Bladestorm : Nightmare est un jeu d’action saupoudré d’éléments issus des RTS développé par Tecmo Koei. Cet opus, descendant de Bladestorm : The Hundred Years’ War reprend le même scénario que son prédécesseur en y incluant un nouveau scénario inédit appelé Nightmare. Nous nous retrouvons donc ici face à un remake accompagné d’une belle extension qui nous offrira malgré tout quelques heures de jeu supplémentaires.
Vous aurez au début du jeu la tâche de créer vous-même un personnage afin que ce dernier devienne le personnage principal de votre aventure. Ce personnage sera dès lors plongé dans une guerre entre l'Angleterre et la France connue comme étant la guerre de Cent Ans. À l'aide de vos troupes ainsi que de vos alliés, vous devrez vous frayer un chemin à travers les lignes ennemis afin d'en capturer les bases et ainsi offrir à votre camp la victoire tant espérée.
Ce jeu au nom cauchemardesque représente ironiquement très bien l'expérience qui va attendre les joueurs qui vont se lancer dans une expérience pour le moins surprenante tant au niveau du gameplay que d'un scénario loufoque aux airs d'un vieux jeu de type Musou dont on aurait enlevé tout le charme et la "difficulté" du mode chaos.
Bladestorm : Nightmare
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ps3
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Infos complémentaires
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Date de sortie : 20/03/2015
Genre(s) : Action
Territoire(s) : FRANCE
144 joueurs possèdent ce jeu
Genre(s) : Action
Territoire(s) : FRANCE
144 joueurs possèdent ce jeu
46 trophées au total
0 trophée online
Platiné par : 7 joueurs (5 %)
100% par : 7 joueurs (5 %)
Note des joueurs :
3/5 - 3 notes
Note des platineurs :
3/5 - 1 note
Test rédigé par Comatosia le 12-08-2015 - Modifié le 07-12-2016
Contenu du jeu
Bladestorm: Nightmare nous propose deux modes de jeux aux scénarios pour le moins fort différents. Dans un premier temps, vous pouvez vous lancer dans la guerre de Cent Ans en créant votre propre mercenaire, membre de la guilde des mercenaires. Vous devrez ainsi accepter un grand nombre de contrats afin de prendre part à la guerre qui se déroule en rejoignant le camp Anglais ou le camp Français, voire même les deux à tour de rôle selon ce que vous désirez faire. Ce mode est le même que celui proposé par l'opus précédent, c'est-à-dire Bladestorm: The Hundred Years' War. Vous y rencontrerez des personnages historiques qu'il vous faudra aider ou affronter afin de mener à la victoire le camp que vous aurez préalablement rejoint le temps d'une bataille. Le scénario prend place en France où des milliers de soldats s'affrontent pour la suprématie de leur pays. Ce mode promet quelques bonnes heures de jeu avant de le terminer et les habituels trophées proposés par Tecmo vous pousseront à retenter plus que certainement une seconde guerre afin de tous les débloquer.
Vient ensuite le mode Nightmare, mode qui quant à lui est nouveau et personnel à cet opus. Le joueur est ici plongé avec son mercenaire dans une histoire sortie tout droit de l'imaginaire d'un jeune adolescent où des armées démoniaques arrivent sur terre pour en prendre le contrôle et tout détruire. Face à cette situation désespérée, l'Angleterre et la France vont s'unir afin de combattre les hordes de monstres qui déferlent sur le territoire français et ainsi permettre à l'espèce humaine de reprendre le dessus. Dans cette histoire loufoque, votre but sera de repousser l'ennemi et de reprendre les bases humaines afin de permettre de sauver le plus de vos camarades, qu'ils soient français, anglais ou de vils mercenaires avides d'or et de femmes. Il vous faudra acquérir leur confiance et en sauver le plus possible afin que l'armée d'humains puisse faire face à cet ennemi encore inconnu et dont le chef pourrait réserver bien des surprises.
