Nobunaga's Ambition : Sphere of Influence - Ascension

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Infos complémentaires

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Date de sortie : 25/11/2016
Genre(s) : Stratégie
Territoire(s) : FRANCE

28 joueurs possèdent ce jeu
29 trophées au total
0 trophée online
0 trophée caché

Platiné par : 2 joueurs (7 %)

100% par : 2 joueurs (7 %)


Pas de note
des joueurs

Pas de note
des platineurs

Test rédigé par Comatosia le 16-11-2016 - Modifié le 07-12-2016


Introduction

En la sublime journée du 28 Octobre 2016, Koei Tecmo nous a gratifié d'un nouveau soft dans la série des Nobunaga's ambition. Un an après la sortie de son grand-frère, le soft se permet de nous offrir de nouvelles pérégrinations dans le monde teint de violence et de stratégie qu'est celui du Japon des 16e et 17e siècles. Ayant probablement toujours envie de faire plaisir aux joueurs et fans de la série, les développeurs avaient fort à faire pour surpasser le précédent épisode qui avait déjà été très bon l'année passée. C'était donc une nouvelle aventure pour les créateurs afin d'en mettre plein les mirettes aux néophytes et aux habitués de la série. Prenez donc votre courage à deux mains et préparez-vous à affronter les hordes d'ennemis prêts à tout pour tenter d'endosser le rôle de Shogun !

Pour cette nouvelle ligne à ajouter au CV de l'entreprise, nous ne nous voyons pas pourvus d'un univers onirique, mais plutôt d'une création qui reflète bien les pensées de l'époque, où la plupart des femmes étaient perçues comme une quelconque monnaie d'échange pour obtenir alliances et autres bénéfices et où la violence faisait rage entre les différentes familles nippones. En effet, ce nouvel épisode dépeint parfaitement les luttes militaires et politiques qui opposaient les différents personnages historiques ici présentés. Vous aurez donc la possibilité de vous faire votre place dans des scénarios variés qui retracent l'histoire des dirigeants japonais de la naissance de l'illustre Oda Nobunaga jusqu'à l'année fatidique du siège d'Osaka.

C'est ainsi dans un Japon "féodal" que vous aurez l'occasion d'incarner un personnage parmi plusieurs centaines proposés et de voir se dérouler sous vos yeux écarquillés plus d'un siècle d'histoire. Vous aurez ainsi la possibilité d'enfiler votre armure sous le nom que vous désirez à travers le catalogue très fourni de personnages ou tout simplement de créer votre propre avatar pour fouler les terres en guerre de l'archipel. Mais attention, vous rencontrerez une opposition assez nette et dont il faudra parfois vous défaire à grands coups de stratégie.

Contenu du jeu

Lorsque l’on parle contenu, on y inclut bien entendu le mode histoire, scénario ou autre qui est incorporé dans le jeu. Vous aurez pour ce mode scénario la possibilité de jouer un personnage historique de l’histoire féodale du Japon, que son rang soit celui de simple serviteur jusqu’au rang de Daïmio. Tous ces rangs sont ceux des seigneurs qui ont eu un impact sur le Japon durant plusieurs siècles. Le but ? Il est très simple, votre clan et vous aurez une lourde tâche : celle d’unifier les nations en guerre afin de pouvoir vous hisser jusqu’au rang de Shogun et rassembler tous les « pays » sous une seule et même bannière : la vôtre. Si vous désirez jouer un simple officier, il va de soi que cela sera la bannière de votre seigneur et qu’il sera lui-même et le Shogun et non pas vous.

