Munchkin : Quacked Quest

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Infos complémentaires

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Date de sortie : 19/11/2019
Genre(s) : Action , Party Game
Territoire(s) : FRANCE

9 joueurs possèdent ce jeu
27 trophées au total
0 trophée online
0 trophée caché

Platiné par : 0 joueur (0 %)

100% par : 0 joueur (0 %)


Pas de note
des joueurs

Pas de note
des platineurs

Test rédigé par Jo-La-Mouche le 20-01-2020 - Modifié le 20-01-2020

Introduction

Un Munchkin c'est un Grobill. Et le Grobill, c'est vous !

Munchkin : Quacked Quest, ou tout simplement Munchkin pour les intimes et les plus fainéants, est un "party game" de rôle et d'exploration de donjons, disponible sur PS4 depuis le 19 novembre 2019. Développé et édité par Asmodée Digital, Munchkin est la dérivation vidéoludique de Munchkin, jeu de rôle drôle (mais pas que) et de cartes créé par Stevve Jackson et avec de géniales illustration de John Kovalic. Pour ceux qui aiment s'aventurer dans les jeux de sociétés, le nom d'Asmodée ne devrait pas vous être inconnu. Même s'ils ne sont pas éditeurs en France du jeu original, c'est une maison qui sait ce qu'elle fait.

Avant de vous présenter le jeu vidéo, je me dois de vous parler du jeu de carte. Déjà parce que j'adore ce jeu et que faire ce test me réjouit, mais surtout pour comprendre quelle est la base, comment elle a été adaptée et ce que les gens qui connaissent Munchkin premier du nom sont en droit d'attendre d'une adaptation sur console.

Sous-titré "Tuez les monstres, pillez le trésor, trahissez vos amis", Munchkin est avant tout un jeu parodique des jeux de rôle papier, bourré d'humour, qui ne se prend clairement pas au sérieux. Vous commencez la partie comme humain de niveau 1, et le premier arrivé au niveau 10 gagne la partie. Deux paquets de cartes constituent les salles du donjon et les trésors que vous y trouverez. Derrière chaque porte se cache peut-être un monstre, dont vous devrez vous défaire pour espérer gagner un niveau et piller le trésor. Voilà pour la théorie. Pour la pratique, vous devrez nouer les alliances, trahir vos compagnons si vous voulez progresser et battre les autres. Ou vous faire oublier de la cohue générale pour augmenter votre niveau sans que personne ne s'en rende compte... A vous de voir ! C'est en avançant au fur et à mesure que vous gagnerez votre équipement, que vous pourrez changer de race et même vous trouver une classe. Le nom des monstres sont tout autant décalés que les descriptions et les illustrations sont parfaites pour souligner l'absurdité du bestiaires, et de tout le reste.

Contenu du jeu

Je défonce la porte.

Depuis l'introduction du test du jeu que vous êtes en train de lire, je sais que vous vous demandez pourquoi je classe le jeu comme un "party game" et non pas un jeu de rôle classique. Une partie de Munchkin ne dure qu'entre cinq minutes et une heure, temps de jeu effectif (les arrêts de jeu sont en sus). Chaque partie n'a rien à voir avec la précédente, vous commencerez toujours avec une épée en bois et un bouclier, niveau 1. Tout ce que vous avez ramassé et équipé, pouf, disparu. Et la partie s'arrêtera quoi qu'il arrive au bout du temps imparti, même si c'est en plein milieu d'un massacre, pour ensuite enchaîner sur le boss. Sans oublier le fait que vous ne pouvez pas jouer seul à Munchkin. Vous serez accompagné de trois robots ou d'un ami. Ou de deux amis. Ou de trois amis. Plus c'est possible mais tout le monde ne jouera pas en même temps. La technique de la seconde manette fantôme fonctionne, vous vous retrouverez alors tout seul pour abattre le boulot de deux personnes, bon courage.

