Star Ocean 5 : Integrity and Faithlessness

ps4
Extra

1
2
16
22
15
5

Infos complémentaires

+ -
Date de sortie : 01/07/2016
Genre(s) : RPG
Territoire(s) : FRANCE

992 joueurs possèdent ce jeu
41 trophées au total
0 trophée online
25 trophées cachés

Platiné par : 97 joueurs (10 %)

100% par : 97 joueurs (10 %)


Note des joueurs :
3.7/5 - 25 notes

Note des platineurs :
4.2/5 - 11 notes

Test rédigé par Ray-chan le 13-09-2016 - Modifié le 22-12-2016

Introduction

Image
Image

Space Date 537, planète Faykreed, village de Sthal, royaume de Résulie.

Sur la plateforme d'entrainement du village, Fidel Camuze, 23 ans, s'entraine à l'épée avec Ted, son ami d'enfance. Après cette dure séance qui servira de tutoriel aux rudiments du combat, nos deux compères seront rejoints par Miki Sauvester, amie d'enfance du héros ayant été élevée avec lui, qui les préviendra de la présence d'individus suspects aux abords du village. Depuis que son père est parti à la capitale pour exercer ses talents de maître épéiste, c'est à Fidel qu'incombe la lourde responsabilité de former les villageois à l'art du combat, mais aussi d'assurer la défense de Sthal. Après avoir organisé la résistance et rossé comme il se doit les vauriens en question, Fidel et Miki partiront pour la capitale de Résulie afin de mander l'aide du père de Fidel pour contrer la menace grandissante des bandits. Ainsi débute votre aventure...

Sorti début Juillet 2016, Star Ocean: Integrity & Faithlessness est un J-RPG mâtiné d'action, développé par le studio Tri-Ace, revenu d'entre les morts suite à une série de mauvaises passes financières, et produit par Square Enix. Il vient commémorer les vingt ans de la licence et, de ce fait, bénéficie de multiples clins d'œil à la licence mais aussi à d'autres productions Tri-Ace ou Square. L'histoire de ce Star Ocean se situera entre celle de Star Ocean: The Second Story et celle de Star Ocean: Till The End Of Time. Il ne sera pas nécessaire d'avoir déjà joué à un Star Ocean précédemment si vous ne connaissez pas la licence, chaque histoire étant indépendante, mais l'avoir fait sera un plus pour voir tous les petits côtés fan-service disséminés ça et là durant votre épopée.

Sans plus tarder, rentrons dans le vif du sujet, et analysons le contenu de ce nouvel océan d'étoiles.

Contenu du jeu

Une histoire courte et condensée...

Démarrons les hostilités par le scénario et l'histoire principale, éléments primordiaux du jeu. Le script se veut classique mais efficace. Rythmé et mené tambour battant, le scénario s'articulera autour de l'enlèvement d'une petite fille, et de sa libération par Fidel et Miki. Ils seront rejoints par la suite par divers protagonistes qui les accompagneront pour des raisons plus ou moins personnelles. Nous en resterons là pour ne pas spoiler les futurs joueurs. Cela étant dit, si le rythme est efficace, la déconvenue est grande en fin de parcours, l'histoire principale s'expédiant en une vingtaine d'heures environ en mode normal. Cela est peu pour un J-RPG, et franchement maigre pour un Star Ocean qui nous avait plutôt habitué à des scénarios d'une cinquantaine d'heures environ. Le tout dans des environnements peu nombreux mais bien travaillés, et avec des villes peuplées, mais pas assez pour sentir l'effervescence d'une grande ville et dont beaucoup de portes resteront closes... Une impression en demi-teinte à ce niveau. Heureusement, et même si il est plutôt convenu, le scénario est un peu plus mâture qu'à l'usuel sur ce genre de production, cela étant certainement dû à l'âge des différents protagonistes, bien plus âgés que dans les RPG nippons habituels. De même, votre équipe, par le biais des actions privées (sorte de scénettes qui s'activeront soit à des passages clés dans les villes et environnements, soit par le biais d'un sifflet dans les villes) notamment, se révélera plus intéressante et travaillée qu'elle ne le semblerait de prime abord. On pourra aussi noter qu'à contrario de l'épisode précédent qui nous faisait parcourir plusieurs planètes, on sera cette fois-ci limité à la seule planète de Faykreed.