Vous aurez également un large choix de scénarios couvrant les différentes périodes de ce Japon féodal réellement plaisant à arpenter. Dans ces dizaines de scénarios proposés, vous aurez la possibilité de voir se réaliser des événements historiques qui vous permettront de vivre pleinement toutes les couches qui peuvent vous être offertes par le soft. Certains de ces événements historiques, comme la naissance ou la mort d’un personnage pourront enclencher à travers le temps diverses quêtes ou entraîner la mort d’un autre seigneur ou officier important. Pour ce second point, sachez que la mort d’un officier par événement historique le supprime logiquement définitivement du scénario en cours et qu’un officier dont la date de mort historique est dépassée ne sera pas présent dans les scénarios dont la date est plus avancée. Ces éléments supplémentaires permettent donc aux joueurs férus d’histoire de connaître et d’en apprendre plus sur l’histoire tumultueuse de l’ère Sengoku de l’archipel.

Nobunaga’s Ambition – Sphere of Influence : Ascension reste un jeu de gestion et de stratégie et propose donc légitimement un éditeur qui vous permet d’ajouter multiples éléments « historiques » supplémentaires afin de pimenter un peu plus vos sessions de jeu. Cet ajout entraînera cependant l’annulation de l’obtention des trophées une fois activé. De plus, vous pourrez carrément créer votre propre officier ou plutôt vos propres officiers puisque ce sont plusieurs centaines de slots qui sont mis à disposition du joueur afin qu’il puisse laisser son imagination virevolter à tout va. Ces officiers pourront être joués ou simplement incorporés à n’importe quel scénario sans entraver la trame historique proposée par le jeu. Pour ces créations, vous aurez bien entendu une large palette de portraits disponibles afin de personnaliser vos personnages en plus de nombreux champs à remplir afin de pouvoir les singulariser autant que possible, comme le nom, le prénom, la famille ou encore ses compétences personnelles.

Ainsi, vous l’aurez compris, l’opus offre un très grand nombre d’options où chacun pourra développer son propre style de jeu. D’un côté, les plus calmes pourront décider de jouer un officier centré sur le développement de la cité mise sous sa protection, à l’aide de tous les moyens mis à sa disposition, comme l’agriculture ou encore l’aspect militaire. Pour pouvoir développer votre cité, il vous faudra de l’argent, des ressources, mais aussi de la main d’œuvre qui s’obtient essentiellement en augmentant la population de votre cité. Bien entendu, cela n’est qu’une seule possibilité parmi les autres, puisque vous pouvez aussi décider de jouer un Daïmio tourné vers le développement de ses forces militaires et vous lancer dans une conquête de vos voisins par la violence dans des batailles que vous pourrez mener par vous-même ou en laissant ces dernières se résoudre de manière automatique sur la carte stratégique du pays. Vous pouvez aussi très bien créer des alliances ou vassaliser l’un ou l’autre de vos voisins moins puissant afin de l’incorporer à votre nation par la suite. Que dire également de la possibilité qui vous est offerte de pouvoir obtenir le support des tribus environnantes et ainsi augmenter non seulement votre force militaire mais aussi votre population ? En bref, vous êtes face à des possibilités stratégiques gargantuesques où vous êtes totalement libre de procéder comme il vous sied.

Mais bien entendu, cela ne s’arrête pas à cela, car vous pourrez également vous pencher sur le développement des routes ou encore des divers bâtiments de la cité pour augmenter la production en ressources, argent ou population. Vous devrez aussi faire attention à la loyauté de vos officiers (si vous êtes Daïmio) car ces derniers pourraient vous trahir en cas d’insatisfaction trop grande, tout comme vous pourrez pousser les officiers ennemis à rejoindre votre cause si vous voyez que ces derniers sont déçus par leur seigneur. Heureusement, vous recevrez de multiples informations lors des réunions mensuelles pour pouvoir éviter ce problème.

Bien que déjà énuméré plus haut, il me semble impossible de passer à côté d’une répétition : la grande diversité de personnages jouables. En effet, vous pourrez incarner n’importe quel officier ou Daïmio présent sur la carte ou que vous aurez créé, ce qui vous laisse plusieurs centaines de possibilités et donc tout autant de scénarios différents et de possibilités de gameplay différentes. Vous pourrez ainsi jouer le plus insignifiant des serviteurs du plus paumé des seigneurs, du moment que cela vous intéresse et vous plaît.