La durée de vie du jeu est malgré tout assez conséquente puisqu'il vous faudra plusieurs dizaines d'heures de jeu afin de boucler les différents scénario ainsi que pour parvenir à compléter les différents livres de troupes qui seront à votre disposition. En effet, le jeu propose en quelque sorte différentes classes comme les épéistes, les archers, les cavaliers pour ne citer que les classes habituelles des divers jeux se déroulant à l'époque médiévale et il ne tiendra qu'à vous de monter ou non en niveau ces différentes classes. Il existe un système de forces et faiblesses entre les différentes classes mais ce système peut aisément être contourné en usant de la possibilité d'augmenter le niveau des troupes en dehors des missions, ce qui peut rapidement amené à des combats entre des classes dites faibles de niveau 30 face à des classes dites fortes de niveau 5, le calcul est rapide, même si vos troupes sont dites faibles face à l'adversaire, le K.O. de l'ennemi sera rapide. La difficulté est donc rapidement jetée aux oubliettes.
Pour en revenir aux missions du mode normal, elles sont le plus souvent relatives à la prise d'une base déterminée ou à la protection d'une autre durant un temps déterminé. Il ne tient qu'à vous de vous lancer dans un rush de l'objectif principal pour ainsi rapidement terminer la mission ou vous laisser aller à l'exploration et la prise du plus grand nombre possible de bases ennemies. Sachez cependant que le temps n'est pas illimité puisque comme dit précédemment, il existe différentes phases traduites par un cycle jour/nuit et votre personnage ne pourra pas se déplacer de nuit, il faudra donc attendre jusqu'au lendemain afin de reprendre le combat. C'est dans ce système que réside une contrainte car la plupart des contrats nécessitent d'être réalisés dans une période n'excédant pas un certain nombre de jours (généralement entre 2 et 4). Vous n'aurez donc pas la possibilité de batifoler indéfiniment à la recherche d'ennemis qui font comme vous, vaquer à la chasse aux humains.
Le jeu propose également un mode coopération. Afin d'y jouer, il vous suffit d'accepter un contrat de mercenaire dans le mode guerre de cent ans et décider de jouer ce contrat en online afin que l'on puisse vous rejoindre pour réaliser ce contrat. En dehors de cette petite différence, le mode online n'a rien de particulier, il vous offre simplement encore plus de facilité à avancer dans un jeu déjà fort simple.
Vient ensuite le mode Nightmare, mode qui quant à lui est nouveau et personnel à cet opus. Le joueur est ici plongé avec son mercenaire dans une histoire sortie tout droit de l'imaginaire d'un jeune adolescent où des armées démoniaques arrivent sur terre pour en prendre le contrôle et tout détruire. Face à cette situation désespérée, l'Angleterre et la France vont s'unir afin de combattre les hordes de monstres qui déferlent sur le territoire français et ainsi permettre à l'espèce humaine de reprendre le dessus. Dans cette histoire loufoque, votre but sera de repousser l'ennemi et de reprendre les bases humaines afin de permettre de sauver le plus de vos camarades, qu'ils soient français, anglais ou de vils mercenaires avides d'or et de femmes. Il vous faudra acquérir leur confiance et en sauver le plus possible afin que l'armée d'humains puisse faire face à cet ennemi encore inconnu et dont le chef pourrait réserver bien des surprises.
La durée de vie du jeu est malgré tout assez conséquente puisqu'il vous faudra plusieurs dizaines d'heures de jeu afin de boucler les différents scénario ainsi que pour parvenir à compléter les différents livres de troupes qui seront à votre disposition. En effet, le jeu propose en quelque sorte différentes classes comme les épéistes, les archers, les cavaliers pour ne citer que les classes habituelles des divers jeux se déroulant à l'époque médiévale et il ne tiendra qu'à vous de monter ou non en niveau ces différentes classes. Il existe un système de forces et faiblesses entre les différentes classes mais ce système peut aisément être contourné en usant de la possibilité d'augmenter le niveau des troupes en dehors des missions, ce qui peut rapidement amené à des combats entre des classes dites faibles de niveau 30 face à des classes dites fortes de niveau 5, le calcul est rapide, même si vos troupes sont dites faibles face à l'adversaire, le K.O. de l'ennemi sera rapide. La difficulté est donc rapidement jetée aux oubliettes.
