Onimusha : Warlords

ps4

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Infos complémentaires

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Date de sortie : 15/01/2019
Genre(s) : Action , Aventure
Territoire(s) : FRANCE

378 joueurs possèdent ce jeu
56 trophées au total
0 trophée online
12 trophées cachés

Platiné par : 129 joueurs (34 %)

100% par : 129 joueurs (34 %)


Note des joueurs :
4.5/5 - 6 notes

Note des platineurs :
4.6/5 - 5 notes

Test rédigé par So-chan le 22-01-2019 - Modifié le 09-02-2019


Introduction

鬼 La voie du sabre

« Du Resident Evil au Japon féodal » voilà en quoi pouvait se résumer le projet Sengoku Biohazard, terreau sur lequel se forma une des licences à succès de Capcom : Onimusha. Le premier volet naquit sur la Playstation 2 amenant les joueurs à découvrir un Japon mêlant figures historiques de l'époque (Nobunaga pour ne citer que le plus connu) et éléments surnaturels sous la forme d'onis, créatures du folklore nippon. Le succès fut tel, à l'époque, que la série se propagea en trois jeux et deux spin-offs, tous reprenant la recette qui faisait mouche : proposer une mécanique proche de la saga Resident Evil dans un contexte plus fantastique avec des éléments du Japon féodal.

Les bases de l'histoire demeurent très classiques et font écho à tous ces jeux de l'époque où sauver le monde revenait à sauver la princesse et/ou l'élue de votre cœur. Ici, la princesse Yuuki fait appel à vous, Samanosuke, jeune samouraï au bras armé, pour l'aider. Tandis que son frère part combattre Nobunaga (grand général et personnage historique de haute importance), la princesse Yuuki est témoin de l'arrivée de démons. Témoin et même victime – vous arrivez trop tard pour empêcher son enlèvement et allez devoir la secourir, en compagnie de votre alliée, Kaede, une ninja. Le duo va se confronter non pas qu'à de simples onis belliqueux mais à une véritable conspiration. (Qui a dit Umbrella ?)

Dix-huit ans après sa sortie, Onimusha : Warlords et premier volet de la saga revient sur PS4 dans une version HD apportant son lot de petites nouveautés comme l'ajout d'un mode facile et quelques retouches graphiques. Malgré le temps qui a passé et les nouvelles attentes des joueurs, Onimusha peut-il encore plaire ?

Contenu du jeu

鬼Une demeure emplie de démons, cela me rappelle...

Dès les premières minutes à manier notre héros, Samanosuke, le constat est sans appel : la patte Capcom est là et l'on ne peut s'empêcher de songer à Resident Evil. Rappelons que ce n'est pas là une flemme de se renouveler de la part du studio, mais bel et bien une volonté de garder cette sauce pour l'épicer autrement (un peu comme le curry, si cher à l'archipel nippon). Loin d'être un plat trop copieux et sentant le réchauffé, Onimusha : Warlords se révèle même plaisant.

Soyons honnêtes, on se trouve là à cent lieues d'un open-world. Ici on évolue en espace clos alternant entre demeure traditionnelle délabrée, grands plans d'eaux où s'ébattent les carpes koï mais aussi souterrains obscurs et mystérieux. L'avancée se fait rapidement, dès le début, nous permettant de voyager d'un tableau à un autre sans avoir l'impression de stagner. On progresse, pas à pas, obtenant aisément notre premier pouvoir. Car Samanosuke, comme tout héros de jeu vidéo qui se respecte, se voit doté, après une cuisante défaite, d'un objet lui permettant d'acquérir plus de pouvoir : le gantelet. Ce dernier aspire les orbes s'échappant des cadavres des onis lui permettant, ainsi, de regagner de la vie, de remplir sa jauge de pouvoir oni (ou magique, si vous préférez) mais aussi sa barre d'âmes. Cette dernière, très importante, est nécessaire pour augmenter les niveaux de vos armes et des magies qui y sont associées. Samanosuke peut se battre avec trois armes différentes (à glaner dans le jeu) liées à la foudre, au feu et au vent. Une mécanique simple mais efficace. On se prend rapidement au jeu d'aspirer les orbes pour améliorer nos capacités. Et si en parlant d'orbes à ramasser vous avez pensé à Devil May Cry, autre jeu du studio, dites-vous que les coïncidences n'existent pas.

