Grand Kingdom

ps4
vita

1
2
15
28
15
-

Infos complémentaires

+ -
Date de sortie : 17/06/2016
Genre(s) : RPG, Stratégie
Territoire(s) : FRANCE

1173 joueurs possèdent ce jeu
46 trophées au total
0 trophée online
5 trophées cachés

Platiné par : 25 joueurs (2 %)

100% par : 25 joueurs (2 %)


Note des joueurs :
3.9/5 - 9 notes

Note des platineurs :
4.5/5 - 2 notes

Test rédigé par Kyp-chan le 25-06-2016 - Modifié le 07-12-2016


Introduction

Cent ans ont passé depuis la chute de l’empire Uldein. La longue et brutale guerre a laissé les quatre grandes Nations meurtries et pauvres. L’honneur et la vertu sont devenus de lointains concepts.

Sorti sur notre territoire le 17 juin 2016, Grand Kingdom (グランキングダム) a été développé par Spike Chunsoft (株式会社スパイク・チュンソフト) et Monochrome Corporation (株式会社モノクロ). Pour l’anecdote, Tomohiko Deguchi, fondateur de ce studio et directeur du projet, a précédemment officié chez Vanillaware dont la démo du dernier Odin Sphere Leifthrasir a débarqué le même jour sur PS4, et le jeu complet la semaine suivante. C’est Nis America qui s’est chargé de la localisation du jeu, et celle-ci n’apporte malheureusement pas le texte en version française. Le test du jeu se base sur la version PS4.

Ce jeu de rôle au côté tactique annoncé vous plonge dans un monde de fantasy où dragons, mages, fantômes, araignées géantes et autres monstroplantes possèdent un arsenal complet d’instruments de torture organiques. L’action se déroule sur le grand territoire de Resonail dont les provinces sont régulièrement secouées par les guerres que se disputent les quatre royaumes : Landerth, Valkyr, Fiel et Magion. Au milieu du tumulte permanent, vous développerez un groupe de mercenaires dont l’unique but sera de gagner du prestige (et de l’argent) pour être reconnu au sein de la guilde.

Contenu du jeu

De nos jours, dans le grand continent de Resonail, le champ de bataille n’est plus dominé par des chevaliers, mais par des mercenaires.

On va faire quelques quêtes pour s'échauffer...

Le jeu propose à la fois une composante solo et une composante en ligne, pour laquelle vous n’aurez pas besoin d’être abonné au PS+. Le jeu solo se compose de quêtes à remplir, qu’il s’agisse de quêtes principales pour avancer l’histoire ou de quêtes secondaires pour gagner de l’expérience, de l’argent ou des matériaux. Le premier chapitre de l’histoire contient douze quêtes, explicitant le contenu originel de la version japonaise et le côté du titre plutôt orienté multijoueur. D’autres quêtes ont par la suite été rajoutées, et sont incluses dans la version européenne, pour une trentaine au total. Une limite de temps, sous la forme d’un nombre de tours, accompagne chaque mission. Pour tout déplacement sur le damier de la carte, le compteur de tours descend d’une unité. Lorsque vous combattez des ennemis, le compteur s’égrène du nombre de tours qu’il vous a fallu pour remporter le combat. Les ennemis peuvent aussi se déplacer sur le damier, et avec un peu d’astuce, il est possible d’en éviter la plupart. Quelques événements aléatoires viendront agrémenter votre voyage en vous donnant un bonus temporaire, comme par exemple réduire la vitesse de déplacement des ennemis, ou un malus pouvant se matérialiser sous la forme d’une impossibilité de se reposer.

La nature des quêtes secondaires, effectuées pour le bénéfice d’une nation, possède suffisamment de variété pour masquer l’impression de répétition un certain temps. Par exemple, il vous sera demandé d’arriver sur différentes cases de ressources, rejoindre une case à l’autre bout de la carte tout en évitant les ennemis si vous le souhaitez ou encore découvrir la région en allégeant les contraintes de réussite puisque vous pourrez parfois tomber sur des ennemis qui vous oblitéreront, tout simplement. Pour les quêtes limitées dans le temps, vous avez la possibilité de restreindre le nombre de tours disponibles afin d’augmenter le multiplicateur de récompense. Ainsi, l’expérience non gagnée en évitant les combats, se récupère sur le bonus d’expérience de réussite de mission. Une bonne façon d’optimiser ses sorties, avec un petit côté stratégique à double tranchant.