...contrebalancée par un contenu gargantuesque.

Heureusement, malgré le manque de moyens dont à certainement souffert Tri-Ace pour fournir cet épisode anniversaire, le contenu se veut à la hauteur de l'événement. Ainsi, vous aurez pas moins de 122 quêtes annexes à accomplir, avoir possédé (ou crée via le système de recettes et/ou de synthèse) les 623 objets du jeu, vous devrez tuer les 307 ennemis du jeu, débloquer toutes les compétences de combat et tous les sorts glypturgiques, optimiser les différentes spécialités que vous débloquerez au fur et à mesure de votre avancée et accomplir l'équivalent de 100 Battle Trophies, qui sont des trophées liés aux combats comme leur nom l'indique et nécessitant diverses conditions pour leur obtention. Comme si cela ne suffisait pas, vous aurez également 108 rôles à débloquer, rôles qui seront l'essence du système de combat mais nous y reviendrons un peu plus bas.

Nous évoquions le système de synthèse un peu plus haut. À lui seul, il nécessitera de nombreuses heures de jeu. Il se déclinera sous la forme de quêtes à accomplir par le biais de Welch Vineyard. Personnage emblématique de la série, celle-ci sera là pour le Fan-Service, mais aussi et surtout, vous devrez accomplir ses quêtes pour espérer accomplir toutes celles du jeu. Elle sera également la clé de voûte de vos compétences en termes de synthèse et de récolte d'objets. En effet, en accomplissant les différentes quêtes de Welch, vous débloquerez des spécialités qui vous permettront d'obtenir plus de matériaux de la part de vos adversaires et des différents points de collecte du jeu, ce qui, de facto, allégera votre tâche. Elle vous fournira aussi les différentes spécialités permettant de créer, via des recettes, différents types d'objets de tous poils qui seront, pour certains, indispensables à votre aventure. C'est également Welch qui vous permettra de débloquer la synthèse et les améliorations pour vos armes, ce qui se révèlera indispensable pour quiconque désire obtenir le platine de ce jeu.

Les Cathédrales de l'Oubli et le Donjon Optionnel.

L'un des points forts du jeu à n'en pas douter. Les cathédrales de l'Oubli seront des vortex qui apparaîtront de manière aléatoire à des points fixes du jeu. Ces arènes vous entraineront dans une succession de combats jusqu'à un boss donné. Ces boss, lorsque vous enchaînerez les cathédrales, s'amélioreront avec le temps, voyant leurs points de vie et de magie augmenter, rendant le combat plus difficile. La petite subtilité de ces cathédrales sera d'accomplir leurs combats le plus tôt possible dans le jeu afin de remplir votre bestiaire sans trop avancer dans l'histoire principale. Et c'est là que les choses se corsent, car le seul moyen de savoir que vous avancez dans l'histoire principale sera le changement de vignettes lors de vos sauvegardes. Gardez bien cela en tête, et sauvegardez souvent si vous ne souhaitez pas de mauvaise surprise.

Le Donjon Optionnel, sobrement intitulé "Dédale" sera quant à lui accessible après avoir fini le jeu une première fois. Afin de pouvoir triompher de ce donjon, il vous faudra tout d'abord débloquer votre dernière spécialité, qui fera sauter la limite de niveau de vos personnages (niveau 99 de base) et permettra à vos personnages d'atteindre le niveau 255 à leur paroxysme. Et cela ne sera pas de trop pour triompher du Dédale! Car vous devrez le finir trois fois, et si le niveau des ennemis est élevé au départ, ceux-ci ne seront plus qu'une farce par la suite. Le véritable ennemi? Ce sont les boss du Dédale. Le Dédale se décompose en trois étages, et à chaque étage vous devrez battre 5 boss pour accéder à l'étage supérieur. Boss qui, comme si cela n'était pas suffisant, lâcheront des objets rares, qu'il vous faudra impérativement collecter pour accomplir les dernières recettes et synthèse du jeu et accéder aux meilleures armes de vos personnages.

