Them's Fightin' Herds

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Infos complémentaires

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Date de sortie : 18/10/2022
Genre(s) : Combat, Indépendant
Territoire(s) : FRANCE

11 joueurs possèdent ce jeu
28 trophées au total
0 trophée online
2 trophées cachés

Platiné par : 1 joueur (9 %)

100% par : 1 joueur (9 %)


Pas de note
des joueurs

Pas de note
des platineurs

Test rédigé par Flitterbloom le 21-11-2022 - Modifié le 21-11-2022

Introduction

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Them's Fightin' Herds, développé par Mane6 et publié par Maximum Games, est un jeu de combat à 4 boutons qui vous propose d'incarner, en guise de combattants, différents ongulés.

Sorti le 18 octobre 2022 sur nos consoles de salon, soit un peu plus de deux ans et demi après sa sortie PC fin avril 2020 (sans parler de l'early-access qui remonte à février 2018), c'est avec une version déjà quelque peu enrichie que nous pouvons découvrir le jeu et son roster sur PS4 et PS5.

Suite spirituelle de Fighting is Magic, tué dans l’œuf il y a une dizaine d'années, les quadrupèdes de Them's Fightin' Herds ont finalement pu se taper dessus grâce à une campagne de financement participatif sur Indiegogo, levant une cagnotte de presque 600 000€ ; de quoi permettre aux développeurs d'octroyer au jeu un personnage supplémentaire : Shanty.

C'est donc avec 7 personnages (et la promesse d'un roster grandissant) que Them's Fightin' Herds débarque sur consoles. Attention aux coups de sabots !
Contenu du jeu

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Rassurons les plus débutants d'entre nous pour commencer : vous aurez la possibilité de choisir parmi 5 difficultés. Nommées, dans l'ordre, Enfantin, Blanc-bec, Concurrent, Champion et ¿NSP§KBL? (qui semble équivaloir à "unspeakable", indicible en français ; pour information cette dernière est définie comme "Dément. Pour les joueurs qui cherchent à se mettre au défi"), elles permettront à tout un chacun de profiter du jeu selon son niveau et de progresser graduellement. Notez que le passage d'une difficulté à une autre peut s'avérer un changement drastique, l'IA en difficulté Enfantin (alias "Facile") ne prend par exemple pas même la peine de se protéger quand celle en Blanc-bec ("Moyen") n'hésitera pas à vous punir d'un combo de 10 coups et s'avérera très réactive sur la garde.

Them's Fightin' Herds, malgré un écran d'accueil qui peut sembler sommaire, regorge d'activités diverses, de quoi attirer même les joueurs peu enclins, comme moi, au compétitif. Prenons-les simplement dans l'ordre, de gauche à droite, pour détailler l'étendue de ce qui vous est proposé.

Si vous choisissez de jouer en Local, vous aurez accès à trois types de contenu. Deux possibilités de versus : contre un ami en local ou contre une IA ; et l'arcade : enchaînez les combats, 8 en l'occurrence, à savoir les 7 personnages puis un "boss", avec l'ongulé de votre choix.

Le mode En Ligne ravira les adeptes des jeux de combat que ne vivent que de compétition et d'eau fraîche. C'est ici qu'il faudra vous rendre si vous souhaitez vous mesurer à des adversaires en match casual ; et si l'attente est trop longue (et, d'expérience, elle l'est...) vous pouvez accéder aux lobbies, des salons regroupant jusqu'à 26 joueurs et qui vous proposent diverses occupations, le temps que le matchmaking fasse son office. Ainsi vous pourrez regarder d'autres joueurs se taper dessus, voir le temps de jeu de vos potentiels adversaires, provoquer en duel l'un des joueurs se trouvant dans le lobby, vous entraîner ou... collecter du sel dans des coffres, ou dans les mines. Les Mines de Sel correspondent à un mode PvE, dungeon-crawler, où vous devrez combattre des prédateurs pour obtenir le fameux sel. Ce dernier sert de monnaie en jeu et il vous permet d'acheter des objets de personnalisation dans la boutique du lobby, à arborer dans ce dernier. Après tout, qui n'aime pas s'individualiser ? Enfin, il est également possible de discuter via un chat dans les lobbies.