...avant de plonger dans le grand bain (de sang).

En ce qui concerne le mode en ligne, il ne sera accessible qu’après avoir négocié un contrat avec l’un des quatre royaumes. Ce mode permet d’affronter les troupes des autres joueurs, mais de façon indirecte : les combats ne se déroulent pas en temps réel. Vous récupérerez les données d’une troupe adverse et c’est l’ordinateur qui se chargera de la diriger, suivant les indications que le propriétaire de la troupe aura laissées. Il n’y aura aucun dépaysement par rapport au mode solo. Le contrat vous engage pour un certain nombre de guerres, ou plutôt un certain nombre de jours puisqu’une guerre s’étale sur pas loin de vingt-quatre heures consécutives. Plus vous choisissez un contrat long, plus le multiplicateur de récompense augmente, mais en parallèle, cela peut vous bloquer l’accès à certaines quêtes secondaires puisque vous ne pouvez évidemment pas travailler pour deux nations opposées tant que le contrat est en vigueur.

Le mode en ligne vous mettra en compétition avec les mercenaires d’autres nations et où vous devrez remplir l’objectif le premier pour remporter la récompense. Autrement, vous perdrez du prestige auprès de la nation que vous représentiez. La composante principale du mode en ligne reste la guerre. En allant sur le champ de bataille, vous participerez à des opérations durant quelques dizaines de minutes qui consistent à défendre les forteresses de votre nation en renforçant ses positions, ou à attaquer celles de la nation opposée. Vous combattrez à chaque fois une troupe de mercenaires créée par d’autres joueurs qui aura en général un niveau proche du vôtre... même si une troupe de cinq niveaux inférieurs peut vous atomiser, en particulier lors de combat successifs. En cas de défaite, la principale pénalité sera votre troupe qui reviendra avec uniquement la moitié de sa barre de vie. Si vous aviez déjà eu quelque difficulté à vous battre avec tous vos points de vie et que vous n’avez pas d’objets de soin, je vous laisse imaginer ce que ce sera avec la moitié. Certains réflexes d’achats viendront vite.

Plusieurs troupes peuvent être dépêchées en parallèle de vos affrontements sur le champ de bataille. Les attaques, les comportements et les positions de chacune des unités sont parfaitement paramétrables afin d’assurer le plus de victoires possibles contre des joueurs humains. Le gestionnaire de troupes semble assez complet, et peut-être trop au final. La quantité de possibilités peut rebuter, d’autant qu’il n’est pas toujours évident de savoir ce qui est pertinent, et le mode automatique apparaît comme une excellente échappatoire… et une excellente solution pour perdre la majorité des combats. Les adeptes du genre y trouveront un véritable plaisir de recherche d’optimisation de leurs troupes en fonction des différentes classes pendant de nombreuses heures.

Du fait qu’il s’agisse d’un mode en ligne, il n’est pas toujours très clair de savoir ce qui se passe. Il peut arriver que vous réussissiez les trois combats successifs pour prendre la forteresse adverse, mais que vous voyiez celle-ci se renforcer, et inversement : vous avez correctement défendu la vôtre mais vous la voyez tout de même tomber aux mains de l’ennemi. Probablement d’autres combats en parallèles ont abouti à ce résultat, mais cela est assez frustrant de voir que l’on obtient parfois l’inverse du résultat escompté. Cela pourrait parfois se résumer à combattre, mourir, recommencer, mais après tout, c’est le jeu de la guerre, est c’est plutôt réussi.

Mais avant toute chose, il faut mettre un peu d'ordre dans ce groupe.