En résumé: Malgré une trame scénaristique maigre pour la série, Tri-Ace à su remplir efficacement les vides, permettant à cet épisode de s'en sortir avec plus que les honneurs en terme de contenu.
Note : 5/5

Aspect technique du jeu

Un Gameplay riche et varié.

Ce qui fait l'une des forces de ce Star Ocean, c'est son gameplay, spécialement en ce qui concerne les phases de combat. Ainsi, et à contrario des J-RPG traditionnels, la licence mise sur un côté action très prononcé, encore accentué dans cet opus par le fait que chaque entrée dans un combat se fait en toute fluidité, sans aucune transition. De plus, vous aurez toujours tout votre groupe avec vous, le personnage principal étant dirigé par vous-même et les autres par l'IA. IA qui se révélera plus ou moins efficace en fonction des rôles que vous lui attribuerez. En effet, toute la richesse de ce Star Ocean peut se définir au niveau des rôles qui peuvent entièrement refaçonner la manière de combattre de vos équipiers. Ainsi, au fur et à mesure de votre avancée, vous serez capables de monter une équipe correspondant à votre style de jeu. Sachez que vous pourrez également permuter à tout moment sur l'un de vos équipiers, vous permettant ainsi d'utiliser une technique ou un pouvoir glypturgique plus efficace à satiété si le besoin s'en fait sentir. Oui mais, tout ne tient pas aux rôles. Vous aurez un système de base qui sera constitué d'une attaque faible, d'une attaque lourde et d'un contre. le contre stoppe l'attaque faible, l'attaque lourde explose le contre et l'attaque faible affirme sa rapidité. Ce système permettra de faire monter une jauge sur la droite de l'écran. Jauge qui augmentera (en fonction de vos préférences de combat), les fols gagnés,(la monnaie du jeu) l'expérience engrangée ou les points de compétences à la fin du combat. Cette jauge sera composée de 5 paliers qui augmenteront donc le montant de vos récompenses mais qui vous permettront également d'utiliser une ou plusieurs réserves de vitesse. Les réserves de vitesse représentent les super-coups de vos héros et sont dévastatrices, et vous choisirez librement la puissance du coup que vous souhaitez utiliser mais également le personnage qui effectuera l'attaque. Ainsi, il vous faudra parfois jongler entre privilégier vos gains ou l'utilisation de vos réserves de vitesse pour avancer efficacement dans le jeu. Le seul bémol que l'on puisse apporter à ce système de combat fluide et efficace, c'est que lorsque les combats s'éterniseront, vos personnages et les adversaires commenceront à sortir leurs plus gros coups, inondant l'écran d'effets de lumière ne permettant pas de savoir ce qui se passe en dessous. L'action sera moins fluide et aura tendance à vous désorienter. Du moins, sans pratique, car avec l'expérience vous arriverez à enchaîner sans être perturbé par ces effets. On notera également quelques petits soucis de caméra par moment, rien de dramatique puisqu'une simple pression sur (R3) recadrera automatiquement la caméra derrière le personnage que vous utilisez, mais cela pourrait en agacer certains.

Un pari technique tenu, mais qui se paye cher.