Pour en revenir aux missions du mode normal, elles sont le plus souvent relatives à la prise d'une base déterminée ou à la protection d'une autre durant un temps déterminé. Il ne tient qu'à vous de vous lancer dans un rush de l'objectif principal pour ainsi rapidement terminer la mission ou vous laisser aller à l'exploration et la prise du plus grand nombre possible de bases ennemies. Sachez cependant que le temps n'est pas illimité puisque comme dit précédemment, il existe différentes phases traduites par un cycle jour/nuit et votre personnage ne pourra pas se déplacer de nuit, il faudra donc attendre jusqu'au lendemain afin de reprendre le combat. C'est dans ce système que réside une contrainte car la plupart des contrats nécessitent d'être réalisés dans une période n'excédant pas un certain nombre de jours (généralement entre 2 et 4). Vous n'aurez donc pas la possibilité de batifoler indéfiniment à la recherche d'ennemis qui font comme vous, vaquer à la chasse aux humains.
Le jeu propose également un mode coopération. Afin d'y jouer, il vous suffit d'accepter un contrat de mercenaire dans le mode guerre de cent ans et décider de jouer ce contrat en online afin que l'on puisse vous rejoindre pour réaliser ce contrat. En dehors de cette petite différence, le mode online n'a rien de particulier, il vous offre simplement encore plus de facilité à avancer dans un jeu déjà fort simple.
Note : 3/5
Aspect technique du jeu
Avant toute chose, il faut reconnaître un point positif à Bladestorm: Nightmare, c'est sa bande son tout à fait acceptable, voire même agréable. Certes, cette dernière se montre rapidement répétitive, mais elle ne causera aucun dérangement pour les oreilles des joueurs tant elle est harmonieuse avec ce qui se passe à l'écran. On pourrait même dire que c'est cette même bande son qui permet parfois de ne pas lâcher la manette trop vite car le jeu nous ennuie. Elle nous met dans l'ambiance et nous donne l'impression d'y être un peu plus.
Puisque l'on parle d'immersion, pourquoi ne pas tout simplement parler également de l'obligation pour le joueur de créer un mercenaire comme bon lui semble afin d'en faire le protagoniste principal de cette guerre de cent ans ? Une tentative très certainement de plonger le joueur un peu plus en immersion dans un jeu qui peine à garder les joueurs plus d'une heure devant l'écran sans le lasser. C'est justement dans cet éditeur de personnage que se trouve un autre point assez négatif du jeu. En effet, Tecmo nous gratifie de la présence d'une multitude de personnages historiques mais les plonge au second voire même au troisième plan tant les apparitions de ces derniers se font peu fréquentes.
Autre gros point négatif, c'est l'aspect différent du gameplay qui ne manquera sans doute pas d'ennuyer une grande partie des curieux qui s'essaieront au jeu. En effet, le fait de n'avoir en grande partie que deux boutons à utiliser afin de gagner (attention, les petits fous peuvent utiliser les techniques spéciales même si c'est tout à fait inutile pour remporter une mission) ne manquera pas de déranger certaines personnes. Le joueur n'a qu'à déplacer son personnage sur la carte tout en gardant enfoncer la gâchette d'attaque et le tour est joué, il ne restera plus rien des hordes d'ennemis qui se briseront d'un simple coup d'épée du personnage nouvellement créé. L'intelligence artificielle ne rattrape certainement pas la donne puisque cette dernière se montre complètement stupide et très attentiste. À quelques rares occasions, les ennemis prendront certaines des bases sous votre contrôle car une fois que l'ennemi se met en route, ce sont vos alliés qui décident de ne plus bouger et d'attendre que l'ennemi fasse le premier pas.
