Lara Croft GO

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Infos complémentaires

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Date de sortie : 03/12/2016
Genre(s) : Réflexion
Territoire(s) : FRANCE

1778 joueurs possèdent ce jeu
18 trophées au total
0 trophée online
1 trophée caché

Platiné par : 1592 joueurs (90 %)

100% par : 1592 joueurs (90 %)


Note des joueurs :
4.2/5 - 63 notes

Note des platineurs :
4/5 - 56 notes

Test rédigé par Pelotedeneige le 21-12-2016 - Modifié le 21-12-2016

Introduction

"Si la tête est à la mémoire ce que le passé, peut-on y accéder à six ?" - Perceval de Galles

L’essor du marché du jeu vidéo sur mobiles a amené bon nombre d’éditeurs à déployer des moutures adaptées auxdites plateformes afin de toucher un autre public, florissant, notamment au Japon. Malheureusement pour les joueurs/consommateurs, certaines adaptations paresseuses, aux objectifs de rentabilité presque inscrits au néon sur l’écran d’accueil, n’ont pas manqué d’écorner l’image d’une licence qu’ils chérissaient depuis des lustres. Entreprise nippone s’il en est, Square Enix s’est engouffrée dans la brèche, parfois maladroitement avec le honteux Final Fantasy: All the Bravest. Aussi, en apprenant que des déclinaisons de franchises occidentales s’apprêtaient à émerger, quelques gouttes de sueurs n’ont pas manqué de perler sur les ossatures crâniennes de certains.

Pourtant, Io Interactive prend tout le monde à contre-pied avec un Hitman GO de fort belle facture, associant réflexion et infiltration dans un simili jeu de société parfaitement convaincant, fidèle à la série. Dès lors, l’annonce d’une réinterprétation reposant sur le même principe mais appliquée à la saga Tomb Raider augure des meilleurs auspices pour peu que Crystal Dynamics se montre à la hauteur de la tâche. Fort de sa réception par les critiques qui lui ont décerné bien des prix, Lara Croft GO, initialement sorti sur plateformes nomades (IOS - Android) en août 2015, vient lorgner du côté des consoles de Sony au sortir de la PlayStation Experience 2016. Ne reste plus qu’à juger et confirmer l’accueil positif et l’enthousiasme attribués.

Contenu du jeu

Jeu de gow

Le socle principal de Lara Croft GO s’articule autour d’une campagne composée d’une introduction, d’une conclusion et de trois lieux majeurs (Labyrinthe des Serpents, Labyrinthe des Pierres et Labyrinthe des Ames), chacun découpé en plusieurs chapitres. Au nombre de quarante-et-un en tout et pour tout, ils deviennent disponibles au sein de petits calepins qui s’ouvrent au fur et à mesure de votre progression. Certains d’entre eux se voient plus finement découpés, en plusieurs énigmes, ce qui porte le nombre de résolutions à soixante-quinze. Jungle, grotte et montagne s’inscrivent au programme. Classique mais efficace. A ce contenu honorable, viennent s’ajouter deux carnets supplémentaires, extensions commercialisées plus tard sur réceptacles portatifs, venant donner un peu de corps et de consistance à un ensemble que l'on survole très rapidement. Malgré ces ajouts, aussi bien travaillés que le plat de résistance, on finit par très vite faire le tour de la production qui peine à nous retenir. Il faudra en effet entre cinq et dix heures de jeu, selon votre affinité avec le genre, pour venir à bout, sans aide, des tous les pièges disséminés sur le plateau de jeu.

Contrairement à l’agent 47, la jeune femme ne prend pas l’apparence d’un pion mais plutôt d’une figurine articulée. Elle se déplace certes de case en case au sein d’un damier affichant point de départ et d’arrivée, mais de manière beaucoup plus fluide et moins hachurée qui sied davantage au propos. Si l’approche découpée façon jeu de société convient parfaitement à un style axé sur l’infiltration, la dimension action/aventure de la série nécessite un avatar plus souple et dynamique. Le but reste néanmoins le même, à savoir tenter de se faufiler jusqu’à la sortie en déjouant les embûches disséminées çà et là, qu’elles prennent la forme de pièges naturels ou de créatures animales. A disposition de la belle, les fameux et iconiques doubles pistolets à la précision redoutable, un feu salvateur et des javelots éparpillés à des endroits stratégiques.