Nous en venons donc au mode Histoire. Surprenant peut-être pour un jeu de versus, il est à noter qu'il ne possède pour le moment que le prologue et un premier chapitre. Sans surprise, le prologue vous met au parfum des événements qui causent le trouble à Fœnum : le retour des prédateurs. S'il convient de noter que le sujet ne prête probablement pas à sourire du point de vue de nos protagonistes, qui (re)deviennent ainsi des proies, le texte (traduit en français !) est bourré d'humour et de jeux de mots basés sur les différentes espèces qui peuplent ce monde d'ongulés. Bien évidemment, l'information d'une telle menace se répand et arrive aux oreilles du protagoniste du Chapitre 1 : Arizona. Membre de la race bovine, elle sera la Championne représentant la Prairie. Et là, c'est la surprise. On se retrouve aux commandes d'un petit avatar en 2D d'Arizona qui progresse dans un environnement en 3D, avec une vue isométrique (dans le genre des Don't Starve, en version pixelisée, si cela peut vous aider à vous faire une idée). Au menu : exploration, collectibles, ennemis (avec des combats comme en mode versus) et phases de plateformes. Quand je vous disais qu'il y en a pour tous les goûts.

Enfin, et c'est probablement ici qu'il faudra passer le plus de temps si vous souhaitez progresser, reste le mode Entraînement. Vous y trouverez l'endroit pour tabasser une IA passive et faire les essais de combos (sortes de défis de combos à réaliser) ainsi que les didacticielsOllie, ahem, je veux dire Oleander, sera ravie de vous en apprendre plus sur les spécificités de chacun des combattants disponibles. Vous aurez également accès aux replays, si vous en enregistrez un, afin de pouvoir étudier plus posément qu'en temps réel votre propre gameplay. Nul doute que cette possibilité sera appréciée des afficionados du genre.

Laissons tout de même un petit mot sur les menus Extra et Options. Le premier est, pour le moment, un peu vide : en l'attente d'une galerie qui devrait arriver tôt ou tard, vous pouvez y regarder le générique et apercevoir les joueurs récents. Côté options, on est heureux de trouver un remapping des touches, la possibilité d'ajouter deux macros, de gérer la latence, la tolérance de ping et de pouvoir activer ou non le multiplateforme pour le matchmaking.


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À défaut de vous lister toutes les possibilités et différences de chaque personnage (ce serait bien inopportun), faisons tout de même un petit tour d'horizon du roster. Le jeu de base comporte 7 ongulés.

Arizona, la Championne de la Prairie et le personnage que vous incarnez dans le premier chapitre, est un veau. En plus de pouvoir, de fait, encorner ses adversaires, elle a la possibilité de jouer du lasso pour attraper un combattant un peu trop fuyant.

Tout juste citée un peu plus haut dans ce test, Oleander est une licorne. Comme toutes les licornes (évidemment !), elle utilise la magie via un grimoire qui recèle FGHTN, un démon, aussi appelé Fred, c'est tout de même plus simple.

Nous avons ensuite Paprika, un alpaga peut-être un peu trop affectueux comme le montrent ses animations de câlins, bisous et de jets de "cadeaux" en pleine face. Elle ne parle pas, ou en tout cas, pas la même langue que les autres personnages.

Pom est le cliché de son espèce : douce comme un agneau. Elle ne semble pas vouloir se battre mais n'hésitera pas à faire appel à une famille de chiens de berger s'il fallait tout de même en découdre.

Shanty, seule combattante n'appartenant pas au "club des 6", est une chèvre pirate. L'expression "sauter comme un cabri" n'aura jamais tant été un euphémisme puisqu'elle peut littéralement se tenir sur les bords gauche et droit de l'écran.

Tianhuo est un longma, une espèce hybride mi-cheval mi-dragon, et comme tout bon membre de son espèce elle peut voler et cracher des flammes, de quoi bien occuper l'espace aérien en combat.

Enfin, Velvet est un renne un peu (beaucoup) narcissique. Elle utilise la glace, l'élément idéal pour coller à la fois à son espèce et son tempérament.