Enfin, il semble intéressant de conclure sur l’un des seuls bémols que l’on peut reprocher à ce jeu du point de vue de son contenu, c’est la difficulté d’avoir accès au développement technologique, puisque ce dernier ne passe quasi que par des événements, à nouveau, historiques comme l’arrivée des mousquets dans l’ouest du pays. Mais ne vous en faites pas, bien que ce point soit sous-exploité, un autre quant à lui est bien mis en avant, c’est le côté diplomatique qui a une place prépondérante surtout lorsque vous jouez dans des niveaux de difficulté plus élevés. A noter d’ailleurs que vous pouvez personnaliser votre difficulté afin de rendre cette dernière totalement conforme à l’expérience de jeu que vous attendez du jeu. Que demander de plus ?
Note : 4/5

Aspect technique du jeu

Le premier point très important à souligner est l’absence de traduction française pour le jeu qui n’est, en effet, disponible que dans la langue de notre illustre Shakespeare. Sachant que le niveau d’anglais demandé est extrêmement élevé si l’on veut comprendre toutes les facettes des dialogues et autres éléments plus obscures du gameplay, l’aventure peut s’en trouver quelque peu ébranlée.

Cependant, le jeu présente pas mal de points positifs, comme le fait que la guerre se déroule en temps réel sur la carte stratégique du Japon ou lors d’une prise en main manuelle des troupes à la bataille. En effet, une fois que les troupes sont sorties de la ville, ces dernières se déplaceront sur la carte en temps réel (durant la phase qui suit la phase stratégie). Bien entendu, se déplacer nécessite des ressources qui diminueront à mesure que les troupes restent hors de la ville, ce qui accentue le côté stratégique des déplacements. D'ailleurs, lorsque ces ressources toucheront le zéro, elles rentreront simplement à la maison.

Comme précisé plus haut, les batailles peuvent avoir lieu de manière automatique sur la carte du « monde » ou se dérouler de manière manuelle si vous décidez d’engager le combat (icône avec deux épées croisées). Attention néanmoins, prendre part manuellement à une bataille fait s’écouler le temps et vous empêchera donc peut-être de voir d’autres éléments importants ou de diriger d’autres batailles de plus grande envergure. Aussi, lorsque vous jouez en mode bataille, c’est un nouvel écran qui montre le bout de son nez et vous y voyez vos unités, sachant que vous avez le contrôle de toutes, sauf celles des alliés venus prêter main forte. Chaque unité possède des techniques qu’il faudra utiliser pour prendre l’avantage sur l’adversaire. Malheureusement, les batailles ne sont pas exploitées au maximum et se résument généralement à un simple envoie des troupes sur celles de l’adversaire avec parfois une technique à lancer ici ou là, ce qui est fort dommage. De plus, ces batailles sont fort brouillonnes et vous n’avez malheureusement pas vraiment de choix en ce qui concerne les unités (au contraire de Romance of the Three Kingdoms XIII par exemple où justement le nombre de troupes différentes était plus élevé).

Mais plutôt que de râler pour quelques petits détails qui n’entraveront nullement l’immersion, pourquoi ne pas souligner l’incroyable maniabilité du jeu à la manette ? Chose assez rare pour un jeu de stratégie aussi poussé (dans l’aspect stratégie bien entendu). En effet, cette dernière est intuitive, ce qui mérite d’être souligné.

Pour aller plus loin, sachez que la bande-son pousse votre immersion (déjà grandement aidée par la maniabilité) encore plus loin puisque cette dernière est vraiment réussie, chose qui peut paraître secondaire pour un jeu de ce type mais qui a toute son importance lorsque l’on passe plusieurs heures devant l’écran, volume allumé.

