Farpoint

ps4

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Infos complémentaires

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Date de sortie : 17/05/2017
Genre(s) : FPS
Territoire(s) : FRANCE

1183 joueurs possèdent ce jeu
71 trophées au total
3 trophées online
24 trophées cachés
2 DLC's

Platiné par : 17 joueurs (1 %)

100% par : 12 joueurs (1 %)


Note des joueurs :
4.4/5 - 16 notes

Note des platineurs :
5/5 - 4 notes

Test rédigé par Bas ^ le 05-06-2017 - Modifié le 07-06-2017

Introduction

Depuis sa sortie en Octobre 2016, le casque de réalité virtuelle de Sony, le Playstation VR, a vu passer de nombreux genres dans ses écrans, du jeu de course (DriveClub VR, Dirt), au survival-horror (Resident Evil, Until Dawn...), en passant par des jeux plus légers, comme Job Simulator. Néanmoins, s'il est une catégorie qui n'a pas vraiment eu le droit à son portage, il s'agit bien des FPS, la plupart des jeux avec des flingues en VR se contentant d'être des railshooters ou - pire pour certains - des static shooters.

Développé par une équipe assez nouvelle dans le domaine, à savoir les américains d'Impulse Gear, mais soutenu et édité par Sony, Farpoint espère bien convaincre les réfractaires du bien-fondé de la VR, aidé en cela par son nouvel accessoire, le VR Aim Controller avec lequel il est vendu. Le jeu aura-t-il les reins assez solides pour combler les attentes des fans ou bien devra-t-on le classer au même rang que No Man's Sky, pour ne pas avoir tenu ses promesses ? Réponse dans ce test.


Note : Les visuels de ce test proviennent de la fonction Share de la Playstation, pour lesquels j'ai agrandi manuellement la largeur (ils sont normalement dans un format 960x720, transformé ici en 1280x720). La qualité un peu médiocre des screenshots ne rend donc pas honneur au rendu dans le casque, nettement meilleur.

Contenu du jeu

« Une installation propre, rapide[,] efficace »

Commencer une nouvelle licence, c’est toujours un pari risqué pour un éditeur. Heureusement, à travers une première cinématique interactive – vous pouvez regarder autour de vous – Farpoint s’en sort très bien avec une installation propre, rapide mais efficace : à bord de votre navette, vous vous apprêtez à vous poser à bord de la station de recherche Pilgrim, quand un gigantesque trou noir s’ouvre et absorbe votre piste d’atterrissage, vos camarades et votre propre vaisseau. Réalité virtuelle oblige, dès ces premiers instants, vous aurez tout loisir de contempler l’intérieur du cockpit qui regorge de détails, de boutons que vous mourrez d’envie d’actionner ou de leviers qui, avouons-le, s’ils sont là, doivent bien servir à quelque chose. Cette exploration ne sera toutefois que de courte durée puisqu’après votre extraction d’urgence et votre crash à la surface de la planète, vous n’aurez plus trop l’occasion de jouer avec les loupiotes.


« Huit niveaux plutôt variés, entrecoupés de cinématiques »

L’histoire principale de Farpoint ne commence véritablement qu’à ce moment-là, et s’étalera sur huit niveaux plutôt variés, entrecoupés de cinématiques. Sans être extraordinaire, celles-ci auront le mérite d’exister, en français s’il vous plaît, et d’habiller l’ensemble, même si le scénario est relativement attendu, sans être jamais complètement niais mais sans non plus vraiment réussir à surprendre. De manière générale, tout l’univers du jeu se rapproche de cette idée : rien de mauvais, mais rien de novateur, le risque n’a pas été pris à ce niveau-là. La meilleure preuve de ce phénomène étant la ressemblance – certainement voulue et assumée – des araignées avec les facehugger d’Alien ou les Crab d’Half-Life, tant par le comportement que par le design lui-même : malgré le manque d’originalité, on prendra un malin plaisir à les éclater à coup de fusil à pompe, mais j’en reparlerai.