Enfin, les graphismes. Il est habituel de la part de Tecmo de proposer des jeux aux graphismes assez en retard sur les autres jeux proposés sur la même console, il ne sert donc à rien de crier ici au scandale puisque le jeu propose des graphismes tout à fait acceptables quand on connaît les autres franchises du développeur. Le seul gros bémol dans tout ça, reste peut-être le manque de remplissage de certaines zones de la carte qui font parfois de la peine à voir tant elles sont dénuées de toute vie végétale (hormis quelques brins d'herbes et encore). Cette absence de végétation pourrait néanmoins s'expliquer par la période de guerre dans laquelle le jeu prend place, laissons donc à Tecmo le bénéfice du doute quant aux paysages proposés. Les scènes de dialogues et les rares cinématiques du jeu restent donc malgré tout plaisantes pour qui sait accepter des graphismes plus vieillots sans crier au scandale.
Malgré tous les points négatifs qui peuvent être trouvés à ce jeu, il y en a malgré tout des positifs, qui se doivent d'être mis en avant. En effet, outre le gameplay assez différent et osé, il faut reconnaître que le jeu ne rame pas et ce, malgré le fait que le champ de bataille soit parcouru par un grand nombre de personnages. L'expérience de jeu n'est donc absolument pas entravée par divers moments de latence, une fois le champ de bataille chargé, chose se faisant très rapidement il faut l'avouer, le joueur peut effectuer sa mission sans aucun problème jusqu'à la fin. Aucun temps de chargement n'a d'ailleurs lieu durant les déplacements sur la carte en dehors du changement de phase de bataille (qui est équivalent à chaque fois à une journée in game, il faut bien que votre personnage dorme un peu).
Puisque l'on parle d'immersion, pourquoi ne pas tout simplement parler également de l'obligation pour le joueur de créer un mercenaire comme bon lui semble afin d'en faire le protagoniste principal de cette guerre de cent ans ? Une tentative très certainement de plonger le joueur un peu plus en immersion dans un jeu qui peine à garder les joueurs plus d'une heure devant l'écran sans le lasser. C'est justement dans cet éditeur de personnage que se trouve un autre point assez négatif du jeu. En effet, Tecmo nous gratifie de la présence d'une multitude de personnages historiques mais les plonge au second voire même au troisième plan tant les apparitions de ces derniers se font peu fréquentes.
Autre gros point négatif, c'est l'aspect différent du gameplay qui ne manquera sans doute pas d'ennuyer une grande partie des curieux qui s'essaieront au jeu. En effet, le fait de n'avoir en grande partie que deux boutons à utiliser afin de gagner (attention, les petits fous peuvent utiliser les techniques spéciales même si c'est tout à fait inutile pour remporter une mission) ne manquera pas de déranger certaines personnes. Le joueur n'a qu'à déplacer son personnage sur la carte tout en gardant enfoncer la gâchette d'attaque et le tour est joué, il ne restera plus rien des hordes d'ennemis qui se briseront d'un simple coup d'épée du personnage nouvellement créé. L'intelligence artificielle ne rattrape certainement pas la donne puisque cette dernière se montre complètement stupide et très attentiste. À quelques rares occasions, les ennemis prendront certaines des bases sous votre contrôle car une fois que l'ennemi se met en route, ce sont vos alliés qui décident de ne plus bouger et d'attendre que l'ennemi fasse le premier pas.