C'est bien joli tout cet équipement, mais avec je fais quoi ? Vous tranchez du oni, mais pas seulement. Le bestiaire s'enrichit au fur et à mesure de votre avancée jusqu'à faire apparaître des adversaires plus ardus en des lieux, autrefois, remplis que de bas-niveaux. Des squelettes se révélant parfois archers pour vous toucher depuis les hauteurs, des démons cornus maniant la hache, des ennemis pouvant se rendre invisibles, des amas de chair aspirant vos orbes ne sont là que quelques éléments des ennemis de base. Car vous rencontrerez aussi des boss qui vont vous demander de créer une stratégie propre à chacun dont les duels pourront se révéler plus aisés, si vous dénichez quelques objets cachés.

Car Onimusha : Warlords recèle, en ses niveaux, des éléments qui peuvent grandement vous faciliter le jeu... au prix de quelques efforts. Samanosuke peut manier des armes à distance comme l'arc ou l'arquebuse, seulement si vous réussissez à trouver les coffres les y enfermant. Il en est de même pour les armures améliorant leurs défenses ou l'épée la plus puissante du jeu, Bishamon. Pour dénicher cette dernière (très utile pour trancher l'ultime boss) il vous faudra réussir une tour de vingt combats d'affilé. Un challenge retors mais payant, même si on aimerait pouvoir user de l'épée sur l'avant-dernier boss.

Mais si Onimusha : Warlords reprend la sauce Resident Evil, cela veut-il dire qu'il y a des énigmes ? Tout à fait. Nombre de portes vous sont ainsi fermées tant que vous n'avez pas augmenté vos orbes de magie à un certain niveau. Le nombre de sphères sur la porte, et leur couleur, vous indique implicitement l'orbe concernée. Vous croiserez aussi des coffres se divisant en deux types : chiffres et lettres. Dans le premier cas, vous devez reformer une combinaison en un nombre précis de mouvements. Pour le second, il vous faut répondre à une question... avec ce qui s'apparente à des kanjis. Il faudra vous appuyer sur des documents, trouvés en fouillant le moindre recoin, pour décrypter l'énigme et avoir la solution. Déverrouillés, les coffres vous offrent de nouveaux éléments comme des pierres oni pour augmenter votre magie ou des pierres de vie pour... vous aurez compris l'idée.

Quant aux autres énigmes, vous aurez, surtout, une succession de casses-têtes à résoudre en manipulant, tour à tour, Samanosuke et Kaede. Vous devrez le réussir en une fois car, jeu à l'ancienne oblige, pas de sauvegarde automatique. Si vous perdez, vous recommencez depuis votre dernière sauvegarde. Si jamais vous êtes perdu, vous pouvez vous référer à la carte des lieux pour trouver une salle de sauvegarde... seulement si vous possédez la carte. Comme dit plus haut, Onimusha : Warlords est un jeu à l'ancienne. Rien n'est donné facilement au joueur : c'est à lui d'extraire du jeu ce dont il a besoin pour avancer.

Malgré tout, une première partie en explorant et en s'habituant, à son rythme, au gameplay et à la progression de la difficulté, se fait facilement en 5 heures. Une durée de vie très courte à l'heure d'aujourd'hui mais qui permet à tout joueur de vouloir relancer une partie pour fouiller intégralement Onimusha : Warlords et découvrir tout ce qu'il recèle.
Note : 3/5

Aspect technique du jeu

鬼 C'est antique, c'est de l'époque Edo ?

Ne nous voilons pas la face : l'ancienneté de Onismusha : Warlords ressort de chacun des pixels qui le composent. Pour son retour sur PS4, a surtout subi un petit lifting sur les personnages et les décors sans pour autant gommer les visages carrés ou la pauvreté des textures. Mamy a beau se maquiller, on voit clairement ses rides sous le fond de teint. Pour mieux vous permettre de voir la différence entre l'original et la version PS4, jetez un œil à la vidéo ci-dessous.