Lara mène pas

Quelques collectibles prolongent l’expérience de jeu. Qu’elles prennent la forme de pierres précieuses ou d’anciens artefacts dorés, les reliques se trouvent pour la plupart sans trop de peine. N’allez pas croire pour autant qu’elles vous apparaissent sans impulser le moindre effort ou plissage d’œil (à l’exception des premières, pour vous expliquer le principe de fonctionnement). La plupart se terre derrière des parois rocailleuses ou dans des arrière-plans bien lointains. Toutefois, un minimum d’observation permet d’en déceler une grande majorité qui ne nécessitera plus qu’un rapide passage sur un guide des trophées pour les plus retors. La complétion d’une collection donne ensuite accès à des tenues pour Lara. Leur utilisation ne dépasse pas le cadre purement cosmétique mais les arborer apporte son petit lot de frisson, sourire, souvenir puisqu’il s’agit de tenues que la belle a déjà eu l’occasion de revêtir par le passé (zone 51, combinaison de plongée, doudoune …). Si cela tiendra d’artifice pour quelques-uns, la recherche de ces objets cadre parfaitement avec la thématique de la saga. On ne saurait donc en tenir trop rigueur aux développeurs.

Malheureusement, on se montrera un peu plus sévère lorsque l’on constate que l’aventure se limite à la seule complétion des niveaux. Là où Hitman GO étoffe sa proposition avec des défis additionnels, Lara Croft GO n’en fait rien. Pourtant, le jeu se prête parfaitement à ce genre d’exercice. Atteindre le losange lumineux final en un nombre de déplacement maximal défini, en ne tuant aucun ennemi ou, au contraire, en débarrassant chaque carré du plateau de tout être vivant pouvait constituer un sympathique moyen de prolonger notre présence et d’offrir une rejouabilité à un titre qui en manque cruellement. Dommage que la démarche n’ait pas été poussée davantage.
Note : 3/5

Aspect technique du jeu

A tomber raide

Si le titre affiche des graphismes honorables, il n’en demeure pas moins en retrait techniquement parlant, un léger cran en dessous de ce que peut arborer son pendant tueur à gages. La modélisation anguleuse des environnements et du personnage nous rappellent la provenance mobile de la production. Cependant, le jeu dispose d’un atout dans sa manche : une direction artistique dont l’esthétisme nous fait oublier de petites lacunes qui passent bien vite aux oubliettes. Cela s’exprime d’abord par une palette de couleurs mélangeant tonalités pastelles et chatoyantes, véritable régal pour les mirettes. Les artisans apportent également un soin tout particulier aux environnements. Végétation qui se meut sous un vent léger, champignons qui expulsent des spores, subtil roulis de l’eau constituent autant de petits détails qui attirent l’œil et soulignent la présence d’un réel travail. Si les arrière-plans bénéficient d’un soin particulier, l’avant-scène n’en est pas délaissée pour autant avec, par exemple, un petit scarabée rhinocéros crapahutant sur une surface rocheuse. Les décors, vivants, n’en deviennent que plus immersifs.

