son, ça reste une histoire de physique, et là c’est plutôt bien géré tant en terme d’aigus, de basses et surtout lex voix ne sont pas mélangées au reste et demeurent nettes. De toute façon , il est possible de paramétrer le son ou de choisirs entre plusieurs pré-réglages. Mon épouse m’a dit que le son était bien meilleur que sur ses Buds pro 2 D’ailleurs là où elle a été carrément impressionnée c’est sur la différence de réduction de bruit entre ses Buds Prof 2 et les Ear. Rien que la réduction de bruit passive est bonne. Alors dès qu’on alume les écouteurs, c’est carrément le grand silence. L’ANC est donnée pour une réduction de 45db. Elle est paramétrable dans les menus de l’appli. C’est un énorme travail qui a été fait du coté deNOthing en ce qui concerne ce paramètre.   Utilisation Les tiges des écouteurs prennent en charge les gestes capacitifs qui fonctionnent de manière réactive. Les commandes sont les mêmes des deux côtés par défaut, bien que la disposition soit judicieuse. Pincez l'un ou l'autre des écouteurs une fois pour gérer la lecture et les appels, deux fois pour avancer d'une piste ou refuser un appel, ou trois fois pour passer à la piste précédente. Pincez et maintenez pour basculer entre les modes ANC et transparence. Dans l'application, vous pouvez ajouter une option d'arrêt au cycle du mode de suppression du bruit, ainsi que configurer un geste pour gérer les changements de volume et l'accès à la commande vocale. Vous n'êtes pas obligé de garder la mise en page symétrique. C’est plutôt intuitif et on prend vite ses repères         Autonomie Nothing estime que les écouteurs peuvent durer environ 5 heures 30 avec l’ANC activé ou 9 heures 30 sans l’ANC. Le boîtier offre une autonomie d’environ 238 heures (ANC activé) ou 42.5 heures (ANC désactivé). Gardez à l’esprit que vos résultats varieront en fonction de votre volume d’écoute habituel et de votre choix de codec. L'étui recharge complètement les écouteurs en 80 minutes. Expérience de l'application J'ai testé une version bêta de l'application Nothing (disponible pour Android et iOS) et je n'ai remarqué aucun bug ni problème de performances. La page principale affiche les relevés de batterie pour chaque écouteur. Si les écouteurs sont couplés et dans l'étui de chargement, vous voyez également le niveau de batterie de l'étui. Quatre vignettes suivent ci-dessous : Égaliseur, Contrôles, Contrôle du bruit et Amélioration des basses.               La section de réglages propose des sections simples et avancées. Dans le premier cas, vous pouvez régler les niveaux des basses, des médiums et des aigus via un graphique qui ressemble à un condensateur de flux. Dans ce dernier, vous pouvez modifier la signature sonore avec huit bandes allant de 20 Hz à 20 kHz. Si vous préférez ne pas apporter de modifications vous-même, la section Simple propose plusieurs préréglages personnalisables, tels que équilibré (par défaut), basses, aigus, Voix. En option, vous pouvez appuyer sur le bouton avec un motif d'onde pour passer un test auditif et laisser l'application créer un profil personnalisé. Vous ne pouvez pas désactiver complètement l'égaliseur ; si vous ne voulez pas de sculpture, vous devez activer l'égaliseur personnalisé et laisser tous les niveaux à plat. Dans le menu Commandes pour ajuster les gestes de chaque écouteur. Vous ne pouvez pas ajuster le geste de pincement unique, mais la plupart des autres commandes sont équitables. J’apprécie le niveau global de personnalisation ici. La section Contrôle du bruit vous permet de basculer entre les modes Suppression du bruit, Transparence et Désactivé. Pour le mode Suppression du bruit, les niveaux Élevé, Moyen, Faible et Adaptatif sont disponibles. D’autres menus et fonctionnalités sont dispo (MAJ, trouver les Ear etc).   Bilan Les écouteurs Ear de Nothing, même s’ils ne sont pas adaptés à ma morphologie d’oreille m’ont donné un excellent ressenti en ce qui concerne ce type d’objet. Un look soigné et soigné sans être dans l’extravagance, des specs nombreuses et surtout une super qualité sonore. Pour un prix mesuré au regard de la concurrence , c’est avec un grand OUI que je vous invite à découvrir les Ear et peut être ela marque Nothing en général    