On est loin du travail des derniers remasters en date comme Spyro, pour n'en citer qu'un, mais rappelons que Onismusha : Warlords n'est qu'un portage sur la console nouvelle génération. Capcom ne l'a jamais présenté comme une refonte du matériau originel à la hauteur des prouesses techniques de 2019.


Notons tout de même une bande-son fort appréciable tout à fait en raccord avec l'ambiance présentée. Tout fleure bon le Japon féodal avec quelques pistes faisant écho à des sonorités comme on pourrait en entendre dans un film sur les ronins et les samouraïs. Vous pouvez d'ailleurs choisir entre un doublage anglais ou japonais. Je vous conseille, personnellement, le second pour mieux vous immerger dans l'ambiance proposée par le jeu. Quant aux allergiques au non-francophone, pas d'inquiétude : Onimusha : Warlords est intégralement traduit et sous-titré en français. Les quelques cinématiques (trois pour être précises) ont subi, elles aussi, un lifting donnant, par la même occasion, un cachet très particulier. On sent une volonté de « moderniser » le jeu tout en ne gommant pas ses limites techniques, ce qui donne un rendu très particulier et l'impression de voir un vieux film au début de la 3D.

À l'instar d'autres portages, Onismusha : Warlords a subi le traitement minimal avec des graphismes plus précis et un gameplay plus accessible.

Rappelons, qu'à sa sortie, les mouvements s'opéraient avec les touches directionnelles. Désormais vous pouvez faire bouger votre personnage avec les joysticks. Si le changement paraît minime, de prime abord, il permet une plus grande fluidité de mouvements qui vous sera salvatrice lorsque les ennemis sont nombreux ou que vous jouez en haute difficulté. Là où on pourrait croire qu'une mécanique âgée de dix-huit ans se retrouve lourde à manier, Onismusha : Warlords que la sauce peut rester goûteuse, même conçue dans une vieille marmite. La touche (carre) permet d'attaquer avec son arme tandis que (triangle) déclenche la magie. Vous pouvez changer d'arme (et donc de magie associée) par une simple pression de (L2). (R2), quant à lui, permet de passer aux armes à distance dont le tir s'effectue avec (carre), touche regroupant toutes les attaques. La visée se fait, automatiquement, sur l'ennemi le plus proche. Par contre, si vous oubliez les touches, ne pensez pas les trouver via le menu pause. Elles sont affichées dans une section du menu principal... qui n'est accessible qu'en quittant la partie. Un point dommageable qui rappelle l'époque où l'on conservait son livret, glissé dans la boîte de jeu, près de soi mais qui se révèle caduque avec cette version dématérialisée.

Le gameplay pris en main (et ce, très rapidement, au bout de quelques minutes) on s'amuse à sabrer des onis dont l'IA se révèle de plus en plus retors au fur et à mesure de votre avancée. Face à certains boss, il vous faudra bien observer leurs mouvements afin d'anticiper leurs attaques et réagir en conséquence. Autant vos premiers ennemis tombent rapidement sous vos coups que pour d'autres il vous faudra apprendre à esquiver, voire à bloquer les coups avec (L1) (votre garde) pour éviter la mort. Et avec cette vision qui vous empêche de voir l'ensemble de la carte sur un même écran, vous allez devoir faire très attention aux couloirs et virages. À l'image de Resident Evil, vous devez avancer doucement et vous tenir sur vos gardes dès que vous percevez le cri d'un ennemi. Ce dernier peut, soudainement, survenir au bas de l'écran, débouchant d'un couloir que vous ne voyez pas encore. Il en est de même pour certains boss dont vous ne percevez pas toute l'arène sur un seul écran. De quoi tordre un peu plus la difficulté même si, au bout de quelques essais, une partie en mode Normal se révèle moins complexe que prévue, si vous prenez le temps de bien augmenter vos capacités.