« Mode coopératif (...) mode défi »

En parallèle de tout ça, Farpoint propose de poursuivre l’aventure avec un mode coopératif, à deux joueurs en ligne – non, il n’est pas possible de jouer dans la même pièce, l’un(e) avec le casque, l’autre sur la TV, malheureusement – assez classique, qui propose de survivre à des vagues d’ennemis pour atteindre une sortie, la difficulté étant personnalisable. Ce qui est dommage, c'est l'absence de matchmaking pour ce mode, vous ne pouvez donc pas lancer une partie au hasard et jouer en quelques minutes, vous devez au préalable trouver un camarade de survie.
Enfin, l’autre mode de jeu disponible, débloqué au fur et à mesure de votre progression dans l’aventure principale, consiste en un mode Time attack, appelé ici Défi où vous devez retraverser les niveaux de la campagne le plus rapidement possible en tuant tous les adversaires qui se présentent sans vous faire toucher, un système de multiplicateur permettant de décrocher un high-score à comparer à la fin avec vos amis ou le monde entier. Ce mode, très arcade vous l’aurez compris, vous permettra de revenir parcourir les environnements déjà arpentés auparavant, avec une difficulté rehaussée et surtout un côté hardcore : si vous mourez, vous devrez reprendre du début. Vous l’aurez compris, le mode Défi ne constituera pas une promenade de santé, loin s’en faut.


« Faible nombre d’ennemis proposés »

Si le tableau est pour l'instant assez flatteur au regard du contenu, malgré une absence d'originalité, la grosse critique que l’on peut émettre et qui fait pencher la balance repose sur le faible nombre d’ennemis proposés – 4 bestioles différentes et un boss, à peine plus côté aliens avec 5 différents – et le faible nombre d’armes : vous n’aurez à votre disposition qu’un fusil d’assaut et un shotgun pendant les 2/3 du jeu, et vous ne débloquerez que 3 nouvelles armes durant la fin : un sniper, plutôt amusant à manier, j’y reviendrai, un pistolet à plasma avec des balles qui rebondissent et un lance-pointes, qui crache des munitions que vous pouvez faire exploser vous-même ou avec un timer. Un peu léger et sans véritable élément de personnalisation, ce petit inventaire plombe un peu le jeu, même si vous pourrez quand même vous amuser avec.
Note : 4/5

Aspect technique du jeu

Note : Le jeu a été testé sur PS4 Pro. Tout ce qui est relatif à la partie graphique/fluidité peut donc être légèrement différent sur une PS4 ‘normale’. Néanmoins, l’ensemble devrait correspondre à votre expérience.


« Farpoint s’en tire très bien graphiquement »

Pour un jeu VR, Farpoint s’en tire très bien graphiquement, malgré les limitations imposées par le casque. Les niveaux sont agréables à l’œil et l’ensemble est fluide, sans ralentissement ni problème d’affichage. L’environnement, majoritairement fait de sable et de rochers n’est pas extraordinairement varié mais il réussit à se renouveler un peu, avec des décors réussis. Peut-être un petit bémol sur la fin, où l’on risque de vomir les différentes nuances de bleus offertes par la nuit extraterrestre. Les modèles des personnages et des ennemis sont corrects, sans plus, mais ceux des armes sont un vrai bijou : on se surprend à admirer son fusil sous tous les angles, sans avancer, juste pour voir la myriade de détails comme les traces d’usure, les vis ou la griffe de l’UEP, mais aussi et surtout les animations associées à son utilisation, comme la fenêtre d’éjection du fusil d’assaut, saisissantes de réalisme et de précision.

La partie audio n’a pas été oubliée, avec un doublage intégral et des musiques un peu épiques pour coller avec le rythme de l’action. De plus, chaque ennemi a son propre effet sonore et reconnaître la provenance des bruits vous permettra de mieux anticiper ce qui vous arrive dans la figure. À ce propos, il sera peut-être nécessaire d’investir dans un casque (audio) qui viendra compléter l’immersion déjà aiguë procurée par celui de la VR.