Test de la ABXYLUTE ONE

Par NicoFantasy
Le 23-12-23 à 13:50

Dans la foulée du test de la Logitech G Cloud,je vous propose une présentation d’un concurrent direct la Abxylute One   Positionné à un tarif de 197.50€ sur le site officiel, le prix est nettement moindre que la logitech G cloud alors que d’apparence, il n’y a pas grande différence, tout en conservant Steam Link, le streaming GeForce Now et Xbox Game Pass, la lecture à distance pour PS4 et PS5 et l'accès à Google Play pour les jeux locaux. Et on le verra , un détail fera toute la différence. La  Abxylute a un design similaire à celui de ses principaux concurrents : un écran central flanqué de toutes les commandes que vous attendez, enfermé dans un châssis particulièrement convivial. Avec des composants internes de qualité smartphone, il est nettement plus petit qu’un Steam Deck et plus fin qu’une Nintendo Switch. La construction en plastique noir semble suffisamment robuste, avec pratiquement aucune flexion possible Le( La ?) Abxylute est arrivé dans un emballage carton marron uni et neutre, avec un étui de protection et un câble de chargement USB-C inclus dans la boîte. L'écran 7 pouces dispose également d'un protecteur d'écran préinstallé.   Présentation Il possède toutes les commandes nécessaires pour s’adapter à toutes les manières de jouer :  sticks analogiques doubles décalés compacts de style Switch, un D-pad articulé de manière satisfaisante, des boutons faciaux ABXY et une gâchette longue mais mince. Le tout est de très bonne facture même si je regrette la finesse trop poussée et une prise en main , on peut moins native qu’une manette, une switch ou la G cloud. De ce coté là , la G cloud a un avantage certain : la prise en main est meilleure. Le poids de seulement 400 grammes rend la manipulation agréable et jouer sur des sessions assez prolongées ne pose aucun souci. Le tout est doté d'une confection de qualité optimale et franchement, même si on a l'impression que l'objet s'inspire beaucoup de la concurrence, il ne lésine pas sur les matériaux L'écran 7 pouces, 1080p est la star du spectacle, avec un rapport hauteur/largeur 16:9 convivial, la promesse d'un contraste de 1000:1 et des angles de vision très respectables. Il s’agit d’un panneau full HD et bien dosé en termes de luminosité qui rend la qualité visuelle largement au niveau de ce que l’on trouve ailleurs, bien que la dalle ne soit hélas pas OLED (mais pour le prix c’est normal) L’écran est bien évidemment tactile et tout répond bien à ce niveau. Le taux de rafraîchissement de 60 Hz n’est en aucun cas un problème, étant donné que la plupart des services de streaming atteignent un maximum de 60 ips. Le GeForce Now de Nvidia est l’exception, mais vous payez un supplément pour ce privilège. --> vs la G Cloud (interface identique) Bien que les haut-parleurs stéréo puissent avoir un son un peu aigu et ne délivrent presque rien en termes de basses, ils sont toujours assez forts pour une lecture en solo. Il sera donc privilégié d’utiliser un casque audio via le port Jack ou des écouteurs sans fil BT qui sont pris en charge (et on ne parle pas de connexion sans fil au format prioritaire ici ...) Interface et utilisation L’interface est basée sur Android 12, mais l’Abxylute possède sa propre interface utilisateur sur mesure qui place vos applications les plus régulièrement utilisées au premier plan. Il est facile de naviguer à l’aide du D-pad ou du stick analogique, et garantit que plusieurs applications ne monopolisent pas les ressources du système en en fermant une avant de pouvoir en lancer une seconde. L'interface peut parfois sembler lente, le clavier à l'écran mettant une seconde ou deux à apparaître lorsque vous appuyez sur des zones de texte et les sites Web bégayant lors du défilement à l'aide du navigateur Chrome intégré. Pourtant, une fois que vous avez chargé une application de cloud gaming, les performances sont tout à fait correctes. Les applications officielles pour Valve Steam Link, Nvidia GeForce Now et Xbox Game Pass sont