Le portage n'accuse aucun bug, un point qui se mérite d'être souligné. Onismusha : Warlords ne brille clairement pas par sa patte graphique (qui saura titiller la fibre nostalgique chez certains) mais sait proposer un gameplay qui a posé les bases pour nombre d'autres jeux.

Note : 3/5

Plaisir à jouer et à rejouer

鬼 Ne pas faiblir face à l'adversité

En menant un tel portage, c'est avant tout les joueurs nostalgiques qui sont visés. Heureux de replonger dans une époque, désormais révolue, ils trouveront là satisfaction à renouer avec leurs débuts sur la console. Après tout rien n'a été modifié, hormis un visuel plus correct pour les années 2010 et une jouabilité plus fluide. L'histoire, l'emplacement de chaque élément tout est là au frame près permettant de brosser les fans de la première heure dans le sens du poil. La matière première n'a pas été modifié d'un pixel, simplement dépoussiérer à l'image d'un jeu qu'on retrouverait sur émulateur.

Mais une personne n'ayant jamais approché Onimusha : Warlords avant aujourd'hui pourra-t-il y trouver son plaisir, ou le produit n'est-il destiné qu'à la niche des fans ? Je me retrouve dans le premier cas. De Onimusha, je ne connaissais que le nom et ma première immersion dans la saga s'est donc opérée avec ce portage. Curieusement la sauce a pris. Je pensais passer un bon moment sans plus, une bulle de détente comme le procurent certains jeux sans laisser de souvenir mémorable. Le jeu permet une avancée rapide sans vous donner l'impression de pinailler : le danger est rapidement introduit, les premiers ennemis se confrontent à vous et vous traversez plusieurs tableaux avant d'entrer, pleinement, dans ce qui va composer la map principale. De quoi donner envie de continuer notre progression. Et même si quelques difficultés, en difficulté Normal, viennent parfois nous bloquer et nous renvoient à l'écran-titre... on a pas envie de rester sur cette défaite. On va sabrer quelques ennemis, améliorer nos armes et capacités pour mieux trancher le boss suivant. Et parfois c'est l'usage d'une arme secondaire comme l'arc ou l'arquebuse qui viendront nous aider.

Pour tout joueur habitué aux sauvegardes automatiques et que le jeu lui dise clairement quoi faire à quel moment, Onimusha : Warlords pourra se révéler une expérience poussive. Toutefois les points de sauvegarde sont nombreux et l'on peut visualiser leur emplacement sur la carte (si vous la possédez). Vous pouvez aussi traverser les salles et ainsi, éviter les combats, si l'urgence se fait sentir. Parfois mieux vaut fuir pour survivre.

On notera tout de même un gros malus qui, lui aussi est d'époque, mais rend parfois certains passages de rejouabilité très lourds. Imaginez vous vous confrontez à un boss et vous mourrez. Heureusement votre sauvegarde précède juste le combat mais aussi la cinématique... qui se révèle impossible à passer. Au bout de trois essais infructueux, se retaper en boucle la même cinématique a de quoi faire lâcher un soupir au joueur. La possibilité de passer la cinématique après la première visualisation n'aurait pas été du luxe. Clairement.

Avec sa durée de vie d'environ cinq heures (tout dépend si vous explorez ou tracez en ligne droite jusqu'à la fin) pourrait dommager le plaisir passé sur le jeu. Après tout qu'est-ce qui pourrait pousser un joueur à relancer une partie après la première ? Améliorer son score final en fait partie. Ce dernier se calcule selon votre durée de jeu, la collecte de fluorines (objet dont la seule utilité est de peser sur le score), le nombre d'âmes absorbées, d'ennemis vaincus et les combats menés dans le Royaume des Ténèbres. Ce dernier se révèle un passage obligatoire pour détenir Bishamon, arme la plus puissante du jeu. Selon le score obtenu, vous pourrez décrocher un costume alternatif pour les personnages (allez vous rêvez de voir Samanosuke en panda) mais aussi la difficulté Ultime. Ce dernier se révèle un excellent challenge pour les joueurs les plus hardcores.