« L'IA des ennemis (...) est plutôt correcte »

À propos de l'IA des ennemis, elle est plutôt correcte, sans être extraordinaire. Les bestioles ont un pattern d'attaque très facile à identifier, ce qui vous facilitera la vie lors de la Campagne, et les humanoïdes sont assez facilement trompés lorsque vous vous cachez un peu dans le décor, ne sortant la tête que pour les dégommer. J'aurais tendance à être plus critique avec les lanceurs de boules d'acide, qui vous détectent à travers les murs et qui ont la capacité magique de vous pilonner sans savoir où vous êtes mais on va dire que c'est un sixième sens caché ou l'esprit de ruche, soyons gentil.


« Plutôt dépourvu de bugs»

Même si l’ensemble du jeu est plutôt dépourvu de bugs, j’ai eu de désagréables « écrans noirs », m’obligeant à arrêter l’application et à la relancer. Rien de bien grave, ce n’est pas aussi pénible qu’une corruption de sauvegarde par exemple, mais quand on sait que la progression dans les niveaux n’est pas enregistrée quand on quitte, c’est frustrant de devoir refaire le même parcours quand cela se produit vers la fin. Dans l’ordre des désagréments mineurs, on pourra aussi reprocher des temps de chargement un peu longuets, même si les développeurs ont eu la bonne idée de laisser le joueur interagir avec les différents objets du « menu spatial » : vous pouvez vous déplacer dans ce qui ressemble à un bureau/couchette, à l’intérieur du Pilgrim, et même golfer avec les bricoles qui encombrent votre espace de travail, vous marquerez des points si vous réussissez à les mettre dans le trou de l'échelle dans le coin de la pièce.
Note : 4/5

Plaisir à jouer et à rejouer

« Du VR Aim Controller »

J’ai hésité à parler du VR Aim Controller dans la partie technique, l’arme étant si bien pensée qu’on dirait qu’elle fait partie du jeu, mais je vais développer finalement ici, le plaisir qu’on a à se trimbaler ce fusil en plastique blanc pour canarder tout ce qui bouge. Au départ, on se dit qu’on aura sûrement l’air con (et a priori, de l’extérieur, ce n’est pas extraordinaire, la boule bleu/rouge n’aide pas), mais les sensations sont telles qu’on oublie ce détail assez vite et qu’on prend un pied monumental à jouer les soldats de l’espace. Avec sa gâchette de tir, ses boutons sur l’avant et ses deux joysticks, l'accessoire permet en effet de faire ce que peu de jeux en VR permettent, à savoir se déplacer. Oubliés les jeux de tir statiques comme London Heist (de PS VR Worlds), ou en mode rail-shooter comme Until Dawn : Rush of Blood, ici vous vous déplacez comme dans un Battlefield ou Call of Duty. Enfin presque : par défaut, le jeu ne propose pas de tourner, vous pouvez vous déplacer latéralement (strafer) et tourner la tête à droite et à gauche, mais il est impossible de faire pivoter le personnage. Loin d’être complètement nécessaire, les niveaux étant construits en couloir pour pallier ce problème et les ennemis apparaissant uniquement devant vous, l'absence de pivotement permet d’assurer un certain confort de jeu pour les joueurs les plus sensibles, la caméra n’opérant que peu de mouvements rapides et restant toujours plus ou moins dans la même direction. Activée, cette option permet de gagner en agilité puisque vous avez tout loisir de pourchasser certains ennemis récalcitrants, qui ont tendance à se cacher derrière des rochers. Elle sera plus ou moins nécessaire pour mener à bien rapidement les défis, si vous voulez obtenir de meilleurs scores.