préinstallées, ainsi que PSPlay pour jouer à distance depuis une console Playstation. Avec un accès complet au Google Play Store, vous pouvez en théorie télécharger des jeux pour jouer localement lorsque vous n'avez pas de connexion Internet, installer des applications vidéo pour vous gaver de coffrets ou écouter de la musique via des services de streaming comme Spotify. Youtube et netflix sont compatibles, donc c’est une tablette de milieu de gamme qui tient la route si l’objectif n’est pas forcément de jouer. Sur la base des accords d'utilisation que vous êtes invité à signer lors de l'installation, la société bénéficie du soutien du colosse chinois du jeu Tencent, ce qui est de bon augure pour les mises à jour logicielles ultérieures. Utilisation gaming J’ai utilisé principalement le Abxylute chez moi avec un wifi stable et une connexion RJ45 sur mes appareils (PC/ consoles) et les performances étaient très satisfaisantes (plus que pour la G Cloud) . La latence d'entrée était faible et le flux vidéo était exempt d'artefacts. La différence entre jeu direct et jeu en cloud est évidente mais pas pénalisante pour le jeu même si les jeux de type RPG, et jeux plus lents seront plus facilement apprivoisés. Gardez simplement à l’esprit qu’en l’absence de Wi-Fi 6 à bord, vous devrez rester plus près de votre routeur pour une expérience sans interruption et avoir besoin d’une connexion Internet toujours rapide pour les jeux dans le cloud. Le streaming depuis un PC ou une console locale nécessite également un réseau domestique décent. Sur Xbox et PC, il n’y a eu absolument aucun souci et c’était très agréable. Les choses sérieuses sont sur PlayStation car contrairement à la G cloud, la ABXYLUTE est compatible avec l'appli officielle Playstation ! C'est fluide, en 720p et les senstation sont au RDV. Avec un processeur quadricœur et 4 Go de RAM modestes, l’Abxylute n’est pas un appareil particulièrement puissant. C'est très bien pour le jeu dans le cloud, où tout le gros du travail est effectué par un serveur situé à des centaines ou des milliers de kilomètres, mais vous pourrez quand même lancer des jeux Android , pas forcément les plus exigeants. Par contre je vous conseille d’enlever les vibrations qui sont plus pénibles qu’autre chose. Niveau autonomie, comptez 6 à 8h en fonction du jeu , de la luminosité. Par contre la batterie ne diminue pas quand l’appareil est éteint et ça c’est plutôt top. L’Abxylute One intègre une large batterie de 5200 mAh. Elle accepte en effet une alimentation de 15W (bloc de charge non fourni), mais uniquement via un câble USB-A vers USB-C. En termes de capacités, je vous conseille quand même la version à 64Go au lieu de 32 pour 10e de plus car un jeu comme Genshin Impact prend 32Go à lui seul par exemple. Vous pourrez quand meme ajouter de la mémoire via une carte micro SD, utile pour mettre des Rom pour émulateurs par exemple. Bilan En tant qu’entrée peu coûteuse dans le cloud gaming, l’Abxylute fait à peu près tout bien. Il est suffisamment confortable pour jouer pendant une période prolongée, avec une autonomie de batterie adaptée et prend en charge tous les principaux services de jeu. Étant donné qu’il est basé sur Android et qu’il a accès au Play Store, ce sera également un jeu d’enfant d’ajouter d’autres options cloud si elles arrivent plus tard. Pour les gros jeux Android, cela sera surement un peu parfois juste pour les gros jeux mais l’expérience cloud et remote play s’est avérée plus que satisfaisante ! L'avantage de la Abxylute est son prix , soit le même qu'une PS Portal Et avec une compatibilité native avec l'appli officielle de SONY, la ABXYLUTE ONE fait non seulement aussi bien que la Portal mais elle ajoute une tonne de possibilité , à savoir le cloud gaming ou le remote play PC , XBOX et le jeu natif Android (bien que peu poussé) C'est donc une PS Portal Killer, ni plus ni moins. Alors si vous souhaitiez la machine de Sony qui, info prise du coté de PS France, est en rupture mondiale pour un bon moment, et que le père Noël vous aura laissé quelques pièces au pied du sapin, vous savez ce qu'il vous reste à faire.  