En plus de cela restent aussi les collectibles nécessaires pour déverrouiller tous les coffres cryptés. Et si vous lisez le test, vous vous doutez qu'un tout autre challenge se présente avec ce portage de Onimusha : Warlords et que les joueurs de l'époque ne pouvaient pas connaître : la chasse aux trophées.
Note : 4/5

Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%

鬼 Aussi piquante que la sauce samouraï

Là où d'autres studios auraient pu se contenter d'un simple portage, Capcom a créé, spécialement pour l’occasion, une liste de trophées. Liste que vous pouvez retrouver dans le jeu dans la section « Actes de bravoure » lorsque vous activez un mode pause avec le pavé tactile. Et si vous pensiez que simplement mener une partie permettait d'obtenir le platine de Onimusha : Warlords, vous avez là encore tout faux.

La liste de trophées participe grandement à la rejouabilité du titre avec plusieurs challenges qui peuvent se révéler corsés pour qui ne maîtrise pas complètement le gameplay du jeu. Vous devez finir le jeu en moins de 3 heures (challenge plus aisé si vous connaissez bien le jeu), en Normal sans rien améliorer et/ou sans utiliser d'objets de soins. Et autant dans le premier cas vous pouvez réussir en parant les attaques de boss et en abusant de la magie que dans le second cas vous allez devoir faire très attention à votre vie et priez pour que l'ennemi lâche des orbes de soin. Et, pour conclure ces défis, finir en mode Ultime... ce qui implique de réussir à obtenir le score S en mode Normal.

Ces défis représentent la plus grosse difficulté de la chasse aux trophées. Pour le reste, vous devrez rassembler tous les collectibles, ouvrir tous les coffres : l'un allant avec l'autre en fouillant les lieux et en suivant un guide, le tout ne devrait guère vous poser de problème. Dix-neuf trophées sont liés à votre progression dans l'histoire. Quant aux quelques trophées restants, ils se résument à des actions annexes comme tuer un démon d'une certaine manière ou découvrir quelques scènes cachées peut-être même, jusqu'ici, inconnues des fans vétérans.

À noter d'ailleurs que Capcom n'a pas joué la carte de la générosité concernant les trophées dont la liste se décompose en deux (Or), cinq (Argent) et quarante-huit (Bronze). Les deux premiers, (Or) L'éthique du samouraï et (Or) Nippon, ni mauvais vous demandent de finir le jeu en Normal sans améliorer et au rang S – deux challenges assez corsés, surtout pour le premier, le second pouvant être mené en mode Facile. Quant aux argents, ils regroupent les autres challenges cités précédemment mais aussi conclure le Royaume des Tenèbres (autrement dit vingt combats à réussir d'affilé contre des vagues d'ennemis) et mener à bien un mini-jeu Esprit Oni. Dans ce dernier, vous devez combattre des adversaires tout en perdant graduellement votre vie. On n'a jamais dit que la voie du guerrier était un chemin dénué de difficulté.

Plus ou moins équilibrée, la difficulté du platine se voit surtout rehaussé par l'objectif de mener des parties avec des critères bien précis. Seuls les chasseurs les plus courageux et les joueurs les plus acharnés tenteront l'aventure, pas impossible, mais néanmoins difficile. Quant aux autres, ils pourront compléter leur chasse de quelques trophées simples et accessibles comme observer le vol des oies sauvages au crépuscule.
Note : 3/5

Conclusion

Portage fidèle du matériau originel, Onimusha : Warlords saura séduire ses fans par son authenticité et la nostalgique qu'il véhicule. Le jeu réussit, tout de même, le pari de pouvoir plaire aux autres joueurs en proposant un gameplay toujours efficace et un univers intriguant. Quant aux chasseurs de trophées, ils trouveront là un challenge qui saura mettre leurs capacités à rude épreuve pour réussir les trophées les plus complexes.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
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Je recommande ce jeu : Aux fans de la série, Aux curieux, Aux chasseurs de trophées/platine difficile

So-chan (So-chan07)

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