La promesse de ce Star Ocean était de proposer un jeu tournant en 1080p et 60 fps. Pari tenu et réalisé sans faute par les artisans de Tri-Ace. Mais cela se paye très cher sur la réalisation technique. Ainsi, si le chara-design d'Akiman est agréable à l'œil, les personnages manquent d'expressivité dans les rares cinématiques du jeu. Cinématiques réduites à leur plus simple expression pour certaines (La scène avec l'équipage dans le Charles D.Goale qui se fait attaquer et où l'on ne voit que l'intérieur de la passerelle de commande, fait penser à un Star Trek des années 80). Heureusement, tout n'est pas à jeter car le jeu est beau, pas le plus beau de la console mais il flatte la rétine, surtout dans les grands environnements extérieurs ou les grandes villes. Un véritable régal qui arrive à faire oublier le manque d'animations et qui efface en partie le désagrément des chargements entre chaque zone ou maison visitée, des villes où la majeure partie des portes restent désespérément closes et qui peuvent paraître sous-peuplées par rapport à leur taille. Qui dit Star Ocean dit Motoi Sakuraba et donc bande son aux petits oignons. Sans être la meilleure bande-son de sa carrière, celle-ci est d'excellente facture comme à l'accoutumée et met en valeur comme il se doit le jeu. Petit bonus de cet opus: La possibilité de remplacer le thème de combat de Star Ocean: Integrity & Faithlessness par ceux de Valkyrie Profile, Valkyrie Profile: Silmeria ou Star Ocean: Till The End of Time. Un régal pour les fans de Tri-Ace. Vous aurez également le choix entre les doublages anglais et japonais, les deux étant d'excellente facture, même si l'on ne saurait que trop recommander le japonais pour être totalement dans l'ambiance (et retranscrire de facto certaines émotions qui seront affectées par le manque d'expressivité des visages). Pour finir, le jeu est intégralement traduit en français (vostf donc) mais on pestera contre la police d'écriture franchement petite qui ne permet pas de jouer trop loin de l'écran.

En résumé: Malgré une technique maîtrisée, une bande-son et un doublage excellents, et un gameplay plutôt riche, le jeu peine à faire oublier ses carences techniques et le manque de moyens du studio, eu égard à l'ampleur du projet.
Note : 3/5

Plaisir à jouer et à rejouer

Un jeu agréable, surtout pour les fans.

Partons sur un constat de base: l'histoire principale est courte, très courte, trop courte pourrait-on dire, nous l'avons déjà évoqué plus haut. Cela étant dit, le rythme est bon, et l'on ne ressent pas de lassitude vis-à-vis du scénario, et ce, même si le conflit entre Résulie et Trei'kur est vite mis de côté au profit du rôle que tient Rélia dans le développement dudit scénario. On pourra juste noter que Der-Suul, est un méchant charismatique, si charismatique que l'on ne peut que nourrir des regrets face au dernier boss... Cela laissera au joueur une sensation d'inachevé, ou de trop peu qui pourrait ternir l'expérience si celui-ci ne compte que sur l'histoire principale pour éprouver du plaisir. Heureusement, la partie technique du soft, surtout le gameplay et la bande-son fait que l'on s'éclate franchement, et le contenu relativement riche sur les à-côté permet de s'affranchir de cette limitation scénaristique. De plus, si l'on est un fan inconditionnel de la série, l'on ne pourra que savourer la multitude de clins d'œil à la licence. Cela débute bien évidemment par la présence de Welch Vineyard, ou la similitude physique entre Fayt Leingold et Fidel Camuze (ainsi que celle entre Albel Nox et Der-Suul), mais également par des actions privées rappelant nombre de souvenirs aux habitués de la licence. Ainsi, on pensera indubitablement à Star Ocean: The Second Story ou à Star Ocean: Till The End of Time, et aux personnages de Celine Jules et Maria Traydor lorsque Anne Patriceani évoquera sa grand-mère géante et très forte, mais aussi à Reimi Saionji lors de notre premier combat à ses côtés dans Star Ocean: The Last Hope lorsque Miki Sauvester dira lors d'une action privée qu'elle aurait aimé avoir un arc car elle n'aime pas se battre et faire du mal. Toujours dans le clin d'œil et la remembrance, le scientifique évoqué par Fiore Brunelli durant nombre de ses actions privées pourrait être Bacchus de Star Ocean The Last Hope, ce qui est bien évidemment improbable vu l'écart temporel et la technologie avancée de sa planète originelle. Mais qu'à cela ne tienne, le but est de donner du plaisir et d'offrir au joueur fan de la licence, l'occasion de se remémorer les opus précédents en éveillant des sentiments nostalgiques. Histoire de se situer chronologiquement, et afin d'éviter toute confusion, rappelons que l'histoire de Integrity & Faithlessness se déroule bien après celle de The Second Story, et bien avant celle de Till The End of Time.

Une rejouabilité limitée excepté pour qui aime le challenge.