Test de la G Cloud de Logitech

Par NicoFantasy
Le 21-12-23 à 19:47

Appareil résolument tendance ces derniers temps, les consoles / PC portables sont de plus en plus nombreuses. Suite à la sortie de la PS Portal qui est depuis plusieurs semaines en rupture mondiale (étrangement), vous avez peut être eu l’idée d’investir dans un produit similaire. Fort de son expérience dans le hardware, le fabriquant Logitech a sorti la Logitech G Cloud dont l’objectif est de diffuser les jeux depuis le cloud, comme son nom l'indique. Voyons ce que donne ce produit qui ne se donne aucune limite de compatibilité. Prix ​​et disponibilité La Logitech G Cloud a été initialement lancée aux États-Unis en octobre 2022 et est désormais disponible en Europe au prix de 359€, soit un prix élevé au regard de la concurrence : il s’agit en effet du prix d’une switch Oled ou un peu moins cher qu’un Steam Deck. Fonctionnalités Le Logitech G Cloud utilise un écran multi-touch IPS 60 Hz 1080p de 7 pouces comme panneau tactile. On trouve une poignée ergonomique de chaque côté et des boutons et stick de qualité similaire à ce que l’on peut trouver sur une manette de console aujourd’hui. La disposition du stick et des boutons du visage devrait être familière à ceux qui utilisent les pad Xbox avec son format XYAB et son placement asymétrique. Seul élément moins qualitatif, la croix semble moins efficace avec des pression qui répondent de manière un peu moins efficace. En plus de l'approche plus standard, il existe des boutons faisant office de démarrage et d'options, ainsi que des boutons dédiés à l'accueil et au hub. De manière globale , le produit est de très bonne qualité , rien de surprenant avec Logitech. La chose la plus frappante à propos du Logitech G Cloud est sa finesse et sa légèreté. Pesant seulement 460 g et mesurant seulement 1,3 pouces d’épaisseur, c’est une machine pour le moins légère. Malheureusement, la principale raison pour laquelle le dernier appareil de Logitech est plus léger et plus fin que ses concurrents est due à ce qui se trouve à l’intérieur. En effet, Logitech G Cloud est essentiellement une tablette Android exécutant le processeur octa-core Qualcomm Snapdragon 720G au lieu de quelque chose de plus gourmand en matériel.   Le fabricant du matériel affirme que vous pouvez vous attendre à environ 12 heures de lecture avec la batterie de 6 000 mAh du Logitech G Cloud. D'après mes tests, je peux confirmer que c'est à peu près correct lorsqu'il est utilisé uniquement pour le streaming dans le cloud via des applications intégrées telles que Nvidia GeForce Now, Xbox Cloud Gaming et Steam Link. Cependant cette autonomie peut considérablement varier lorsque vous jouez nativement sur Android sur des titres qui utiliseront plus nativement la puissance de l’appareil. Si vous envisagez d'avoir cela en tant que machine pour faire les deux, alors vous envisagez une période de 8 à 10 heures plus incohérente en fin de compte, mais cela reste raisonnablement très satisfaisant. En revanche , j’ai noté un sérieux problème de batterie qui se vide quand l’appareil n’est pas utilisé et en 2023 ; c’est franchement pénible.   Le Logitech G Cloud propose deux modes dans le logiciel pour une utilisation sur ordinateur de poche et sur tablette ; la première est une approche simplifiée avec un menu de style console similaire à Steam, et la seconde est une expérience Android. Pendant la majeure partie de mes tests, j'ai conservé la machine dans son menu Logitech G Hub juste pour faciliter la navigation, car c'était le moyen le plus rapide de passer d'une application de streaming de jeux à l'autre, du Google Play Store et des titres mobiles que j'avais installés.   