Débarquer la première fois dans Munchkin, c'est très surprenant. Le jeu ne vous propose pas de menu, vous êtes directement placé dans un grand hall d'hôtel avec deux squelettes derrière un comptoir, trois mannequins, un levier et une trappe. Sans transition, à vous de jouer ! Une page d'options est disponible, mais seulement pour gérer les musiques et les sons, avoir la voix du Maître du donjon et changer la langue du jeu. C'est tout. Pour le reste, à vous de vous débrouiller avec ce que vous voyez à l'écran.


Je combats le monstre.

C'est déroutant la première fois, mais une fois qu'on a compris à quoi servait les différents éléments, c'est évidemment plus simple de gérer la navigation.
- Le comptoir correspond au Dongeonarium, c'est ici que vous pourrez consulter l'ensemble des cartes, celles déjà débloquées et celles qu'il vous reste à obtenir. Et pour en obtenir, rien de plus simple, vous devez jouer. C'est aussi à ce comptoir que vous découvrirez de quoi sera fait et peuplé le donjon que vous allez attaquer. Plus vous débloquerez de cartes "donjon", plus les combinaisons seront nombreuses, et mortelles. Car tout ce que vous allez pouvoir croiser, tuer, ramasser, arpenter, dépend entièrement des cartes que vous avez en votre possession.
- Les mannequins vous permettent de modifier votre race et votre couvre-chef, et d'activer les joueurs IA. Le couvre-chef est purement cosmétique, n'ajoutant qu'un détail de reconnaissance supplémentaire à votre personnage. Les races quand à elles sont au nombre de quatre : humain, elf, orc et nain. Le choix de la race influe sur votre santé et votre vitesse de déplacement. L'elf sera rapide mais fragile, alors que le nain au contraire, est lent mais capable d'encaisser les coups les plus durs. C'est là une différence notable avec le jeu de carte, qui ne vous proposait pas de choisir une race de départ. Vous êtes humain, vous commencez humain. Si la chance vous sourit, vous trouverez une carte de race que vous pourrez équiper. J'aurais aimé que ce principe de base soit conservé...
- Le levier vous permet d'ajuster la durée d'une partie, de cinq minutes à une heure donc.
- La trappe permet de lancer la partie. Préparez-vous à être balancé dans les oubliettes du donjon !


Je pille le trésor.

Les débuts de parties seront toujours les mêmes : après l'ouverture de la trappe, zoom sur le squelette qui tirera quatre cartes donjon, qui seront les caractéristiques de votre futur parcours:
- Modificateurs : un donjon basique, ou rempli d'or, ou bien encore où tous les loots seront légendaires...
- Styles de combat : des archers, des sacs à PV ou tellement de rats que vous ne pourrez pas faire un mètre sans vous faire bouffer les orteils...
- Plans de donjon : Des gouffres, des pièges ou des salles qui souffleront le chaud et le froid sur vos petites oreilles...
- Boss : que serait un donjon sans son boss final, au choix parmi quatre protagonistes, dont une plante verte. Vous avez bien lu, une plante verte. Chaque boss propose trois types de combats pour désigner le vainqueur de cette dernière phase : porter l'estocade finale, et tant pis pour les autres si c'est le seul coup que vous portez, faire le plus de dégâts, ou plus original, être le joueur avec le moins de points de vie lors de la mise à mort du gros méchant. Être mort à ce moment précis ne compte pas, dommage pour vous les petits filous.

Avant d'aller affronter un dragon radioactif ou un poulet névrosé, vous devrez explorer le donjon et ses nombreuses petites salles, avec chacune un objectif bien précis. Récolter le plus de canards, être le plus rapide à récupérer le seul canard de la salle (et maintenant, vous le comprenez le sous-titre du jeu ?), tuer plus de monstres que les autres, et pour les donjons avec des variantes abyssales par exemple, faire tomber dans un gouffre le plus de monde possible. Chaque réussite vous gratifiera d'un niveau. Niveaux que vous pouvez également gagner avec de l'or, que ce soit en le ramassant ou en vendant les pièces d'équipement que vous trouverez, ou de manière plus simple : en tuant des monstres. Tout est bon à prendre !
Les objectifs sont peu nombreux et reviennent donc très souvent, surtout les canards. Mais encore une fois, c'est aussi le sous-titre du jeu, donc ça peut se comprendre. Là où Munchkin perd beaucoup de points, c'est au niveau des salles. Vous retombez souvent, très souvent, trop souvent sur les mêmes salles. Les objectifs à réaliser à l'intérieur de ces dernières ne sera pas toujours le même d'une partie à l'autre : attraper le plus de canards lors d'un premier passage puis tuer le plus de monstres lors d'un second passage, par exemple. Mais de voir les mêmes éléments toujours aux mêmes endroits, pour un jeu d'exploration... En très peu de parties l'impression de tourner en rond vous attend au coin du mur, prête à vous sauter à la tronche...