La bande-son joue un rôle assez majeur d’autant plus surprenant qu’elle reste subtile. En effet, les pistes musicales demeurent atmosphériques, aériennes, presque éthérées. A peine audibles et pourtant si agréables à l’écoute, elles accentuent la plongée dans le monde de Lara et ne perturbent à aucun moment la réflexion. Au contraire, elle la favorise puisque ces notes d’une grande douceur temporisent l’éventuel énervement à buter sur un problème. Mais l’OST ne se contente pas de vous bercer car elle sait se montrer dynamique lors d'un passage pressant et périlleux. Parfois, le silence absolu s’impose pour mieux accentuer notre solitude et faire ressortir un éboulis comme d’autant plus dangereux ou nous laisser apprécier la chute d'une cascade. Les bruitages n’ont pas été négligés, par ailleurs. Entre le gazouillis des oiseaux ou la résonance des cavernes, tout contribue à créer une ambiance incroyablement prenante. A l’exception d’un seul thème à l’air répétitif, et de compositions parfois insuffisamment variées (aucune déclinaison pour la jungle), on approche le sans faute.

Game plaît

Le gameplay se veut quant à lui des plus sommaires. Le stick gauche autorise les va-et-vient de l’aventurière, son voisin de droite, sur PS4, contrôle un réticule utile à la découverte des vases renfermant des parcelles de trésors (collectibles) en lieu et place d’un maniement de la caméra, le maintien de Carré permet de lancer le javelot à usage unique et la même action sur Triangle se traduit par le déplacement d’un objet. C’est tout. Lorsque la gironde exploratrice effleure ses cuisses de ses mains, c’est pour dégainer ses calibres et exécuter sa cible dans la foulée de manière purement automatique. Bizarrement, la composante tactile déployée sur surfaces nomades n’a pas été conservée à l’attention du pavé de la Dualshock ou de la façade avant de la PS Vita, pour les déplacements tout du moins, qui auraient pu gagner en souplesse. Cela étant, les contrôles répondent instantanément et sans gros accroc même si l’on note, parfois, la reproduction d’une mauvaise direction à l’écran, susceptible de se traduire par un échec sur le niveau car irréversible. Dans certains cas, le repositionnement d’un pilier peut se révéler un brin laborieux. Mais rien de rédhibitoire, rassurez-vous. Les artisans ont pensé à insérer subtilement de généreux checkpoints agrémentés d'une option "Recommencer" prévenant tout dommage. Globalement, le portage dispose d'une bonne adaptation, sans lourdeur. On sourcillera malgré tout à la vue d'une brève saccade intervenant dès qu'un collectible s'affiche en gros plan, sans comprendre d'où émane ce léger hoquet. A déplorer également, un redimensionnement de l'image mal opéré pour la portable de Sony rendant la fouille particulièrement compliquée puisque les objets se situent hors champ de vision.

La difficulté des énigmes apparaît comme progressive. Les premières posent les bases d’une réflexion amenée à se complexifier, les centrales instillent chez vous une prise de confiance nécessaire à la résolution des plus corsées en fin de parcours. Au fur et à mesure de l'avancée, les tableaux s’étoffent de nouvelles mécaniques obligeant à une gymnastique neuronale toujours plus intense. Les développeurs mélangent habilement et intelligemment menaces environnementales et organiques à tour de rôle. Ainsi, après l’utilisation de leviers et la prudence vis-à-vis des fissures, se greffent les immobiles serpents prêts à mordre à vue, les scies au déplacement concomitant au vôtre, puis les opiniâtres reptiles qui ne vous lâchent plus d’une semelle une fois repérée. A cela, s’ajoutent les prévisibles araignées, les dalles à actionner ou encore les rochers capables de vous écraser. Bref, la diversité s’avère suffisamment présente pour offrir un challenge à même de se renouveler par une combinaison des acteurs stimulante. Sans oublier la présence d’un combat de boss qui parvient à transcender l’ensemble. Ajoutons pour finir que les deux aventures complémentaires intègrent encore des propositions inédites : des créatures de feu qui se reconstituent après trépas au bout d’un certain nombre de tours et un jeu de miroir faisant appel à des puzzles basés sur la symétrie. Difficile de s’ennuyer avec autant de variété.
Note : 4/5