Enfin, les graphismes. Il est habituel de la part de Tecmo de proposer des jeux aux graphismes assez en retard sur les autres jeux proposés sur la même console, il ne sert donc à rien de crier ici au scandale puisque le jeu propose des graphismes tout à fait acceptables quand on connaît les autres franchises du développeur. Le seul gros bémol dans tout ça, reste peut-être le manque de remplissage de certaines zones de la carte qui font parfois de la peine à voir tant elles sont dénuées de toute vie végétale (hormis quelques brins d'herbes et encore). Cette absence de végétation pourrait néanmoins s'expliquer par la période de guerre dans laquelle le jeu prend place, laissons donc à Tecmo le bénéfice du doute quant aux paysages proposés. Les scènes de dialogues et les rares cinématiques du jeu restent donc malgré tout plaisantes pour qui sait accepter des graphismes plus vieillots sans crier au scandale.
Malgré tous les points négatifs qui peuvent être trouvés à ce jeu, il y en a malgré tout des positifs, qui se doivent d'être mis en avant. En effet, outre le gameplay assez différent et osé, il faut reconnaître que le jeu ne rame pas et ce, malgré le fait que le champ de bataille soit parcouru par un grand nombre de personnages. L'expérience de jeu n'est donc absolument pas entravée par divers moments de latence, une fois le champ de bataille chargé, chose se faisant très rapidement il faut l'avouer, le joueur peut effectuer sa mission sans aucun problème jusqu'à la fin. Aucun temps de chargement n'a d'ailleurs lieu durant les déplacements sur la carte en dehors du changement de phase de bataille (qui est équivalent à chaque fois à une journée in game, il faut bien que votre personnage dorme un peu).
Note : 3/5
Plaisir à jouer et à rejouer
Avec son gameplay pour le moins surprenant quand on le prend pour la première fois en main, Bladestorm: Nightmare n'attirera pas les foules quand il s'agit de recommencer une nouvelle partie. Bien que l'éditeur de personnage presque toujours proposé dans les licences de Tecmo Koei nous permette de nous replonger maintes et maintes fois dans l'aventure en créant de nouveaux protagonistes, l'expérience ne tentera que peu de monde à cause de son flagrant manque de challenge ainsi que sa redondance à en faire s'endormir un hyperactif sous redbull.
Lorsque le jeu est pour la première fois pris en main, on peut se sentir attiré par le gameplay qui semble si différent mais l'ennui prendra vite le dessus quand il s'agira de ne plus rien faire d'autre que regarder les soldats sous nos ordres détruire des hordes d'ennemis sans avoir rien à faire d'autre que de cliquer sur le bouton "attaque". Déjà que ridiculement facile d'entrée de jeu, une fois quelques niveaux passés avec votre unité fétiche, même les personnages censés vous donner du fil à retordre seront balayés en un revers de la main et les boss ne tiendront pas plus de deux coups face à vos subordonnés déjà suffisamment entraînés après deux ou trois missions pour aller affronter le boss final du jeu.
Plus loin que l'aspect repoussant d'un gameplay rébarbatif, la surabondance de quêtes aux objectifs passés sous copier-coller vous rendra chèvre. Les cartes de ces mêmes quêtes étant à chaque fois des départements français, vous aurez l'agréable plaisir de parcourir encore et encore les mêmes paysages remplis de ... de presque rien en fait. Les quêtes principales quant à elles ne représenteront que très peu de votre temps de jeu.
Le côté intéressant est pour les acharnés qui pourront s'évertuer à monter toutes les classes disponibles jusqu'au niveau maximum et ainsi avoir le plaisir de dire qu'ils ont réussis là où beaucoup auront abandonné avant même la moitié. En effet, puisqu'une seule classe est suffisante pour terminer le jeu sans difficulté, pourquoi s'ennuyer à toutes les monter si ce n'est par pur plaisir du farm ?