Pour tout faire rentrer dans un coffre :
L'esprit du jeu de base est respecté, même si pouvoir choisir sa race avant le début de la partie est un petit sacrilège. Les cartes, que ce soit les noms, les descriptifs, les dessins, c'est exactement ce que vous aurez au niveau de l'humour et de la qualité dans le jeu de carte Munchkin. Malheureusement, le jeu vidéo ne propose qu'un seul mode de jeu qui repose entièrement sur des caractéristiques aléatoires. La seule chose sur laquelle vous pouvez influer, c'est la durée de la partie, de 5 à 59 minutes. C'est original mais les limites sont rapidement atteintes. Si le jeu proposait ce concept dans un mode "Munchkin" avec la possibilité de créer ses propres parties à côtés, avec les paramètres de son choix, cela aurait été un gros plus. Ou de proposer un mode de jeu encore plus proche du jeu de carte où c'est le premier joueur a franchir le palier du dixième niveau qui l'emporte. Quelque chose de plus que la proposition actuelle.
Note : 2/5

Aspect technique du jeu

Avec comme point de départ, les cartes et les illustration de John Kovalic, autant vous dire que la base de la direction artistique de Munchkin est plutôt solide. J'ai bien conscience que tout est affaire de goûts et que certains trouveront les illustrations (que je vous recommande chaudement de trouver sur internet pour faire plaisir à vos mirettes) moches ou trop simples, qu'elles manquent de détails. Personnellement j'adore et je trouve qu'elles collent parfaitement à l'univers dans lequel elles sont employées.

Et cet univers est retranscrit à merveille dans le jeu. On retrouve clairement la patte de l'illustrateur qui a participé à son élaboration. Les personnages des joueurs, les monstres, les équipements, ce que je pouvais m'imaginer du décors dans lequel se passe le jeu de carte, tout est là. C'est super de pouvoir se balader dans un endroit qu'on avait imaginé.

Et si la direction artistique est une réussite, la technique qui met en oeuvre tout cet univers n'est pas en reste. Je trouve qu'il est toujours compliqué d'émettre un jugement sur une base qui ne se veut pas photoréaliste, la comparaison avec le monde réel pour savoir si le rendu est de bonne facture est en somme, assez simple à faire : ouvrir les yeux. Ici nous sommes dans un univers qui se base sur des illustrations et sur l'imagination. Mais soyez rassurés, la technique s'est belle est bien mise au service de la direction artistique.

Je n'ai pas rencontré le moindre soucis d'affichage ou de latence lors de mes parties. Pas plus que des soucis de textures pour la partie graphique, de recherche de chemin pour les joueurs gérés par la console ou pour les ennemis. Les déplacements de tout le bestiaire sont cohérents et compréhensibles.

Le jeu se joue au minimum seul mais avec 3 IA pour vous accompagner, ou avec au moins une autre personne avec vous. Bien que vous ne puissiez pas taper directement sur vos camarades de jeu, rien de vous empêche... de les pousser. Contre un mur, dans le vide, à vous de voir. Vous avez certes un objectif commun : arpenter le donjon et aller fracasser le boss. Mais vous devez aussi penser à vous, et si foncer dans le tas en premier ne suffit pas, quelques coups bas bien placés seront parfaits pour agrémenter les parties de ce sel succulent qu'est la trahison.
Précision utile, vous devrez disposez de vos amis sous la main pour jouer à plusieurs, le multi n'étant que local. A moins que vous n'utilisiez les fonction de jeu à distance de la console, mais c'est quand même plus intéressant d'un point de vue vengeance que d'avoir le traître sous la main.