Vous l'aurez probablement remarqué, tous les combattants sont des personnages féminins... mais cela va bientôt changer. En effet, d'autres animaux rejoindront, au fil du temps, le roster, et le prochain (déjà officiellement) annoncé n'est autre que Texas, que l'on peut déjà rencontrer dans l'histoire puisqu'il est le Pa d'Arizona. Vous ne serez donc pas surpris si je vous dis que c'est un taureau. Il sera le premier des 4 prochains personnages jouables disponibles dans le premier season-pass ; eh oui, il faudra repasser à la caisse.


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Abordons un peu plus amplement le gameplay des combats. Them's Fightin' Herds est donc un jeu de combat à 4 boutons, (carre) pour un coup faible, (triangle) donne un coup moyen, (rond) si vous souhaitez une frappe lourde et enfin (croix) pour la magie (au sens large du terme, puisque c'est par exemple la touche qui permet à Arizona d'utiliser son lasso). Cette dernière est très dépendante du personnage avec lequel vous jouez, le nombre de charges cumulables varie et certains ongulés, comme Shanty ou Oleander peuvent recharger leur barre de magie sans avoir à frapper l'adversaire, par exemple. À cela s'ajoutent les combinaisons à l'aide des mouvements, au stick ou à la croix, et autres Z et quarts de cercle, ainsi qu'une barre de super qui permet de lancer, par définition, une super attaque.

Chaque affrontement se déroule dans un environnement en 2D, ici impossible de sidestep, vous ne pouvez vous déplacer que vers la gauche ou la droite, par conséquent (haut) permet de sauter, et (bas) de vous abaisser. Vous pourrez évidemment tout de même esquiver et vous protéger en reculant ou à l'aide de combinaisons de touches selon la situation.
Aspect technique du jeu

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Que ce soit d'un point de vue graphique ou sonore, il y a de quoi plaire tout le monde. Le monde pixélisé du mode Histoire est travaillé et reste agréable à l’œil, particulièrement les décors, mais là où les graphismes raviront particulièrement c'est en 2D. Les décors, les personnages, les animations en combat, et même les arts au début des chapitres (ou quand vous finissez une partie en arcade) sont simplement sublimes. Les personnages de Them's Fightin' Herds ont eu droit à un traitement de choix : parmi les noms de l'équipe on retrouve Lauren Faust, connue notamment pour son travail sur My Little Pony : Les amies, c'est magique.

Côté musique, aucune fausse note non plus. Les différents thèmes représentent bien les caractères des personnages, la bande son du mode Histoire est toujours en phase avec l'ambiance et la situation, tantôt entraînante, tantôt inquiétante. Mention spéciale pour le doublage (en anglais) qui est d'excellente facture, notamment l'accent de Pom ou les bruits de Paprika (qui ne parle pas) sans parler de l’intonation, toujours juste, qui rend chaque personnage très reconnaissable.


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Parlons peu, parlons bien, parlons IA. Si vous jouez dans différentes difficultés vous n'aurez aucun mal à repérer les différences de calibrage de cette dernière, et si elle peut sembler retorse pour les plus débutants même en Blanc-bec, elle est finalement surtout punitive si vous vous montrez trop agressif, ou trop orgueilleux. Dans les didacticiels Oleander vous annonce clairement la couleur : appuyer frénétiquement sur des boutons au hasard ne suffira pas (en tout cas, plus au-delà de la difficulté Enfantin). Il vous faudra apprendre, et c'est là que les niveaux de difficulté montrent tout leur intérêt, parce que quand on débute on n'a pas envie de se faire one-combo à la moindre erreur. Être puni sans se retrouver purement et simplement K.O. à chaque faux pas vous pousse à faire plus attention sans vous dépiter. De la même manière, dès la difficulté Blanc-Bec vous devrez enchaîner correctement les combos puisque l'IA n'ira pas mollo sur la défense, un encouragement supplémentaire vers la progression.