Pourtant, pour un jeu sorti sur PS4, les graphismes sont largement dépassés et mériteraient bien une petite remise à niveau. Mais le style du jeu pardonne déjà à moitié cet aspect de vieux jeu et la réalisation très réussie des cartes (avec topographie incluse attention !) ainsi que les phases scénarisées entre personnages, dont les portraits sont incroyablement soignés, avec parfois un petit aspect cinématique, s’occupent de pardonner l’autre moitié des graphismes un peu trop « old-gen ».
Note : 3/5

Plaisir à jouer et à rejouer

L’un des plus grands plaisirs que l’on puisse trouver dans Nobunaga’s ambition – Sphere of infuence : Ascension est sans nul doute la quantité astronomique de possibilités qui sont offertes au joueur à tout instant. En effet, comme vous l’aurez compris, vous aurez le choix de jouer dans plusieurs dizaines de scénarios différents retraçant l’histoire du Japon sur deux siècles mais ce n’est pas tout, puisque vous pouvez en effet passer par l’éditeur de personnages où d’événements afin de rallonger un peu plus votre expérience de jeu, ou plutôt l’espérance de vie du soft.

Cela a également déjà été dit plus tôt, mais les très nombreuses options qui sont mises à la disposition du joueur ainsi que la possibilité pour tous d’évoluer selon leur propre style de jeu, que ce soit du point de vue du développement économique ou de la conquête militaire laisse un réel souvenir positif au joueur qui pourra ainsi s’épanouir dans une sphère propice au plaisir. Que vous souhaitiez renforcer votre nation grâce à une forte économie ou une très grande capacité militaire, tout est possible, à condition de garder en tête que le but est l’unification de la nation tout entière. En parlant du militaire, le jeu laisse la possibilité de diriger soi-même les troupes au combat, ce qui pousse encore plus loin le plaisir développé en l’être des stratèges en herbe puisqu’ils pourront ainsi mettre en place des stratégies de combat sur la base de la quantité de troupes, de leurs techniques et autres détails que vous aurez le plaisir de découvrir à mesure que vous avancerez dans le jeu. Tout cela est rendu aisé notamment grâce à la très bonne accessibilité du soft à la manette qui ne déclenchera pas de petites crises chez le joueur pour l’un ou l’autre souci de maniabilité. Le plaisir au joystick est presque parfait, et si l’on prend le style de jeu en compte, il ne l’est pas presque, il l’est totalement. Couplé à l’ambiance globale du soft qui est fort plaisante et où le joueur trouvera un vrai plaisir à se développer, l’expérience ne peut en être que magnifique (à condition d’aimer le style de jeu, ne l’oubliez pas !).

Pour ceux qui sont un peu moins adeptes du fait de passer de longues heures à gérer chaque ville une par une, sachez que de nombreuses options sont à nouveau disponibles pour déléguer le développement et la gestion des cités à vos officiers (lorsque vous êtes Daïmio). Cette option est d’ailleurs fort utile pour les joueurs, qui, lors de leur première partie, joueront en facile et ne voudront pas s’attarder sur cet élément chronophage du jeu. Cependant, notez que même en difficulté minimale (avec édition de difficulté manuelle comme autorisé par le jeu), cette dernière est croissante à mesure du scénario et se rapprochera d’un mode moyen-difficile en fin de partie (hormis pour l’agressivité de l’IA). En parlant d’IA d’ailleurs, sachez qu’elle s’adaptera à votre façon de jouer et n’hésitera parfois pas à créer une coalition contre votre clan afin de vous éliminer. Chose qui peut paraître à priori aisément évitable, mais qui se révèle en réalité être un véritable frein à votre expansion et qui pourrait même, à terme, plonger votre nation dans un chaos sans nom. Vous pourrez aussi créer plusieurs provinces afin de déléguer plusieurs villes à l’un de vos officiers qui pourra ainsi à son tour diriger des troupes et partir à l’assaut d’autres cités pour étendre son territoire et votre royaume par la même occasion. Enfin à condition que vous le lui permettiez bien entendu.