Pour tout faire rentrer dans un coffre :
La très bonne restitution de l'univers du jeu de carte, la jouabilité fluide et sans accrocs permet clairement de sauver la peau du jeu. C'est son plus grand atout, cette mise en forme et en trois dimensions d'un univers auparavant totalement plat. L'ambiance est là, l'esprit des illustrations est là, c'est un vrai plaisir que de voir les cartes de Munchkin prendre vie.
Note : 4/5

Plaisir à jouer et à rejouer

Munchkin, le jeu réel n'est pas un jeu de plateau ou un jeu de rôle, c'est un jeu de carte (au cas où vous n'auriez rien suivi). C'est un jeu rapide à comprendre et facile à mettre en place, parfait pour être sorti en soirée. La réciproque n'est pas aussi forte, une soirée ne sera pas organisée autour de parties de Munchkin. C'est pareil pour Munchkin, le jeu virtuel. C'est comme un party game qu'il faut l'envisager et le savourer, pas comme un jeu de rôle ou un dungeon crawler qui peut être prenant au point d'y passer des heures et des heures.

A partir du moment où vous avez pleinement conscience du contexte et de l'angle d'attaque qu'il convient d'utiliser, je doute que vous restiez bien longtemps sans sourire un minimum pendant vos parties. La prise en main est très rapide, avec seulement quatre boutons à connaître. Prise en main rapide ne rime pas avec poutrage instantané des ennemis. Vous allez vous en prendre plein la tronche, vous allez mourir beaucoup, surtout si vous aimez être au coeur de l'action. Mourir n'a aucune conséquence réelle, si ce n'est que vous perdez l'or que vous aviez accumulé jusqu'à maintenant, vous retardant dans la prise d'un niveau par ce biais. D'un autre côté, être un fantôme quelques instants peut vous permettre de passer à travers les murs et d'accéder plus rapidement que les autres à un endroit spécifique de la salle. Là où se trouve un canard, par exemple. Et en fin de partie, ce n'est pas rare que le joueur avec le plus de morts au compteur soit récompensé d'un niveau supplémentaire, comme ça, cadeau de la maison.


Pour tout faire rentrer dans un coffre :
Munchkin est fun à jouer, rapide à prendre en main avec une belle marge de progression pour maîtriser le feu ennemi sans trop souffrir. Pour peu que vous acceptiez le fait que ce soit un party-game et qu'il faille le considérer avant tout sous cet angle, vous vous amuserez, que ce soit en jouant ou en découvrant l'univers du jeu. Si vous optez pour une approche purement jeu de rôle, vous allez rapidement être déçus. Munchkin saura se faire savourer par ceux qui reconnaîtront sa vraie nature.
Note : 3/5

Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%

L'ensemble des trophées de Munckin peut se classer dans trois catégories bien distinctes les unes des autres, au grand malheur de tous les chasseurs que nous sommes, aussi bien occasionnels que perfectionnistes. Voyons sans plus tarder le résultat du classement, pour le meilleur, comme pour le pire...

Tout en haut du classement, nous avons les trophées sympa à faire, que ce soit parce qu'ils sont marrants et vous invitent à maltraiter vos compagnons d'infortune en les poussant à de multiples reprises dans le vide, ou vous proposent un peu de challenge pour vous sortir d'une salle dans prendre de dégâts, sans tomber dans les pièges, ou la partie tout entière que vous devrez remporter sans avoir équipé le moindre loot disponible. C'est plaisant d'avoir des challenges supplémentaires ou de vous passer les nerfs sur le mobilier. Le fait d'avoir une récompense pour vous être lancé dans le jeu, c'est toujours sympa et quoi de mieux qu'un petit apéritif en bronze pour vous lancer dans la quête du dessert en platine ?