Du côté du mode En Ligne on apprécie le rollback netcode (qui permet des affrontements plus fluides) mais on blâmera tout de même le délai entre la sortie PC et consoles qui nous confronte day-one à des joueurs ayant déjà parfois plus de 600 heures de jeu. Forcément, l'écart de niveau se sent rapidement si vous laissez le crossplay activé en matchmaking ; et si vous prenez la peine de le désactiver c'est au prix d'une attente (déjà longue autrement) prolongée lors de la recherche d'adversaires.
Plaisir à jouer et à rejouer

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Entendons-nous, ma dernière expérience d'un jeu de combat remonte à Tekken 3 sur la première PlayStation. Autant dire que j'ai pris de sacrées roustes lors de mes premières heures de jeu. Même en passant par les didacticiels, même en jouant en difficulté Blanc-bec, certaines IA me paraissaient insurmontables, et particulièrement Velvet qui semblait arborer un bouclier infranchissable en permanence (prétentieuse mais pas du genre à se mettre inutilement en difficulté notre petite cervidé...). Le jeu est exigeant et l'IA punitive mais pas injuste ; malgré ça, tout semblait difficile.

C'est à ce moment-là que j'ai décrété que, quitte à souffrir, j'avais besoin de ressentir que je progressais, même un tout petit peu. Il était évident qu'affronter des joueurs en ligne n'était pas une option (certains joueurs PC ayant plus de 600 heures de jeu à leur actif, c'était clairement la pire option) ; l'IA la plus basse manquait d'intérêt, et celle du cran supérieur devenait frustrante. Pour autant s'entraîner sur un pantin inactif en entraînement ne m'a jamais motivé non plus : savoir enchaîner l'adversaire c'est bien, encore faut-il réussir à lui asséner le moindre coup. J'ai donc opté pour le mode Histoire, espérant que les adversaires seraient un peu plus dans mes cordes.

Rien n'est plus motivant pour moi qu'une bonne histoire, et ça a été un moteur face à la difficulté. Ne vous y trompez pas, les phases de plateformes n'ont pas été de tout repos et m'ont même aidé à maîtriser mes déplacements. Après tout, je n'avais pas le choix si je voulais progresser. Les combats, d'un autre côté, m'ont semblé un peu trop simples dans un premier temps. Les premiers ennemis ont peu de vie, sont peu réactifs, mais à mesure que vous progressez la difficulté va crescendo, et j'ai rapidement dû faire face à ma première défaite. Dans ce mode, le niveau de difficulté semble principalement impacter votre capacité de soin et de recharge du super entre les combats, et je me heurtais ici non pas à un combat difficile, mais long, et en plusieurs phases. On pouvait oublier la possibilité de faire le plein pour compenser. Et c'est là que le jeu a commencé à m'amuser. La difficulté du mode Histoire étant bien plus graduelle que celle, abrupte, du changement de difficulté de l'IA en mode Local la victoire ne semble plus si inatteignable, et finalement on insiste, on progresse et enfin on l'emporte ; on profite de l'humour des dialogues et de la qualité d'écriture du mode entre deux passages à tabac de carnivores, puis on se retrouve de nouveau face à un ennemi plus coriace et le cycle recommence : on observe, on essaye, on apprend, puis on triomphe.

Évidemment, découvrir l'histoire et le lore de Fœnum ne sera pas une carotte suffisante pour tout le monde, mais force est de constater que ce mode s'avère un bon compromis pour le joueur qui risquerait d'être découragé face à un mur qui semble infranchissable. Finalement la frustration prend un tout autre visage quand on atteint la fin du Chapitre 1 et qu'on se rend compte que le suivant n'est pas encore disponible.