Plaisir à jouer et à rejouer

Love Croft

Le plaisir de jeu émane directement de touts ces petits éléments décrits plus haut. Le soin apporté aux environnements visuels et sonores garantit une immersion des plus agréables dans l’univers de Lara, lui-même parfaitement retranscrit. C’est avec un enchantement non dissimulé que l’on retrouve cette déclinaison hautement fidèle à la série. Tout commence par ce menu en forme de cercle que l’on fait tournoyer, reminiscent d’un temps plus ancien où l’on découvrait les formes d’une voluptueuse aventurière aussi plaisante à regarder qu’à incarner. En mouvement, la plantureuse icone saupoudre ses foulées de quelques roulades caractéristiques ou autres figures à l’image de la fameuse chandelle en bout de grimpette. Les doubles flingues au son inchangé renforcent ce que l’on perçoit presque comme un hommage, une sensation qui s’accentue à travers les kills acrobatiques auxquels Lara s’adonne lorsqu’elle achève ses proies depuis une position surélevée. Au final, on apprécie grandement de tels clins d’œil qui ne versent jamais dans le fan service gratuit et outrancier mais davantage inscrits dans une démarche respectueuse envers la communauté.

On apprécie également les efforts consentis sur de petits détails en apparence mais qui comptent dans la perception globale du titre. Les calepins, par exemple, contiennent de petits dessins griffonnés retranscrivant ce qui nous attend ou les raisons de notre présence ici. Une vilaine bestiole dans le coin supérieur droit, un mécanisme à activer un peu plus bas, un aperçu d’une relique sur la page précédente … On essaye de nous conter une histoire là où on aurait pu nous catapulter dans un labyrinthe sans aucun contexte. Nul besoin de dialogues (ou monologues dans le cas de l’héroïne) puisque l’on comprend immédiatement la nature de l’objectif final et le moyen d’y parvenir. Les énigmes et le level design bénéficient, par ailleurs, d'une construction intelligente que l'on se plaît à découvrir. Enfin, les développeurs ont pris la peine de réaliser une mise en scène suffisamment travaillée pour nous happer un peu plus. Que ce soit la présence grandissante d’un reptile géant qui rôde ou moult monstres à notre poursuite à l’approche d’un artefact, on ne peut rester indifférent à ce début de narration. La crainte que l’on aurait pu nourrir concernerait un éventuel comportement opportuniste de la part d’une structure souhaitant surfer sur un phénomène en proposant sur le marché une version au rabais de sa saga phare. Il n’en est rien. Les développeurs ne souhaitaient pas uniquement profiter de l’ère du temps mais offrir une véritable expérience sans trahir le matériau de base. C'est sans conteste réussi et on ne peut que saluer l’attitude. Certains, un brin taquins, n'hésiteront sans doute pas à qualifier cet épisode de meilleur Tomb Raider sorti ces dernières années.

Aventure d'un soir

Le contrepoint de ces louanges prend naissance suite à celles-ci. Lorsque l’on se trouve face à un tel résultat, on en demande toujours plus, à tous les étages. On y prend tellement de plaisir qu’on cherche par tous les moyens à le prolonger. Et Lara ne parvient pas à nous combler comme nous l’aurions espérer. Si les puzzles demandent d’y consacrer un minimum de temps et de réflexion, ils ne nous bloquent pas pendant des heures. Certains se délient après une fine observation tandis que d’autres nécessitent déplacements et activations de dalles/manivelles pour entrevoir la solution. Quelques énigmes semblent très compliquées au premier abord avec une résolution qui ne s’envisage qu’après de nombreux essais. Mais de manière générale, on en vient à bout sans risquer le court-circuit synaptique. Naturellement, tout dépend des affinités du joueur avec le genre, habitué ou non à dénouer et déjouer les pièges disposés sur l’aire de jeu. Quand bien même vous vous sentiriez perdu, une fonctionnalité "Astuce" accessible via le bouton "Option" se traduit par la matérialisation du tracé optimal qu’il ne reste plus qu’à suivre pas à pas. Dès lors, on ne peut que juger la durée de vie insuffisante et regretter l’absence de défis évoquée plus haut, un des points forts de Hitman GO qui offrait une rejouabilité totalement absente ici. La recherche des collectibles vient partiellement palier à ce manquement, d’autant que certains se planquent vicieusement dans un décor qui les camoufle. Toutefois, tout le monde n’apprécie pas de partir en quête de près de deux cents morceaux de trésors.