Le jeu possède dix-sept classes de mercenaires différentes, de quoi créer des troupes très variées. Ces dernières ne pourront accueillir qu’un maximum de quatre unités et il faudra donc bien faire attention à quelles classes seront associées. Chacune des classes est unique et si certaines semblent être une simple version du sexe opposé à une autre (lancier et valkyrie par exemple), les attaques sont en réalité différentes. La difficulté quand il y a un tel choix, c’est justement de savoir quoi prendre. Sur ce point, le jeu se charge de vous aider. La liste des mercenaires que vous pouvez embaucher est réinitialisée à la fin d’une quête, et vous n’aurez le choix qu’entre huit unités différentes, et la même classe peut être représentée plusieurs fois. Autant dire que vous ne serez pas aidé pour connaître les possibilités de chaque classe ni comment les combattre efficacement lorsque vous devrez les affronter.

La personnalisation des unités est assez libre, qu’il s’agisse de la couleur de peau, des vêtements ou des cheveux, de même que le type de coiffure. Les expressions faciales sont peu nombreuses, mais ceci est contrebalancé par le choix des voix, incroyablement grand, puisqu’il est possible d’en changer la hauteur. Une fonction particulièrement appréciée, aussi bien pour les voix japonaises qu’anglaises. Mais la personnalisation va au-delà puisqu’il est possible d’enseigner à une classe les techniques d’autres classes, ainsi que de modifier l’attribut de croissance des statistiques. De ce fait, le niveau de l’unité n’est pas un bon indicateur de sa force, ce qui peut justifier quelques surprises lors des parties en ligne.
Note : 5/5

Aspect technique du jeu

Certains ne combattent que pour pouvoir poser de la nourriture sur la table… d’autres y trouvent un moyen de vivre dans l’opulence…

Aïe, mais m’tire pas dans l’œil !

Le chara design du jeu est assuré par Chizu Hashii. Les traits sont simples mais efficaces et les portraits des personnages semblent plus détaillés que dans d’autres jeux du genre, sans être surchargés. L’animation desdits portraits est légère, fluide et agréable à regarder. Il peut être remarqué que certains éléments graphiques, tels que les pièces d’armures, ne semblent pas toujours suivre le mouvement naturel du corps, mais c’est un détail qui peut facilement passer inaperçu. La charte graphique du jeu accompagne à merveille le côté médiéval souvent associé à la fantasy. Enfin, l’animation des unités au combat est tout à fait réussie et parfaitement fluide. Chaque classe possède son propre style. Les éléments graphiques sont de manière générale très réussis et attirent agréablement l’œil.

Dis, c’est mon oreille que tu vises là !?

Les compositions musicales de Mitsuhiro Kaneda (Muramasa: The Demon Blade, Odin Sphere) sont un bonheur pour l’esprit. Elles aussi accompagnent parfaitement le côté médiéval-fantastique du jeu et permettent de nous immerger complètement dans cet univers. L’orchestration donne une profondeur appréciée aux musiques et permet de donner un certain côté épique à vos actions. Juste en écoutant la musique d’entrée en guerre, je me suis parfois revu à parcourir la plaine d’Hyrule sur le dos d’Épona, un arc à la main… Épique je vous dis. Une indéniable réussite, même si les musiques ne resteront pas en tête. Sans surprise, le doublage japonais est bon, de même que celui en anglais.

Hé, c’est raté, t’as tiré à côté ! T’es sûr que tu veux recommencer ? Je ne tiens pas à me prendre une seconde flèche dans le dos.

On en vient alors à la partie qui fâche un peu, la jouabilité du titre. Contrairement à d’autres jeux à composante stratégique, les attaques à distance ne sont pas pourvues d’un attribut de précision : c’est à vous d’appuyer au bon moment lorsque le réticule de visée passe sur l’ennemi. Si vos alliés sont proches, vous devrez faire attention à ne pas leur tirer dessus ! Cela vient assez vite, mais la moindre distraction ou mauvais déplacement de l’unité ennemie et vous avez vite fait de tirer aussi sur vos propres unités. Il en est de même pour les sorts. Le placement est donc crucial, mais l’adversaire pourra parfois vous faire bouger, réduisant votre tactique à néant. Certaines attaques à distance ont une trajectoire parabolique permettant de passer au-dessus de vos unités, mais vous n’avez aucune véritable indication pour savoir si le lancer va se faire pile sur l’ennemi, un peu devant ou un peu derrière. Un alignement d'unités alliée et ennemie entraînera souvent un risque de se tromper de cible, d'autant plus si une unité allié est trop proche du tireur.