Après avoir fait mes armes avec Arizona, j'ai pris beaucoup de plaisir à me frotter à l'arcade avec différents personnages. Commençant au bas de l'échelle de difficulté la marge de progression me permet de jouer et rejouer en changeant de palier et donc sans impression de répétitivité. L'ajout futur de contenu et de personnages (si vous vous procurez le season-pass) promet également de nombreuses possibilités en terme de rejouabilité, et pour les spécialistes de jeux de combat, nul doute qu'ils trouveront plus facilement leur plaisir en affrontant des joueurs dans les lobbies ou via le matchmaking si les serveurs sont suffisamment peuplés ; au moment de la rédaction du test, l'attente en matchmaking est plutôt longue, avoisinant les 5 minutes en moyenne, mais il est possible que ce soit lié au fait que mon niveau est bien inférieur à celui de mes potentiels adversaires, si ce paramètre est pris en compte dans la recherche.
Chasse aux trophées

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Si vous souhaitez décrocher le titre de (Platine) Grande Prêtresse de Them's Fightin' Herds, il vous faudra collecter ses 27 autres trophées, et pour cela vous serez bien content de ne pas être doté de gros sabots. Ces derniers peuvent être répartis dans 4 catégories bien définies :

  • Compléter le prologue et le chapitre 1 du mode Histoire tout en récoltant chaque collectible et en réalisant une action spécifique pour (Argent) Programme spatial de l’alpaga.
  • Compléter le mode Arcade avec chacun des 7 personnages en difficulté Blanc-bec (ou supérieure).
  • Réaliser chaque essai de combo pour tous les personnages du jeu de base.
  • Sortir vainqueur de 25 matchs en ligne.
Si les deux premiers points seront probablement accessibles au plus grand nombre, les défis de combo demanderont persévérance et dextérité aux joueurs les moins expérimentés. Le jeu est exigeant et les questions de la difficulté et du temps nécessaire à la complétion du platine sont trop dépendantes de l'expérience et des capacités de chacun pour pouvoir donner quelconque estimation : les spécialistes auront tôt fait de valider toute la liste quand tout autre joueur devra probablement faire preuve de patience pour apprendre à réaliser les combos (quitte à ce que soit par cœur et/ou par réflexe). Enfin si vous faire rouler dessus par des adversaires possédant plus de 600 heures de jeu ne vous ravit pas, désactivez le crossplay pour jouer En Ligne et combattez jusqu'à l'obtention des 25 victoires requises. Vous avez aussi la possibilité de vous arranger avec un autre joueur et de booster une série de combats arrangés.

Côté collectibles, vous aurez 26 objets à trouver ; vous dénicherez la plupart d'entre eux en ouvrant un coffre, mais certains autres sont un peu moins évidents : il vous faudra tantôt parler à un PNJ, compléter un pré-requis (tuez simplement autant de loups que possible dans le premier chapitre, et tout ira bien !) ou interagir avec le décor. Seul le dernier est "un peu trop bien caché" puisqu'il n'y a aucun signe visible de sa présence, à tel point qu'il m'a fallu longer les murs pendant de longues minutes avant de le trouver par hasard. Heureusement il existe une sélection de chapitre et vous n'aurez pas à refaire toute l'histoire pour dénicher un collectible qui vous serait passé sous le nez. Autre point positif, les objets en question sont représentés par un petit coffre dans le menu pause et si l'un d'entre eux est resté fermé alors que vous avez eu le suivant, vous pouvez rebrousser chemin : ces icones sont un indicateur de l'ordre dans lequel vous pouvez les trouver.
Conclusion
Accessible mais exigeant et paré de sa superbe direction artistique, Them's Fightin' Herds s'avance sur tous les fronts. Avec son univers et ses promesses de contenu à venir, on en redemande. Que vous préfériez le mode histoire et son humour, en découdre en ligne ou simplement passer des heures à asséner des combos sur une IA, qu'elle soit un simple pantin d'entraînement ou qu'elle réplique, il y en a pour tous les goûts. Reste à blâmer, de fait, l'absence d'un contenu plus conséquent, surtout si un seul mode de jeu vous intéresse.
J'ai aimé
  • Un roster varié...
  • Le mode histoire...
  • Une direction artistique à tomber
  • Un doublage de qualité
  • Un gameplay simple mais exigeant
  • Le mode en ligne en crossplay et rollback netcode
Je n'ai pas aimé
  • ... mais un peu trop réduit
  • ... dont on attend impatiemment la suite
  • Une sortie tardive sur console
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Je recommande ce jeu : Aux acharnés, Aux spécialistes du genre

Flitterbloom (Flitterbloom)

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