Malheureusement, pour arriver jusqu'au platine, vous allez devoir prendre votre mal en patience. Et faire de preuve de vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup de patience. Ah et de chance aussi, vu que la composante toujours aussi sympathique soit-elle, la bien nommée Léa Toire. Quelle petite peste. Par exemple, un trophée vous demande de nourrir le Gouffre, qui est un endroit spécifique dans une salle spécifique, ce n'est pas juste n'importe quel précipice dans le jeu. Sachant que la génération des salles est à Léa Toire, je vous laisse comprendre qu'il faudra jouer un nombre indéterminé de fois pour tomber sur cet emplacement, et bien évidemment réussir à y projeter des ennemis. Idem pour le parcours d'un donjon constitué uniquement de cartes épiques. Déjà, ça la fout un peu mal, mais c'est théoriquement impossible puisqu'une des composantes du donjon ne dispose pas de carte épique. Ensuite, c'est encore cette satanée Léa qui s'occupe de tirer les cartes. Et bien évidemment, les cartes épiques sont moins nombreuses que les autres, donc avec mathématiquement une probabilité plus faible d'apparaître. Le tout sur une combinaisons de 4 cartes de tas distincts. Je ne vais pas vous faire l'affront de me calculer la probabilité finale d'avoir le donjon qu'il vous faut pour le trophée, le plus important c'est que vous compreniez le message que je veux vous faire passer : ces trophées qui vous demandent de répéter la même action sans cesse et à Léa Toire, et parfois les deux, c'est pas cool.

Mais vous n'avez encore rien vu...

Je vous ai parlé d'arriver au platine ? Je vous prie de bien vouloir accepter mes plus plates excuses, je me suis joué de vous. C'est impossible. Ou alors si c'est possible, je n'ai pas compris comment. Nous sommes maintenant bien après la sortie du jeu, votre rédacteur ayant malheureusement pris beaucoup de retard, et le platine est toujours à 0% d'obtention, sur le PSN. C'est la même choses pour 5 autres trophées de la liste. Ce qui est franchement inquiétant. Ce qui signifie... Que les trophées ne fonctionnent pas du tout comme ils le devraient, oui ! Que personne n'ait encore tué 1000 monstres je n'y crois pas, que personne n'ait encore déverrouillé la totalité des cartes, je n'y crois pas plus. Alors la moitié des cartes seulement... J'ai moi-même fait un savant calcul en comptant le nombre de cartes au total et le nombre de cartes que j'avais en ma possession. Je peux vous assurer, que j'ai bien plus de la moitié des cartes disponibles dans mon inventaire, et pour autant, le trophée n'est toujours pas dans mon escarcelle. Voir un platine à 0%, après autant de temps, sachant les fous furieux qui existent, c'est qu'il doit y avoir un loup. Un gros loup. MON DIEU IL VA ME BOUFFER LA JAAAAAAAMBE !


Pour tout faire rentrer dans un coffre :
Une partie des trophées sera très plaisante à débloquer, parce que les trophées marquent une progression ou parce qu'il offrent un challenge divertissant. C'est toutefois fort dommage que ce plaisir soit totalement annihilé par des trophées longs, aléatoires, et surtout qui ne fonctionnent pas... Les développeurs ne semblent pas avoir déjà oublié Munchkin, des mises à jour ont été proposées. J'espère qu'ils savent ce qu'ils doivent faire pour changer ce 1 en un magnifique 4...
Note : 1/5

Conclusion

La base de Munchkin est bonne, efficace, marrante, puisqu'il s'agit de Munchkin, le jeu de cartes. Le jeu est agréable à jouer, si vous acceptez de le prendre pour ce qu'il est : un jeu de société où les parties ne durent pas longtemps et peuvent se relancer rapidement.

Malheureusement pour les chasseurs de trophées les plus acharnés, les trophées cassés gâchent le plaisir. C'est dommage, le jeu peut prétendre à de meilleurs commentaires.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
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Je recommande ce jeu : À tous

Jo-La-Mouche (Jo-La-Mouche)

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