Avec le temps, vous apprendrez tout de même à vous positionner correctement et à ne pas prendre de risques inutiles. Le côté tactique du système de combat est tellement poussé que vous avez la possibilité de lancer une attaque à distance sur une de vos propres unités alors qu’il n’y a pas d’unité ennemie dans la zone d’impact. Il en est de même avec les attaques de mêlée, des fois que vous vouliez abréger un combat que vous savez déjà perdu. Au moins, la troupe adverse a les mêmes désavantages, et il peut lui arriver de s’auto-infliger des dégâts, ou qu’elle vous soigne.

Le système d’attaque est lui aussi particulier. Certaines capacités sont associées aux différents boutons de la manette mais la touche croix est multifonction : elle est utilisée pour annuler une action, pour terminer le tour de l’unité, ou pour lancer une attaque de soutien lorsqu’une unité adverse est sur le point de succomber. Tant de possibilités contradictoires pour un seul bouton impliquent fatalement que, dans le feu de l’action, on a vite fait de se tromper et de passer son tour, d’annuler une attaque que l’on voulait absolument faire pour des raisons vitales, ou inversement, lancer une action que l’on sait mauvaise pour l’équipe. Avec l’expérience, on apprend à être prudent, mais ça casse un peu la fluidité des combats.

Il y a aussi parfois des choses curieuses. L’augmentation des statistiques engendrées par une nouvelle pièce d’équipement est matérialisée en rouge, tandis qu’une baisse est matérialisé en bleu… comme si le sens commun s’était temporairement égaré sur la berge d’en face. Aucune flèche indicative ne vient faciliter la compréhension de l’évolution, si bien que le changement d’équipement inhérent au genre du jeu n’est pas toujours parfaitement intuitif. Dommage. On saluera tout de même la modification d’équipement qui se répercute sur le graphisme de l’unité, mais se promener avec un nez de clown ou la tête enturbannée pour bénéficier de l’augmentation de la défense pourrait indisposer certains joueurs. Au moins, c’est original.

En tant que dernier détail, il sera mentionné l’impossibilité de consulter les statistiques, l’équipement et les attaques des unités dépêchées sur le champ de bataille. Qu’il soit impossible de les changer se conçoit bien, mais ne pas pouvoir simplement les consulter peut être ennuyeux.
Note : 3/5

Plaisir à jouer et à rejouer

Ils se dirigent tête la première dans la gueule béante de la mort. Indifférents au sort de leur nation, ils combattent attirés par le reflet de l’or.

Cesse donc tes coups de lance ! Il est déjà mort, et j’aimerais rentrer avant la fermeture de la taverne.

Après avoir passé une dizaine d’heure à faire la guerre et une trentaine de combats, vous aurez probablement fait le tour du mode en ligne. Bien sûr, vous pourrez toujours développer quelques éléments de jeu supplémentaires et améliorer les armes de siège de la nation pour laquelle vous travaillez, mais c’est à peu près toujours la même chose. Au bout de la cinquantième fois, vous aurez peut-être envie de voir d’autres horizons, surtout si vous avez l’impression que vos actions n’ont finalement que peu d’impact sur le déroulement de la guerre. Pourtant, ce mode de jeu est assez addictif et, tout en connaissant la faible variété des actions, il sera parfois difficile de décrocher, surtout si vous avez monté une équipe de mercenaires que vous affectionnez.

L’alternance entre le mode en ligne et les quêtes du mode solo permet de renouveler l’intérêt du jeu quelque temps. Peut-être un peu moins porté sur les combats, le mode solo a l’avantage de présenter une histoire sympathique à suivre, même si certains personnages sont franchement caricaturés. Malgré tout, on se rend assez vite compte que les combats se déroulent toujours de la même manière, et les problèmes de maniabilité, bien que s’estompant avec l’habitude, semblent resurgir toujours au plus mauvais moment. Ceci est d’autant plus ennuyeux que le niveau des ennemis des quêtes secondaires monte avec le vôtre.