« La prise en main est évidente »

À n’en pas douter, le VR Aim Controller devrait trouver sa place auprès des adeptes des FPS, même si pour l’instant, il ne sert que pour Farpoint. Néanmoins, comme je l’ai dit, il fait excessivement bien le travail, retranscrivant de manière très fluide et très rapide à l’écran les mouvements que vous faites en vrai. Vous aurez l’occasion de le constater assez rapidement et facilement, puisque le jeu n’offre qu’une petite configuration – vous devez indiquer votre taille et si vous êtes droitier ou gaucher – avant de vous plonger dans le bain. Petite parenthèse, la dernière mise à jour a permis d’intervertir l’utilisation des joysticks, pour permettre à ceux qui qui le souhaitent de se déplacer avec celui de derrière(droite), les gauchers a priori apprécieront. L’absence de tutoriel sera assez vite oubliée, tant la prise en main est évidente : prenez n’importe qui, mettez-lui le VR Aim Controller dans les mains, d’instinct il utilisera la gâchette pour tirer et un joystick pour se déplacer. Ne restera alors qu’à lui montrer comment changer d’arme (Avec la touche (triangle) ou, pour le style, en faisant le geste de mettre l’arme dans notre dos… Oui, oui) ou à recharger (Bon, là, OK, c’est juste (rond)…) et il sera fin prêt. C’est la vraie force de Farpoint, à savoir l’absence de difficulté de prise en main. Même s’il ne correspond pas trop aux jeux VR qu’on voudra faire tester à toute la famille, il n’en reste pas moins instantanément accessible à tous ceux qui accepteront de tenter l’expérience.


« Vous allez très rapidement vous prendre pour Rambo »

Enfin, avant de parler un peu des choses qui fâchent, je tiens à conclure ce tour d’horizon en parlant un peu des mécaniques du jeu, au regard des armes. Comme vous l’aurez compris, ce que vous faites en vrai est retranscrit dans Farpoint. Ce que je n’ai pas vraiment évoqué, c’est que par exemple, pour viser avec votre fusil d’assaut ou au sniper, vous n’appuyez pas sur une touche, mais vous rapprochez l’arme de vos yeux (enfin du casque VR), pour afficher la lunette, sur le dessus de celle-ci. À lire, je suppose que ça n’a l’air de rien, mais en vrai, laissez-moi vous dire que vous allez très rapidement vous prendre pour Rambo ou GI Joe, en avançant avec le fusil levé, un œil fermé pour mieux viser, aux aguets pour trucider tout ce qui bouge. Et quand vous aurez le bonheur de récupérer un fusil à pompe, les araignées ne seront plus jamais vraiment une menace, et vous apprécierez le fait que faire pivoter l’arme rend plutôt bien à l’écran.


« Relative répétitivité (...) [mais] ça vaudra sûrement le coup de le conserver»

Vous l’aurez compris, j’ai été plus qu’emballé en jouant à Farpoint, grâce aux mécaniques du jeu, un peu simple mais très bien rendu grâce à l’utilisation du VR Aim Controller. Malheureusement, et malgré la petitesse de la campagne (5-6h à tout casser), sa relative répétitivité m’a un peu laissé sur ma faim. Le manque cruel de renouvellement dans les ennemis, dans les décors pour certains passages, fait qu’on a un peu l’impression de faire et refaire les mêmes zones, avec une arme un peu différente, mais pour atteindre un but assez flou. Même si on apprécie le premier passage de l’histoire, on ne reviendra pas forcément s’y frotter, le background n’étant pas non plus très développé, le jeu ne proposant pas de détails cachés pour en découvrir plus sur l’univers. Qui plus est, ce n’est pas forcément le mode Défi, reprenant les mêmes cartes et bien sûr les mêmes ennemis, qui viendra apporter un vent frais et vous n’aurez donc pas forcément la motivation pour rejouer, si ce n’est pour impressionner vos amis de vos talents de soldat – mais rien que pour ça, ça vaudra sûrement le coup de le conserver.