Ne nous leurrons pas, avec un scénario limité à une vingtaine d'heures en ligne droite, le plaisir de rejouer pour la première fois à Star Ocean: Integrity & Faithlessness viendra en premier lieu du nombre d'objectifs que vous aurez accomplis durant votre première partie. Si vous avez profité de votre première partie pour vous concentrer sur le scénario, alors vous aurez encore largement de quoi vous faire plaisir en termes de contenu. Dans le cas inverse, vous prendrez du plaisir, ou non, à jouer uniquement pour le challenge d'une difficulté accrue. Difficulté somme toute relative puisque vous aurez l'opportunité d'apprendre dès le départ tous les rôles que vous aviez débloqué lors de votre partie précédente, facilitant ainsi en partie votre progression. En partie, car le jeu ne bénéficiant pas d'un véritable "New Game +" vous devrez quand même vous donner pour finir les modes de difficulté accrues. Sachez aussi qu'aucun changement n'aura lieu dans la trame principale de l'histoire, et seules les actions privées que vous n'aurez pas visionnées préalablement vous permettront d'apprécier un peu plus ces nouvelles parties, parties dans lesquelles vous ne pourrez que trop rarement passer les cinématiques, ce qui ampute encore un peu le plaisir de rejouer.

En résumé: Malgré une première partie plaisante à jouer, le jeu perd de sa superbe lors des relances, la faute à un contenu trop chiche sur l'histoire principale, et surtout à un challenge ardu et sans changement dans sa trame scénaristique.
Note : 3/5

Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%

Une partie litigieuse à bien des égards en fonction de ce que vous attendez d'un jeu comme Star Ocean. Si vous jouez uniquement pour les trophées, la note vous semblera surévaluée. Si vous jouez pour le plaisir de jouer et voir les trophées comme une récompense méritée, alors cette note vous semblera pleinement justifiée.

On notera 41 trophées à obtenir dont seulement cinq trophées seront dédiés au mode Histoire, ce qui en dit long sur la tâche qui vous attendra en termes de "collectibles". Certains trophées tomberont néanmoins très facilement, notamment ceux nécessitant d'accomplir pour la première fois une action spécifique telle que créer votre premier objet, fuir une bataille, utiliser une émote durant une cinématique, utiliser une réserve de vitesse ou effectuer une riposte.

La partie commencera à se compliquer très légèrement en obtenant les fins de tous les personnages mais une bonne utilisation du système de sauvegarde rendra ceci très facile.

Là ou les choses vont se compliquer c'est pour le 100% en termes de quêtes, de rôles, de compétences de combat et glypturgiques (soit 4 trophées) mais surtout sur le 100% des recettes de Welch, des ennemis, des objets et des Battle trophies qui requerront de votre part un investissement considérable en temps, dû à la collecte incessante de matériaux pour les recettes et synthèses, et de jouer intelligemment sur votre première partie. Vous y couplerez les deux trophées nécessitant la mort de deux boss du Donjon Optionnel. Cela étant dit, le guide de PSTHC vous aidera à affronter comme il se doit ces obstacles.

Une fois tous ces trophées obtenus, il vous restera encore deux parties à accomplir dans les modes de difficulté les plus élevés afin d'obtenir votre Saint-Graal.

En résumé: Nous aurons affaire à un platine exigeant et chronophage mais pas si difficile comparé à l'opus précédent.
Note : 4/5

Conclusion

Star Ocean: Integrity & Faithlessness est un bon jeu. Globalement positif mais il aurait pu mieux faire. Si le pari technique de base est tenu, on regrettera fortement que le scénario ne soit pas plus développé afin d'augmenter la durée de vie de la quête principale. Erreur en partie rattrapée par le nombre conséquent de quêtes annexes et d'objectifs divers à accomplir. De même, on aurait souhaité avoir un méchant principal digne de ce nom, ses séides le surclassant à ce propos.

Ceci dit, pour qui aime la série, cet opus est de bonne facture, bien qu'encore loin d'égaler la référence Star Ocean: Till The End of Time
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
15
Je recommande ce jeu : Aux acharnés, Aux spécialistes du genre, Aux fans de la série

Ray-chan (Ray-chan80)

200
1185
2181
5703