Dis, t’as vérifié le gros buisson louche là-bas derrière ? On dirait qu’il y a des choses cachées dedans.

Avec son système de combat simple mais renouvelé par le nombre de classe, son mode histoire conséquent et des mécanismes de jeu solides donnant une profondeur certaine au jeu, Grand Kingdom est indéniablement agréable à jouer et vous occupera une quarantaine d’heures, voire plus, si vous visez le platine. On peut tantôt pester sur le manque d’explication d’une fonctionnalité, il n’en reste pas moins que l’on veut toujours améliorer ses unités, découvrir les nouvelles capacités des autres classes, tester de nouvelles quêtes ou chercher à mettre une rouste à l’adversaire en temps de guerre, sans forcément y parvenir, mais en voulant tout de même, sans cesse, sa revanche.

Si vous aimez les jeux aux mécaniques complexes, en maîtriser l’entièreté et comprendre leurs articulations pour les tourner à votre avantage, Grand Kingdom est fait pour vous et vous absorbera un bon moment. Si par contre vous préférez les jeux avec un gameplay peu étendu, je ne suis pas sûr qu’il faille vous le recommander. La richesse d’options du jeu peut intimider, d’autant que vous aurez des explications uniquement en anglais. Mais après tout, passer à côté de certaines possibilités peut être un choix délibéré qui n’entamera alors pas votre plaisir de jeu.
Note : 3/5

Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%

Les mercenaires vivant dans cette époque de guerres. C’est ici qu’est racontée leur histoire.

Chef, chef ! Il y a un objet drôlement brillant là-bas ! Vous croyez que c’est un piège ?

Le jeu possède quarante-deux trophées dont deux d’or et quinze d’argent. Aucun d’entre eux ne demande de jouer expressément en ligne. La plupart des trophées viendront tranquillement en parcourant le jeu, ou en effectuant des actions relativement simples comme détruire un objet alors qu’une unité est encore dessus, tuer trois ennemis en même temps, ou gagner un combat avec un seul point de vie restant. Ces trophées sont assez simples à réaliser et ne demandent pas beaucoup de temps de préparation, quand ils ne tombent pas tout seul.

D’autres trophées vont vous demander de faire preuve d’un peu d’ingéniosité, notamment pour terminer une quête de destination avec une seule unité. À moins que celle-ci ne soit surpuissante, il vous faudra parcourir la carte en évitant tous les ennemis. Le trophée d’élimination d’une unité invisible risque d’être plus difficile que prévu, sauf si vous l’obtenez par hasard au détour d’un combat.

Quelques trophées vous demanderont pas mal de temps, sans être compliqués, comme atteindre le rang de mercenaire S, monter une unité au niveau 99 ou parcourir 20 000 cases. Celui requérant qu’une unité connaisse toutes les capacités de toutes les classes risque en plus de vous demander une bonne dose d’implication, déjà pour obtenir un mercenaire de chaque classe et pour que ceux-ci apprennent toutes leurs attaques. Là, il faudra maîtriser une partie des mécaniques. Enfin, les trophées les plus techniques seront probablement ceux du combo de 99 coups et de l’attaque à 20 000 points de dégâts. Nul doute qu’il faudra se plonger quelques instants dans les diverses possibilités du jeu.
Note : 4/5

Conclusion

Orienté vers l’aspect tactique du jeu de rôle, Grand Kingdom saura vous séduire par ses graphismes, sa bande originale, son ambiance et son système de combat, bien que perfectible. Le jeu s’adresse aussi bien aux joueurs occasionnels, qu’aux réguliers, et ceux qui sont rebutés par les modes en ligne pourront se rassurer : vous n’aurez pas d’interaction directe avec les autres joueurs.
Sentant parfois le manque de finition, le jeu reste plaisant à découvrir et à faire.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
15
Je recommande ce jeu : À tous, Aux spécialistes du genre, Aux curieux

Kyp-chan (Kyp-chan)

170
697
1794
5543