Vous l’aurez compris, le plaisir de jouer sera optimal pour toute personne portant un intérêt à la stratégie et, après les dizaines d’heures de jeu nécessaires pour maîtriser les différents aspects de l’opus, le maître en stratégie que vous serez devenu pourra alors jouir d’un plaisir de jeu comme vous n’imaginiez pas qu’il était possible avant sur un opus comme celui-ci sur console de salon !
Note : 4/5

Plaisir à faire les trophées, le Platine / 100%

Vous le savez très certainement, lorsque l'on parle de jeux de stratégie fournis par nos très chers développeurs et éditeurs de chez Koei Tecmo, les trophées ne sont pas vraiment le plus infranchissable des murs, mais pas non plus la plus tranquille des routes à parcourir. Encore une fois, notre périple vers le Graal bleuté est très bien équilibré, demandant tantôt de proposer certaines actions bien précises et demandant une attention toute particulière comme celui vous invitant à compléter au maximum votre domaine personnel, tantôt vous offrant quelques petites récompenses numériques sans même vous demander de faire quoi que ce soit, comme c'est effectivement le cas avec les quelques babioles demandant de gravir les échelons du plus bas de l'échelle au plus haut. En effet, la plupart des joueurs cherchent à découvrir naturellement les différentes positions que peuvent occuper les personnages, ce qui les poussera inévitablement à réaliser ce trophée sans même s'en rendre compte.

A côté de ces trophées qui peuvent être réalisés à peu près n'importe quand, d'autres plus pointilleux pointent le bout de leur nez, comme principalement la paire de récompenses visant l'accomplissement d'un scénario proposé par le jeu d'abord avec un personnage bien précis, puis ce même scénario avec un second personnage lui aussi pré-défini dans le cadre de la récompense. Nonobstant cette obligation, le joueur reste très libre dans ses actions lors de l'accomplissement de ces deux trophées puisqu'il ne s'agit que d'obtenir la victoire avec le personnage et point à la ligne. En plus de ces quelques trophées plus précis, se trouvent ceux liés aux collectibles. Vous trouverez en effet face à vous un trophée nécessitant la récolte de tous les objets de grade le plus élevé (pas forcément dans la même partie) ainsi qu'une victoire dans plus d'une centaine de batailles. Ce second n'est pas vraiment un collectible, mais ça reste dans l'idée d'engranger victoire sur victoire comme on accumulerait les objets de grade supérieur, cela revient donc au même.

Pour obtenir le platine de ce soft pour le moins réussi, il faudra compter 4 parties au minimum puisque vous devrez unifier le Japon en étant officier, un autre fois en étant Daïmio et les deux autres fois en jouant les deux personnages obligatoires (qui sont Sanada Yukimura, la mascotte de cet opus et Ieyasu Tokugawa). Vous noterez que les trophées sont réalisables plusieurs à la fois, mais je vous déconseille fortement cela, le fait est qu'il est plus agréable de commencer avec un personnage moins puissant afin de découvrir un peu plus les mécaniques de jeu.
Note : 4/5

Conclusion

Vous l'aurez compris, vous êtes ici face à un jeu proposant une aventure presque sans limite avec un contenu à la hauteur des espérances. L'apprentissage sur le jeu se fait avec patience et parfois difficulté tant les mécaniques sont complexes et travaillées. Sans conteste un jeu qui restera dans le souvenir des mordus du genre. En effet, malgré son aspect technique quelque peu daté, les batailles proposent une réflexion en temps réel et la retranscription du Japon féodal est des plus pertinentes. L'absence de doublage français pourrait refroidir certains joueurs et ce, à juste titre tant ce dernier est difficile à appréhender. A n'en pas douter un soft qui saura faire plaisir aux amateurs du genre et autres curieux avides de s'essayer à un petit quelque chose qui montre de la résistance.
Contenu du jeu
Aspect technique du jeu
Plaisir à jouer et à rejouer
Plaisir à faire les trophées
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Je recommande ce jeu : Aux fans de la série, Aux curieux

Comatosia (Comatosia)

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