Performance Les performances du Logitech G Cloud sont extrêmement variables selon le service de streaming que vous choisissez d'exécuter. Commençons tout d’abord avec la possibilité de jouer à la PlayStation et la terrible mauvaise nouvelle qui vient du fait que l’appli prioritaire de sony ne prend pas en charge les boutons et stick des autres plateformes. A la place, il s’agit donc d’utiliser les touches tactiles comme sur un téléphone. Heureusement une app tierce existe (PSPlay). Elle prend en charge toutes les touches mais la connexion est moins intuitive. Cela dit une fois lancé j’ai pu avoir de bonnes sensations en jeu. En revanche après avoir mis la G cloud en pause et repris ma partie, j’ai été confronté à des lags intempestifs malgré une très bonne connexion, ce qui m’a obligé à redemarrer et la PS5 et la G cloud. L’idée de jouer à la PS5 loin de chez soi semble compliquée J’ai alors testé sur l’application Xbox. Nettement moins de lag mais une vilaine demi-seconde de retard entre l’appui des touches et l’applications sur certains jeux. La qualité visuelle était assez variable, je ne sais pas trop pourquoi. Jouer à Forza fut très compliqué par exemple. Sur des jeux moins gourmands, c’était nettement plus stable Enfin, j'ai essayé Steam Link, qui fonctionne de manière similaire à Nvidia GeForce Now mais utilise du matériel local. Le streaming depuis mon PC de jeu vers Logitech G Cloud était le meilleur des trois services que j'ai essayés et ne me coûterait rien. Jouer à Returnal fut par exemple bien plus simple que via la PS5. C’était fluide, assez précis et franchement très agréable. Je n’ai pas testé ces apps mais le G Cloud fonctionne également très bien avec Shadow et GForce now en version ultimate qui permet de streamer sa bibliothèque de jeux à distance, ce qui permet de jouer aux jeux steam / Epic, Ubisoft etc . Moyennant un abonnement bien evidemment, cela ressemble à Stadia, c’est-à-dire que le jeu tourne depuis des serveurs puissants (avec des RTX 4080) Enfin , si vous voulez jouer directement via les appli Android, sachez que c’est très efficace et cela tourne très bien mais la mémoire de 64 Giga pourra poser problème vu la data de certains jeux. Position tarifaire et concurrence La G cloud est en soi un produit qui veut essayer de tout faire mais qui n’y arrive jamais vraiment. En tant qu’écran déporté, je n’ai trouvé d’intérêt que pour le jeu PC car pour la PS5 , c’est Sony qui empêche d’en exploiter les capacités. Sur Xbox, cela n’était pas incroyable non plus. Au final le principal problème de la G-Cloud est son prix si on la compare à la concurrence. Le recours à une connexion Internet pour jouer à des jeux au lieu de pouvoir les restituer de manière native comme le font le Steam Deck et la Nintendo Switch pour un prix similaire rend cet ordinateur de poche difficilement recommandable. Ce n’est pas une excellente tablette Android en soi, et les services de streaming disponibles comportent trop de mises en garde pour envisager de prioriser lorsque Steam Link fait mieux. Vous serez dépendant de votre Wifi ou du partage de connexion et gare à votre data si vous envisagez cette option. Plutôt destinée aux joueurs PC / Xbox, je ne conseille pas vraiment la G Cloud pour jouer à la PS4 ou PS5. En revanche pour ce prix, la concurrence avec un steam deck fait vraiment mal    

Charger la suite