Lorsque le jeu est pour la première fois pris en main, on peut se sentir attiré par le gameplay qui semble si différent mais l'ennui prendra vite le dessus quand il s'agira de ne plus rien faire d'autre que regarder les soldats sous nos ordres détruire des hordes d'ennemis sans avoir rien à faire d'autre que de cliquer sur le bouton "attaque". Déjà que ridiculement facile d'entrée de jeu, une fois quelques niveaux passés avec votre unité fétiche, même les personnages censés vous donner du fil à retordre seront balayés en un revers de la main et les boss ne tiendront pas plus de deux coups face à vos subordonnés déjà suffisamment entraînés après deux ou trois missions pour aller affronter le boss final du jeu.
Plus loin que l'aspect repoussant d'un gameplay rébarbatif, la surabondance de quêtes aux objectifs passés sous copier-coller vous rendra chèvre. Les cartes de ces mêmes quêtes étant à chaque fois des départements français, vous aurez l'agréable plaisir de parcourir encore et encore les mêmes paysages remplis de ... de presque rien en fait. Les quêtes principales quant à elles ne représenteront que très peu de votre temps de jeu.
Le côté intéressant est pour les acharnés qui pourront s'évertuer à monter toutes les classes disponibles jusqu'au niveau maximum et ainsi avoir le plaisir de dire qu'ils ont réussis là où beaucoup auront abandonné avant même la moitié. En effet, puisqu'une seule classe est suffisante pour terminer le jeu sans difficulté, pourquoi s'ennuyer à toutes les monter si ce n'est par pur plaisir du farm ?
Note : 2/5
Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%
Bladestorm: Nightmare est un jeu que l'on peut considérer comme étant long à platiner puisqu'il demande en effet pas moins de 150 heures afin de pouvoir obtenir la totalité des précieux trophées nous menant au Graal couleur platine. À première vue pas si compliqués que ça à débloquer, les trophées de cet opus se montreront cependant à plus long terme ardus à obtenir grâce à quelques rebelles qui ne se laisseront pas attraper si aisément. Certains de ces derniers vous pousseront à vous arracher quelques cheveux tant ils demanderont d'être en timing parfait avec certains évènements se déroulant à l'autre bout de la carte où vous vous trouvez.
D'autres trophées quant à eux se montreront fidèles aux licences de Tecmo Koei, vous demandant de farmer encore et encore pour le plus grand plaisir de votre compteur d'heure de jeu et au grand désespoir de votre facture d'électricité. Vous l'aurez donc facilement compris, certains trophées se montreront frustrants et pourront vous demander plusieurs essais avant de parvenir à leur obtention.
Si vous aimez vous faire du mal en chassant certains trophées, il n'y a pas à tergiverser, c'est un platine qui vous donnera du fil à retordre tant il est chronophage que pour son aspect frustrant vis-à-vis de la difficulté de certains trophées isolés.
D'autres trophées quant à eux se montreront fidèles aux licences de Tecmo Koei, vous demandant de farmer encore et encore pour le plus grand plaisir de votre compteur d'heure de jeu et au grand désespoir de votre facture d'électricité. Vous l'aurez donc facilement compris, certains trophées se montreront frustrants et pourront vous demander plusieurs essais avant de parvenir à leur obtention.
Si vous aimez vous faire du mal en chassant certains trophées, il n'y a pas à tergiverser, c'est un platine qui vous donnera du fil à retordre tant il est chronophage que pour son aspect frustrant vis-à-vis de la difficulté de certains trophées isolés.
Note : 3/5
Conclusion
Bladestorm: Nightmare est décidément un jeu avec quelques bonnes idées mais qui ne parvient pas à faire ressortir ses bons côtés à cause de nombreux moins qui se retrouvent fréquemment sur le devant de la scène. Son scénario intéressant ne peut empêcher le navire de couler sous la fragilité de l'opus tant graphiquement que d'un point de vue du gameplay. L'expérience peut s'avérer plaisante durant les premières minutes voire heures de jeu mais l'ennui prendra vite le dessus sur le plaisir.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
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Je recommande ce jeu : Aux curieux, Aux chasseurs de trophées/platine difficile
Accès rapide
Comatosia (Comatosia)
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