Même son de cloche sur d’autres aspects. Le combat de boss semble tellement prenant et bien pensé que l’on regrette de ne pas en voir d’autres. Car il était aisément possible d’en insérer un pour chacune des deux extensions complémentaires à l’épopée de base. Un peu plus de diversité encore dans la bande originale ou de scènes presque cinématiques n’aurait pas nui non plus à l’ensemble qui manque cruellement d’envergure. En prenant un peu de recul, on constate que le portage souffre de son propre format en se présentant comme simple transfuge d’une mouture à la base plus modeste. Comme un boxeur champion dans sa propre catégorie mais qui paraîtrait bien trop chétif si on venait à le classer dans le rang supérieur. Parfaitement adapté sur support nomade, le titre se révèle insuffisamment ambitieux et ingénieux pour satisfaire un public sédentaire pourvu d’un grand écran ou davantage consommateur et friand de ce genre de gourmandise. Comprenez bien que si l’on chipote sur des détails de ce type, c’est parce que l’expérience initiale ne montre que très peu de défauts.
Note : 4/5

Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%

Bombe Platine

Le plaisir à triompher du Platine s’avère tout aussi grand que celui de simplement jouer à Lara Croft GO. Plusieurs raisons existent à cela. La plus importante provient de la naturalité avec laquelle tombe les trophées. En dehors des collectibles et d’une action bien spécifique, toutes les récompenses affluent sans que l’on se force à exécuter quoi que ce soit d’alambiqué. Soit parce qu’elles sont corrélées à l’histoire, et donc ne peuvent être manquées, soit parce que la résolution des casse-têtes vous amènera automatiquement à les engranger. Si certains pourront s’effrayer du nombre de pièces reconstituant chaque relique, la collecte ne prend en aucun cas la forme de corvée. En effet, les calepins indiquent clairement combien de vases il faut profaner pour chaque chapitre et applique un coloris indiquant le nombre de découvertes effectuées. Il ne reste plus qu’à visiter les lieux insuffisamment explorés. Joyau sur le sceptre, il n’est pas nécessaire de compléter le niveau pour les comptabiliser. Repasser par le menu après obtention suffit à la validation. On pestera brièvement sur quelques manquements capables d'ajouter un peu de piment à l’ensemble. Il aurait pu être judicieux, par exemple, de demander de venir à bout du jeu sans avoir recours aux astuces, un excellent moyen de prolonger la durée de vie même si quelques vidéos YouTube permettaient de contourner le problème.

Rapide, facile et avidement fournie, la liste des trophées de cette déclinaison en séduira plus d’un. Avec un Graal bleuté et des coupes dorées supérieures au cumul des breloques en argent et en bronze combinées, tout chasseur en vue de parfaire son palmarès à moindre effort se doit de porter son regard sur le titre. Les amateurs de puzzles et de l’archéologue impitoyable n’en sortiront que plus comblés par un catalogue qui ne nuit absolument pas à la fluidité de l’expérience et va les accompagner tout au long du périple. On en redemande.
Note : 5/5

Conclusion

A travers son esthétique visuelle et sonore peaufinée, associée à un véritable respect de l’univers de la saga, Lara Croft GO procure une expérience telle qu’elle nous paraît un peu frugale. Bien que trop sage pour une version console, la production s’inscrit comme une réussite alliant intelligence et maîtrise. A son issue, on ne se dit qu’une chose : vivement l’arrivée de Deus Ex GO le plus tôt possible sur nos machines.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
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Je recommande ce jeu : À tous, Aux fans de la série, Aux chasseurs de trophées/platine facile

Pelotedeneige (Pelotedeneige)

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