Note : La note attribuée au plaisir de jeu correspond à l’utilisation du VR Aim Controller, l’utilisation d’un Dual Shock n’étant que peu recommandé. Vous pouvez diminuer de deux points (pour donc un score de 2/5) la note de cette partie et donc la note globale si vous n’avez qu’une manette à votre disposition.
Note : 4/5

Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%

« Ce n'est pas original mais c'est bien ficelé »

Globalement, la liste de Farpoint est très classique, sans véritable surprise apparente. Vous retrouverez des trophées pour l'histoire principale, un trophée pour l'achèvement de cette même campagne et deux pour la récupération d'hologrammes, plus ou moins sur votre route - plutôt moins que plus d'ailleurs, puisqu'il est possible d'en manquer. D'autres sont liés à l'utilisation de chaque arme, avec des kills à faire, ou des actions plus contextuelles, comme tuer 3 cibles d'un coup avec une seule balle de sniper. Certains ennemis ont même le droit à leur façon de mourir, comme ce pauvre drone que vous devez abattre en détruisant sa roquette à l'envoi pour le faire exploser, ou ces araignées, à tuer lorsqu'elles vous sautent dessus. La suite est tout autant attendue, avec trois récompenses pour le mode Coop, l'une d'elle consistant bien entendu à réanimer votre collègue abattu, une autre, un poil plus originale, nécessitant d'obtenir une précision d'au moins 70% avec une centaine d'ennemis éliminés. Enfin, les trophées restant viennent récompenser votre progression en mode défi, un (Bronze) pour une étoile, un (Argent) si vous obtenez les 3 étoiles d'une carte. Pour synthétiser, jusque là, la liste ne m'a pas emballé mais elle ne m'a pas paru complétement déconnante. On est un peu sur le même créneau que l'ensemble du jeu : ce n'est pas original mais c'est bien ficelé.


« Le public visé n'est pas le bon »

À mon sens, et j'en fais un paragraphe à part, là où la liste commence à dévisser sévère, c'est au regard du mode Défi. En dehors de quelques élus, la grosse majorité des gens ne sera pas emballé par ce segment du titre, parce qu'il n'offre aucune histoire tout d'abord, et parce qu'il est plutôt difficile d'autre part, sans même parler du score : si obtenir une étoile s'avère assez praticable sur la majorité des cartes, les pré-requis pour obtenir les 3 étoiles nécessitent de foncer d'un bout à l'autre du niveau, sans (trop) se faire toucher et en expédiant les frags le plus vite possible. A priori, c'est possible, certains ont déjà réussi cet exploit (Bravo à eux !), mais pour l'instant, à mon avis, le public visé n'est pas le bon : alors qu'il représente pratiquement la moitié de la durée de vie, le mode Défi s'adresse à une cible experte des FPS, loin du côté casual qui se dégage du casque VR, que vous avez envie de faire essayer à vos amis, même s'ils ne touchent jamais à une manette. Dans l'idée, cette politique me rappelle Eagle Flight (Le jeu de l'aigle d'Ubisoft), qui proposait une exploration de Paris colorée et très agréable, mais dans lequel, très rapidement, les missions principales devenaient trop difficiles si vous n'aviez pas l'habitude. C'est dommage, même si certains apprécieront certainement le challenge.
Note : 3/5

Conclusion

Ayant joué avec le VR Aim Controller, j'ai adoré Farpoint. Je pense que vous l'aurez compris, le plaisir que l'on prend à jouer au jeu est intiment lié à la maniabilité qui est associé à cet accessoire. Sans ça, il s'agit d'un jeu assez moyen, agréable à la rétine mais peu original, que ce soit dans son scénario très convenu ou dans l'absence de variété quant aux ennemis ou aux armes. Et ce n'est pas le (Platine), pas forcément long mais très exigent, qui saura vous convaincre si vous n'avez qu'un Dual Shock à disposition.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
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Je recommande ce jeu : Aux acharnés, Aux curieux, Aux chasseurs de trophées/platine difficile

Bas ^ (Basseuh)

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